Une Charmante Collègue

Parmi mes amies libertines, celle avec qui je m'entends le mieux est Sandra. Rien de plus normal puisque nous travaillons ensemble. Nous sommes toutes les deux aides-soignantes au service des urgences à l'hôpital.
J'étais en poste depuis 6 mois lorsqu'elle a été embauchée et j'avoue être tombée immédiatement sous le charme de cette jeune femme du même âge que moi. Belle rousse à lunettes, coiffée d'une longue queue de cheval,  de grands yeux bleus, des taches de rousseur, une bouche très pulpeuse et des formes plus que généreuses que je devinais sous sa blouse, elle me rappelait un peu Adeline, une autre rousse rencontrée en vacances, avec qui j'avais eu ma première expérience lesbienne.
Étant donné que nous étions les dernières petites nouvelles dans le service, cela a facilité notre rapprochement et nous n'avons pas mis longtemps à devenir bonnes copines car Sandra est une bonne vivante qui aime déconner tout comme moi. On rigolait beaucoup ensemble et on se confiait pas mal de chose. J'appris rapidement qu'elle était en couple avec Hervé, un homme qui avait 10 ans de plus qu'elle. Néanmoins un sujet qu'il m'était difficile à aborder était le sexe. Moi qui ai pour habitude d'en parler facilement, elle c'était tout le contraire, limite ça la gênait d'en parler et bien qu'elle soit cool, elle était tout de même un peu coincée. Vous auriez vu sa tête, le jour où je lui ai avoué que j'étais libertine, bi et qu'elle me plaisait beaucoup, elle ne savait plus quoi dire, ni où se mettre. Cela m'amusait de la taquiner avec ça de temps en temps, j'ai même essayé de la séduire à plusieurs reprises, mais elle refusait toujours mes avances poliment.

Quelques temps après la naissance de sa première fille, son comportement évolua. Elle ne s'exprimait toujours pas sur sa vie intime, mais elle devenait curieuse de la mienne, elle n'était pas choquée, mais plutôt étonnée de découvrir que Chris et moi, on s'éclatait toujours au lit malgré les années.


Une matin où nous venions de finir notre garde de nuit, elle me demanda dans les vestiaires :
- Ca te dit qu'on aille faire un truc après, je n'ai pas envie de rentrer tout de suite.
- C'est gentil, mais là je suis claquée, j'ai qu'une envie, c'est d'aller dormir.
Elle s'est mise à sangloter.
- Qu'est ce qui t'arrive ma belle ?
- Je n'en peux plus, ça ne va plus du tout avec Hervé.
- Tu veux en parler ?
- Non, je ne veux pas t'embêter avec mes problèmes.
- Mais ça ne m'embête pas, allez dis-moi tout, ça te fera du bien.
- Depuis quelques temps, on n'arrête pas de se disputer pour tout et rien, il n'est jamais content de ce que je fais, c'est reproche sur reproche et moi avec le stress et la fatigue, bah je suis à fleur de peau donc ça part en vrille.
- Et ça fait longtemps que ça dure ?
- Ca commence à faire un petit moment ouais, je commence à en avoir vraiment marre.
- Tous les couples ont des mauvaises passes, ça arrive, il faut en parler entre vous et ça va finir par s'arranger.
- Je ne sais pas, je ne sais plus, je suis perdue, on est tombé dans la routine, on ne fait plus grand chose ensemble, bref je m'ennuie de plus en plus.
- Je vois, désolé si je suis indiscrète, mais côté sexe c'est pareil ?
- Malheureusement oui, déjà qu'avant c'était de moins en moins fréquent, mais là...
Elle s'est éffondrée en pleurs, j'ai ressenti sa détresse, alors je l'ai prise dans mes bras.
- Je me sens tellement seule Virginie, je vais finir par craquer si ça continue.
- Mais non, il faut que tu sois forte et puis tu n'es pas toute seule, je suis là moi.
- C'est vrai, heureusement que tu es là, dit-elle en me regardant dans les yeux.
Elle était vulnérable, belle, fragile, je n'ai pas pu résister, je l'ai embrassée. Elle ne m'a pas repoussée, au contraire, elle m'a rendue mon baiser en me serrant fort contre elle, ses gros seins plaqués contre les miens réveillaient mon désir, j'avais imaginé cet instant depuis le jour où je l'ai rencontrée.

On s'est embrassée longuement en se câlinant, j'étais de plus en plus chaude. J'ai voulu glisser ma main dans son pantalon, mais elle m'a stoppée en me disant:
- Doucement, je ne suis pas sûre que...
Mais j'ai insisté, j'avais trop envie d'elle maintenant.
- Fais-moi confiance ma chérie, ce sera très agréable tu verras.
Sandra n'osa pas me dire non, elle s'est laissée faire sans rien dire. Je savais que nous serions seules pendant un moment dans le vestiaire, alors j'ai déboutonné sa blouse avant de l'enlever. J'étais sidérée en voyant que ses seins étaient encore plus gros que ce que je pensais. J'ai immédiatement retiré son soutif pour les admirer.
- Putain ma chérie, ils sont énormes, j'adore, tu fais du combien ?
- 105D, répondit-elle timidement.
Je les ai pris en main et j'ai caressé ses gros seins lourds et laiteux qui tombent légèrement. J'ai posé ma bouche sur son mamelon bien rose et j'ai sucé son gros téton tout dur. Sandra poussa quelques soupirs puis je me suis activée sur l'autre. Sandra frissonnait de plus en plus, appréciant visiblement mes caresses buccales, mais je ne comptais pas en rester là, je voulais lui faire découvrir un tout autre plaisir.
Lentement, j'ai défait le nœud de son pantalon avant de le faire glisser à ses pieds, puis j'ai retiré son shorty blanc sous lequel j'ai découvert son petit buisson roux. Sandra était entièrement nue devant moi, immobile, elle tremblotait, un peu anxieuse de ce qui allait se produire.
- Ne t'en fais pas, tout ira bien, dis-je pour la rassurer et la mettre en confiance.
- Je sais, mais je n'ai jamais fait ça.
- Tu vas adorer, j'en suis sûre. Qu'est ce que tu es belle ma chérie.
Je l'ai enlacée à nouveau pour lui donner un baiser. Ses lèvres pulpeuses étaient douces et sucrées, et sa façon d'embrasser était exquise. Je l'ai dirigée vers le banc et je lui ai dit de s'y mettre à quatre pattes. Docile, elle s'exécuta sans sourciller. Placée derrière elle, j'ai commencé à caresser ses fesses bien charnues tendues vers moi, je les palpais généreusement, je les bisoutais délicatement en admirant sa minette qui s'humidifiait.
La mienne aussi d'ailleurs, mais mon tour attendra.
J'ai craché sur mes doigts et j'ai cajolé sa fente en faisant des petits mouvements circulaires. Les premières notes sont aussitôt sorties de sa bouche.
- Mmmmmhhhhh.
Comprenant qu'elle aimait ça, j'ai continué de la stimuler plus activement, puis je me suis penchée pour la goûter. Les mains posées sur ses fesses, j'ai léchée sa minette de plus en plus gluante avec tendresse, savourant son divin nectar.
- Alors c'est bon ?
-  Oh oui, j'avais oublié quel effet ça faisait.
- Pourquoi ? Il ne te fait jamais ça ?
- Non, il n'aime pas ça.
- Quel idiot. Tu as de la chance, moi j'adore ça et je vais te montrer ce que tu as raté toutes ces années.
J'ai passé la vitesse supérieure, j'ai fourrée ma langue dans sa grotte d'amour, excitant son clitoris avec mon pouce, j'ai sucé ses lèvres, mis des petits claques sur ses fesses avant de mettre quelques coups de langue sur sa rosette.
Sandra gémissait de plus en plus.
- Hummmm, oh oui, c'est bon.
- C'est bien ma belle, vas-y laisse-toi aller, lâche-toi.
Je l'ai léchée encore et encore, puis je lui ai mis un doigt, puis un deuxième pour la masturber rapidement. Les ''Oh oui'' de ma collègue se succédaient et cela m'excitait, je léchais mes doigts pour récolter son jus, puis je les remettais dans son intimité pour la faire perdre pied.

- Assieds-toi normalement et écartes les cuisses.
Sandra changea de position et je me suis mise à genoux devant elle. J'ai remis mes deux doigts dans sa petite chatte et je l'ai masturbée à nouveau en dégustant son bonbon d'amour.
- Oh oui, c'est trop bon, continue, je vais jouir.
Je la rendais folle, le nez collé dans sa touffe de poil, j'ai mordillé son abricot en poursuivant mes pénétrations digitales pendant qu'elle malaxait ses gros seins à pleines mains et d'un coup, elle est partie dans un orgasme libérateur.
Sandra n'en revenait pas, elle n'imaginait pas que cela puisse être aussi jouissif, elle était tout excitée et pas encore rassasiée.

- Hum merci Virginie, j'ai adoré, mais j'en veux encore, j'ai envie de toi, je veux qu'on se fasse du bien ensemble.
Comment lui dire non, j'en avais très envie aussi. J'ai glissé mes doigts dans sa bouche pour qu'elle lèche ses sécrétions, puis nous nous sommes roulées des grosses pelles et pendant que nos langues bataillaient, ma nouvelle partenaire devenait entreprenante. Ses mains caressaient mes épaules, mes seins, mon dos, mes fesses, j'avais de plus en plus chaud. Je me suis mise toute nue également, Sandra me dévorait du regard.
- Putain, tu as un corps de malade Virginie, t'es trop bien faite.
- Merci, j'en prends soin.
- Ca se voit, dit-elle en caressant mes seins.

Après ces compliments sympathiques, Sandra s'est penchée et elle a commencé à me lécher les seins. Toutes les deux assises sur le banc, je savourais ce moment, écartant mes jambes pour laisser ma main vagabonder sur mon sexe trempé d'excitation. Sa main a rejoint la mienne rapidement.
- Laisse-moi faire me dit-elle avec assurance.
Elle a caressé mon clito, un peu maladroitement au départ, puis de mieux en mieux, je sentais le plaisir m'envahir. Ses doigts inexpérimentés à ce genre de choses ont trouvé rapidement l'entrée de mon fourreau pour s'y introduire profondément, provoquant chez moi mes premiers gémissements. Avec ses 2 doigts, elle m'a branlée pendant plusieurs minutes en suçant mes tétines fièrement dressées. Je bouillais telle une cocotte minute au rythme de ses va-et-vient, j'étais tellement excitée que j'ai atteint l'orgasme avec étonnement. Nous nous sommes embrassées encore de longues minutes en nous caressant, puis nous nous sommes rhabillées avant que quelqu'un nous surprenne. Puis nous avons quitté l'hôpital et nous sommes allées chez moi prendre un café et je lui ai fait découvrir de nouveaux plaisirs charnels.

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