Marie Trompe Son Mari

Je m’appelle Alain, j’ai 53 ans, je suis marié, et je vais sur les forums et autres sites de libertinage, à la recherche d’aventures et de discussions coquines.
Fin 2012, lors d’une discussion, je sympathise avec Pierre. Nous parlons un moment de tout et de rien, puis doucement nous bifurquons dans un dialogue plus privé sur le sexe. Nos activités sexuelles avec nos femmes, ce que nous avons déjà fait, lieux insolites, pluralité, bi sexualité, fantasme réalisés ou à réaliser. C’est à ce moment là qu’il me dit qu’il a un fantasme, mais qu’il ne le réalisera jamais, car sa femme ne voudra jamais. Qu’il n’aurait même pas dû commencer à m’en parler.
MOI : Pierre tu en as trop dit.
PIERRE : OK je voudrais que ma femme Marie fasse l’amour avec un autre homme. Je lui en ai déjà parlé, mais elle a refusé catégoriquement, s’est même mise en colère, en disant que je lui suffisais, que le sexe pour elle n’était pas très important, que si je pensais à des choses comme celle là, je n’allais pas bien et que je devais consulter un médecin.
MOI : tu as raison tu n’es pas prêt de réaliser ton fantasme. Mais si tu le veux bien on en reparle demain, je vais réfléchir à la question.

Et nous prenons RDV pour le lendemain même heure sur le même site de dialogue.

Le lendemain je lui fais la proposition suivante.
MOI : Pierre comme nous habitons dans la même ville, je te propose de draguer ta femme, de l’amener dans mon lit, et de filmer tout ça pour que tu puisses te rincer l’œil. Et pourquoi pas le regarder avec elle. Qu’en penses-tu ?
PIERRE : excellente idée, mais tu n’y arriveras jamais
MOI : ok, nous sommes en décembre 2012, tu me donnes jusqu’en juillet 2013. Si je n’ai pas réussi je te paie le meilleur resto de la ville. Si j’ai réussi c’est toi qui paie.
PIERRE : on en reparle demain

Le lendemain.
PIERRE : ok pour le deal, mais je te souhaite bonne chance.
MOI : il faut que l’on se voit car j’ai besoin de quelques informations tout de même.



RDV est pris dans une brasserie de la ville,
Pierre mesure 180cm pour 90kg, il est brun avec les yeux verts. Il est sympathique et avenant.
Je lui demande quelques informations sur Marie.
PIERRE : elle a 35 ans, elle est brune cheveux courts, elle a les yeux verts, elle mesure 160cm pour 50kg. Elle a de bonnes hanches et de petits seins (85B). Elle travaille dans une société de design, rue du Général de GAULLE, elle à 2h pour déjeuner, soit elle va à la gym, soit elle mange avec ses 2 copines à la cafétéria juste à côté de son boulot.
Nous échangeons nos emails et nos numéros de tél, en nous séparant je lui promets de le tenir informé de l’évolution de la situation.

Je partis en chasse, au bout du 3eme jour je repérais ma proie, elle était avec ses copines.
Comment l’aborder ? Je pris la décision la plus radicale, et pour moi la plus facile. J’allais à la cafétéria avec un collègue, je ciblais mon objectif qui cherchait une table le plateau à la main, et tout en discutant avec mon collègue, je la bousculais négligemment. Le plateau se renversa, je m’excusais platement, j’aidais à ramasser, je proposais de repayer un repas, prendre en charge les frais de pressing si il y en avait, j’étais très confus.
Elle me fusilla du regard, les employés de la cafétéria, s’activèrent pour nettoyer, et remplacer le plateau.
Elle était en colère, me prenait pour un gros bœuf, mais le contact était pris. Nous étions le 15 janvier 2013.
Ensuite j’ai ramé 4 mois pour pouvoir lui offrir un café, et faire un peu plus connaissance. Puis 1 nouveau mois pour pouvoir manger avec elle et ses copines.
Mi mai, lors d’un we prolongé, j’ai enfin pu manger une première foi en tête à tête, seul avec elle, ses copines et mon collègue faisant le pont. Ce fut un repas agréable et décontracté, ou je m’excusais encore une fois pour le plateau, et où nous pûmes échanger sur nos vies respectives. J’en profitais pour lui glisser 2 ou 3 fois qu’elle était ravissante.
Elle rougit à chaque fois me disant que je n’étais qu’un flatteur, qu’elle n’était pas extraordinaire. Qu’elle était grosse et avait des petits seins. Je ne relevais pas.
A partir de mi-juin nous déjeunons seules tous les 2 tous les jours. Progressivement nous parlons de plus en plus de notre intimité. Je commence à lui envoyer des sms, ou je lui dis qu’il me hâte d’être à midi, ou je lui demande comment elle est habillée. Je me permets des commentaires un peu osés.
Et après midi début juillet, je lui fais un SMS, ne lui proposant de la voir le soir après le travail, devant l’église Ste CATHERINE. Elle me demande pourquoi, qu’elle ne veut pas se mettre en retard à cause de son mari.
Je lui dis que ça ne durera pas longtemps que je dois lui parler. Elle accepte.
Quand elle arrive, je la prends par la main, et l’entraine dans un coin reculé et sombre de l’église.
Elle est surprise me regarde sans rien dire. Alors délicatement je lui fais un bisou sur la joue et je lui dis :
J’ai envie de toi, de ton corps, de te caresser, te sentir vibrer.
Elle ne bouge pas me regarde comme pétrifiée. Je me lance et l’embrasse doucement, nos lèvres se touchent, elle ferme les yeux, ma langue force délicatement ses lèvres. Elle se ressaisit, me repousse en disant :
Il ne faut pas nous sommes mariés, nous n’avons pas le droit.
Moi : la vie est trop courte, pour ne pas réaliser nos envies, j’ai envie de toi, et je pense que toi aussi tu as envie de moi. Demain, de 12 h à 14h je serais à l’hôtel de Bretagne, je t’enverrai par sms le numéro de la chambre. J’aimerai que tu viennes habillée de ta robe noire courte, sans manche, avec un décolleté qui découvre ton cou et tes épaules, qui se boutonne par devant.
J’espère que tu viendras, ne tourne pas le dos à tes envies. Sur ces derniers mots, je l’embrasse et je sors, la laissant là avec ses pensées.
Je vais retrouver Pierre que j’ai tenu informé régulièrement de l’évolution de notre relation.
Je lui dis que je lui ai donné RDV dans un hôtel, que je vais tout filmer grâce à une mini caméra cachée, dans la chambre. Je lui demande ce qu’elle aime au niveau sexe.
PIERRE : Elle est très classique côté sexe, en fait c'est toujours moi qui dois lui proposer de nouvelles choses, mais elle n'accepte pas tout (se serais trop facile).
D'un point de vue sexe elle ne s'épile pas (elle trouve qu'elle fait "gamine" épilé) mais elle entretient bien son petit jardin. Ses seins lui donnent énormément de plaisir : soit en les suçant soi en lui les tordants doucement. Son vagin est assez étroit et elle mouille beaucoup, mais elle ne jouit vraiment qu'avec son clitoris qui est très sensible (elle ne peut pas le caresser si elle le décalotte). Enfin elle adore les plaisirs anales, du léchage à la pénétration.

Le lendemain 11h45 je suis à l’hôtel, j’ai la chambre 25, je lui fais un message très bref :
Chambre 25, porte non fermée à clé, bisous.
J’installe la mini caméra, et l’attente commence.
12h05 la porte s’ouvre doucement, et je la vois se glisser rapidement à l’intérieur de la pièce, que j’ai mis dans une légère pénombre en tirant les rideaux.

Je vais à sa rencontre, (elle a mis la robe noire) lui prends les mains et vais pour l’embrasser, mais elle se retourne et se dirige vers la porte en me disant :
MARIE : je ne suis pas venue, pour faire un câlin, je suis venue pour discuter et essayer de t’expliquer ce que je ressens.
En la prenant dans mes bras et en me serrant contre elle
MOI : je sais ce que tu ressens
Ma bouche frôle son oreille je la sens frémir
MARIE : (en essayant de sortir de mon étreinte) non tu ne sais pas, s’il te plait laisse moi
Mes lèvres explorent son cou et ses épaules
MARIE : (en penchant la tête sur le côté) OH ! mon dieu je ne dois pas faire ça.
Mes lèvres remontent le long du cou jusqu’à son oreille, elle gémit je la sens défaillir.
Mes mains défont lentement les boutons de la robe, et passent sous le tissu, pour venir caresser la peau douce et chaude de son ventre.
Je sens son corps se détendre et s’appuyer contre moi. Mon sexe tendu est collé à ses reins.
Marie : (en soupirant de plus en plus faiblement) non arrête ooooooooooooooohhhhhhhhhhh
Je fais glisser les bretelles de la robe le long des bras, que je caresse. Je m’écarte légèrement pour laisser tomber le vêtement.
Je découvre un soutien-gorge bustier de dentelle noire, que je dégrafe pour qu’il tombe à son tour.
Mes doigts effleurent la peu veloutée de ses seins, et titilles ses boutons durcis. Sa tête se tourne vers moi, elle cherche ma bouche. Nos lèvres se collent, nos langues se cherchent, nos salives se mélangent dans un baiser brûlant.
Ses mains déboutonnent ma chemise et l’enlève, courent sur ma ceinture, elle descend le long de mon torse en le couvrant de bisous, tout en faisant glisser mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe apparait tendu et dure. Elle me pousse jusqu’au lit, me fait assoir sur le bord, et à genoux devant moi me gobe. Je sens sa langue courir sur mon gland, ses lèvres chaudes enserrer ma tige, sa langue monte et descend jusqu’à mon anus, qu’elle essaye de pénétrer. Remonte et me gobe de nouveau, en gorge profonde.sa langue appuie sur mon gland, je vais devenir fou.
Je lui demande d’arrêter, que je vais jouir.
MARIE : (relevant la tête un instant) je veux que tu jouisses dans ma bouche je veux te boire
Et elle reprend ses va et vient se servant de sa bouche comme d’un sexe.
Dans le même temps une de ses mains et descendu sur son sexe et tout en me suçant elle se masturbe
C’est diabolique, après quelques instants, ne tenant plus
MOI : je vais jouir, tu es bonne, je jouiiiiiiiiiiiiiiis oui vas y avale tout
Et j’éjacule en grand jets au fond de sa gorge. Elle avale tout, et nettoye tout.
Aux derniers coups de langue elle gémit plus fort et jouit à son tour sous ses doigts.

Je suis sur le lit, elle vient s’allonger sur moi, je sens ses seins contre ma poitrine. Elle m’embrasse délicatement la lèvre inférieure, puis la lèche, entre sa langue dans ma bouche, lèche l’intérieur de mes lèvres, cherche ma langue qui vient à sa rencontre. Nous restons ainsi quelques minutes, sans rien dire à reprendre nos esprits.
Je la retourne, contemple son corps, je lui embrasse le ventre, passe mes mains sous ses fesses, qu’elle soulève légèrement pour laisser passer la dentelle noire. Je découvre sa toison bien entretenue, je pose mes lèvres sur le pubis, elle gémit. Je glisse au sol, pour avoir la tête au niveau de son sexe. Elle écarte instinctivement les cuisses. Je pose ma bouche sur le sexe trempé, ma langue commence son exploration, elle monte jusqu’au clitoris, le cherche sous son petit capuchon le lèche à peine, que Marie crie déjà de plaisir. Je mets deux doigt dans la chatte brulante et humide, je la lime avec mes doigts pendant que ma langue la lèche, la broute. Elle se tort dans tous les sens, gémit, crie. Elle écarte les cuisses au maximum, me tient la tête sur son sexe avec ses mains.
Puis tout à coup, MARIE : oh ouiiiiiiiii je jouis je jouis je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiss, sa tête se relève et dans un dernier sursaut sa tête repart en arrière, elle a un orgasme formidable, elle s’effondre sur le lit dans un dernier râle. Jje prends son plaisir en plein visage.
Je me relève, m’allonge à côté d’elle, je la laisse reprendre ses esprits et son souffle en lui caressant doucement le visage.
Après plusieurs minutes, elle ouvre les yeux me remercie, regarde l’heure, dit qu’il est temps qu’elle aille prendre sa douche. Je la regarde récupérer ses habits, les poser sur le fauteuil et s’engouffrer dans la salle de bain.
Quelques instants après, elle sort, enroulée dans une serviette qui la couvre du buste, au- dessus des cuisses. Elle est très excitante, instantanément j’ai une érection. Je lui demande de venir vers moi, elle refuse, se dirige vers ses affaires, se penche pour enfiler sa culotte. Je suis juste derrière elle, je la prends par les hanches,
MARIE : (en se débattant mollement) non laisses moi je dois partir
MOI : j’ai encore envie de jouir dans ton corps

Et sans réfléchir, je glisse mon sexe dans son sexe encore tout humide

MARIE : (avec un soupir résigné) bon alors fais vite

La tenant toujours à la taille, je lui demande de s’appuyer sur le fauteuil je commence à lui faire l’amour. Mon regard se pose sur son petit trou, et je me souviens que Pierre m’a dit qu’elle aimait ça.

Je me retire de son sexe brusquement
MARIE : que fais-tu ?

Je me penche, lui lèche l’anus, mouille avec ma salive
MARIE : non pas ça dit elle d’un air suppliant.
Mais elle ne change pas de position, j’ai même l’impression qu’elle se cambre plus pour que je puisse la pénétrer encore plus profond.
Je présente mon gland qui rentre, sans résistance, elle gémit, je commence doucement à la baiser, je rentre et je sors de plus en plus vite. Elle respire de plus en plus fort et pousse des petits cris à chaque fois que mes couilles claquent ses fesses.
Je vais de plus en plus vite et de plus ne plus fort.
MARIE : ouiiiiiiiiiiiiiii, je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiir, j’adore me faire défoncer le cul, vas y limes moi fort fort fort ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
MOI : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouis dans ton trou, tu es boooooooooonnnnnnnne, tu es chaude, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, t’es une bonne chaudasse qui aime se faire défoncer le cul ouiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
MARIE : (jouissant en sentant mon sperme se répandre dans son intestin) ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je jouiiiiiiiiiiiiiiiii, je suis une chienne une salope qui aime le cul.

Nous ne bougeons plus nous reprenons notre souffle, nous sommes en sueur. Marie se dégage doucement, ramasse la serviette, s’essuie, s’habille. Viens vers moi, qui me suis assis sur le lit, m’embrasse tendrement
MARIE : on se voit en septembre passe de bonnes vacances et Merci pour ce déjeuner. Tu vas me couler le long des cuisses tout l’après midi. Puis elle s’en va

Je vais prendre une douche, je m’habille, récupère la mini caméra.
Je retrouve PIERRE à la sortie de l’hôtel lui donne le film en lui disant qu’il n’a pas fini de bander

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