Les 12 Servitudes D'Hélène (Épisode 47)

Les 12 servitudes de la Belle Hélène : Dans les geôles de Sparte -

Les heures étaient passées, sombres et silencieuses, dans la cage où était désormais confinée Hélène, enchaînée par la cheville aux barreaux de sa minuscule geôle. La belle blonde tentait de trouver un peu de repos sur la couche crasseuse qui constituait l'unique meuble du lieu. La captive s'était attendue à une telle situation. Lorsqu'elle avait été menée prisonnière jusqu'à la puissante Cité, elle avait imaginé la façon dont son époux bafoué tirerait vengeance d'elle… Elle le savait vindicatif et rancunier, cruel et vicieux. Mais quoi qu'elle dut endurer, elle avait la ferme intention de tout supporter, docile et patiente, dans l'attente du moment où elle pourrait profiter de la moindre faiblesse afin de retourner la situation en sa faveur, pour redevenir avec le teps qu’il faudra et au prix de mille sacrifices, ce qu’elle a été en ces lieux, c’est-à-dire une reine … mais pas n’importe quelles des reines … La Reine de Sparte ! Mais avant d'en arriver là et du long chemin à parcourir pour que son dessein arrive à ses fins, projet lequel elle pouvait douter de sa réalisation au vue de sa situation, elle se préparait à subir et à souffrir toutes les avanies que son époux ne manquerait pas de lui imposer pour le plaisir pervers de l'humilier, l'avilir, lui rappeler la façon dont elle l'avait trompé et même ridiculisé face à tous les souverains de Grèce.

Confinée dans les plus profondes entrailles du palais royal de Sparte, Hélène s'était presque assoupie sur la couche puante que constituait la seule fantaisie de l'espace réduit où elle était détenue. Dans l'obscurité quasi totale et le plus profond silence, le moindre mouvement devenait plus facile à percevoir. Aussi, Hélène sut que l'on approchait. Sensation confirmée par l'éclairage soudain des torches qui éclairait la vaste salle souterraine à la voûte et aux murs empierrés et épais, pièce au centre de laquelle avait été installée la cage qui lui servait de cellule.

Elle reconnut immédiatement le pas lourd mais nerveux de Ménélas, son Roi et Epoux... Mais perçut aussi aux côtés de celui-ci une autre présence, plus légère, plus effacée... Enfin, Ménélas parvint à la cage qui demeurait dans une demi-pénombre. Il brandissait une clé, dont il se servir pour déverrouiller le lourd cadenas fermant la porte de la cage dans laquelle il pénétra en compagnie d'une jeune femme blonde, plutôt charmante et bien faite, jolie même mais quelque peu fade jugea Hélène qui fut amusée de constater qu'il y avait entre elle et la compagne du Roi une réelle ressemblance, même si la "nouvelle" n'était qu'une pâle copie de la désormais légendaire Belle Hélène... Avant qu'elle ait pu esquisser un geste, Ménélas la frappa sur la croupe d'un fin roseau qu'il maniait avec vivacité et force

- Debout ! On ne demeure pas allongée en présence de son Seigneur et Maître ! dit-il d'une voix aux accents moqueurs.

Hélène se leva et reçut immédiatement un nouveau coup sur la cuisse cette fois

- A genoux ! ordonna-t-il, voyant avec satisfaction non dissimulée son encore épouse poser ses genoux sur le sol de terre... - Vois ! dit Ménélas en s'adressant à la jeune femme qui se tenait à son côté, vois le destin de celle qui a cru pouvoir bafouer l'honneur de Sparte et de son Roi ! Vois l'humiliation de cette chienne qui s'est comportée comme la plus stupide des catins ! Nulle ne peut échapper au puissant Ménélas ! lança le roi tout en saisissant sa compagne par les hanches pour l'attirer contre lui.

Sans un regard pour Hélène agenouillée sur le sol, il pressait le corps souple et docile contre sa lourde bedaine, caressant le fin visage de celle qui occupait désormais la place de favorite. Il lui lécha sans délicatesse le visage vicieusement d’une large langue avide et perverse, puis le cou, la nuque pour revenir sur les lèvres, avant de l'embrasser goulûment tout en lui pétrissant les seins sans douceur, sauvagement. On aurait cru voir un animal aux instincts primaires.
La blonde compagne du souverain ne bougeait pas, la tête penchée sur le côté, docile et soumise à l’évidence à son Roi. Elle laissait simplement apparaître quelques gémissements de plaisirs.

- MMMhhh, que tes lèvres sont fraîches !

Puis posant enfin, son regard sur celle qui demeurait officiellement son épouse, il avança son pied

- Lèche chienne ! ordonna-t-il et Hélène docilement baissa la tête afin de poser humblement ses lèvres sur le pied épais de son mari. - J'ai dit lèche ! répéta-t-il d'un ton irrité, ponctuant sa phrase d'un coup de badine sur les fesses.

Hélène se mit donc à lécher les pieds souillés de terre battue... durant de longues minutes, attendant que Ménélas décide de changer sa façon de l'humilier sous les yeux de la jeune femme...

- Suffit ! dit-il enfin, Redresse-toi !

Hélène se mit donc debout, les yeux baissés, laissant ses bras le long du corps... Malgré les coups et les privations, le corps de celle qui avait été êta l'esclave amnésique demeurait d'une pure beauté. Même les zébrures toute fraîches dues aux coups de badine ne faisaient que souligner la perfection de ses courbes, l'élégante pâleur diaphane de la peau, la blondeur dorée des cheveux qui éclipsaient la chevelure portant fort bien entretenue de celle qui se tenait timidement tout contre Ménélas... Ce dernier avança la main et se saisit entre deux doigts d'un sombre téton d'Hélène, le pinçant d'abord sans excès, avant de presser de toutes ses forces, jusqu'à saisir sur le visage grimaçant de son épouse la marque d'une profonde souffrance. Il ne relâcha cependant pas la pression, se saisissant au contraire de l'autre téton, afin de s'amuser sadiquement à tordre et étirer les deux si sensibles mamelons qui durcissaient sous l'effet de la pression et de la douleur. Hélène perçut un frémissement chez la jeune femme en face d'elle, se doutant que de tels attouchements étaient devenus une habitude chez Ménélas qui ne s'était jamais montré un amant très imaginatif, mais avait toujours marqué une attirance pour les douleurs imposées à ses partenaires, ce qui avait d'ailleurs constitué l'une des si nombreuses raisons pour lesquelles Hélène avait succombé aux charmes innocents du prince troyen Pâris.
..

Ménélas relâcha enfin la pression sur les tétons, pour asséner une gifle subite, rapide et brutale à sa femme infidèle... Puis, la repoussant contre les barreaux de sa cage à l'espace fort restreint, il commença à la flageller de sa badine fine et souple. Le corps d'Hélène se pliait, se tordait sous les coups qui laissaient de longues et fines traces rougissantes partout sur le corps. Au son strident de l'instrument fendant l'air, succédait avec une rude et cruelle régularité, le son du coup frappant la chair fragile si vicieusement martyrisée. Hélène se courbait sous les coups, gémissant autant de douleurs que de plaisirs. Plaisirs qui paradoxalement, elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver, et elle se surprit elle-même de sentir son excitation monter en son bas-ventre. Et cette danse perverse qui lui était imposée devenait cependant lascive et tellement impudique ! Car même sous les coups, même rabaissée sans pitié, Hélène demeurait la plus experte des catins, n'ignorant rien de la façon dont elle pouvait en toutes circonstances provoquer l'excitation incontrôlable de n'importe quel mâle. Les leçons apprises par l'esclave êta n'avaient pas été perdues, bien au contraire ! Ainsi, se tordant sous les coups, Hélène s'agrippait aux barreaux, se cambrait, ouvrait largement ses cuisses, quitte à recevoir les coups les plus vicieux sur les parties les plus sensibles de son corps. L’excitation qui continuait à largement lubrifier son entre cuisses, elle commença à bouger son bassin, telle une femelle en chaleur réclamant l’accouplement, telle une liane, Hélène jouait de son corps, surmontant la douleur du supplice pour offrir les attitudes et les positions les plus suggestives au regard enflammé de celui qui était encore son mari. Malgré sa force, Ménélas n'était pas de taille à résister à de si impudiques expositions. Sans cesser de frapper, il sentait son sexe durcir et se tendre à la vue du spectacle lequel il en était également l’acteur Dominateur...

Il transpirait et empuantissait l'espace de l'odeur de sa sueur et de son excitation, sous les yeux effrayés de la jeune femme de noble ascendance spartiate dont il avait fait sa concubine en menaçant de faire subir à sa famille les pires châtiments si elle ne cédait pas en se disant honorée devant tous.
La jeune femme avait reculé d'un pas, apeurée par la frénésie qui avait gagné le couple royal, Ménélas semblant plus gonflé encore qu'à l'accoutumée et Hélène subissant les sévices de son mari avec la plus totale indécence affichée. Finalement, laissant tomber sa badine, Ménélas se saisit d'Hélène et la jeta sur la couche, se laissant tomber sur elle de tout son poids, écartant les cuisses de la reine infidèle et la pénétrant d'un rapide et puissant coup de reins violent et sans autre préambule. Après s'être enfoncé en elle sans ménagement, bestialement, il ne fallut pas longtemps à Ménélas pour laisser son plaisir jaillir en elle... En rut et sous les coups de bite qui allaient et venaient dans une infernale cadence sous des hennissements bestiaux, Méléna ne se retenait pas, il besognait la belle femelle profondément telle une virile saillie digne de ce nom. Il se répandait ainsi dans le ventre de celle qui lui appartenait, en de longs et interminables râles de mâle jouissant …

Une fois qu’il se fut déchainé ainsi à s’en vider les couilles dans le sexe béant de la belle, sexe trempé et désormais empli de sperme, il reprit son souffle mais au final c’est avec un sentiment profond de frustration qu’il l’a fixa de son regard dur et dominant. Il avait eu envie de jeter toute sa haine vengeresse en souillant Hélène, en lui imposant la plus avilissante des étreintes, après l'avoir fouettée et humiliée sous les yeux apeurés de sa jeune conquête. Mais il n'avait pas le sentiment d'y être vraiment parvenu. Un goût d'inachevé emplissait sa bouche. Alors, il se retira d'un coup sec et tirant Hélène par les cheveux, la força à s'agenouiller pour le sucer et nettoyer son sexe souillé, ce qu'elle fit docilement, ses lèvres encore fraîches provoquant assez rapidement une nouvelle érection du roi. Mais cette fois, il recula et fit signe à la jeune concubine de s'allonger sur le lit et d'écarter les cuisses.

- Lèche-la ! Mets-y toute ton ardeur ! ordonna-t-il à Hélène sur un ton sec et directif

Cette dernière se fit un devoir d'obéir, enfouissant son beau visage entre les cuisses fermes et lisses de la jeune femme. Elle se mit à la lécher, lentement, si habilement qu'elle sentit le clitoris qui s'érigeait brusquement, le mordillant, le suçotant... obtenant sans difficulté des soubresauts incontrôlables de la jeune femme qui s'abandonnait aux lèvres et à la langue experte de celle qui l'avait devancée dans la couche du Roi de Sparte. Devant le spectacle de ces deux femmes qui se livraient si totalement à de si indécents ébats, Ménélas s'était appuyé contre les grilles et se branlait frénétiquement. En faisant dresser sa verge entre ses doigts, en la sentant durcir et prête à éclater, Ménélas avait la sensation qu'il vivait là les prémices de plaisirs insoupçonnés. Entre sa jeune et docile favorite et sa sublime épouse légitime captive et livrée à tous ses caprices, il allait pouvoir jouir et jouir encore de mille façons, satisfaisant enfin et sans aucune entrave de toutes les façons qu'il avait jusqu'ici imaginées sans oser les mettre en pratique... Alors il s’approcha des deux femelles pour leur ordonner de se mettre en position du 69 pour un torride coït buccal saphique. Les femelles se léchèrent ainsi mutuellement les sexes trempés et elles étaient tellement excitées qu’il n’y avait aucune retenu dans leurs chauds ébats. Ainsi le Roi dans sa frénétique masturbation, et au bout d’un long moment bandant, il répandait sa semence sur les deux corps féminins allongés et gémissants de plaisir.

Ménélas ne se doutait pas que les deux femmes qui lui offraient un si réjouissant et excitant spectacle nouaient en fait une sorte de pacte qui finirait par entraîner, à terme, sa perte... Tandis qu'il tentait de retrouver son souffle, les deux femmes poussèrent un cri presque animal, à l'unisson, dans une sorte d'harmonie sexuelle pleine de promesses et de perspectives !

(A suivre…)

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