Aurélie Au Club Échangiste.

Aurélie au club échangiste.
Je m’appelle Éric, j’ai 40 ans, de taille moyenne, un physique quelconque, mais bien bâtit, une panthère tatouée sur mon avant-bras, mais que je cache au boulot pour ne pas faire mauvais genre. Je travaille comme commercial. Le lundi je suis au bureau. Le matin pour assister au briefing avec mes collègues et l’après-midi pour mes prises de rendez-vous. Sinon le reste de la semaine je suis sur le terrain, je parcours toute la France.
Pour me détendre le weekend, il m’arrive de fréquenter un club libertin qui se situe près de mon domicile. Mais ce samedi, J’ai justement décidé de tester un nouveau club qui se situe à 100 kilomètres de chez moi.
Ce soir, c’est une soirée à thème, cuir et chaines, vous voyez ce que je veux dire. J’ai mis une cagoule en cuir noir sur ma tête (on ne voit que mes yeux et ma bouche), et un gillet sans manche, lui aussi en cuir noir avec des chaines dessus.
Je me promène dans le club depuis déjà quelques minutes, à la recherche d’une soumise. Les hommes et les femmes ont des tenues plus excentriques les unes que les autres, quand je remarque un escalier qui descend vers une cave. Je décide d’aller voir ce qu’il s’y passe.
Arrivé en bas, je distingue une table, avec une femme nue, pieds et poings enchainés. Autour d’elle, 5 hommes la caresse et lui lèchent les organes génitaux.
Je m’approche un peu plus près, et là, surprise, je remarque que cette femme n’est autre qu’Aurélie. Une collègue commerciale un peu pin bêche. Une rouquine de 45 ans, cheveux mi- longs bouclés. La collègue que je croise tous les lundi matin lors de notre briefing hebdomadaire. Celle qui m’exaspère depuis des années à toujours vouloir en remontrer aux autres parce que ça fait 20 ans qu’elle est dans la boite.
Moi ce soir, elle est là, attachée sur cette table, les cuisses écartées, sa chatte de rouquine offerte à qui veut. Un des hommes me fait signe d’approcher, je m’exécute, je suis maintenant positionné entre ses cuisses, je la regarde, elle frémit sous les caresses de tous ces hommes.

Elle me regarde, elle fixe le tatouage sur mon bras. Je pose mes mains sur ses cuisses, je remonte doucement vers son orifice, je positionne mes deux pousses contre la fente de celui-ci et je commence à le malaxer. Aurélie commence à gémir, mon sexe, quant à lui commence à s’ériger telle le mat d’un bateau.
Je saisi un préservatif, j’ouvre le sachet, j’habille mon appendice gonflé de désir. Ça tourne dans ma tête, je repense à tous les petits pics, les petites humiliations que m’avaient fait subir Aurélie pendant nos réunions matinales du lundi. Il est temps, aujourd’hui, ou plutôt ce soir de prendre ma revanche. Mais je ne suis pas pressé, je profite de l’instant, de la voir, là, nue devant moi.
Je pose ma main gauche sur le haut de la cuisse de ma soumise, je saisi mon sexe dans ma main droite, et je l’introduis du coup sec. Aurélie gémit et se cambre. Les hommes autour d’elle s’écartent, sans doute pour mieux apprécier le spectacle.
Je place mes deux mains autour de sa taille, et je commence à faire des mouvements de vas et vient, d’abord lents, puis plus les secondes, que dire, les minutes passent, plus les mouvements sont rapides. Aurélie commence à jouir, je sens l’excitation monter aussi chez les hommes autour de nous qui assistent au spectacle.
Je sens la sève monter en moi, l’assaut final n’est pas loin, et dans un cri de jouissance commun à ma salope d’un soir, je rempli mon préservatif de mon liquide séminal.
Je suis comblé, et Aurélie semble l’être aussi. Je me retire de sa chatte en fusion et je quitte la pièce. Je laisse les cinq autres hommes s’occuper d’elle, je pense que ce spectacle leurs aura donner des idées et qu’Aurélie va passer une soirée éprouvante, mais après tous, elle était venue pour ça.
Je quitte la soirée prématurément, je ne voudrais surtout pas qu’Aurèlie me reconnaisse. Pas tout de suite en tous cas.
Un mois plus tard, on est déjà début juin. Un mois de juin chaud, et comme tous les lundi matin nous somme réuni autour de la table pour notre réunion de briefing. Je fais une remarque, Aurélie, qui est assise en face de moi, me reprend de volé avec une de ses réflexions dont elle est coutumière.
Je ne dis rien, je fais mine d’avoir chaud, je déboutonne les manches de ma chemise et les retrousse jusqu’aux coudes. Je regarde cette pin bèche droit dans les yeux et lui montre mon avant-bras tatoué.
Aurélie devient blanche comme un linge. Je vois un mélange d’effrois et de stupeur sur son visage. Elle vient de comprendre, qu’un mois plutôt, c’est moi qui l’ai baisé, sur cette table, dans ce club. Je tiens ma vengeance, maintenant elle est à ma merci, je vais pouvoir faire ce que je veux avec elle.