La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 338)

Suite de l'épisode N°332 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Monsieur le Marquis d’Evans, ayant à son bras Madame la Présidente et épouse de Monsieur le Député-maire vient de faire quérir les deux esclaves portant pour la soirée les numéros 3 et 17, qui viennent d’arriver en se jetant littéralement aux pieds du Maître, s’inclinant jusqu’à toucher le sol de leur front, attendant les ordres, totalement affolés d’avoir été personnellement appelés par leur Dominant et craignant d’avoir à subir son courroux pour ne pas avoir su contenter les deux invités de marque du Châtelain, le député-maire et son épouse, qui, en s’apprêtant à quitter le Château, ont relaxé de leur service la chienne-femelle 3 et le chien-esclave 17, qu’ils avaient été tirés au sort en début de soirée. Le Noble se tourne vers sa charmante voisine.

- Très, très chère amie, Etait-ce bien là vos deux acquisitions canines pour la soirée ? Aviez-vous été totalement satisfaite de leurs services jusqu’à présent et souhaitez-vous les garder à vos côtés pour le reste de la nuitée orgiaque ? Si vous le désirez, il vous suffit d’un seul mot et je vous les remplace sans le moindre souci, sauf à savoir que ces deux misérables esclaves seraient aussitôt châtiés comme ils le méritent, car s’ils ne vous avaient pas comblée ce serait m’avoir fait gravement offense surtout en cette soirée anniversaire.
- Cher Marquis, non je les trouve parfaitement exquis, même si nous n’avons pas eu mon époux et moi encore vraiment pris le temps de profiter totalement de ces deux belles bêtes et de tout ce qu’elles pouvaient nous apporter. Je dois avouer que la langue de votre petite chienne-femelle me tente bien car je l’ai vu sucer la queue de mon époux avec beaucoup d’application, ouvrant sa gorge profonde pour l’avaler jusqu’à la base, lui offrant un fourreau qui lui semblait tout à fait à son goût tandis qu’il avait empoigné ses cheveux pour régler le rythme des pénétrations buccales avec la montée du plaisir qu’il cherchait sans cesse à repousser.


- Ah parfait ! Cette chienne est avant tout là pour savoir donner tout le plaisir possible à Ceux entre les mains de qui Je daigne la remettre.
- Comme vous le savez, cher Marquis, nous avons peu l’occasion de pouvoir profiter de tels délices en dehors de ceux partagés avec notre petite chienne-soumise Aliz si attentionnée et infiniment serviable pour nous deux et pour son plus grand bonheur partagé. Dans la vie sociale, mon époux reste toujours l’élu, le Monsieur le Député-maire, assommé par ses nombreuses obligations et obligé sans cesse de contrôler le moindre geste et le moindre mot en tant qu’homme public. Il rentre en général le soir épuisé, même s’il éprouve beaucoup de satisfaction à assumer son engagement électoral qui l’occupe énormément. Mais là, ce soir et entre Vos murs légendaires, il est devenu, pendant quelques heures, juste un homme libre et libéré, profitant de l’instant présent et cherchant le plaisir, rien que le plaisir extrême. Je me tenais à ses côtés et je l’embrassais suavement de longs baisers fougueux tandis que cette chienne-femelle lui faisait une vraie fellation digne de ce nom. Nos lèvres mélangées ne faisaient plus qu’un ballet ininterrompu, ses mains caressaient mes seins avec une tendresse infinie et moi je glissais mes mains dans ses cheveux. J’ai entendu son souffle devenir plus puissant et son râle de mâle étouffé venir se dissiper dans ma gorge tandis que sa semence venait se répandre dans la bouche de Votre esclave 3. Aliz était en train de sucer mon bouton d’Amour avec délicatesse et j’ai joui en même temps que mon époux, ce qui me ravit toujours de pouvoir me fondre à lui dans l’extase partagé à deux, ou plus.

Les deux esclaves 3 et 17, prosternés, tête au sol, n’ont toujours pas bougé d’un millimètre attendant de savoir quel serait le sort qui leur était réservé par Le Maître, heureux cependant d’entendre bien malgré eux puisqu’ils sont à portée de voix, les propos échangés entre les deux dominants et en particulier ceux rassurants de l’épouse de Monsieur le Député-maire.
Le Marquis d’Evans regarde avec ravissement le sourire radieux qui illumine le visage de son Invitée, toujours très heureux personnellement lorsqu’IL sait qu’IL peut concourir au bonheur et au plaisir de ses amis proches, finalité majeure des soirées D/s qu’IL organise pour permettre à tant de Dominants et de dominés de pouvoir vivre, chacun à leur place, leurs passions communes et leurs pulsions complémentaires qui trouvent à se satisfaire dans de saines relations D/s. C’est pour cela qu’IL ajoute :

- Très Chère amie, ce que vous me racontez me ravit pleinement. Je suis tellement heureux de savoir que cette soirée aura pu vous apporter de tels instants de plaisirs, d’autant plus sensuels qu’ils sont sexuels et intenses. Je reste persuadé que votre petit bouton de rose ne demande qu’à fleurir et frémir une fois de plus. Les femmes ont cet avantage sur nos virilités mâles qui est de pouvoir remettre cela sans attendre et parfois même pouvant bénéficier d’orgasmes multiples ou en continu. A moins que vous ne préfériez changer pour des plaisirs plus virils et pénétrants. Ce chien est encagé pour l’instant, mais il ne tient qu’à vous de libérer sa queue si vous désirez profiter de divertissements plus phalliques.
- Je n’en ferai rien, Monsieur le Marquis, soyez en bien certain, déjà parce que je trouve cela beaucoup plus plaisant de le savoir dans l’incapacité de pouvoir bander et encore moins de pouvoir jouir malgré toutes les tentations excitantes que ce chien doit éprouver s’il n’est pas dénué d’humanité et de virilité, bien que j’ai lu que moins un homme bande et joui, moins il est enclin à le faire, car sa libido va s’amenuisant jusqu’à laisser disparaître la notion même de désir physique.
- Ne vous tourmentez pas, chère amie, Mes chiens sont contraints et encagés au quotidien parce que cela fait partie de leur dressage et que leur viril plaisir ne peut se manifester qu’avec Mon autorisation et seulement quand Je le décide expressément. J’éprouve une grande satisfaction à pouvoir les obliger à lutter contre la manifestation physique de leurs désirs et de leurs sensualités.
Mais je veille pour leur santé à faire en sorte qu’ils puissent se vider régulièrement et même, IL m’arrive, s’ils sont méritants et très obéissants, de consentir parfois à leur accorder quelques félicités jouissives supplémentaires, et pour certains plus masochistes que d’autres par tempérament quelques supplices D/s tant espérés par la même occasion. Ceci dit, ils sont, tout comme mes femelles, dressés pour être capable de donner du plaisir à demande sur simple ordre du Maître ou pour satisfaire toutes Mes exigences si je les mets entre les mains de quelqu’un d’autre. Ils peuvent bien entendu servir à satiété d’orifices à remplir ou à pourfendre avec malheureusement pour les mâles les deux seuls trous dont la nature les a pourvus.
- Je Vous entends parfaitement, mais Vous savez, Monsieur le Marquis, quels que soient les jeux sexuels et D/s auxquels nous nous livrons, mon époux et moi-même, sans la moindre gêne, ni pudeur, ni état d’âme et dans une grande complicité maritale de sensualité, nous sommes parfaitement amoureux l’un de l’autre sentimentalement parlant, et même si cela peut Vous paraître étonnant, je lui reste fidèle n’acceptant aucune autre queue dans mes parties intimes que celle de mon tendre époux que j’adore. En dehors des plaisirs saphiques qui restent ma tasse de thé, je me contente de caresses buccales et de sex-toys ou de gode-ceinture car cela me semble ne pas dénaturer l’engagement que j’ai fait à mon époux le jour de notre mariage en robe blanche devant l’hôtel car nous venions tous les deux de familles traditionnelles et pratiquantes, ayant reçu une éducation plus stricte que nous avons eu du mal à dépasser dans nos jeunes années. Cela peut Vous paraître étrange et rétrograde que je vois les choses ainsi, mais c’est un consensus entre mon époux et moi, et l’équilibre que nous avons trouvé à vivre nos désirs personnels mais avec des règles qui nous servent de limites pour ne pas sombrer dans la débauche exponentielle.
- Très chère amie, je ne me permettrai pas de porter un jugement quelconque sur ce qui est de votre choix personnel intime qu’il est tout à fait normal que vous le respectiez s’il vous apporte ainsi satisfaction et contentement.
Chacun doit être libre de pouvoir assumer sa sexualité comme il l’entend, charge à lui de trouver le ou les partenaires qui sont en conformité avec ses propres besoins et ses attentes. Notre communauté D/s a l’esprit assez large pour savoir que tout est possible. Il y a parmi mes Invités, des couples D/s qui ne partagent entre eux aucune relation physique charnelle, se contentant de trouver leurs plaisirs respectifs dans les plaisirs purement D/s ou SM, ayant des vies vanille sexuelles par ailleurs satisfaisantes et de nature à combler leurs besoins physiques et leurs libidos. Il ne m’appartient pas de vous donner des noms précis, chacun étant libre ici, comme vous le savez très bien de dévoiler ce qu’il entend aux autres qu’il peut être amené à croiser dans nos différentes soirées.

Le Châtelain se met à faire siffler dans l’air sa badine pour que les deux esclaves à Ses pieds sentent encore plus Sa présence et la Dominance du Maître qui ne les perd pas des yeux même s’IL est occupé à converser avec sa voisine. IL l’abat sur chaque croupe à plusieurs reprises et se retourne vers celle qui a ses côtés le regarde faire avec attention et une certaine excitation, ayant ouvert de grands yeux lumineux.

- Très chère amie, je sais que jusqu’à présent vous n’avez pas été très portée sur les jeux, disons plus cinglants, je ne vous ai jamais vu avec une badine à la main, lorsque je me chargeais de votre initiation à la Domination, constatant que vous laissiez toujours votre époux officier à votre place sur les fesses si affriolantes et si blanches au départ de votre petite chienne-esclave Aliz, qui ne recevaient de votre part que quelques légères fessées bien plus érotiques que D/s à vrai dire, car elles se terminaient toujours par de tendres caresses… Me permettez-vous de vous faire découvrir le réel plaisir qu’il peut y avoir à voir ces esclaves librement asservis, si heureux de tendre leurs croupes pour recevoir ce que Le Maître daignera leur dispenser dans sa grande générosité et les voir ensuite remercier et baiser la main qui vient de s’abattre sur eux pour les échauffer quelque peu. Je reste intimement persuadée que vous êtes une Dominante qui doit pouvoir très bien maîtriser toutes sortes d’instruments D/s en prenant un bonheur infini à laisser les marques de votre passage sur les fesses rougies de ces deux esclaves qui n’attendent pas mieux, soyez en certaine. Regardez comme ils sont tous les deux prosternés, immobiles depuis le début, et frémissant de plaisirs au fond d’eux-mêmes, je peux vous l’assurer.

Le Marquis d’Evans annonce d’une voix ferme et grave qui ne souffrirait pas de la moindre petite seconde d’hésitation.

- Debout 3, 17. J’ai dit.

Les deux esclaves se relèvent presque d’un bond se tenant droit, les mains sur la tête, les jambes écartées et la tête baissée, n’étant autorisés ni à parler, ni à croiser le regard du Maître sans Son autorisation.

- Vous voyez, très chère amie, ce que je voulais vous expliquer. Regardez la misérable nouille de ce chien-mâle, elle emplit au maximum la cage qui la retient prisonnière signe que le désir est présent mais qu’il est contraint à ne pas pouvoir aller au-delà de l’espace qui lui est octroyé. Quand à cette femelle, je suis sûre qu’elle mouille à n’en plus finir.

Le Marquis d’Evans s’avance, se courbe légèrement et passe sa main largement en commençant par l’arrière presque au départ de la raie des fesses et en se glissant profondément entre les lèvres intimes de la chienne-femelle 3 qui frissonne, ayant du mal à contenir un souffle qui ressemble plus à ronronnement caractéristique, bien que contenu pour éviter de se faire réprimander. IL ressort de cette caverne humide, les doigts tous trempés et la paume de la main gluante.

- Vous voyez, très chère, que je connais bien ceux qui m’appartiennent totalement. Ils me sont entièrement dévoués comme tous ceux qui ont l’honneur de porter Mes Initiales et d’être admis au sein de Mon Cheptel, tous si heureux de Me servir car il en est ainsi de leur nature profonde de soumission et d’abnégation. Leur plaisir, ils et elles le trouvent dans la satisfaction du Maître et dans leur obéissance aveugle à tous Mes désirs et exigences quels qu’ils soient, et physiquement, cela se ressent sur leurs excitations animales qui s’expriment en présence du Dominant.

Le Châtelain porte sa main près de sa narine pour s’imprégner des odeurs féminines intimes de Sa belle chienne 3, qui se tient toujours devant Lui, figée et respectueusement inclinée, tendant la main en direction de sa charmante voisine mais sans s’imposer vraiment, heureux de constater que celle-ci s’empresse aussi de se repaître de l’odeur de sexe qui l’excite largement et qui d’un coup de langue lèche sans la moindre retenue le dessus de la main du Marquis d’Evans.

- Pardonnez-moi, Monsieur le Marquis, je n’ai pas pu résister, je voulais goûter l’odeur de cette chienne-femelle qui me semble effectivement bien en chaleur et si coulante. Mais Vous n’allez pas rester ainsi la main trempée de cyprine ?
- Ne vous en faîtes pas. Regardez ! Je pense que ce chien-mâle se fera un devoir de me nettoyer la main si je lui permets de lécher cette cyprine qui vient de me souiller les doigts.

L’esclave 17 s’agenouille aussi sec devant le Marquis d’Evans, sort sa langue qu’il passe délicatement sur les doigts du Maître, qui se plait également à lui forcer la bouche, y insérant un ou plusieurs doigts pour le posséder encore plus.

- Suffit, maintenant !

Le chien-mâle redresse son corps se reculant légèrement en rentrant sa langue qui vient de faire son office, quand il reçoit une gifle magistrale du Châtelain qui le fustige d’une voix glaciale, remettant aussi sec sa main tendue dans la même position que lorsqu’IL avait daigné la donner à lécher à l’esclave 17.

- Es-tu certain de ne rien avoir oublié, espèce de sale cabot indigne ! Après tant de mois à mon service, faudra-t-il donc que je t’enseigne encore que tu dois remercier le Maître à chaque fois et déposer un baiser sur Sa main, que ce soit pour un plaisir accordé ou pour une juste punition dispensée. Tu vas être châtié à la hauteur de ton grave manquement à la règle de base.

L’esclave 17, tout penaud s’incline, près à déposer un baiser sur la main tendue du Marquis d’Evans, qui la retire promptement au moment même où il s’approche.

- C’était tout à l’heure qu’il fallait déposer ton baiser de remerciements. Maintenant, je ne daigne plus t’accorder ce privilège. Il te faudra pouvoir le mériter par ton sincère repentir et me supplier longuement pour que je puisse à nouveau consentir quand bon me semblera à ce que tu déposes tes lèvres sur la main du Maître que tu as offensé. Que cette privation te serve aussi de leçon, même si la punition sera d’une autre nature un peu plus tard.

Le Noble se retourne vers sa charmante voisine et ajoute :

- Je suis vraiment désolée, très chère, de vous avoir imposé un tel intermède qui m’a courroucé profondément, au moment même où je m’apprêtais à vous faire la démonstration de ce que je croyais être le parfait dressage de mes deux esclaves qui allaient nous servir, si vous me le permettiez, à ce que je vous donne en direct une petite leçon d’utilisation du paddle, et de la cravache.

D’un autre ton de voix beaucoup moins enjouée et plus directif, le Châtelain annonce :

- Ma belle chienne 3, à quatre pattes, le postérieur tourné vers le Maître, la croupe relevée et la tête plaqué au sol sur le côté. Nous allons te donner quelques nouvelles couleurs, faisant passer le beau doré qui orne ce soir ta peau sur un ton qui pourrait arborer des tons plus cuivrés dans quelques minutes….. (ajoutant avec une vraie colère qui se ressent dans le timbre presque fracassant)…. Quand à toi, sale cabot, immédiatement dans la même position, juste à côté de cette femelle, mais tu gardes la tête baissée juste à 30 cm au-dessus du sol. J’aurai eu grand plaisir à pouvoir transformer la couleur argentée de tes fesses en un vrai rouge métal, mais je suis là avant tout pour le plaisir de mon Invité, Madame la Présidente, ici présente, devant laquelle tu as osé Me faire honte par cet affront …

(A suivre…)

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