Eté Indien Trés Chaud

Nous venons d’avoir de très belles journées dans le sud ouest et j’en profitais pour aller profiter de la plage. Je vais toujours sur une plage naturiste et réputée coquine des Landes.Je me prélassais donc sur ma serviette, appréciant les caresses du soleil et de la brise sur mon corps bercée par le bruit des vagues. Soudain j’entendis une fois ferme :
- belle chatte bien lisse, écartes tes jambes que j’admire mieux
Un peu suffoquée je ne bronchais pas et n’osais ouvrir les yeux
- allez ouvres tes cuisses je suis sûr que t’es une belle cochonne
Je ne sais pas ce qui a pu se passer dans ma tête, mais j’ai obéis à ce parfait inconnu, et cela m’excitait déjà, et c’était visible j’étais déjà humide
- ah oui salope tu mouilles, tu ne vas pas être déçue de ton après midi et t’as intérêt à obéir
Sans attendre de réponse, il s’allongea la tête entre mes cuisses et se mit à me lécher ma chatte dégoulinante, me titillant le clito, l’aspirant, le mordillant. Un doigt puis deux puis trois entrérent dans mon vagin et le fouillérent sans ménagement. J’étais honteuse car je sentais bien que cela faisait le régal des voyeurs sur la plage.
Lui faisant remarquer il répondit :
- t’inquiétes ils vont apprécier et ne pas rester voyeurs
Mon dieu pensais-je dans quoi je me suis fourrée ?
Au même moment je sentis deux mains s’emparer de mes seins et les triturer dans tous les sens, pinçant, tordant et tirant mes tétons, tout en m’enfonçant son membre dans la bouche. J’entrepris de le sucer avidement .Je sentais le plaisir monter, j, avais maintenant 4 doigts dans la chatte qui me massait l intérieur du vagin, et un doigt dans mon anus.
Je ne pouvais plus me retenir et jouis en jets puissants inondant celui qui me léchait
- Humm salope t’aurais pu te retenir, je ne t’ai pas autorisé à jouir, mais j’adore ta fontaine, on va la faire couler, tu vas la tremper ta serviette de plage. Mets toi à quatre pattes chienne
Celui que je suçais se dépêcha de jouir dans ma bouche me donnant l’ordre de tout avaler avant de me retourner.


Puis il se coucha sous moi, me trouvant à califourchon sur lui, d’un coup sec il appuya sur mes hanches pour que je m’empale sur son sexe encore tendu ! sexe de taille très acceptable comme je les aime ( 20cm )Celui que me léchait me défonça d’un coup sec mon anus bien lubrifié par ma cyprine et les deux complices me ramonérent chacun à sa cadence mes deux trous, me claquant les fesses et tirant sur mes seins. Un troisiéme laron m’enfonça sa queue énorme dans ma bouche, m’étouffant et me donnant des hauts le cœur, mais je m’appliquais à le sucer.
Ils jouirent chacun leur tour au plus profond de moi. je sentis en même temps des jets de sperm sur mon dos et mes fesses, provenant des voyeurs qui s’étaient approchés et masturbés autour de nous.Je parti jusqu’à l eau pour me laver et me rafraîchir, accompagnée par mes deux premiers tortionnaires, soi disant pour pas que je me noie.
-t es vraiment une vraie salope, une vraie chienne, t aimes çà te faire baiser sur la plage…..
- oui
- oui Maître, j’aime me faire baiser sur la plage , ce sera mieux comme réponse
Et je répètais la phrase du mieux que je pu car j’avais un peu de mal à l’admettre, ma fierté en prenait un coup, même si j’avais pris du plaisir malgré la honte d’être exibée ainsi. Je pouvais observer ces deux hommes, beaux mâles musclés, bruns et qui me faisait apprécier les tourments subis.
Ils m’aidèrent à laver mon dos et je les en remerciais.
- tu vas nous remercier mieux que çà chienne, mets toi à genou et suce moi
Je m’éxcécutais perdant l’équilibre lorsque qu’une vague arrivait, parfois me recouvrant la tête et me coupant la respiration. Mon second accompagnateur eu la bonne idée pour me bloquer d’enfoncer son gland dans mon anus et d’un coup sec m’enfila jusqu’à la garde, et me pilonna ainsi, donnant ainsi le rythme de la fellation faite à son copain J’ai jouis avant eux secouée de spams , ils me suivirent dans un grand râle.
Au moment où je sortais de l’eau je vis une dizaine de voyeurs.
La honte m’envahie tout en m’excitant. Je m’arrêtais n’osant plus avancer
-allez chienne sors de l’eau, on en n’a pas fini avec toi. Tu vas être traitée comme une vraie chienne en chaleur
Arrivés à la serviette, j’ai du me mettre à quatre pattes, et la ceinture d’un pantalon se transforma en collier et laisse.
-allez suis moi on va dans la dune

J’ai donc gravi la dune à quatre pattes, sur les talons de ce maître, sentant tous les yeux rivés sur mon postérieur. Pensant que je n’avançais pas assez vite je reçu quelques claques sur les fesses.
Derrière la dune se trouve un petit bois. Je fus rapidement attachée à un tronc les mains liées en arrière du tronc ce qui eu pour effet de faire saillir ma poitrine et mes tétons qui pointaient et qui avaient l’air de demander qu’on les martyrise. Ce qui fut rapidement fait : pincés, tirés, tordus, mordus, m’arrachant quelques gémissements. Mes jambes étaient maintenues écartées, les chevilles attachées à un grand bâton, l écorce du pin me faisait mal au dos et aux fesses, mais ils n’en avaient que faire, malgré la souffrance j’étais très excitée et mouillais comme une folle. Un coup de dent plus fort m’arracha un cri de douleur
-ta geule salope
Je serrais les dents
Tout en continuant de me triturer les seins, je sentis que l’on m’écartait bien les lèvres de ma chatte, qu’une main me travaillait la chatte pour la dilater, ces deux sadiques ayants beaucoup d’idées, une pomme de pin servi de gode pour me défoncer la chatte , c’était douloureux et je poussais un hurlement, et reçue une belle giffle Pour éviter que je crie une autre pomme de pin me servi de baillon, cela avait un gout de résine, acre. je ne supportais plus ces humiliations et pleurais en silence.
Malgré la douleur je sentais monter le plaisir et un orgasme immense me secoua libérant des jets de cyprine, je ne pouvais plus m’arrêter.
- foutu chienne t aimes çà la baise, t aimes çà qu on t’humilies et te rabaisses allez avoues
J’avouais d’une toute petite voix que oui j’aimais çà .

Je fus détachée de mon arbre, mais en restant entravée à ma branche. La forêt se liguait contre moi et leur offrait tout un matériel à utiliser. Ils avaient repérer une souche couchée ou je fus transportait et posait dessus sur le ventre, les fesses bien en l’air , la chatte bien exposée, les bras bloqué en croix sur le tronc
- ma petite chienne on va commencer par une correction vu que tu as manqué de maitrise.
Je reçu quelques coups de badine sur mes fesses, j’avais toujours mon baillon improvisé heureusement. La punition achevée on me tira la tête en arrière par ma queue de cheval et le baillon fut remplacé par un sexe épais que j’avais du mal à tenir en bouche, le propriétaire de ce sexe m’écarta la bouche avec ses doigts pour faire rentrer son sexe et me baisa la bouche à grand coup. Son copain passait de ma chatte à mon cul s’enfonçant à chaque fois d’un coup sec, subissant ses assauts et en réalisant que j’aimais çà que cela m’excitait. Nous avons jouis presque tous les 3 en même temps .
-Très bien chienne tu vois que t’es docile comme tu veux, je suis content de ma trouvaille, facile à dresser
Il se tourna vers les voyeurs :
- elle est à vous je vous la laisse vous pouvez en r c’est une vraie salope, mais elle revient demain hein ma petite chienne ? tu vas revenir, faut continuer ton dressage
J’acquiessais de la tête.
Mon maître s en alla me laissant à cette horde. Je ne sais plus combien de queues j ai pris dans ma chatte mon cul ma bouche çà me semblait sans fin, je fus insultée, fessée.
Il n’en restait plus qu’un qui me détacha de ma branche, et pris une serviette pour m’essuyer, me demandant si çà allait, me léchant les seins, puis me coucha sur la serviette pour me lécher délicatement ma chatte, insinuant sa langue dans ma chatte, tant de douceur m’a fait jouir très rapidement. il me fit ensuite l amour tout simplement , longuement mais avec fougue.

Est-ce que je vais revenir demain ? qu’en pensez vous ?










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