Eloge Du Cunnilingus

Les personnages ne sont là que pour donner plus de vie à cet éloge, toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées serait purement fortuite


Cette pratique est aussi connue sous les noms suivants : tarte au poil, faire minette, léchouille, broute-minou, brouter la pelouse, brouter le gazon, bouffer ou brouter la chatte ou la motte, brouter une moule, pratiquer une tyrolienne, descendre au barbu, descendre à la cave, gamahucher ou encore gougnotter. Manger et se faire manger sont des expressions souvent utilisées au Québec et au Nouveau-Brunswick. Une originaire de la "Belle Province" que je connais pourrait confirmer ou infirmer la chose. (source: Wilipedia).

Derrière toutes ces appellations imagées qu'est-ce exactement que le cunnilingus ? Un préliminaire aux extases, une fin en soi ? L'origine Grec du mot, (Clizi, traduction phonétique) veut dire "la clef". Serait la clef de la porte à plaisirs ?

Au moins une certitude, à moins d'être parfaitement contorsionniste, il faut être deux pour le pratiquer; un homme et une femme, deux femmes, deux hommes peut probable pour des raisons anatomiques évidentes puisqu'il consiste à provoquer l'excitation, par voie buccale, des parties génitales d'une femme et plus particulièrement de son clitoris.

Bien réalisé il est non seulement un préliminaire mais déclenche aussi un orgasme des plus délectable. Je dis "bien réalisé" car les hommes à moins d'avoir eu des partenaires qui ont su les guider sur ce chemin, escarpé, qui mène à la félicité le pratiquent mal ou au moins imparfaitement.

Entre deux femmes les choses sont différentes, car celle qui le prodigue sait ce qui pour elle la conduira à l'orgasme et immanquablement elle fera de même avec sa partenaire. Tandis que pour un homme il ne sera pas une fin en soi. Pour la majorité l'orgasme est provoqué par l'éjaculation. Il suffit donc pour eux de pouvoir introduire leur verge dans le cocon chaud, bien lubrifié de la partenaire, pour qu'en un temps variable, allant de quelques secondes à plusieurs minutes, l'épanchement en giclées, plus ou moins fortes, dans le réceptacle de l'amante les entraîne sur le chemin de la félicité.

Après quoi les goujats peuvent s'endormirent dans de beaux rêves, laissant leur compagne, d'un soir ou d'une vie, insatisfaite et n'ayant pour seul recours que de caresser elle même leur bouton d'amour.

Entre deux jeunes filles, jeunes femmes, ou femmes plus accomplies les choses se passent différemment. Loin de moi la prétention d'être un modèle unique mais je vais vous raconter comment une amie québécoises m'a fait "Aux champs élyséens goûter mille charmes", (Jean de la Fontaine).

J'aime aller l'attendre à l'aéroport, je la vois arriver, toujours resplendissante et séduisante avec sa jolie robe, ses hauts talons et son merveilleux sourire malgré les heures de vol. Nos regards se croisent elle lit dans mes yeux comme je suis impatiente qu'elle puisse venir écarter mes jambes. Je lis dans ses yeux comme elle en est impatiente aussi. Dans quelques secondes les portes qui nous séparent vont s'ouvrir. Nous tombons dans les bras l'une l'autre, les passagers regardent ces deux jeunes femmes qui s'enlacent, l'air encore plus surpris quand nos lèvres se soudent, que nos langues font un pas de deux. Nous sommes heureuses de nous retrouver et encore plus avides de n'être que nous deux pour pouvoir nous aimer comme il nous plait de le faire.

En ce début octobre le temps est particulièrement doux en Provence, nous abaissons la capote du cabriolet, dans cinquante minutes nous serons chez moi. Nous rions, heureuses de nous être retrouvées. Vive la boite de vitesses automatique qui laisse ma main droite libre pour aller se poser sur le genoux de Nathalie. Sa peau est douce comme de la soie, un frissons de bonheur m'inonde comme la cyprine commence à inonder mon string.

Nathalie me laisse faire, la tête contre l'appuie tête, les cheveux au vent, les yeux fermés, d'une main négligente elle remonte un peu sa robe, ma main suit le mouvement sur la douceur de sa cuisse, je continue à monter, ma main est maintenant sous la robe, arrivée presque au pli de l'aine le dessus de main entre en contact avec le gazon qui orne son mont de Vénus, ma cyprine augmente de débit, heureusement la barre du Lubéron se profile à l'horizon, plus que quelques kilomètres si non tout le cuir mon siège va être décoré d'une belle auréole ! Elle, en parfaite vicieuse, reste stoïque.


Enfin la voiture est dans le jardin, à peine descendue je la prend par la main.

- Laisse, nous monterons ta valise plus tard j'en ai trop envie.
- Envie de quoi ?

Elle fait la gourde car elle sait très bien de quoi je veux parler.
La tirant toujours par la main nous arrivons dans la chambre que nous partagerons durant notre séjour pour y faire, tout à loisir, toutes les cochonneries que nous adorons l'une et l'autre.

Elle me regarde tandis que j'ôte mon pantalon et mon chemisier, mon string est trempé; elle même déboutonne sa robe pour me laisser admirer ses seins aux pointes tendues, comme les miennes, sa toison brillent des gouttes de rosée de sa mouille. Je m'allonge sur le lit en lui disant:

- Viens, je suis à toi, je veux sentir ta langue apaiser mes sens.

Elle vient à mes cotés et commence à m'embrasser derrière l'oreille, elle sait fort bien quels sont mes points sensibles; ses doigts jouent avec mes pointes de seins bien tendues. Je ne fais pas un geste, je savoure ses caresses. Sa bouche vient remplacer sa main sur mes seins, elle aspire, suce, enroule sa langue autour des pointes. Mon bas ventre est plein d'envies, d'espérances, quand va-t-elle y arriver ?
Sadiquement elle fait durer sa reptation pour le plaisir de me voir ne plus en pouvoir. Elle continue à descendre, sa langue atteint mon nombril, ses mains s'occupent à nouveaux de mes seins. Ma grotte à plaisir est dégoulinante, quand va-t-elle y arriver ?

Enfin je commence à sentir ses lèvres venir déposer de petits baisers tout autour de ma toison en "ticket de métro", elle est naturellement comme ça ! Et non pas un beau triangle comme la sienne. Comme je sais qu'elle aime je n'ai ai pas coupé les poils trop courts. Elle les sucent doucement les tirant, coincés dans ses lèvres; mais quand vais-je sentir sa langue commencer à écarter les lèvres de mon sexe, gonflées de désir ?

Ses mains quittent mes seins pour descendre; va-t-elle s'en servir pour écarter mes babines afin d'ouvrir le chemin pour sa langue mutine ? Que nenni.
L'une va vers sa jolie chatte afin d'en caresser le bouton, elle ne veut pas que je sois la seule à prendre le chemin de l'orgasme ! L'autre main fait pointer son majeur pour aller explorer le canyon formé par mes petites fesses, sans doute espère-t-il ce doigt inquisiteur trouver l'entrée d'un puits qu'il lui plairait d'explorer.

Enfin sa langue "serpentine" découvre mon vagin, en explore les bords, s'enhardit à y pénétrer plus profondément. Mes mains se portent sur mes seins qui durcissent à m'en faire mal. Ma respiration devient plus rapide et sonore. Mais quand cette langue, "vipérine" va-t-elle se décider à aller trouver le bourgeon qui ne demande qu'à éclore ?

Elle attend son heure, fait durer son plaisir pour exacerber le mien, sachant que lorsque la rencontre aura lieu un orgasme dévastateur viendra déferler en moi. Les ondes de plaisir que je me donne en maltraitant mes pointes mammaires viennent se heurter à celles provoquées par l'inquisition linguale de Nathalie. Décidément cette Québécoise non contante d'être une parfaite vicieuse lubrique se double d'une sadique comme on en fait peu.

Elle finit par y parvenir à ce bourgeon qu'elle convoite et qui n'attend qu'elle pour s'épanouire ce qui va provoquer l'ouverture des vannes du réservoir à mouille et déclenchant ainsi, pour moi, un orgasme foudroyant.

Mon corps s'arque, dans un mouvement réflexe, pour venir coller ma vulve à sa bouche. Mes glandes de Skene déversent sur son visage une éjaculation si intense que l'on pourrait croire qu'elle vient de s'asperger sous la douche. Ma tête ballotte de droite à gauche et de gauche à droite, je ne suis plus maître des spasmes dont mon corps est secoué. C'est le Bonheur Parfait, avec un grand B et un grand P, qui me laisse anéantie et pantelante à la limite de l'inconscience. Elle extrait les doigts de son con, ils sont pleins d'un sirop d'érable à la consistance de miel qu'elle vient me faire déguster, comme une gourmandise rare, elle les enfonce profond dans ma bouche pour que ma langue puisse lécher jusqu'à la dernière goutte ce nectar des Dieux.


Nathalie est incontestablement la reine du cunnilingus. Rares sont mes amantes qui me donnent autant de plaisir avec cette caresse que je trouve la meilleure que deux filles puissent se donner.
Serais-je en mesure de la lui rendre aussi bien ?

Elle aussi a eu un orgasme en se doigtant et nous avons besoin de reprendre nos esprits; c'est se que nous faisons, allongées l'une contre l'autre, nous mignotant de petits baisers, nos mains perdues dans le buisson de l'autre. Sans doute nous sommes nous endormies; quand j'ouvre les yeux elle respire paisiblement dans mes bras et l'odeur de sexe et de luxure qui flotte dans la chambre me donne tout de suite envie de la réveiller en allant cueillir sa rose tout en lui récitant ce beau poème de Ronsard.

Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avait déclose
Sa robe de pourpre au soleil,
A point perdu cette vesprée,
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vôtre pareil.
Las ! voyez comme en peu d’espace,
Mignonne, elle a dessus la place
Las! las! ses beautés laissé choir !
Ô vraiment marâtre Nature,
Puis qu’une telle fleur ne dure
Que du matin jusques au soir !
Donc, si vous me croyez, mignonne,
Tandis que vôtre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté,
Cueillez, cueillez votre jeunesse :
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beau

Les pétales en étaient encore fermés, ils exhalaient une odeur des plus suave qui me firent sentir ma rosée arriver entre mes jambes.
De mes mains j'écartais la belle broussaille qui cachait sa splendide fleur ! J'en ai approché ma tête afin de mieux en respirer le parfum épicé et iodé. L'odeur ne suffisait pas à mes papilles i
Il fallait que ma langue s'en délecte, elle a glissée entre mes dents pour venir écarter les deux pétales protégeant le bouton vermeille tant convoité! Mon amante s'est étirée en me disant:

- Tu es une vraie salope, à peine les yeux ouverts il te faut ton petit déjeuner !

Je n'ai pas dit le contraire et ai continué mes travaux de "labourage" afin que le sillon soit bien ouvert pour que l'entrée de la source, dont allait sourdre la précieuse liqueur, puisse emplir ma bouche. En même temps mes mains ont volé vers ses seins pour en maltraiter les pointes. A sa respiration je savais qu'elle était maintenant complètement réveillée, même si elle gardait les yeux clos; sans doute pour mieux déguster le bonheur que je lui donnais, à elle tout autant qu'a moi.

Une main a quittée sa poitrine pour descendre s'insinuer entre ses deux jolies petites fesses, à la recherche de sa rosette. Je sais qu'elle aime bien qu'on lui rende hommage, même si ce n'est pas vraiment ma "tasse de thé". Son œillet était souple et d'une manière concomitante mon majeur et ma langue se sont introduits en elle, les râles que j'entendais me prouvaient son bonheur et son plaisir !

Elle a caressé ma tête en la pressant contre son pubis au moment où je trouvais son bourgeon prêt à éclore, cela lui a déclenché un premier orgasme dévastateur. Mais pour elle ce n'était qu'une "mise en bouche" ! Elle voulait d'autres émotions plus exactement "le beurre et l'argent du beurre". C'est pourquoi elle m'a demandé de venir tête bêche sur elle, tout en continuant le petit manège qui l'emplissait de bonheur. Il lui fallait donner et recevoir en même temps pour décupler son plaisir. Introduire sa langue dans ma toison jusqu'à ce quelle trouve mon "starter" à orgasmes afin d'en savourer la texture. Sadiquement je n'ai pas cédé à ses injonctions, je me suis positionnée perpendiculairement à elle afin de lui faire admirer ce dont elle pourrait bientôt se délecter et dire comme un certain François-Marie Arouet, qui n'était pas encore Voltaire :

"Je cherche un petit bois touffu,
Que vous portez, Aminthe,
Qui couvre, s'il n'est pas tondu,
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage;
Laissez-moi verser quelques pleurs
dans ce joli bocage".

Elle avait tellement envie de ce petit labyrinthe que j'aurais eu mauvaise grâce à ne pas le lui accorder. Je suis venue sur elle, ma tête dans sa toison, si aimée, mes seins contre ce ventre, les siens contre le mien. De deux doigts elle a ouvert mes babines ruisselantes de ce liquide à la consistance si particulière, à l'odeur enivrante de sexe, d'amour, d'orgasme que seuls les femmes peuvent faire sourdre de leur intimité et que l'on nome mouille, cyprine et que je préfère qualifier de "liquide d'amour".

Elle aime le 69, la belle Québécoise, qui lui permet dans un même temps de faire pénétrer sa langue au fond de la grotte de sa partenaire, d'insinuer un doigt inquisiteur dans un petit puit entouré de quelques herbes folles et d'avoir une bouche dont la langue va chercher le nectar au plus profond de sa grotte, tel le tamanoir à la recherche des fourmis qui chez elle sont plus exactement les fourmillements annonciateurs d'un orgasme qui va la laisser aux bords de l'inconscience.

Durant tout son séjour nous n'avons pas cesser de nous lécher, de nous pourlécher, de nous sucer n'importe où, n'importe quand. Nos langues étaient presque aussi douloureuses que nos clitoris; mais nous avions le sentiment d'avoir atteint le bonheur parfait !

Jeune amant fougueux laisse toi guider par celle que tu veux satisfaire; elle sait comment une femme aime que ses nymphes soient explorées. La suivante te trouvera un amant hors du commun à l'égal des hommes d'expérience.

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