Chapitre 42 : Rencontre Et Baise Avec La Fille De Nos Amis.

Bonjour, c’est Caroline, je suis très heureuse de vous retrouver, pour vous narrer la suite de nos aventures, c’est déjà notre quatorzième rendez-vous ensemble…Vous êtes nombreux (ses) à me lire, donc cela m’encourage à me plonger dans nos archives et nos journaux intimes, regarder nos photos et visionner nos vidéos…
Je ne me présente plus, mais pour les nouveaux lecteurs je les invite à commencer par le chapitre 21 et lire les autres de façon chronologique. C’est un conseil…
En juillet 2010, nous sommes invités Éric et moi, par nos amis Franco-Allemands : Renata et Pierre à participer à une croisière à destination de la Grèce et de l’est de la méditerranée à bord d’un luxueux bateau de trente-cinq mètres pouvant accueillir douze personnes dans cinq cabines de luxe, ce qui est exceptionnel pour un yacht de cette taille. Six membres d’équipage vont s’assurer que nous soyons traités dans le meilleur confort. Parsemant les eaux idylliques de la Méditerranée, les îles Grecques me font rêver depuis toujours, nous répondons favorablement à l’invitation de Renata et Pierre couple légèrement plus âgé que nous, ayant un peu plus de la soixantaine à cette époque. Renata est la riche héritière d’une grande famille industrielle Allemande, son frère Dietmar, à la tête du groupe, doit fêter ses soixante-dix ans pendant la croisière et est présent avec son épouse Margrit légèrement plus jeune. Participent à la croisière un couple de banquiers Allemands, Barbara et Wolfgang, et la fille de Renata et Pierre, la belle Sandrine, trente-cinq ans, célibataire, un , un petit garçon de huit ans, issu d’une précédente liaison avec un Dominicain rencontré lors d’un voyage en République Dominicaine. Osner, c’est le prénom du petit garçon n’est pas présent, il est en vacance chez son papa. Sandrine est Française mais travaille et habite à Munich avec son fils.
Voilà pour les présentations, je vous rappelle qu’Éric parle couramment l’Allemand, Renata et Pierre habitent en France, Dietmar et Barbara parlent merveilleusement bien le Français, il n’y a qu’avec Margrit et Wolfgang que c’est plus compliqué pour moi.


Nous avons rendez-vous le samedi vingt-quatre juillet 2010 à l’aéroport d’Athènes. Des membres d’équipage nous attendent pour le transfert vers notre yacht, nous sommes tous présents, nous faisons la connaissance de Dietmar et Margrit, nous connaissions déjà Barbara et Wolfgang. Il manque Sandrine, qui arrive un peu en retard, son vol direct de Munich ayant été retardé. Cette fille est merveilleusement belle, ses yeux bleus me provoquent une sensation particulière, c’est notre première rencontre et pourtant son regard trahit une attirance physique réciproque.
On dit souvent que notre regard trahit nos émotions, et c’est vrai. Du moins, ça l’est en matière de séduction et d’attirance physique réciproque. Nous nous ne quittons pas des yeux. C’est un signe d’intérêt flagrant. Nos regards se font parfois timides et gênés, à tel point qu’on ne les perçoit que si on y prête vraiment attention. Ils se font plus appuyés et langoureux, voire insistants à bord du minibus.
Sandrine me trouble vraiment, je n’ai jamais imaginé pouvoir désirer une femme, mais quand son regard irisé est tombé dans le mien, je ne sais plus où j’en suis. Son maquillage, effet « œil de chat » rendu possible grâce à un fard argenté, me fait un effet, vraiment inconnu pour moi. Ça me tombe dessus comme ça. Éric s’aperçoit très vite de mon trouble et plaisante en s’amusant à me chauffer.
Nous passons notre temps à nous chercher du regard quand nous sortons de notre champ de vision respectif. J’oublie les autres personnes nous accompagnant. Tout ce que je peux vous dire, c’est que son regard m’invite, m’attire et est très différent d’un simple regard. C’est une attraction sexuelle, animale, purement physique, qui laisse peu à peu place à une attraction émotionnelle et à la complicité. La complicité signifie qu’on se fait suffisamment confiance pour se taquiner gentiment l’une et l’autre. Cette complicité particulière se manifeste par une attirance physique réciproque.
Cette première fois est inattendue…Vous allez avoir du mal à me croire, mais je suis de nature timide.
Après un arrêt « pipi », Sandrine s’est assise à côté de moi, dans le minibus.
Nous passons le trajet à discuter, à échanger sur notre vie, nos amours. Sandrine m’envoie des petites taquineries au visage en toute confiance. En matière d’attirance, le langage corporel compte autant que le langage verbal. Son corps exprime beaucoup de choses, souvent sans même qu’elle s’en rendre compte d’ailleurs.
Elle passe régulièrement une main dans ses cheveux cherchant à se mettre en valeur. Sa tête inclinée sur le côté, révélant ainsi sa nuque, l’attirance est là. Outre sa tête, son bassin est aussi un centre d’énergie sexuel très important. Elle a tendance à le tourner inconsciemment vers moi quand elle me parle. Et sachez que c’est purement instinctif et incontrôlable.
C’est bien connu, quand on est attiré physiquement par quelqu’un, on recherche le contact, qui trahit une envie d’aller plus loin. Nous devenons très tactiles l’une envers l’autre. Elle pose sa tête sur mon épaule, ou encore sa main me caresse une joue ou une cuisse, nous avons une vraie proximité physique. Cela fait trois heures que nous nous connaissons, et nous voulons tout connaître l’une de l’autre, même des questions souvent (très) personnelles. Et quand je parle d’intimité, je ne pense pas uniquement à l’intimité des paroles. Cette notion inclut aussi une forme d’intimité physique dans la conversation. Éric semble ravi par cette situation, Renata apprécie également de voir que nous nous entendons bien Sandrine et moi. C’est assez difficile à croire, mais je regarde plus Sandrine comme une éventuelle partenaire sexuelle que comme une amie.
Nous arrivons enfin au port, nous embarquons sur notre magnifique bateau, et prenons possession de nos cabines, et comme par magie nous sommes voisins avec Sandrine à l’arrière du bateau. Les cabines sont grandes et spacieuses, c’est luxueux. Sur le flybridge, nous disposons d’une grande et confortable piscine-jacuzzi et vers la partie arrière du pont un grand solarium.
Le naturisme est une institution en Allemagne, c’est un espace de liberté pour les Allemands, pour mon plus grand plaisir, nous serons donc souvent nus avec nos amis dans ces deux endroits pendant les dix jours de croisière.
Nous sommes en plus entourés d’un personnel efficace et très bienveillant mais qui ne se prive pas de se rincer l'œil, il me semble apprécier de regarder les cinq femmes nues. C’est vraiment merveilleux de naviguer dans ces eaux idylliques dans ces conditions.
Après un repas et une soirée très arrosée, nous regagnons fort tard notre cabine avec Éric et Sandrine. L’envie est trop forte pour prendre le temps de papoter alors je me mets nue et je commence directement à lui manger la bouche. Pendant ce temps, Éric est en train de se déshabiller.
Puis je glisse ma langue dans sa bouche, cherchant la sienne. Nous approfondissons le baiser. Je l’attire vers moi, sentant sa poitrine contre la mienne. Mes bras sont sur son dos en train de la caresser. Je l’embrasse jusqu’à ce que je la sente me toucher. Je gémis dans sa bouche. J’allonge Sandrine sur le lit. Nous la comblons tous les deux avec des baisers dans le cou. Je la lèche avec ma langue. Elle grignote le lobe de mon oreille, tout en la touchant. Mes mains retrouvent ses seins. Sa poitrine est belle et ferme. Je sens ses mamelons devenir durs. Éric vient lentement rejoindre mes mains. Sa poitrine a l’air de vouloir se libérer de son soutien-gorge que je dégrafe rapidement. Je pince vite un mamelon. Ma bouche trouve d’abord un mamelon, puis l’autre. Je suce, lèche et touche doucement ses mamelons. Je n’en ai jamais assez. D’abord l’un, puis l’autre. Éric me caresse de nouveau avec amour. Quelle bonne sensation !!!
Pendant que je fais cela, ma main descend le long de son corps, se frayant un chemin jusqu’à son petit short. Je mets d’abord ma main sous son minishort. Je sens la chaleur à travers son string. Je suis en train de trouver une fente. Tout en lui léchant les seins.
Je l’a sent mouiller.
J’enlève son short et son string d’un seul geste. Je ne lui donne pas le temps de reculer. J’écarte ses jambes et j’entre. Je prends un long coup de langue. De l’arrière de sa chatte à l’avant. Doucement et doucement. Je fais ça encore et encore. Elle dégouline sur ma langue. Je suis en train de lui en mettre plein la vue. Puis je m’arrête à son clito. Je trouve son bouton dur et gros. Il s’adapte parfaitement dans ma bouche. Je commence juste à le sucer.
Je caresse en même temps ses nichons qui sont bien fermes et m’amuse à lui pincer ses tétons. La petite cochonne a l’air d’aimer ça !!!
Éric se met aussi rapidement dans le bain en venant me bouffer la chatte. Sandrine gémit et se tortille partout sur le lit. Elle mouille bien la salope !!!
Mais ma bouche ne quitte pas sa chatte, je tiens bon. Je mets mon majeur dans son trou chaud pendant que je lèche son clito. Je la baise avec mes doigts et je la lèche, puis elle explose dans ma bouche. Elle commence à crier qu’elle éjacule :
- Oh oui bébé, suce ma chatte !!! Lèche-moi pendant que je jouis !!!
Elle n’arrête pas de le répéter jusqu’à ce que son corps ne tremble plus. Je regarde Éric qui se masturbe énergiquement.
Je ne veux pas lui donner le temps de faire des choses. Alors j’att le jouet qu’Éric me tend, quelque chose qui va l’époustoufler vraiment. C’est un gode de trente centimètres. Je le mets sur ses lèvres, pour qu’elle le lèche et le mouille bien. Elle le lèche de bas en haut.
Je prends le jouet et je le traîne sur son corps. Au-dessus de ses beaux seins, en mouillant ses tétons, sur son ventre, et sur sa chatte humide et chaude. Je le passe sur les lèvres de sa chatte, elle écarte, elle-même ses jambes le plus largement possible. Au début, je ne veux pas m’en mêler. Je veux qu’elle me désire aussi. Alors je la taquine avec. Je lui passe sur les lèvres, sur le clito, juste en le touchant. Elle est en feu la belle Sandrine.
Doucement j’enfonce le gros gode dans son cul, dans son trou chaud, humide et prêt. Elle commence à baiser sur le jouet. Je prends de la vitesse et je pousse de plus en plus fort.
- C’est ça bébé, baise-moi !!! Plus fort !!! Fais-moi encore de la crème !!!
Nous nous regardons avec Éric, qui se masturbe toujours excité par cette situation inédite pour nous. Elle crie toujours. Elle s’agite partout sur le lit, hystérique et impressionnante. Puis elle explose encore.
Je sens son corps trembler et trembler. Je vois ses tétons devenir si durs. Elle est épuisée. Elle est allongée sur le lit, avec un sourire doux et fatigué sur le visage.
Ma première fois est pulsionnelle, sauvage… Je n’avais jamais pensé me retrouver dans cette situation un jour… Dans un lit avec une autre femme, avec ses doigts…En moi et nos corps fusionnés pendant une longue période.
Je laisse Éric nous caresser, moi, l’épouse possessive et jalouse, je suis prête à partager mon chéri !!! L’ambiance est devenue de plus en plus chaude, Éric enfile un préservatif, il est temps que mon chéri enfonce sa grosse bite dans la chatte de Sandrine. L’un comme l’autre ne se sont pas fait prier avant de se mettre en action.
Je suis très excitée de les voir baiser de la sorte. J’essaie de me frayer un chemin pour gober les couilles d’Éric pendant que sa queue défonce Sandrine. Je me mets derrière cette dernière afin de lui malaxer les seins et de titiller son clito pendant qu’elle chevauche mon homme. J’entends ses gémissements qui ne font qu’accroître mon excitation. Elle ne met d’ailleurs pas longtemps à jouir de nouveau.
Puis c’est mon tour. Je me suis mise en position de chevauchement d’Éric et là c’est Sandrine qui lèche mes nibards et m’embrasse à pleine bouche. Tout comme elle, je laisse exploser un orgasme de malade. Qu’est-ce que c’est bon ce plan avec cette splendide jeune femme.
Pour clôturer cette bonne baise du premier soir, nous suçons Éric en duo, celui-ci n’a pas tardé à lâcher tout son foutre chaud sur nos visages.
Pour un premier trio improbable avec une jeune femme, la fille de nos amis en plus, je peux vous dire que c’est encore plus fou que ce que je pouvais imaginer.
Ma première fois est jouissive…Elle m’a initié aux plaisirs lesbiens : la position du ciseau allongé, le cunnilingus, l’anulingus, la position du missionnaire, le 69, le lotus…J’en mouille rien qu’en y pensant !!!
Nous avons passé la nuit ensemble, et les dix suivantes également, mais cela fera l’objet d’un autre chapitre.


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