Vanille, Chocolat !

La première soirée avec K., il y a quelques semaines, fut mémorable. Pour me convaincre que beau black bien membré avait plu à Muriel, il suffit de voir comment elle mouille encore lorsque nous baisons tous les deux et que nous nous remémorons cette belle et longue nuit.Toutefois, le fait que c'était une surprise ne lui a guère laissé le temps de se préparer. Du coup, je la prends au mot et lui propose, ce samedi soir, d’accueillir son amant à la maison et qu’elle profite de sa matinée pour se préparer.

Nous ne libertinons pas depuis longtemps et cet amant est tout nouveau pour elle. Pourtant, à mon grand étonnement, je sens que ma salope se libère et parle de plus en plus ouvertement de ses fatasmes. Ainsi, elle me donne pour mission de préparer les grignotages, de sélectionner les boissons et d’expliquer à K.. la route à prendre pour nous rejoindre.

Pour cette dernière, je profite du petit trio whats’app que K.a mis en place. Ainsi, nous pouvons converser tous les trois par messagerie. Cela laisse tout le loisir à Muriel de me montrer comment elle chauffe son beau black par message… Et elle sait se montrer très convaincante.

Muriel est très organisée et ne manque pas, encore une fois, de me faire une démonstration éblouissante de son sens de l'organisation.La veille au soir, elle me demande de lui raser la chatte de près. J’adore ces moments d’intimité ou elle s’allonge sur la table du salon, cuisses très largement écartées et où je lui rase le minou de très très près. A chaque fois, la coquine mouille fort et cela se termine toujours par un bon coup de bite.

Nous voilà samedi matin… Grand ménage dans l'appartement, les lits sont drapés de frais et la coquine a même pensé à poser un lubrifiant au salon… au cas où nous aurons l'occasion de la sodomiser. Le vin est au frais et les amuse-bouches sont prêts.

Reste le moment que j’apprécie le plus, celui où elle me demande conseil sur ce qu’elle va porter mais aussi le coup de main qu’elle me demande pour la préparer.

Ce soir, ce sera corset noir serrant avec porte-jaretelles et string fendu en dentelle noire. Bas noirs, bien sûr et tout cela emballé dans une robe qui laisse déjà apparaître la dentelle de ses bas. Rien qu’à l’habiller, je bande déjà.

Pour ma part, j’ai une petite requête pour ce soir et il y accède : Quand son beau black lui aura éjaculé dans l'abricot, je veux qu’elle garde son jus bien au chaud. En effet, la première fois, K. lui avait complètement inondé la chatte de sa semence et, cette fois-ci, je voudrais bien en profiter. De son côté, Muriel fantasme de me voir la lecher pleine du jus de son amant; cela devrait être chose faite.

La soirée arrive et nous attendons fébrilement l’arrivée de son bel amant africain. Dix-neuf heures, le voilà qui s’annonce par un message. Il est sur le parking. Je vais le chercher pour le mettre dans les bras de ma chérie. Elle le reçoit avec un long baiser et je peux lire sur son visage le plaisir qu’elle a de le revoir.

Ils s’installent côte à côte dans le canapé et, pour ma part, je m’installe devant eux dans un fauteuil qui me met au premier plan des cuisses gourmandes de ma chérie. Après un temps de politesses et d’échanges polis, Muriel commence à se faire entreprenante et glisse une main sur la bosse du pantalon de son amant. Elle se lève et le laisse s’installer debout derrière elle. Les mains du beau black glissent sur sa robe, il soulève délicatement celle-ci pour laisser apparaître la prune de ma belle emballée dans de la dentelle noire et transparente.

Ma salope se retourne, l’embrasse fougueusement et s’agenouille devant lui. Elle ouvre son pantalon et sort l’engin déjà bien gonflé de désir. Sans tarder, elle s'engouffre dans sa bouche et commence à le pomper comme elle sait le faire. De mon côté, je bande, assis sur mon fauteuil à me caresser le sexe.

Un peu trop vite à mon goût, mais c’est elle qui mène la danse, elle se dirige vers moi, laisse son amant derrière elle et commence à me pomper à mon tour.
Il faut dire que ma belle a très envie de sentir deux queues dans sa bouche… Tout en me suçant, elle écarte les cuisses pour que le beau black puisse jouer de ses doigts sur sa prune déjà très humide. Il ne faudra pas longtemps pour que je me lève et que je demande à Muriel de s’accroupir entre K. et moi pour nous pomper le gland. Je le saurai le lendemain, Muriel a volontairement tout fait pour que les bites ne se touchent pas. Pourtant, elle sait que j’aime cela mais elle n’a pas demandé à K. s' il était bi… Principe de précaution ;-) Ceci dit, les glands s'effleurent dans sa bouche gourmande et cela n 'est pas pour me déplaire… loin de là.

Dans les confidences du lendemain, j’apprendrai que ma queue est plus grosse que la sienne mais que K. l’a plus longue que moi. Je dois bien avouer que cette légère supériorité de diamètre me fait plaisir ! Je ne m’étais pas rendu compte de la chose… Mais peut-être aurais-je un jour la chance de la mettre, moi aussi, en bouche.

Muriel a décidé de nous donner sa mouille. La coquine est fontaine et K. n’aura pas pu déguster son jus la première fois. Ainsi, elle s’allonge sur la table de la salle à manger la chatte à la bonne hauteur pour se faire fourrer par ses deux mâles. C’est K. qui s’y colle avec de bons coups de bites alternés par de longues séance de lèches. Mais K. ne sait pas comment faire mouiller Muriel. Et oui, il y a une technique qui lui est bien propre. En effet, enfoncer ses doigts dans son abricot n’est pas très efficace. Je vais donc délicatement prendre la place de son amant et lui faire une petite démonstration. Muriel a les cuisses bien écartées. K. lui tient une jambe pendant que je tiens l’autre. Ma queue est bien dure et je la pose contre la vulve de ma belle. Je me branle sur sa jolie chatte sans y pénétrer. Branler très rapidement ses lèvres et son clito avec ma queue… voilà le secret ! Elle ne met pas longtemps à faire gicler sa fontaine et à nous arroser tous les deux. Trempée, cuisses grandes ouvertes et le jus dégoulinant sur le sol, je laisse son amant s’installer à la fontaine pour y boire son délicieux nectar.


Nous passons un moment à baiser tous les trois sur le canapé et alternons nos queues dans sa bouche et dans sa chatte. La salope mouille abondamment et ses lèvres gonflent pour nous laisser de plus en plus d’espace dans cette vulve rougie de plaisir et trempée de cyprine.

Après une baise intense mais sans avoir éjaculé ni l’un ni l’autre, nous nous reposons à nos places respectives pour laisser souffler notre salope. Après un moment, je décide d’aller me coucher et de laisser volontairement les amants un peu seuls. L'appartement n’est pas très grand et les chambres, collées l’une à l'autre, sont contiguës au salon. J’entends les conversations des deux amants mais je plonge doucement dans un sommeil léger. Après un temps que je ne saurai déterminer, je suis réveillé par les gémissements de ma belle. Merde ! Je ne l’ai jamais entendue gémir ainsi. Ses râles sont longs et très excitants et la salope me fait bander à distance. Je me caresse et j’écoute avec attention ma belle se faire pénétrer. J’entends les clapotis de la bite de K. dans la chatte de ma femme et la salope mouille plus que jamais.
Vais-je me lever pour les rejoindre ou les laisser baiser ? La suite très très vite.

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