Laëtitia

Une femme offerte

David avait un très gros problème… Commercial dans une grosse boite américaine, il venait d’apprendre que la direction souhaitait réduire les postes de commerciaux. Son emploi allait être mit sur la sellette et les chances de se voir congédié assez conséquentes ! Sur son secteur, ils étaient deux en balance et son collègue avait de meilleurs résultats, ce qui lui vaudrait un avantage conséquent. A 35 ans, David ne pouvait envisager le chômage. Cela serait une catastrophe, d’autant que Laëtitia, sa femme, ne travaillait qu’à temps partiel et qu’il fallait payer les factures et élevé leur deux s de 10 et 8 ans. A 32 ans, à peine, Laëtitia était une jeune femme superbe, mais un peu trop coincée. David l’aimait, mais il regrettait sa trop grande pruderie et son manque d’appétit sexuel. Ce soir là, en rentrant chez lui, il se prit à penser que sa femme était son meilleur atout pour conserver son emploi ! Son concurrent, âgé de 48 ans, était marié à une matrone, doublée d’une mégère… Comme le directeur chargé de trancher entre eux, était connu pour ses frasques sexuelles avec le personnel féminin, David se disait qu’il pourrait proposer sa femme contre son emploi ! Il en était tout excité…
Laëtitia apprit, ce soir là, que David risquait fort de perdre son boulot. Mais, quand il lui fit part de ses réflexions durant le trajet de retour, elle blêmit puis se mit à pleurer. Elle ne pouvait comprendre que David puisse envisager de la livrer à un homme. Pourtant, tard ce soir là, après qu’il l’ai baisée copieusement, elle accepta de recevoir cet homme, pour un dîner, le vendredi suivant. Les s seraient confiés aux grands parents. Pour le moment, il était entendu que Laëtitia se ferait belle et sexy et qu’elle laisserait cet inconnu, l’admirer. Pas d’avantage !
Ce vendredi, elle cuisina simplement, ce mois de juin était beau et chaud et elle prit le parti de se baser sur des plats de saison. Vers 18h, elle prit une douche, s’épila le sexe, comme toujours depuis la naissance de leur premier , puis s’habilla avec beaucoup plus d’audace que de coutumes… Un joli ensemble de dentelle rouge, string et soutien gorge demi-lune.

Comme elle avait de très jolis seins, ronds et fermes, pas trop volumineux, elle savait que les hommes aimaient la regarder. Elle choisit, donc, une robe offerte deux ans plus tôt, par David, et qu’elle ne mettait pratiquement jamais, car elle était très courte et très décolletée. De ses origines méditerranéennes, elle avait une peau naturellement mâte et de fort beaux et longs cheveux noirs, un peu frisés… Se regardant dans la glace, elle fut surprise de voir une vraie belle femme, un peu trop sexy à son goût, mais elle avait promit à David de se lâcher.
Il était un peu plus de 19h quand son mari arriva, suivit de peu par la voiture de leur invité. L’homme, Guy, était grand, plus d’un mètre quatre vingt dix. Brun, très athlétique, il devait avoir dans les cinquante ans. Il refusa tout alcool et se montra, très vite, captivé par son hôtesse et ses charmes. Le diner fut émaillé de quelques compliments à la maîtresse de maison et pas seulement sur ses talents de cuisinière… Alors qu’elle débarrassait, elle fut rejointe, dans la cuisine, par Guy. Elle était penchée sur le lave vaisselle, sa robe, bien trop remontée, quand elle sentit une main sur le haut de sa cuisse droite, juste sous la fesse. Un instant, elle cru que c’était David.
« Très joli string rouge ! Qui va à ravir à une aussi jolie femme que vous… »
Elle sursauta, se redressa brusquement, blême, elle dit :
« Mais, enfin, qu’est ce que vous faites ? Si David vous voit me mettre la main au cul, ça va barder ! »
« David est parti chez vos voisins. Il doit demander un service et il m’a dit de vous tenir compagnie ! Je pense qu’il ne verra rien de mal à ce que je vous touche !!! »
Il s’avança, la plaquant contre la machine, lui prit le menton dans sa main droite et se pencha pour déposer un baiser sur sa bouche. En même temps, il avait glissé une main sous la robe et un doigt sous le string. Elle rua et tenta de se dégager. Il était bien trop fort pour elle et il lui donna une gifle…
« Arrêtes de te la jouer vierge effarouchée ! David m’a proposé de m’amuser avec toi en échange de son boulot.
J’ai dis que je voulais voir ce que tu valais pour passer un marché et il est d’accord. Alors, tu te laisses faire et tu ne le regretteras pas… Viens dans le salon ! »
Laëtitia tremblait de fureur et de peur. Il l’entraina vers le canapé et la fit basculer. Puis, il lui arracha son string.
« Ta une chatte superbe, ma salope ! Et en plus, tu mouilles !!! »
Pour son malheur, elle devait admettre que cette brutalité la faisait mouiller ! Elle ne comprenait pas, mais ce type avait déclenché une réaction inconnue… En quelques secondes, elle fut nue. Il sortit sa bite et elle découvrit un véritable monstre. Plus de 25cm et une épaisseur insensée. Il bandait très fort. Lui saisissant les cheveux, il lui ordonna de sucer. Laëtitia s’efforça de pomper ce sexe incroyable avec autant d’application que possible. Quand il l’a força à tout mettre dans la bouche, elle cru . Dieu que cette bite était énorme et longue… L’idée de la prendre dans la moule la faisait mouiller abondamment. Très vite, Guy décida de la baiser. La plaçant en levrette, il l’enfila d’un coup sec ! Elle fut submergée par un orgasme éclair et d’une intensité inconnue. Il lui laissa un court instant de répit avant de reprendre un ramonage extrême qui la fit jouir un seconde fois. Il sortit sa bite et lui écartant les fesses, il dit :
« Je vais t’enculer et de défoncer la rondelle comme la truie que tu es ! »
« Non ! S’il vous plait…Je ne pourrais jamais recevoir un tel engin ! Je suis quasi vierge de là… »
« T’inquiète, je vais t’ouvrir le cul et tu vas adorer ça ! Détends-toi, je sais y faire… »
Déjà, il avait introduit un doigt dans l’étroit passage. Il le bougea dans le sens de la largeur et de la profondeur, puis ajouta un doigt et enfin, un troisième. Laëtitia ne souffrait pas trop, ce qui la surprenait. David avait, depuis longtemps, renoncé à la sodomiser, car elle prétendait que c’était trop douloureux. Pourtant, quand Guy introduisit son gland, elle cria plus de surprise que de réelle douleur.
La bite entra entièrement et il attendit suffisamment pour qu’elle se dilate parfaitement… Alors qu’il commençait son va et vient, elle vit David, sur le pas de la porte, qui regardait son patron l’enculer. Il semblait y prendre plaisir ! Le voyant, Guy lui dit :
« T’as vu comme elle se laisse enculer ta femelle ? Maintenant, regardes bien comme je vais lui éclater le fion et elle va jouir et en redemander !!! »
« J’espère qu’elle va être à ta convenance ! »
« C’est certain….Mais n’oublie pas notre marché…Je me la fait vite fait… Après, je l’embarque pour le reste du WE… Et tu la mets à ma disposition tous les 15 jours, du vendredi soir au dimanche tard dans la nuit. Elle devra se mettre à ma totale disposition et fera tout ce que je voudrais ! »
Laëtitia commençait à pousser des cris de plaisir intense. David ne se souvenait pas de l’avoir jamais vue prendre autant de plaisir avec lui. Cela le titillait, mais il se rendait compte que sa femme était une vraie salope en puissance. Guy allait la transformer et il pensait que cela lui profiterait aussi… L’orgasme fut vraiment exceptionnel. Guy lâcha de longues giclées de foutre dans se cul béant qui venait de découvrir la joie de la sodomie…
Les hommes envoyèrent la jeune maman prendre une douche. Guy lui ordonna de revenir nue. Elle obéit à ses ordres et confirma qu’elle se soumettait à Guy. Quand elle fut de retour, il lui dit de remettre sa robe, sans dessous et lui précisa que, dorénavant, elle n’en porterait plus en sa présence. Puis, il prit congé de David en lui disant qu’il ramènerait sa femme tard le lendemain soir. C’est à cet instant que Laëtitia prit conscience des propos échangés par les deux hommes alors qu’elle se faisait enculer. David lui sourit et il l’embrassa tendrement en lui disant qu’elle était l’amour de sa vie…
La voiture de Guy était aussi confortable que belle. En une trentaine de minutes, ils furent chez lui. Un pavillon dans un lotissement sympa. Rien de bien folichon, mais il précisa que c’était un logement de fonction, payé par sa boîte… Une fois le seuil franchit, il lui dit :
« Enlève ta robe.
Ici, tu vivras nue ! Bien sûr, tu dormiras dans mon lit. Je tiens à préciser que j’ai beaucoup de visites et tu le constateras dés demain….Mais, même dans ce cas, tu resteras à poil ! »
Laëtitia s’exécuta, avec un frisson de frayeur à l’idée de devoir paraître nue devant d’autres personnes. Guy la dirigea vers la chambre et lui dit de se coucher et de ne pas hésiter à dormir. Il devait aller prendre une douche et régler une affaire, avant de venir dormir près d’elle. Elle s’endormi vite et ne senti même pas le corps de Guy s’allonger près d’elle. Le lendemain, elle aurait une grosse surprise et comprendrait que David s’était fait rouler comme un bleu !

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