La Joueuse De Badminton

Aujourd’hui c’est jour de tournoi de badminton. Je me lève à 6h30 pour être à l’heure à ma convocation à 7h20 (oui ça commence (très) tôt les tournois de badminton !) puis je pars en voiture en direction des gymnases de ma ville où ont lieu les matchs. Quand j’arrive il y a déjà pas mal de monde dans les tribunes et les premiers joueurs commencent à s’échauffer.
Pour ceux et celles qui ne connaissent pas l’ambiance d’un tournois de badminton, je vais planter le décor. Il y a souvent beaucoup de monde (entre 300 et 400 personnes), les matchs sont répartis entre deux gymnases. Souvent vous faites un match toutes les deux ou trois heures, et entre les matchs les joueurs passent leurs temps dans les tribunes à regarder jouer et encourager les copains et les copines de club. Heureusement pour le plaisir des yeux, il y a autant de garçons que de filles, et ils ont (même pour les séries les plus bas niveaux) quasiment toutes et tous des vrais corps d’athlètes.
Les deux gymnases où ont lieu le tournois sont séparés de 100m l’un de l’autres, et il y a un long couloir pour aller de l’un à l’autre, où il y a de part et d’autres une multitude de vestiaires et salles de sport, tous vide.
A 8h, je joue et gagne mon premier match. Après mon match, je retourne m’assoir dans les tribunes en attendant de jouer mon prochain match à 11h30. Juste devant moi se déroule un match entre deux filles. Celle de gauche et une grande blonde aux yeux marrons, fine et avec une queue de cheval pour attacher ses longs cheveux. Elle porte une jupe noire assez courte et un t-shirt bleu qui met bien en valeurs ses petits seins. Celle de droite est brune aux yeux bleus, également avec une queue de cheval et un t-shirt rouge qui met bien en valeur son corps. Le match dure 20 minutes, pendant ce temps-là j’en profite pour me rincer l’œil sur leurs corps qui sont très agréables à regarder (petits seins, petit cul !) et j’en ai bien profité.
C’est la blonde qui l’emporte.

Mais un détail m’a tout de suite sauté aux yeux, pendant le match, il n’y avait personne pour encourager la brune et à la fin du match, il n’y a toujours personne qui vient la voir pour la consoler. Elle va s’assoir dans les tribunes à quelques mètres de moi, seule.
Une heure plus tard, c’est à la buvette qui je la revois. Elle boit un coca toujours aussi seule. Je décide de prendre mon courage à deux mains, et je vais la voir.
- Bonjour
- Bonjour
- Je t’ai vu jouer tout à l’heure, tu méritais de gagner !
Ce n’est pas vrai, mais j’ai trouvé que ça pour entamer la conversation.
- J’aurai pu faire mieux, mais j’étais très fatigué en fin de match.
- Tu viens de quel club ?
- Je suis de Grenoble, j’ai fait la route ce matin toute seule pour être là à 8h.
- Ah oui tu as du partir super tôt !
- Oui.
- Comment ça se fait qui tu sois toute seule ? Généralement il y a toujours au moins 3 ou 4 joueurs du même club.
- Je devais venir avec une autre joueuse, mais elle s’est blessé la semaine dernière. Et en plus j’ai perdu ma partenaire de double habituelle. Mais bon les organisateurs m’on trouver quelqu’un d’autre pour la remplacer, mais je ne sais pas encore qui c’est.
- C’est dommage. En plus il n’y a personne pour t’encourager quand tu joues !
- C’est vrai que c’est mieux de se sentir soutenu et encouragé pendant les matchs.
- Du coup tu repars ce soir sur Grenoble pour revenir demain matin jouer les doubles ?
- Non je dors à l’hôtel, d’ailleurs je ne sais pas du tout où il est ! Tu es du coin ?
- Oui j’habite ici, je peux t’aider si tu veux ?
- Avec plaisir, j’ai toutes les infos dans mon sac qui est en tribune.
- Et bien allons voir ça ! Au fait, moi c’est William, et toi ?
- Sophie.
Je la suis jusque dans les tribunes pour qu’elle puisse me dire quel est son hôtel. Coup de chance, celui-ci se trouve juste à côté de chez moi. Je commence à lui expliquer comment y aller, quand j’entends que l’on m’appelle sur le terrain 11 pour jouer.
Je m’excuse donc auprès de Sophie, et on convient de se retrouver au même endroit juste après mon match.
Je passe prendre rapidement ma raquette, des volants et une bouteille d’eau, et je pars en courant dans le couloir pour aller jusqu’à l’autre gymnase où je dois jouer mon match. Pendant le match, j’ai vu Sophie au bord du terrain, elle est venue me voir jouer, c’est plutôt bon signe ! Le match ne se passe pas très bien pour moi. Malgré les encouragements de mes partenaires de club, je perds en 3 sets, et je ressors suant et totalement crevé de mon match. Je cherche Sophie du regard mais elle n’est plus là, elle n’est pas non en tribune. Elle doit certainement être entrain de jouer.
C’est elle qui vient me retrouver une demi-heure plus tard, on discute un long moment sur nos résultats respectifs, puis je reprends mes explications sur la route pour aller jusqu’à son hôtel :A la boulangerie, il fait prendre à droite, puis tout de suite à gauche, au rond-point c’est la deuxième sortie, etc. La voyant complètement perdue, je lui propose que ce soir elle me suive jusqu’à son hôtel, et j’en profite pour lui donner mon numéro de téléphone « Au cas où ». Finalement on a passé quasiment tout le reste de la journée à discuter et commenter les matchs des autres.
Le soir venu, je la guide comme prévu jusqu’à son hôtel, puis je rentre chez moi. En sortant de la douche je reçois un message de Sophie, qui me remercie de l’avoir amené jusqu’à son hôtel et de lui avoir fait passer une bonne journée. On a continué à discuter par SMS toute la soirée.
Au moment de me coucher, je lui dit que mes voisins profitent de leurs samedi soir pour faire la fête et que donc je n’allais pas pouvoir dormir beaucoup. Ce que je pensais être un texto complètement banal s’est finalement révélé être le déclencheur d’une bonne soirée.
« Et bien viens dormir avec moi si tu veux. Chambre 326 »
Difficile de refuser une telle offre, j’enfile un jean’s, un t-shirt et des chaussures et je pars à pied jusqu’à l’hôtel.
Je toque à la chambre 326, elle m’ouvre rapidement.
Nos regards s’accrochent et aucun de nous deux n’ose faire le premier pas. J’avance finalement vers elle, elle referme la porte derrière moi et se jette à mon cou pour m’embrasser à pleine bouche. Je peux enfin poser mes mains sur ce corps qui m’a tant fait fantasmer toute la journée. Je pose mes mains sur ses hanches puis en fait glisser une sur ses petites fesses musclées. On se décale petit à petit jusqu’au lit puis on s’y laisse tomber toujours dans les bras l’un de l’autre.
Toujours sans arrêter de s’embrasser, je passe mes mains sous son t-shirt. Je caresse son ventre puis petit à petit je remonte vers ses seins, pendant ce temps là, ses mains me caressent le torse et les fesses.
On fait rapidement voler nos vêtements à travers la chambre. Elle est au-dessus de moi, en sous-vêtement, elle commence à m’embrasser le torse en descendant petit à petit vers mon boxer. Elle l’att de ses deux mains et le fait glisser jusqu’à mes chevilles. Elle me regarde un instant, prend en main mon sexe bandé et commence à faire des vas et viens avec son poignet. L’avantage avec les joueuses de badminton c’est qu’elles ont le poigné souple et agile ! Toujours en continuant de me regarder dans les yeux, elle commence à me lécher les boules, d’abord du bout de la langue, puis elle les aspire une par une.
Petit à petit elle fait remontée sa bouche le long de mon sexe. Une fois arrivée au bout, elle l’embouche totalement. Autant pour le poignet je pouvais m’en douter, mais je ne pouvais pas imaginer qu’elle a aussi la bouche très agile ! Je ferme les yeux et je profite de ce traitement …
Au bout de quelques minutes, je me relève légèrement et je fais glisser ma main dans son soutien-gorge. Je caresse du bout de mes doigts la pointe d’un de ses seins qui est déjà très dur. Elle arrête alors de me sucer et elle se remet à califourchon sur moi puis elle enlève son soutien-gorge. Je n’en perds pas une miette.
Je pose mes deux mains sur ses seins, je les sous-pèse, les malaxes doucement et je joue avec les tétons.
Je lui demande :
- B ?
- Oui B. Monsieur est connaisseur ?
- Un peu.
Je me relève doucement pour que ma bouche arrive à la hauteur de ses seins. Je lui aspire un téton puis l’autres, elle soupire et passe ses mains dans mes cheveux. Je la retourne alors, désormais c’est moi qui dirige les opérations. Je l’embrasse intensément puis ma bouche parcours son cou et redescend jusqu’à ses seins. Pendant ce temps là, une de ses mains a attrapé mon sexe toujours autant dressé et le branle doucement. Je lui enlève son string et je découvre enfin son sexe entièrement rasé et déjà entre-ouvert. Je pose la pomme de ma main sur le bas de son vagin, et je remonte doucement en prenant bien soin de dessiner avec mes doigts tous les replis de ses lèvres intimes. J’arrive jusqu’à son clitoris que je caresse en faisant tourner mes doigts au-dessus.
Pendant ce temps là je l’embrasse à pleine bouche. Avec ma langue au contact de la sienne, je sens tous ses soubresauts que mes doigts lui donnent. Et elle arrête même complètement de faire tourner sa langue quand je lui enfonce un premier doigt dans son vagin humide, puis un second.
Je quitte à regret sa bouche pour aller lécher son clito. Toujours avec deux doigts au fond de son vagin qui je fais aller et venir, j’aspire doucement son clito et je le titille du bout de ma langue. Elle commence à gémir de plus en plus fort et me murmure des « encore » en appuyant sur ma tête.
Au bout de quelques minutes, je retire mes doigts de son vagin et je me redresse. Je lèche un des doigts plein de mouille et je lui donne l’autre à lécher, elle le fait en me regardant droit dans les yeux, c’est l’une des visions les plus érotique que j’ai eu l’occasion de voir !
J’att mon jean’s et je sors d’une des poche une capote que j’enfile rapidement. Je saisi Sophie par les hanches, et je commence à lui faire l’amour dans la classique, mais terriblement excitante, position du missionnaire. La vue de ses seins qui ballotent au rythme de mes coups de reins m’excite à fond. Je fais glisser mes mains de ses hanches vers ses seins, et je les malaxe en jouant avec ses tétons de mes deux pouces. Après quelques minutes et de nombreux gémissement, je lui propose de passer en levrette.
Elle se positionne à quatre pattes sur le bord du lit et je passe derrière elle. J’en profite pour caresser et admirer ses fesses. Une petite claque sur la fesse droite plus tard, je me remets au travail. Bien accroché à ses hanches, petit à petit j’accélère le rythme. Cette fois ce n’est plus des gémissements que j’entends, mais bien des cris de jouissance, j’espère que la chambre est bien isolée.
Sentant que je suis moi aussi bientôt au bout, je me retire, je lui demande se relever et je la mets dans ma position préféré. Elle les mains contre le mur, je suis derrière elle, les deux mains sur ses seins et mon sexe bien au fond du siens. On baise ainsi pendant quelques bruyantes minutes et je fini par jouir en elle dans un soupir libérateur.
On a remis ça sous la douche puis on s’est endormi nus, enlacés dans les bras l’un de l’autre.
6h30 le lendemain matin, je la quitte à regret. Je passe chez moi prendre mes affaires et je file directement aux gymnases pour disputer les doubles. Vu mon état de fatigue, ce n’est pas aujourd’hui que je vais gagner beaucoup de matchs ! Arrivé là-bas, je l’aperçoit de loin, elle a trouvé sa partenaire de double et est entrain de s’échauffer avec elle.
Un peu plus tard dans la matinée, je la croise dans le couloir entre les gymnases, son regard pétille d’envie. Elle me glisse alors à l’oreille : « J’ai envie de toi ». Nos regards se dirigent alors en même temps vers la porte d’un des vestiaires où personne ne va, juste derrière nous. Mais ça, c’est une autre histoire.

Peut-être que je ne suis pas le seul à fantasmer sur les joueuses de badminton ? Peut-être que vous aussi mesdames vous vous rincez l’œil aux tournois de badminton ? N’hésitez pas à m’écrire, et si vous avez aimé je vous raconterai la suite.

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