Drôles De Filles

Mon regard ne sait où se poser. Son visage attire mes yeux en premier, surtout sa bouche pulpeuse, ensuite ses yeux marrons qui me fixent avec un air de défit. Son visage est entouré d’une coiffure particulière qui tire ses cheveux en arrière en dégageant son front, pour retomber presque à mis dos.
Son corps ne se raconte pas tellement elle a des formes parfaites, avec des seins pointus sous son collant. Sa fine taille surmonte des hanches saillantes. Ses jambes portées par des chaussures à haut talon, lui permettent de marcher comme une reine.
Bref, J’ai envie d’elle. Je ne sais pas si elle voudrait de moi, un homme dans la quarantaine pas plus mal qu’un autre, sans attrais particulier de mon point de vue. A force de nous dévisager, elle me sourit, son visage change du tout au tout : elle est encore plus jolie. En m’approchant d’elle pour lui débiter je ne sais qu’elle fadaise, c’est elle qui s’approche de moi.
- Pourquoi vous me regardez ?
- Vous êtes belle, c’est tout.
- C’est tout. C’est vrai ce mensonge ?
- Vous avez raison, j’ai envie de bavarder avec vous.
- Allons chez moi pour parler. Vous ne me déplaisez pas.
En guise de conversation difficile, j’ai connu pire. Nous voilà en route vers son chez soi. Je prends son bras comme si je signalais qu’elle était avec moi. Le chemin n’est pas long, je commençais à me demander où nous allons.
Elle habite au premier étage d’une maison bourgeoise. Elle monte les escaliers en délaissant l’ascenseur. Sa porte juste en face s’ouvre sur son appartement. Dès que nous sommes entrés elle m’offre un café. J’accepte en attendant mieux. En patientant dans un séjour meublé surtout pas un immense canapé, c’est meublé avec un goût très féminin. Un immense rideau que je qualifie de sac à poussière est sur la fenêtre.
Elle revient avec deux tasses fumantes.
- Asseyez vous donc.
Nous commençons une conversation où elle fait montre d’un esprit remarquable et d’une culture générale qui change de beaucoup de jolies filles.

Elle est assise en face de moi, je regarde ce que je peux voir de ses jambes, à moitié couvertes par une courte jupe. Quand elle me demande ce que je pense de l’amour, je ne sais que répondre : je ne suis pas sentimental, par contre j’aime les femmes pour ce qu’elles en en moins en bas, entre les jambes. Je ne peux pas lui faire cette réponse. Elle précise :
- Je voulais dire de l’amour physique.
- J’adore faire l’amour. Et vous ?
Elle ne répond pas, elle se lève pour venir m’embrasser sur la bouche. Nos langues commencent le travail d’approche. Je la trouve particulièrement forte sur ce point. Son baiser arrive à me faire bander. Nous prolongeons le baiser quand je pose ma main sur la cuisse. Elle serre ma main entre ses jambes pour les ouvrir complètement.
- Tu veux qu’on s’aime ?
- Bien sur c’est pour ça que je t’ai suivi.
- Déshabilles moi lentement.
Je commence par le haut. Je suis surpris de voir qu’elle ne porte pas de soutien gorge, avec la poitrine qu’elle a j’en suis excité. J’embrasse les seins, je caresse l’autre, elle bande vite des tétons.
- Tu sais, tu es le premier depuis longtemps. J’ai eu envie de toi, comme ça quand tu me regardais tout à l’heure. Normalement je ne fais jamais l’amour avec les hommes. Je préfère et de loin les filles.
- J’en suis flatté. Je tâcherais de te baiser en douceur come pourrait le faire une de tes copines.
- Je n’ai qu’une seule copine comme tu dis. Je me dissipe aujourd’hui seulement. Alors oui, baises moi doucement.
Je suis capable de baiser gentiment une nana, je n’ai pas pour habitude de faire ce qu’elles n’aiment pas. Je demande toujours avant.
Je continue doucement mon épluchage. Si elle ne porte pas de soutien gorge, par contre elle a un slip en dentelle qui laisse deviner sa chatte. Je le lui laisse pour le moment. Ma bouche toujours sur son sein, mes mains caressent le ventre, la taille en descendant toujours je passe sur les fesses. Elles sont musclées, presque trop.
Je passe ma main dans la raie. Elle se doute bien que ce n’est par pour m’amuser. Je trouve enfin ce que je cherche, son anus. Comme elle n’aime que les filles je me demande si elle aime des caresses profondes à cet endroit. Aussi je ne fait qu’effleurer le cul.
Je fais descendre la culotte. La voilà totalement nue. Visiblement elle n’en est pas dérangée. Mes yeux sont éblouis de la beauté de ce corps de Vénus qui aurait en d’autres temps servi à Botticelli, surtout qu’elle a défait sa coiffure pour que ses cheveux arrivent sur ses fesses.
J’aperçois sa chatte. Je ne peux me retenir. Je vais faire ce qu’une de ses compagnes doit lui faire. Ma langue est sur elle. Elle écarte bien ses jambes pour que ma langue puisse passer. Quelle odeur et quel goût dégage son sexe. J’envie son amante de pouvoir cueillir un tel nectar. Je ne fais que lécher sans appuyer : elle se crispe rapidement. Je ne pensais jamais lui faire plaisir si vite.
Quand elle me demande d’arrêter j’obéi aussitôt. Elle besoin d’un peu de temps pur s’occuper de moi en me mettant totalement nu. Elle peut voir mon désir : je suis très dur, trop peut-être. Sans craindre elle prend ma queue dans sa main. Si elle sait branler les filles avec moi elle sait bien me masturber aussi.
Cette fois c’est sur, elle a du en branler pas mal pour faire comme elle fait : sa main a prit ma bite en entier dans sa main, de l’autre elle me caresse les couilles lentement, comme c’est bon de se faire branler ainsi.
Pourtant elle arrêt trop vite.
Maintenant c’est sa bouche qui me prend en entier. C’est d’abord sa langue qui me cherche le méat puis à l’intérieur de sa bouche, je la sens me lécher avant de passer mon gland entre la langue est ses joues. Elle me fait un bien fou. Je ne m’y attendais pas du tout puisqu’elle pratique la fellation mieux qu’une fille normale. Ses cheveux rajoutent du piment en venant sur mon pubis.
Je suis mal placé pour lui faire quoique ce soit. Je me retiens pour ne pas jouir.
Elle ne me lâche plus, on dirait qu’elle attend ma semence. Drôle de fille qui préfère les filles et attend que je jouisse dans sa bouche. Tant pis pour elle, elle désirait baiser avec moi, elle va déguster mon jus. Je pars en disant que je vais jouir. C’est bien ça elle accepte me sperme dans le fond de sa bouche, elle fait plus que l’accepter, elle l’avale lentement.
Je suis totalement incapable de la satisfaire. Elle le savait puisqu’elle ouvre un tiroir pur sortir un gode magnifique, muni des dernières techniques de l’innovation en la matière.
Elle se met sur moi, en 69, pend à nouveau ma bite dans la bouche, sa langue étant toujours aussi active sur un bâton inerte. Par contre sous mes yeux elle se branle avec son nouveau compagnon.
Elle se baise gentiment, lentement, profondément. Je vois bien le gode s’enfoncer, tourner sur lui-même, aller et venir là où j’aurais aimé être. Mais la maligne sait comment me faire bander. Le spectacle qu’elle me donne fait relever la tête à Paupol.
Je bande bine maintenant. Elle arrête sa masturbation pour venir sur moi, les jambes ouvertes. Elle se met le gode dans le cul facilement. Puis,
- Baises moi.
- Tu la veux où ?
- Dans le cul avec le gode.
- Et devant ?
- Je me branlerais.
Je vais essayer de la contenter. La présence d’un gode n’est pas facile pour l’enculer. Je fais ce que je peux, elle écarte aussi encore plus ses fesses pour s’offrir mieux. A force j’entre en elle. Je sens un plaisir nouveau, la présence du gode vibrant dans le cul me donnent d’autres sensations extraordinaires.
Elle doit y trouver son compte en entendre ses gémissements et sa demande :
Si ma copine était là, elle me sucerait bien comme elle sait faire. J’ai envie d’elle ? Je vais passer un coup de fil.
La voilà en pleine baise téléphoner à je ne sais qui. Si je débande un peu, elle jouit surtout en téléphonant et expliquant ce qu’elle fait. Nous sommes toujours moi dedans elle avec ma bite et le gode dans son cul élargit.

J’allais finir par lâcher mon sperme quand une jolie fille entre sans frapper. Elle coupe ma jouissance, juste avant. Elle est vite nue, une autre exception de la nature devant moi. Avant tout elle me donne un baiser sur la bouche, puis embrasse sa copine sur la boute bine sur.
Elle se glisse sous nous, je la vois quand elle vient prendre le clitoris de son amie qui prend le sien. Elles se font un 69 assez bizarre. La nouvelle arrive à bouger le gode en même temps que moi. C’est bien meilleur. Elle me caresse aussi les couilles.
Je ne me doutais pas finir en trio avec deux perles de filles qui sont plutôt bis qu’homos. Je ne sais comment je fais pur ne pas partir. Je sens que ma première fille jouit plusieurs fois. Et enfin je sens venir du fond du ventre la vague libératrice. Je jouis comme je n’ai jamais joui.
C’est à croire que les orgasmes se transmettent des uns aux autres : elles aussi jouissent presque ensemble.
Je pense partir quand elles me retiennent : elles ont besoin de moi pour se finir. Je ne sais trop ce que veut dire se finir. Je reste près du couple de filles qui s’embrassent longuement sur la bouche, me donnant des envies de recommencer encore un long moment à les baiser, surtout qu’une ne connait pas encore ma queue. Et en plus je ne connais même pas leurs prénoms. Qu’elle importance quand on baise la première venue !
Je sens qu’elles ont envie de baiser entre filles. Je vais les laisser s’aimer comme elles veulent. Il ne faut surtout pas que je parte, sinon je romprais je ne sais quel lien entre nous. Bref je dois les regarder.
C’est facile et agréable de voir deux filles se faire l’amour, surtout quand elles savent bien se gougnotter. La position en 69 semble leur plaire particulièrement. Je vois qu’elles se mettent des doigts dans le cul. Moi qui hésitais au début, je m’en veux de ne pas l’avoir fait en la branlant.
Regarder des filles se faire l’amour me fait encore bander. Tant pis pour elles, je vais aller dans le premier cul ou con venu. Je tombe sur la nouvelle qui ouvre bien ses fesses quand elle me sent sur elle.
Son amante, vois ce que je veux faire, elle lui met de la cyprine avant que j’aille dans le ventre.
Je remets en place le prépuce pour prendre encore plus de plaisir à la sodomie. Je suis quand même étonné de voir avec qu’elle facilité ma queue entre dans ce « petit » trou. J’entends un voie étouffée qui me dit : oui encule moi fort. Je pense « que tu le veuille ou non, je te la mets au cul. » Je lime son anus longuement : il ne faut pas oublier que j’ai joui plusieurs fois ces derniers moments, aussi je prolonge mon plaisir et celui de celle que je sodomise.
Je suis obligé d’arrêter en éjaculant une dernière fois dans les boyaux de la belle.
J’espère revenir encore un jour, je connais l’appartement, les filles, pourquoi ne pas recommencer bientôt


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