Plus On Est De Fous

Mon ami m’avait prévenu, nous allions passer à l’étape suivante et mes fantasmes allaient devenir réalité.
Lorsque j’arrivais chez lui, il me fit entrer dans le salon où deux autres hommes attendaient, assis confortablement en dégustant une boisson. Ils étaient à peu près du même âge, peut être un peu plus mais souriants et je fus vite en confiance.
Au centre de la pièce, à la place de la table basse, trônait un établi pliant sur lequel était fixé un coussin : voila où aurait lieu mon supplice consenti.
Nous avons discuté agréablement quelques minutes mais je sentais mon cœur battre plus vite et une petite inquiétude m’envahir : que m’avaient-ils réservé comme surprise cuisante ?
Mon ami se leva le premier, suivi des autres « Passons aux choses sérieuses, en piste ! ». Tous les trois s’approchèrent de moi et entreprirent de me dévêtir, ôtant lentement tous mes vêtements, leurs mains s’attardant parfois sur mon corps. Quand je fus nu à leur merci, mon ami m’expliqua les règles établies.
- Nous disposons de deux dés, le premier déterminera le nombre de coups que tu recevras, le second l’instrument qui servira à te les administrer. Le chiffre 1 correspond à la main, le 2 au paddle, le 3 à la ceinture, le 4 à la badine et le 5 au martinet. Le 6 est le joker, ton fesseur pourra choisir l’instrument de son choix. Nous jouerons tous cinq tours. Es-tu d’accord ?
- Oui, répondis-je en un souffle.
Ils m’approchèrent du banc de fessée improvisé, me penchant en avant afin que mon torse repose sur le coussin, mes bras le long des pieds avant et mes jambes écartées le long des pieds arrière. J’offrais ainsi une vue imprenable sur mon postérieur mais aussi sur mon sexe qui pendait sous le plateau.
- Qui commence, demanda mon ami ?
- A toi l’honneur, répondit l’un des invités.
Il fit rouler le premier dé et sorti le 4, puis le second qui montra le 5. J’allais donc recevoir quatre coups de martinet, l’entrée en matière s’annonçait difficile.


Il se plaça de côté et frappa méthodiquement, avec force mais sans violence comme il savait le faire, ce qui me fit sursauter à chaque coup et pousser un petit cri. Sa main jugea du résultat puis il demanda au suivant d’opérer de même. Ce furent 3 coups à la main, ce qui me chauffa les fesses pour la suite. Le troisième tira deux 6, il choisit de nouveau le martinet et m’administra 6 bonnes cinglées, visant également le haut des cuisses. L’une des lanières s’égara sur mes couilles offertes, ce qui me fit pousser un cri.
- Ne l’abime pas, on commence juste, rigola mon ami.
Je fus donc fessé de toutes les manières, recevant alternativement tous les instruments. Je sentais mes fesses bruler et me sentait honteux dans cette position de soumission. Au dernier tour, l’un des fesseurs tira un 2 et un 6, il devait donc choisir l’instrument. Il choisit la badine mais l’utilisa d’une manière très spéciale. Il demanda l’aide des deux autres afin d’écarter mes fesses, libérant ainsi mon anus. C’est directement sur celui-ci qu’il frappa les deux coups, pas trop fort heureusement car je ressentis comme des décharges électriques.
- On fait une pause, décréta mon ami.
Il me fit me relever, m’agenouiller et me mit les mains sur la tête comme un mauvais élève. J’entendais les quolibets des fesseurs réjouis du spectacle que je leur offrais. Après quelques minutes, l’un des fesseurs demanda :
- Que fait-on maintenant ? On ne va pas le laisser comme ça !
- Je vous propose une chose, on reprend les dés mais cette fois on va s’occuper de lui. Le chiffre qui sortira sera la durée pendant laquelle on pourra le prendre comme on veut. On le fait trois fois chacun pour commencer, Ok ?
La réponse fut unanime, vous vous en doutez, et ils se déshabillèrent sans perdre de temps, enfilèrent un préservatif, me demandèrent de me lever, tête baissée, et de m’approcher.
Mon ami passa le premier « pour faire la route » comme dit l’un des convives. Il me pencha sur le banc de fessée puis, avec du gel, il entreprit de me préparer.
Son doigt tournait sur ma rondelle, appuyant légèrement pour lubrifier l’entrée, puis pénétra franchement pour parfaire la préparation.
- C’est prêt, dit-il en s’écartant.
Il prit le dé et le lança : « 5 ! ». Il devait donc me besogner pendant 5 minutes.
- A vos chronos !
Il me pénétra lentement mais complètement, la sensation de plénitude me fit pousser un soupir, j’aimais quand il me prenait ainsi. Il accéléra progressivement jusqu’à ce que je sente les poils de son pubis me caresser agréablement la raie. Je sentais ses couilles battre doucement le bas de mes fesses.
- Stop, c’est fini, au suivant !
Je restais dans la même position en attendant les ordres. Le suivant tira un 3, il s’approcha de moi et me pénétra d’un coup m’arrachant de nouveau un cri. Ses mouvements étaient courts mais rapides, je haletais sous ses coups. Sa queue était plus épaisse mais la pénétration s’était faite sans effort grâce au travail préparatoire que je venais de subir. Au bout des 3 minutes il ressortit et ce fut au tour du troisième de jeter le dé : 6 !
Les choses changeaient. Il me fit m’allonger sur le dos sur le canapé, releva mes jambes, les plaça sur ses épaules et me pénétra ainsi. J’étais baisé comme une vraie femelle sous le regard avide des deux autres spectateurs.
Les assauts se sont ainsi succédés, dans toutes les positions, en levrette, allongé sur le ventre, sur le côté… je crois que tout ou presque y passa. Je sentais mon anus ouvert comme il ne l’avait jamais été, j’étais offert entièrement à ces trois hommes. Le fait de s’arrêter entre deux assauts leur permettait de reprendre vigueur et le spectacle de ce corps à la disposition de leur désir devait encore accen l’effet.
Lorsque le dernier arrêta, un seul était allé au bout de son plaisir. Mon ami me demanda de terminer le travail et montra l’exemple en enlevant son préservatif. Je me mis à genoux, m’approchais de son membre et entrepris de lui rendre hommage comme il le méritait.
Ma langue passait sur le gland, jouait avec avant de prendre son membre en bouche. Je n’aime pas les fellations profondes, il respectait toujours mon souhait. Lorsque le plaisir arriva, il sortit de ma bouche et déchargea sur mon visage. Je n’aime pas non plus avaler le sperme.
Le suivant avait déjà enlevé son préservatif, je me plaçais devant lui et exécutais de mon mieux la tâche que je devais accomplir. Il jouit également sur mon visage, respectant ainsi mes souhaits.
Ils me donnèrent la permission d’aller à la salle de bain pour une rapide toilette intime et restèrent à discuter. J’entendais des rires, et des exclamations de joie, je me demandais ce qu’ils me réservaient encore.
Quand je revins dans le salon, je compris vite. Mon ami avait amené l’ordinateur portable et la webcam et s’était connecté sur un site, il proposait une petite « visio » à ceux qui le souhaitaient. J’étais, bien entendu, le sujet principal de cette exhibition. Il expliqua d’abord ce qui venait de se passer sans omettre les détails les plus scabreux, et indiqua que chacun pourrait juger sur pièce. Il me fit mettre en levrette, fesses face à la caméra, cuisses écartées et commenta les images. Le rouge devait être flamboyant et les zébrures bien présentes à la vue de tous ces voyeurs inconnus. Puis il écarta mes fesses afin que chacun juge de l’ouverture de mon anus. A la demande d’un voyeur il introduisit même deux doigts qu’il écarta comme des ciseaux afin d’en montrer l’élasticité. Cela se termina par une invitation à ceux qui le souhaitaient d’assister à la prochaine séance. J’aurai donc droit à la fois à mes fesseurs et sodomisateurs réels mais aussi aux voyeurs. Quel programme !

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