Visite Intime

Chaque rencontre avec mon amant me réserve des surprises, bonnes la plupart du temps. Celle-ci n’a pas dérogé à la coutume.
J’arrivais chez lui en fin d’après-midi, il était prêt et, visiblement, le programme commençait par une promenade. Nous sommes montés en voiture et nous avons roulé quelques kilomètres. Mon amant n’est jamais très bavard, juste l’essentiel pour me faire comprendre ce qu’il souhaite.
Nous sommes arrivés dans un village, il s’est garé sur un parking et nous sommes descendus. Il connaissait bien l’endroit car il n’a pas hésité une seconde sur le chemin à suivre et nous nous sommes retrouvés devant la porte d’un pavillon. Il a sonné et tout de suite un home, assez grand, la quarantaine souriante, est venu ouvrir.
« Ne perdons pas e temps, j’ai une visite à 18h00, passons dans mon cabinet ».
Nous sommes entrés dans une pièce qui était, à l’évidence, un cabinet médical. Un bureau, deux chaises, des petites armoires contenant des ustensiles dont je ne connaissais pas l’utilisation et une table d’examen.
Mon amant et le médecin ont échangé quelques mots puis il s’est tourné vers moi avec un sourire :
« Allons-y, déshabille-toi ».
Je me suis levé, ai enlevé mes chaussures puis ai enlevé ma chemise. Pendant ce temps le docteur a placé un papier de protection sur la table d’examen. J’enlevais mon pantalon et restait les bras ballants, le cœur battant.
« Pas de fausse pudeur, complètement nu ! »
Je retirai mes chaussettes puis fis glisser mon caleçon.
Le médecin s’est approché de moi, m’a observé sous tous les angles puis a posé très « professionnellement » ses doigts sur ma verge, d’abord doucement puis en appuyant un peu plus, tâtant mes couilles et remontant sur la hampe pour me décalotter complètement. Il est ensuite passé derrière moi, a fait de même pour mes fesses en insistant pour ouvrir le sillon et effleurer on anus.
« Tout cela me semble bien, passons à la suite, allonge-toi sur la table »
Je e suis allongé sur la table comme il me le demandait, il placé un étrier de chaque côté puis a fait basculer l’avant de la table.

Je me retrouvais donc les fesses au raz du bord.
« Place tes pieds dans les étriers et décontracte-toi ! »
J’obéis offrant ainsi on anatomie à la vue de ce médecin et de mon amant qui s’était levé.
Le médecin est allé chercher un gant qui a enfilé, a placé du gel généreusement sur mon trou et a posé son doigt à l’entrée. Doucement il l’a fait pénétrer jusqu’à ce que sa paume touche mes fesses offertes. Il a alors commencé un long massage de ma prostate, me faisant pousser des gémissements de plaisir.
Mon amant n’a pas tardé à baisser son pantalon et à libérer son sexe déjà au garde à vous. Il a approché un petit tabouret qui servait à aider les patients à monter sur la table d’examen et a approché sa queue de ma bouche. J’ai commencé à effleurer son gland avec la langue puis à rendre sa tige dans la bouche pendant que le médecin continuait son ouvrage, sortant et rentrant son doigt dans ce qui n’avait plus rien à voir avec un examen médical.
Il a fait pénétrer un deuxième doigt puis un troisième, me dilatant à sa convenance. Je ne pouvais m’empêcher de bouger le bassin sous ses assauts et à pousser des râles de plaisir.
Jugeant sans doute que le passage convenait, il s’est arrêté, a baissé son pantalon et son slip, mit un préservatif et s’est présenté à l’entrée de mon anus. Il m’a pénétré en un mouvement lent et continu avant de s’immobiliser au fond de moi. Les va-et-vient ont commencé, d’abord amples puis plus rapides, sortant parfois pour rentrer de nouveau d’un coup.
Pendant ce temps mon amant gémissait sous la caresse de ma bouche, je fermais les yeux et profitais à plein de cette situation.
A un moment, le médecin s’est retiré, enlevant la capote et mon amant l’a remplacé entre mes cuisses, enfilant un préservatif comme à l’habitude.
Il m’a pénétré d’un coup pendant que le docteur présentait sa queue gonflée à ma bouche. Mon amant me ramonait durement pendant que je suçais le médecin qui, d’un coup s’est retiré et a explosé, m’inondant le visage de sperme.
Mon enculeur n’a pas tardé à jouir à son tour en un cri.
Après quelques instants, tous eux se sont essuyés, me laissant jambes écartées sur la table avant de venir essuyer mon visage et mon sillon trempé.
Je suis descendu de la table tout pantelant, je me suis rhabillé pendant qu’ils devisaient joyeusement. Nous avons pris congé puis sommes repartis sans un mot, mon amant souriant malicieusement en me jetant des coups d’œil.

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