La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 347)

Suite de l'épisode précédent N°346 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -

Pendant ce temps-là, Marie va chercher de grandes casseroles d’eau chaude qu’elle verse dans la baignoire, en veillant cependant à ne pas ébouillanter le corps de l’esclave, mais de manière à remonter peu à peu la température de l’eau à un degré de plus en plus difficile à supporter pour Thaïs qui se croiraient bien dans un centre de Thalassothérapie ou dans un de ces centres d’eau thermales chaudes, sauf qu’elle patauge dans un bouillon d’autant plus innommable que ses mouvements ne font que mélanger les ingrédients qui barbotent autour d’elle. Les morceaux de tomate, ont fini par devenir juste du jus rouge qui dégouline sur ses cuisses chaque fois qu’elle se lève couverte des herbes de Provence que Marie avait mis pour soi-disant donner plus de goût à ce ‘’bon potage’’ de légumes. Une voix tonitruante interrompt la séance sportive alors que Thaïs MDE allait se lever pour le 10ème mouvement à bout de force et ne sachant plus comment se retenir tant son envie d’uriner est pressante.

- STOP !

Thaïs s’immobilise net. Elle venait juste de se relever, n’avait pas encore mis les mains sur la tête et fait demi-tour pour se mettre en position.

- Tu as au moins plusieurs secondes de retard ! Mais je n’ai plus de temps à perdre maintenant, donc on va faire comme si cela avait été passablement tolérable à défaut d’acceptablement bien. Tu as le droit maintenant de pisser en levant une patte, mais tu ne bouges pas de là ! c’est compris ?… J’ai envie de te voir pisser comme une chienne. Soulève bien la jambe si tu ne veux pas t’en mettre partout ….. Ah, ah, ah, ah !…. je rigole parce que de toute manière tu vas t’en mettre partout puisque tu vas tremper dans ton jus et dans le mien... Ah, ah, ah petite souillon de chienne !…

La chienne-soumise a un temps d’hésitation qui lui vaut un bon coup de cuillère sur chaque cuisse, avant de lever la jambe gauche.

Elle s’est retenue si longtemps qu’elle en a presque du mal à se laisser aller maintenant dans cette situation particulièrement humiliante.

- Bon ! tu te dépêches, parce que sinon il te faudra te débrouiller de tenir jusqu’à ce soir… Je ne supporte pas les timorées qui se la jouent. Qu’est-ce que tu crois quand tu vas à la piscine, que l’eau chlorée et remplie de produits chimiques est meilleure pour ta peau ?.. Allez pisse la chienne et que je puisse voir de beaux jets de liqueur dorée sortir de ta chatte de chienne, là bien exhibée à mes yeux ... Je ne pense pas que mon regard vicieux t’empêche de te soulager car je sais que ta vessie est pleine à te voir comme tu te tortillais … Aller pisse et laisse-moi ce plaisir à te voir ainsi humiliée à pisser sous mes yeux ...

Thaïs MDE se dit que Marie a vraiment de drôles d’idées perverses dans la tête, mais prenant son courage à deux mains, et dans un équilibre presque instable sur une jambe et l’autre levée, elle détend enfin les sphincters de l’urètre pour permettre la miction et laisse couler longuement un long jet jaune d’urine lui permettant de soulager sa vessie qui était effectivement largement pleine avec toute l’eau qu’elle avait avalé depuis qu’elle était entre les mains de Marie, comprenant maintenant pourquoi celle-ci l’avait tant fait boire. Mais c’est connaître bien mal l’imaginaire débordant de la cuisinière de croire que Thaïs est enfin au bout de ses peines. A peine a-t-elle terminé d’uriner et de laisser tomber les dernières gouttes qui coulent sur son entrejambe faute de pouvoir s’essuyer que la voix tonitruante de Marie se fait entendre, accompagnée de quelques coups de cuillère en bois bien placés qui font comprendre à Thaïs qu’elle doit écarter les jambes au maximum et aussi conserver une position bien droite avec les mains derrière la nuque. Thaïs penche la tête de manière instinctive sans avoir besoin d’ordres précis, comprenant aussi sec que son passage entre les mains perverses de Marie n’a pas encore pris fin.


- Les pattes encore plus écartées car j’ai un truc à vérifier... Monsieur le Marquis nous a prévenus depuis un bon bout de temps que tu étais une sacré fontaine. J’ai beau savoir que cela existe, j’ai toujours l’impression que l’éjaculat féminin reste quand même très proche de l’urine, car d’où pourrait-il sortir sinon du même endroit. Ce doit être de la foutaise tous ces trucs qu’on raconte. Moi, je ne pisse pas quand je jouis, un point c’est tout. Je pisse avant, et même j’aime bien me soulager et marquer mon territoire sur celles et ceux qui vont me passer entre les cuisses, mais je ne les noie pas sous mes flots d’eau de fontaine, je les embaume juste de mes succulentes odeurs quand je jouis grâce à leur langue docile de chien ou de chienne. Ca en est de drôles de manières de couler et de tout tâcher partout. Heureusement qu’ici tu n’auras pas droit de jouir souvent, même si tu es une vraie chienne en chaleur qui n’attend que cela, sinon on passerait notre temps à te faire faire le ménage derrière toi pour éviter qu’on te suive à la trace. Tu ne peux donc pas fermer ton robinet comme tout le monde et t’en tenir à quelques bonnes odeurs féminines de mouille qui sentent le sexe, l’excitation et le vrai plaisir obtenu ?

Thaïs MDE se remémore à cet instant ses passages s entre les lèvres chaudes et humides de la cuisinière aux odeurs très fortes loin de sentir la rose, bien que terriblement excitantes de se savoir contrainte et e chaque fois de s’engouffrer presque à en perdre la respiration dans la chatte béante de Marie qui n’a jamais tardé à jouir sous le jeu de son léchage appliqué avec sa vraie langue de chienne en chaleur obéissante. Elle ne comprend pas très bien ce que Marie insinue sur les femmes fontaines, avec son langage habituel si cru et faisant peu dans la dentelle et le raffinement. Mais elle comprend bien qu’elle est directement visée par ces propos qui sont dit d’un ton qui marque une grande désapprobation de la part de la cuisinière, sûrement accompagnée d’une pointe de jalousie de ne pas avoir la capacité comme certaines des chiennes-soumises du Cheptel de pouvoir ouvrir plus grand un robinet de vraie eau de joie au moment de l’orgasme telle des véritables femmes-fontaine…

Presque sursautant de surprise, Thaïs MDE sent que Marie qui s’est positionnée dans son dos, lui enfonce quelque chose dans son fondement.
Cela ressemble en taille au poireau avec lequel elle avait été enculée et déjà écartelée alors qu’elle était dans le bain, mais elle ne peut en être sûre car les sensations sont différentes tandis qu’elle est debout et qu’avant son anus et son bas-ventre était immergés. C’est alors que Thaïs MDE sent à nouveau quelque chose prendre possession de son vagin, pour le dilater sans ménagement d’un mouvement ferme. L’esclave comprend que Marie a recommencé son godage végétal et qu’elle s’active de plus belle à nouveau. Son bas-ventre qui était resté privé de jouissance s’enflamme de multiples plaisirs à nouveau très vite sous les va-et-vient de la cuisinière qui semble une fois de plus bien décidée à la faire grimper à l’acmé des plaisirs. Mais Thaïs MDE se concentre pour ne pas se laisser trop vite débordée par une onde fulgurante qui la traverse comme jamais, tant elle vient de vivre de nombreuses minutes chargées d’émotions humiliantes mais en réalité si excitantes en elle-même et aussi de tant de sensations diverses.

- Alors la chienne ! Tu as la chatte bien humide à nouveau à ce que je vois. Si cela se trouve c’est un état permanent chez toi ! Je suis sûre que tu aimerais quelque chose de très ‘’ré-jouissant’’ et que tu ne sais pas si tu y auras droit …. Ah, ah, ah, ah !... moi je sais, mais je ne te le dirais pas … Cela m’amuse de te savoir à ma merci, ayant accepté tout ce que je t’ai imposé et l’acceptant encore. Cela me réjouit de savoir que tu m’as permis de mettre au point cette recette particulière, qu’il va me falloir recopier dans mon carnet de cuisine dorénavant. Un bon bouillon de légumes un peu épicé de saveurs exotiques et …. érotiques ! Sauf qu’il me manque une pointe finale que j’avais prévu de rajouter au dernier moment, le petit ingrédient de la fin pour que la recette soit complète et parfaite. Cette recette c’est un peu ma potion magique à moi, la recette pour bien faire mijoter une chienne ! Ah, ah, ah, ah !...

Marie rentre et sort le concombre qui glisse dans la vulve trempée de l’esclave de plus en plus profondément.
Thaïs ne sait si elle va résister encore longtemps et elle crispe ses doigts pour tenir bon, n’osant pas se mettre à parler une fois de plus pour supplier Marie de mettre fin à son godage qui devient presque insoutenable sans jouissance autorisée.

- Oui ce petit ingrédient c’est ton éjaculat de femelle-fontaine et donc je voulais un peu de ton eau de fontaine pour ajouter à mon potage, mais bon je suppose que ta vessie étant vide, il y a peu de chances que tu me dégoulines sur mes doigts si je te donnais l’autorisation de …

Marie attend quelque secondes avant de terminer sa phrase sachant qu’elle maintient la chienne-soumise dans un état extrême et d’un ton presque détaché, elle ajoute

- … de jouir maintenant ! C’est un ordre !... Lâche-toi. Maintenant… Jouit tout de suite… Chienne !!!…

Il n’en faut pas plus à Thaïs MDE pour exploser dans un violent orgasme fort puissant, elle est secouée par une décharge électrique ininterrompue de plaisirs intenses. Elle jouit si fort qu’elle se met à pousser un énorme et interminable râle et éjecte de son vagin plusieurs jets saccadés qui inondent la main de la cuisinière et dont certaines gouttes arrivent même à jaillir assez loin sur ses bras. Marie continue quelques mouvements des deux légumes dans les orifices tremblants de la chienne-soumise qui est prise de soubresauts et de contractions au point presque d’en perdre l’équilibre, ayant dénoué les mains de derrière sa nuque pour s’accrocher au rebord de la baignoire sous la violence de l’orgasme qui l’a déstabilisée.

- Et bien, et bien, on se calme maintenant. Je ne sais pas d’où tu sors ton eau, mais je dois avouer que tu es surprenante et que tu en fous partout. Mon potage va être succulent avec tout cela. Tu es une vraie salope, cela ne doit pas déplaire à Monsieur le Marquis, pour peu que tu deviennes une bonne soumise dévouée, tu auras toute ta place à ses pieds.

Thaïs MDE est dans un état encore second, revenant d’un si puissant orgasme, de tant de spasmes violents et jouissifs que son corps réclamait depuis longtemps et qui fut paradisiaque. Elle voudrait avoir la force de se redresser et elle ne sait même pas comment elle doit faire pour remercier Marie, bien que ce soit ce qui lui vient à l’esprit après avoir reçu autant de jouissances, même si elle est passée par quelques moments plus difficiles à supporter. Marie, att Thaïs MDE par le bras et l’aide à sortir de la baignoire, comprenant très bien que ses jambes ne la portent plus après tant d’efforts et d’épreuves en tout genre.

- Assied toi par terre un moment, je vais aller te chercher de quoi te sécher et te couvrir car il n’est pas question que tu prennes froid avec le changement de température après ce bain très chaud, l’air doit te paraître frais et tu vas vite manquer d’énergie.

Marie ramène très vite une boisson énergisante et une couverture qui attendaient tout près à quelques mètres et qu’elle jette sur les épaules de Thaïs MDE, qui, encore tremblante et presque dans un état second, est presque étonnée d’autant d’attention de la part de celle qui la traitait de manière si bestiale quelques minutes plus tôt. Elle se surprend à ressentir presque de l’affection pour celle qui lui a permis de vivre des moments si intenses, parfois difficiles mais aussi si jouissifs en même temps et qu’elle n’est pas prête d’oublier. Tandis que Marie lui tend la bouteille, Thaïs MDE s’incline profondément, elle se mettrait bien à genoux mais elle a l’impression que ses muscles tétanisés et exténués ne répondent plus à son cerveau. Alors, elle dépose un baiser sur la main encore trempée de Marie qui se laisse faire et qui tend les doigts pour faire comprendre à la petite chienne reconnaissante qu’elle peut la lécher et l’essuyer tout à son aise. Et d’une voix plus douce qu’à l’accoutumée et presque inhabituelle chez cette « Maître Queue » qui règne en reine absolue sur les Cuisines du Château, la cuisinière ajoute :

- Aller, bois maintenant, cela va te faire du bien et te remonter un peu. Je dois te rendre en bon état car ta journée de dressage est loin d’être finie. Ensuite, il te faudra te sécher correctement… la chienne. Ne tarde surtout pas, il faut que je te remette entre les mains de Monsieur Walter et que je reprenne sans plus attendre mon service, car ce soir tout le monde va vouloir manger à l’heure et j’aime la ponctualité. Tu me dois deux punitions malgré tout. J’espère que tu n’en as pas oublié les raisons, nous réglerons cela une fois arrivées en haut.

(A suivre…)

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