Léa Se Dévergonde Toujours Plus

Dans mon dernier récit, Léa était complètement à ma merci :

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Je décidai donc d'initier cette petit à l'exhibition. L'occasion de la sortir ne se présenta pas tout de suite. Je la fis donc apprendre ses leçons à la maison, lorsqu'on se retrouvait tous les 3, sa soeur, elle et moi. Dès que Béatrice avait le dos tourné, Léa en profitait pour me montrer sa chatte. Les meilleurs moments c'était quand Béatrice se levait l'après midi alors qu'elle venait de bosser la nuit. Quand elle allait prendre sa douche, je baisais Léa comme un fou dans la cuisine.
Le moment le plus osé fut une fellation juste à coté de Béatrice qui dormait sur le canapé. Là le timming fut hyper serré. Léa n'était vraiment pas à l'aise et s'efforçait de faire rentrer ma queue dans sa bouche sans faire le moindre bruit. A un moment elle prit peur lorsque sa soeur bougeât dans son sommeil. Je ne sais pas comment elle fit mais elle se réfugia derrière le canapé (qui donne vers la cuisine). Béatrice ouvra les yeux mais resta allongée. Elle était assommée par ses médicaments. Néanmoins, elle fut surprise et en colère de me voir le sexe à la main.

B : Mais qu'est ce que tu fou ?

J'eus l'idée de reporter mon excitation sur elle. Je n'avait pas le choix, il fallait que je l'occupe pour laisser le temps à Léa de s'éclipser. Je me levai rapidement et je me plaçai à genoux devant la tête de Béatrice.

N : Ma chérie j'ai trop envie que tu me suce !

B : Mais t'es pas bien, Léa et les gosses pourraient venir, non ! Arrêtes !

N : Poses pas de question, je suis trop excité là, ça va durer 2 minutes !

B : Rhooo tu fais chier !

Béatrice n'eut pas le choix d'avaler mon sexe tellement je le pressais contre son visage. Elle avait l'habitude des pipes rapides et savait comment y faire pour que je la laisse ensuite tranquille.

Elle me suçait comme une chienne en me fixant d'un regard sombre. Moi je souriais car je savais dans quelle bouche était mon sexe quelques minutes avant. Léa eu le temps de rejoindre sa chambre sans bruit. Je me raclai la gorge au moment où elle ferma la porte. Je ne tardai pas à éjaculer dans la bouche de Béatrice. Tout comme sa soeur, elle se réfugia comme un ninja dans la salle de bain...
Le soir là, je réveillai 2 fois Béatrice pour lui faire l'amour. Bizarrement, elle semblait apprécier la chose plus que d'habitude. Elle prit l'initiative de me finir dans sa bouche après s'être empaler sur ma queue comme une petite chienne en chaleur. Les deux fois, elle mouilla largement et pris plaisir à me nettoyer avec sa langue.

La semaine suivante, l'occasion de sortir Léa fut de l’emmener faire une course en ville. En théorie nous devions torcher cela en 5 minutes dans la petite ville juste à coté de notre village, un après-midi ou Béatrice dormait après le boulot. En réalité, je l'ai emmené dans la "grande" ville à 40 km, pour que son exib soit plus tranquille. Léa s'était faite très belle pour l'occasion. Maquillage parfait, petite robe bleue qui lui arrivait à mi cuisse, petit blouson noir et escarpin de la même couleur. Naturellement, elle ne portait aucun sous vêtements et durant le trajet, je ne manquai pas de visiter sa petite fente tout en conduisant.
Une fois arrivé, nous avons marcher dans toute la ville. Léa était craintive mais tout de même obéissante. Je lui fis prendre des positions dans une multitude de lieu pour la prendre en photo. Je faisais monter les risques progressivement jusqu'à ce qu'une femme d'une cinquantaine d'année nous surprenne et nous lance un "vous n'avez pas honte?"
J'avais fait s'assoir Léa dans une ruelle pour lui faire écarter les jambes au maximum. Tout semblait sur mais c'était sans compter sur cette femme qui nous voyait de chez elle.
La pauvre Léa ne voulait plus continuer ce petit jeu. Nous sommes allés boire un café dans un bistro pour faire notre debreafing.
Léa gardait les jambes bien serrées sous le regards des poivrots du coin.

L : Je te préviens, ne m'oblige pas à écarter les jambes ici, c'est NON !

N : Ok, ok, calmes toi ! C'était pas mon intention.

Léa semblait vraiment honteuse de s'être fait voir dans une pareil position. Il fallait que je la rassure mais aussi que je lui expose ce qui me trottait dans la tête.

N : C'est bon Léa, c'est bon c'est fini. Tu ne la connais pas cette bonne femme et tu la reverra jamais, ok ?

L : Oui mais quand même... Franchement, j'aime pas du tout ça... Ne m'en veut pas mais c'est pas du tout mon truc.

N : Ok ok, c'est bon, plus d'exib en public. Mais expliques moi quand même ce qui te gène autant ?

L : C'est trop de pression je trouve. Déjà l'autre jour avec Béa j'ai trouvé ça limite. Je préfère être au courant de tout ce qui se passe autour de moi. Je sais pas comment je réagirait en cas de pépin.

N : Ok donc ça t’excite clairement pas.

L : Non. Je préfère être avec toi dans un lieu tranquille. Même dehors si tu veux mais vraiment tranquille.

N : Ok, je comprends.

C'était le moment de lui exposer un dernier challenge.

N : En parlant de tranquillité... Je connais un endroit et il y a quelque chose que j'aimerai que tu fasses pour moi. C'est un peu tordu aussi.

L : ... Ok... Et c'est quoi au juste ?

N : C'est une bonne action.

L : C'est à dire ?

N : Je connais un vieux SDF qui vit au abord de la ville, et j'aimerai que tu lui apporte un repas pour moi.

L : Quoi ? Ah mais non ! J'ai pas envie de faire sauter par un inconnu et encore moins un crasseux !

N : Calmes toi ! Personne ne t'a demandé de te faire sauter.

L : Non mais là c'est pas possible ! Tu peux pas me demander ça après que je t'ai expliquer que je n'aimais pas l'exib. T'as envie que tout le monde sache aussi ou quoi ?

N : Calmons nous ! Je te parle pas de te faire baiser en club à la vue de tout le monde ! Je te parle juste de montrer un peu ton cul à UNE personne, et en plus il n'est personne le pauvre ! Tu lui file un truc à manger et tu lui lève un peu ta robe, c'est tout !

L : C'est ça que tu attends de moi ? Tu veux me prêter à un clodo ? Et si il me saute dessus, hein ? (Léa commençait à avoir les yeux humides)

N : Mais non ! Et je serrais avec toi, et d'ailleurs c'est moi qui parlerai, ok ?

L : .
.. Je veux pas qu'il me touche...

N : Ok, ok ! Il te touchera pas, promis. Aller ma chérie, sèches tes larmes, ça va aller...

A l'idée que Léa allait obéir à ma demande, j'en bandais comme un fou et j'en oubliais toute culpabilité de l'avoir fait pleurer. Les regards des clients s'étaient fait un peu plus insistant durant notre dispute silencieuse. Je payai nos consommations pour quitter les lieux sans plus attendre. En passant devant un "point chaud", j'achetai un repas bien copieux mon notre ami George, ainsi que quelque canettes de bière.
Une fois dans la voiture, j'expliquai un peu à Léa comment on allait faire.

N : Bon écoutes, c'est très simple. Sa cabane se trouve à l'écart de tout. On sera vraiment tranquille. Vu qu'il fait bon, il sera dehors mais là aussi c'est tranquille.
Donc tu n'auras rien à craindre. Je lui expliquerai que ce n'est qu'un spectacle visuel ok ?

L : Ok...

N : De toute façon il est vieux donc ça m'étonnerait qu'il tente quoi que ce soit. Au pire on se barre et puis c'est tout d'accord ?

L : D'accord...

Nous arrivâmes à la cabane de George. Comme prévu, il était assis dehors sur une vieille chaise en bois qu'il avait du récupérer à la déchetterie non loin. Une fois à sa hauteur il me reconnu. Je lui avait déjà apporté des trucs à manger quand je bossais dans le coin. C'était la première fois que je venais accompagné. Sur le moment, j’espérais qu'il allait apprécier ce que je lui apportais, et non pas réagir autrement. Je pense que j'étais tout aussi anxieux que Léa...

G : Ah salut gamin !

N : Salut George, ça va ?

L : Bonjour monsieur.

G : Bonjour mademoiselle. Oh ben oui ça va, il fait beau ! Tu penses encore à moi alors ? (George voyait bien le sac plastique que tenait Léa)

N : Et oui comme tu vois. Çà me fait toujours autant plaisir de dépanner.

G : Et ben c'est gentil. A part quelques personnes qui me file la pièce de temps en temps, t'es bien le seul à venir me parler.
Alors c'est ta copine la piotte ?

N : Oui, d'ailleurs c'est elle qui a ton casse croute. Donnes lui Léa.

L : Tenez... (Léa sentait que les choses sérieuses approchaient. Je lui avait dit que c'est moi qui soulèverait sa robe)

N : Je t'ai pris quelques bières aussi, t'as vu ?

G : Ah ça c'est super. Merci bien les jeunes ! A part vous dire que le bon Dieu vous le rendra, je peux rien vous promettre de plus ! Ah Ah Ah !

N : J'ai quelque chose d'autre pour toi, Georges.

G : Ah bon ? Je suis gâté ma parole.

N : C'est quelque chose de spécial et j'espère que ça te plaira.

G : Ah...

Je passai derrière Léa pour la prendre par la taille. Je lui dit dans l'oreille de sourire, ce qu’elle réussi à faire malgré le stresse. Mes mains descendirent pour saisir la robe de Léa. C'était parti !
Je levai la robe de Léa jusque son ventre. Sa chatte était maintenant offerte à George qui n'en croyait pas ses yeux. Nous restâmes tous les trois silencieux peut être pendant une minute mais cela du paraitre une heure. Je pris la parole pour tenter de débloquer la situation.

N : Çà te plait George ? Elle te plait ma copine ?

G : ... Ben... Heu... Oui elle est jolie mais pourquoi tu me la montres à poil ?

N : J'ai pensais que ça pouvait te plaire de revoir une femme nue. Et Je suis ravi de te montrer ma Léa.

G : Ah ben ... Oui... C'est sur elle est jolie... Mais ça me surprend là... Je sais pas quoi dire moi... Elle est d'accord au moins ?

A ma grande surprise, Léa prit la parole. Elle se sentait peut être plus à l'aise devant la réaction gênée de George. Elle se retourna vite fait pour me lancer un "je gère" puis elle s'adressa à Georges.

L : Oui oui je suis d'accord. Il fallut me convaincre un moment de vous rendre ce service mais je suis d'accord.

G : ... Ben j'ai rien demandé moi hein...

L : Oh je sais. Je le fais avant tout pour satisfaire les lubies perverses de mon copain. Il a envie de je fasse une bonne action en vous faisant un petit show rien que pour vous. Mais attention, on regarde et on touche pas. Çà vous va ? (J'étais vraiment surpris par la confiance qu'avait pris Léa. Je décidai de rester silencieux et de la laisser faire)

G : ... Ben ... Heu... Je sais pas moi, c'est vous qui voyez...

L : Nelson, laisses nous tranquille, George a surement besoin d'un peu d'intimité.

Je regagnai la voiture pour les laisser seul, enfin c'est ce que je laissai croire à notre ami. Son coin était parsemé de broussailles et de bosquets. Je décidai donc de les contourner pour revenir vers l'action. Pendant ce temps, Léa avait ôté sa robe et George s'était assis par terre contre un petit tas de bois qu'il avait empilé. Je mettais rapproché de la scène pour pouvoir les entendre. D'où j'étais, je voyais George de dos et Léa qui avait emprunté sa chaise pour mettre une jambe dessus. Elle s'était rapprochée au maximum de lui et écartait sa chatte allègrement. De mon coté, j'avais sorti ma queue pour me masturber tout doucement. Léa se caressa la chatte plusieurs minutes puis elle prit la parole.

L : Alors Georges, ça vous plait ?

G : Oh oui ! T'es vraiment jolie comme fille ! (George s'était détendu depuis qu'il pensait que j'étais parti. Çà me faisait plaisir de l'entendre complimenter Léa)

L : Oh merci George. Mais ma chatte elle vous plait ?

G : Ben.. Heu.. Oui. Oui elle me plait ! (George ne devait pas avoir l'habitude d'entendre parler une femme comme cela)

L : Vous voulez la voir de plus près ?

G : Oh oui !

Léa prit son blouson pour le poser sur la chaise. Sans doute pour la rendre plus agréable au touché car elle s'assit dessus pour de nouveau écarter sa chatte au maximum.

L : Venez la voir, mais attention, restez correct, d'accord ?

George se mis à genoux juste devant le spectacle et observa Léa malmener sa chatte avec ses doigts. Il devait être à à peine 10 centimètre de l'action. Je voyais Léa porter ses doigts à la bouche en faisant des "mmm". George avait mis sa main dans son pantalon et la bougeait avec insistance. Léa reprit la parole.

L : Alors elle est belle ma chatte George ? Elle sent bon ?

G : Oh oui ! Elle sent bon ! (George était tout excité mais prenez garde de ne pas toucher Léa. Sans doute avait il peut d’abréger le spectacle en commettant une erreur)

L : Je vais vous montrer autre chose !

Léa se releva et se tourna. Elle mis de nouveau une jambe sur la chaise et se pencha pour s'appuyer sur le dossier avec une main. L'autre main écarta ses fesses déjà bien ouvertes grâce à son poids plume. George avait maintenant la chatte et l'anus de Léa devant ses yeux.

L : Et mon cul il vous plait ?

G : Oh oui qu'il est beau ! Oh la la !

L : Vous en voulez plus ? (Mais que pouvait elle faire de plus sans provoquer l'explosion de George qui se branlait dans son pantalon)

G : Oui !

L : Alors lèches le !

J'étais sur le cul ! Léa qui ne voulait pas avoir de contact avec le SDF se laissait lécher ! En même temps George se contenta seulement d'approcher sa tête. Une de ses mains l'asticotait et l'autre lui faisait garder l'équilibre. Je décidai de les rejoindre. George était en transe et il se foutait pas mal de ma présence. Je passai devant Léa avec la queue à la main.

L : Alors ça te plait ?

N : Oui beaucoup, et toi ?

L : Oui ! Aller viens que je te suce.

Léa engloutit ma queue comme une nymphomane. Elle me suçait avidement jusqu’à ce qu'on soit dérangé par George. Il était fatigué d'être assis au sol et il s'arrêta de brouter Léa.

N : Ça va pas George ?

G : Je fatigue, les jeunes. J'ai mal aux mains.

N : Attends George, allonges toi sur l'herbe.

L : Oui, je vais t'apporter ma chatte, attends voir.

Léa se plaça à croupi au dessus du visage de George. Celui ci qui devait se sentir écrasé se servit de sa main libre pour soutenir les fesses de Léa.

L : Tu peux mettre tes doigts dans mon cul si tu veux, George. T'as été gentil.

Léa me fixa en souriant en prononçant cette phrase puis elle continua sa fellation. Notre petit manège dura encore quelques minutes. George finit sans doute par éjaculer dans son froc et moi je remplis la bouche de Léa qui avala tout.

George resta allongé sur le sol en nous remerciant encore. Il remercia particulièrement Léa lorsqu'elle lui tendit les fesses en guise de bise d'au revoir.
Dans la voiture, elle se blottit contre moi pendant le retour. Moi j'étais claqué... mais la nouvelle qui m'attendait à la maison allait me requinquer !

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