Découverte Improbable 3 - Première Sodomie

Cette partie de mon histoire est assez longue, mais je n'ai réussi ni à la séparer en deux ni à la raconter avec moins de détails. J'espère que vous l'apprécierez tout de même. JF.

***

Une quinzaine de minutes après avoir quitté le stationnement de la manufacture où l’homme m’avait fessé et humilié sans que montre quelque signe de rébellion, nous arrivons devant une grande maison à deux étages, entourée d’arbres et située un peu en retrait. Nous sommes presque en campagne, et le plus proche voisin se trouve à près d’une centaine de mètres, ce qui garantit une certaine intimité.

– Laisse tes vêtements dans la voiture, tu n’en auras plus besoin ce soir, me dit-il. Va m’attendre près de la porte.

Toujours complètement nu, mais bien plus à l’aise que la dernière fois que je suis sorti de cette voiture sans mes vêtements, je me dirige vers l’entrée de la maison. Je dois avoir l’air d’un fantôme qui marche dans la nuit avec ma peau blanche éclairée par la lune presque pleine qu’aucun nuage ne masque, mais l’idée que les voisins peuvent tout de même m’apercevoir s’ils regardent dans la bonne direction au bon moment m’effleure à peine. Une fois arrivé à la porte, je m’accroupis et entoure mes jambes de mes bras pour me réchauffer en attendant de pouvoir entrer.

– Monte l’escalier et prends la première porte à gauche, c’est la salle de bain, dit l’homme en déverrouillant la porte. Installe-toi à quatre pattes dans la baignoire. J’irai te rejoindre.

Pas fâché de me retrouver au chaud à l’intérieur, je n’attends pas qu’on me le répète pour monter l’escalier et me diriger vers la salle de vain. Malgré ma précipitation, j’ai tout de même le temps d’être impressionné par l’opulence de la maison. Au vu des nombreuses décorations qui mêlent le style campagnard ancestral au mobilier le plus chic et moderne, il ne fait aucun doute que les propriétaires ont des goûts de luxe. L’imposant foyer de pierre, les énormes poutres de bois qui barrent le plafond et une vieille bibliothèque bien garnie y côtoient des toiles aux motifs assurément contemporains, de rutilants sofas de cuir et quantité d’éléments éclectiques, ce qui donne à la maison une ambiance baroque, même si chaque objet semble être minutieusement disposé, comme au terme d’une longue et âpre réflexion.

Seul un ou des esprits très cartésiens peuvent vivre ici.

Après quelques minutes passées dans la baignoire à attendre que quelque chose se produise, l’homme entre et ne montre aucun signe de satisfaction à me voir ainsi, dans cette position disgracieuse que j’ai pourtant prise sans rechigner dans l’espoir de lui plaire. Il se trouve maintenant en bras de chemise, manches relevées, et je suis à même de constater en voyant ses bras qu’il semble assez musclé, même s’il est loin d’être un culturiste. Sans dire un mot, il branche un système étrange à un joint situé sous le pommeau de douche.

– J’aime bien la propreté, alors je vais te rendre propre. Épaules et tête par terre, cul relevé, écarte les fesses et relaxe-toi. Tu vas sentir quelque chose de froid.

Moins apeuré qu’intrigué, j’obéis et sens aussitôt le « quelque chose de froid » appuyer contre mon anus et y pénétrer très facilement. Je le sens à peine passer, ce qui signifie que ça doit être assez étroit comme objet. Puis, un filet d’eau tiède s’immisce entre mes chairs. Plus de doute possible, je subis pour la première fois un lavement. Même si je suis foncièrement d’accord avec l’objectif recherché, la méthode avec lequel ce procédé m’est administré m’apparaît quelque peu dégradante, mais je comprends que cela fait partie du processus de prise de contrôle de l’homme à mon endroit. Je comprends tout cela et, bien que sois à quatre pattes dans une baignoire, m’écartant les fesses, pendant qu’on m’injecte de l’eau dans le rectum, je commence à bander. Cependant, bien vite, à l’intérieur de moi, je commence à sentir un léger inconfort. J’ai l’impression que mes intestins sont en train de se remplir encore et encore, comme si cela n’allait jamais s’arrêter.

– Serre les fesses.

Enfin, la canule se retire et une main se met à me masser le ventre en décrivant des cercles autour de mon nombril.

– Tu t’occupes du reste. Garde ça le plus longtemps possible en toi, puis relâche-toi dans la toilette.
Recommence tout ça deux ou trois fois, jusqu’à ce que ce qui sort soit bien propre.

– Bien, Monsieur.

– Ensuite, dit-il en me montrant un rasoir jetable et de la crème à raser, tu enlèves tous les poils autour de ta queue et sur tes petites couilles. J’ai vu que ton cul était lisse, mais profite quand même de l’occasion pour passer quelques coups de rasoir sur ta raie. Je te veux glabre comme au premier jour.

– Euh, c’est que…

– C’est un ordre.

– D’accord, Monsieur.

– Prends le temps qu’il faut, je t’attends au salon. Ah oui, et met ça quand tout sera fini et que tu seras bien vide et propre, ajoute-t-il en déposant près du lavabo, bien en évidence, un petit plug transparent.

Je vous épargne le reste des péripéties dans cette salle de bain. J’ai dû gonfler trois autres fois mon ventre comme une baudruche (je ne dois pas avoir fait les choses correctement, c’est certain) et me vider autant de fois avant d’être satisfait de mon hygiène interne. Une fois celle-ci assurée, confirmée, vérifiée, certifiée, j’ai enlevé mes derniers poils (il faut dire que je les gardais déjà assez courts…) sur mes parties génitales et entre mes globes fessiers. Cela fait drôle de caresser mon sexe désormais glabre, j’ai l’impression que cela contribue à me rabaisser un peu plus, comme si sans ces poils – et avec ma maigreur, ma pâleur et ma faible pilosité générale – je n’étais pas assez viril pour être un « vrai » homme.

Mes ablutions ont duré presque une heure. C’est maintenant le temps de mouiller le plug de ma salive et de le poser, non sans appréhension, contre mon anus. Surmonté d’un faux rubis en plastique, il n’est pas tellement gros (environ trois centimètres de diamètre, à vue de nez) et a une forme d’œuf légèrement étiré, mais il me faut quelques tentatives pour réussir à le faire entrer complètement dans mon petit cul inexpérimenté. La sensation est paradoxale. Il s’y mêle un peu de douleur due à l’écartement de mes chairs, mais aussi une sorte de plaisir doux et confus.
Quand je vois dans le miroir le bijou rouge émergeant de mon petit cul bombé et lisse, avec à l’avant mon sexe parfaitement lisse, je suis à la fois fortement excité et effrayé par ce que je constate être devenu...

Je m’empresse de dévaler l’escalier pour rejoindre l’homme censé m’attendre au salon. Il s’y trouve en effet, un verre d’alcool ambré à la main, les yeux rivés sur la télévision sur laquelle joue ce qui a toutes les allures du début d’un film pornographique. Une jeune femme blonde en lingerie aguichante entre dans une pièce où un homme en complet-veston est en train de travailler sur un ordinateur portable, l’air très concentré. Elle se met alors à se déhancher devant lui et à frotter les zones érogènes de son corps à travers la lingerie, pressant ses seins qui ne sont pas très volumineux, frottant son bas-ventre, exhibant ses jolies fesses traversées d’un string en dentelle noir.

À ce moment, dans la réalité, l’homme se lève et s’approche de moi. Il boit une gorgée d’alcool et me tend le verre.

– Bois le reste.

Beurk, c’est du whisky ! À la première gorgée que j’avale, je ne peux m’empêcher de toussoter, ce qui lui arrache un mince sourire condescendant. Moi qui ne suis guère habitué à boire de l’alcool fort et n’aime en plus pas tellement le goût du whisky en particulier, me voilà servi… Pendant qu’à petites gorgées, je m’efforce de boire le contenu du verre, m’habituant peu à peu sentir couler le liquide chaud dans ma gorge et me sentant me détendre progressivement, l’homme tourne autour de moi et passe ses doigts distraitement sur mes hanches, puis sur mes fesses mais en les effleurant à peine. Il remonte ensuite vers mon ventre plat, pour aboutir sur mes seins. Pour une deuxième fois de la soirée, mes tétons se font caresser, pincer, étirer, tordre, alors que j’essaie tant bien que mal de finir le foutu whisky au fond de mon verre sans en mettre partout. Encore une fois, je m’étonne de la réactivité de mes tétons.
Ils sont maintenant érigés, durs comme de la pierre

Sur l’écran, la jeune femme blonde s’est installée dans le fauteuil en face de l’homme et a écarté son string pour mieux se masturber devant lui, exhibant sa chatte rose épilée dans laquelle elle fait aller et venir son index et son majeur en gémissant de plaisir. L’homme commence à s’intéresser à elle et a désormais complètement délaissé son ordinateur. Après quelques minutes de ce manège, il se penche vers elle et l’embrasse goulûment, leurs langues s’emmêlent sans que l’actrice ne cesse de se masturber.

Une fois mon verre terminé, l’homme le prend et le dépose plus loin. Ma tête tourne un peu, mais je ne suis pas ivre. Seulement, comment dire, libéré, oui, c’est ça, libéré. Il empoigne alors fermement mes fesses, ce qui contraste avec la douceur de ses précédentes caresses, et me tire vers lui. Il plaque alors ses lèvres sur les miennes et me roule la pelle la plus intense que j’aie jamais reçue. En même temps que ses mains malaxent activement mes fesses et jouent avec mon plug, sa langue me viole la bouche, ses lèvres me dévorent avidement. Mes jambes défaillissent sous moi, mon corps se liquéfie, ce qui fait que je m’appuie encore plus sur son torse puissant, comme si je m’abandonnais à lui, et le pousse à raffermir sa prise sur mon cul.

Durant quelques secondes, je suis tétanisé. J’avais fini par accepter l’idée de l’avoir sucé puis éventuellement de me faire baiser par lui, mais jamais je n’avais imaginé qu’il allait m’embrasser – et encore moins comme ça ! Un tel geste était, me semblait-il, trop intime. Pourtant, après quelques instants, ma langue va à la rencontre de la sienne rugueuse et je réponds plus activement à ses baisers. Sans que je le veuille, mes doigts commencent à défaire maladroitement les boutons de sa chemise qu’il finit par retirer sans cesser de m’embrasser. Je vois pour la première fois son torse bien sculpté, surtout pour un homme de son âge. Je caresse ses abdominaux et ses pectoraux relativement découpés, sa peau légèrement bronzée. Sa langue agile enrobe la mienne comme pour la dompter, l’écraser, son début de barbe crisse contre ma joue comme du papier abrasif mais je n’en ai cure, j’ai l’impression qu’il aspire ma volonté hors de moi tellement je me sens faible entre ses bras. Toutefois, dès que mes mains se posent sur la ceinture de son pantalon, il se recule vivement, comme saisi d’une décharge électrique, ce qui me fait choir sur le sol, surpris et à bout de souffle.

– À genoux sur le tapis là, fesses sur les talons, mains à plat sur les cuisses.

Dans le film, la jeune femme blonde est maintenant à genoux entre les jambes de l’homme assis. Elle tient la queue imposante de sa main minuscule et, avec un regard coquin volontairement provocateur, en suçote le gland comme s’il s’agissait d’une friandise. Je le vois bien, son visage est tiraillé entre le désir d’engloutir ce beau sexe de mâle bien excité et celui de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.

– Tu bandes. Tu t’imagines être le gars ou la fille ?

– Euh, je ne sais pas trop, Monsieur… Habituellement, je m’imagine toujours à la place du gars…

– Je vais te le demander autrement. En ce moment, tu t’imagines que cette fille te suce la bite ou tu imagines que toi, tu suces la grosse queue de ce gars ?

– Je… je m’imagine sucer sa queue…, avoué-je en rougissant et en détournant le regard.

– Donc, tu bandes parce que tu as envie de sucer une queue ?

– Oui, Monsieur, dis-je en rougissant encore davantage si c’est possible.

– Comme je suis le seul homme ici, c’est donc la mienne que tu as envie de sucer, n’est-ce pas ? me lance-t-il en collant son paquet bien dur contre mon visage pour me démontrer son excitation.

– Oui, Monsieur…

– Mieux que ça, me demande-t-il d’un ton sec en frottant carrément son entrejambes sur ma joue afin de bien me faire sentir la grosseur de son sexe.

– Oui, Monsieur, j’ai envie de sucer votre queue.

– Je suis sûr que tu peux faire mieux encore.

– Je vous en prie, Monsieur, laissez-moi sucer votre grosse bite, j’en ai tellement envie !

J’ai presque crié cette phrase même si j’ai à peine conscience qu’elle provient véritablement de moi. Sentir cet énorme sexe tout dur si près de moi m’a transformé en vraie chienne en chaleur. Je comprends à ce moment que cet homme, s’il continue ainsi, pourra obtenir tout de moi, car, à mon grand désarroi, je deviens totalement malléable en sa présence.

– Vas-y, petit, suce-moi.

Considérant que dans cette situation il vaut mieux répondre par le geste que par la parole, je sors avec difficulté son sexe du pantalon et entreprend de le cajoler comme je l’ai fait dans la voiture, d’abord avec ma langue en enrobant le gland si doux que je retrouve avec plaisir, puis en en embouchant le plus possible le reste de la hampe, écartant mes lèvres autant que je le peux afin que mes dents ne la heurtent pas. À chaque va et vient que j’effectue sur l’énorme gland et une petite partie de la queue, je sens mon anus se contracter autour du plug que je porte et une vague de plaisir traverser mon corps en même temps que je bande de plus belle. Cela me pousse à me démener comme une furie sur ce sexe dans l’espoir de satisfaire son propriétaire, mais cela n’émeut en rien ce dernier, qui demeure impassible, sans même m’accorder un regard d’encouragement.

Après quelques minutes, tout de même, il semble lui prendre l’envie de jouer avec moi. Il me retire son sexe et le branle lentement devant mes yeux. Il constate sûrement avec un malin plaisir que je suis tout simplement incapable de détacher mes yeux de cette magnifique queue recouverte de salive, de ma salive. Je dois me retenir pour ne pas la saisir de mes mains et la plonger moi-même dans ma bouche !

– Tu en veux encore, hein ?

– Oui, Monsieur, j’aimerais encore vous sucer.

– Je te le répète, je me fous de ce que tu aimes. Ouvre la bouche, sors la langue.

Comme pour me narguer, il commence ensuite à arpenter mon visage avec son sexe. Il le fait glisser sur mes joues, frôler mes lèvres, cogner contre mes yeux, tapoter ma langue tout en refusant obstinément de me laisser poursuivre ma fellation même si je lui offre mon regard le plus cochon… Lassé de ce petit jeu, il finit par me donner ses couilles à gober, ce que je fais sans la moindre hésitation. J’ai l’impression de cajoler avec ma langue des gros bonbons que je ne pourrai jamais avaler, mais qui sont pourtant si bons. Dans cette position, sa queue repose sur tout mon visage et sans doute qu’elle le dépasse tellement est énorme !

– Comment est-ce qu’on appelle quelqu’un qui aime sucer de la bite ?

– Je ne sais pas, Monsieur, lui dis-je entre deux léchouilles.

– On appelle ça une suceuse.

– Mais je suis un gars…

– Aucune importance. De toute façon, avec ton corps de chochotte, ça ne change pas grand-chose. Tu es une suceuse, point. Ma petite suceuse. Dis-le.

– Je, je suis votre… Je suis votre petite suceuse personnelle, Monsieur.

Je crois bien que je ne me fatiguerais jamais de lécher ses couilles comme ça, mais il en décide autrement puisque, avant même que je l’aie réalisé, il a posé ses mains sur ma tête et a plongé sa queue en moi. Instantanément, je m’étouffe sur celle-ci, mais n’ai guère le temps de m’apitoyer. Aussitôt, elle ressort de ma bouche pour mieux y revenir, comme si elle cherchait à me forer. Comme dans la voiture plus tôt, ma tête est maintenue en place pendant que je me fais vigoureusement baiser la bouche. Enfin, je dis vigoureusement, mais sur l’écran de la télévision, l’actrice se fait bien plus r que moi. Son maquillage ruisselle sur ses joues tellement le sexe de l’homme plonge profondément entre ses lèvres en suivant une cadence effrénée. Je ne comprends absolument pas comment cette fille plus petite que moi peut en prendre autant dans sa bouche qui semble minuscule par rapport à la grosse queue de l’acteur !

– Ne t’inquiète pas, dit l’homme que je suce en voyant que je regarde ce qui passe sur l’écran, un jour tu pourras être aussi doué qu’elle. En attendant, fais de ton mieux. Tiens, faisons un test. Détends-toi, prends une grande inspiration, je veux voir jusqu’où tu es capable de me prendre.

Lentement mais sûrement, sa queue s’enfonce en moi, distendant mes lèvres au maximum. J’ai l’impression qu’elle s’allonge au fur et à mesure qu’elle remplit ma bouche puis, à force de travailler, trouve le chemin de ma gorge. Malgré quelques haut-le-cœur de ma part, elle continue à s’enfoncer inexorablement jusqu’à ce que je ne puisse vraiment pas en accepter davantage. Pourtant, je n’ai en moi qu’un peu plus de la moitié de son sexe, c’est-à-dire une douzaine de centimètres, mais elle est tellement large que cela rend la tâche bien plus ardue.

– Regarde-moi.

Sa queue enfoncée en moi, je lève mes yeux plein de larmes vers lui, pour rencontrer plutôt l’œil électronique de son téléphone intelligent qui me prend en photo dans cette pose ô combien humiliante. J’essaie de m’objecter, mais une main derrière ma tête me dissuade de poser le moindre geste.

– Ça, c’est notre point de départ. Petit à petit, avec de l’entraînement et de la volonté, tu arriveras peut-être à me prendre en entier. Une suceuse comme toi doit être capable de faire une gorge profonde de qualité, tu ne crois pas ?

J’acquiesce mollement, désireux maintenant de sentir cette énorme chose se retirer de ma bouche pour que je puisse finalement avaler au lieu de déverser ma salive par terre, et respirer normalement.

Il accède finalement à mon désir muet et sort brusquement de moi pour me laisser pantelant sur le tapis. Mes mâchoires me font si mal que j’ai l’impression que je ne pourrais pas les bouger même si j’essayais.

– Enlève ton plug et montre-moi ton cul.

– Oui, Monsieur, lui dis-je en accomplissant sa volonté.

– Tu t’es déjà rentré quelque chose entre les fesses ?

– Non, Monsieur, jamais.

– Parfait. Je te l’ai déjà dit, j’aime les petits culs serrés. Le truc que tu portais est davantage un bijou qu’un vrai plug, c’était simplement pour que tes fesses s’habituent à accueillir un corps étranger. On va attendre quelques minutes que ton anus se referme un peu. Profites-en pour garder ma bite bien dure. Viens lécher, ajoute-t-il en s’asseyant sur le sofa après avoir achevé de se dévêtir, mais interdiction de me toucher avec tes lèvres, seulement ta langue.

Je prends alors soin de lécher consciencieusement chaque veine parcourant sa verge bien droite, de titiller son méat et son prépuce durant quelques minutes. Mon travail doit être correct puisque son sexe demeure parfaitement droit. Si droit, si dur, si gros, si beau, je ne pensais jamais trouver une queue belle… Il s’en est passé des choses en moi dans les dernières heures…

– Est-ce que tu es clean ?

– Oui, oui, Monsieur, j’ai toujours utilisé une capote.

– Parfait, je déteste porter un condom, j’ai l’impression de ne rien sentir. Quant à moi, je suis clean aussi. Mon dernier examen date de quelques semaines et je n’ai baisé que ma femme depuis. Tu vas devoir me faire confiance comme moi je te fais confiance. C’est la seule fois que je vais te demander ton avis : est-ce que ça te va ?

– Euh, je crois, oui… Je, je vous fais confiance, Monsieur.

Je sais, c’est stupide de donner ainsi le feu vert à un homme que je ne connais pas, mais je ne peux m’en empêcher, l’envie et la curiosité sont simplement trop fortes !

Sur l’écran, l’homme s’est placé devant la jeune femme et a commencé à enfoncer son sexe dans sa chatte dans laquelle il s’enfonce d’un coup, sans égard pour la pauvre fille qui doit accueillir un tel braquemart. Elle ne bronche pas, pourtant, même qu’elle semble apprécier si je me fie au sourire qu’elle arbore et au fait que son bas-ventre va au-devant des coups de son partenaire. Puisque l’homme chez qui je me trouve semble décidé à suivre à peu près le déroulement du film et que je n’ai moi-même pas de chatte, il ne fait pas de doute que le moment de me faire sodomiser pour la première fois approche de plus en plus… Étrangement, cela ne m’effraie pas tellement malgré la taille du morceau qui risque d’essayer d’entrer en moi. On dirait que mon corps a décidé sans consultation avec mon cerveau d’accepter tout ce que cet homme a envie de me faire…

– Tourne-toi maintenant, me dit-t-il doucement avant de cracher sur mon cul avec à-propos, de badigeonner mon œillet de sa salive et d’y enfoncer un doigt qui entre sans trop de difficulté. Tu es juste à point. Viens sur moi, je veux voir ton visage pendant que tu t’enfonces sur ma bite. Ça va être un vrai plaisir de te déflorer.

Comprenant que le point de non-retour s’apprête à franchi, je tremble maintenant d’inquiétude : le baiser, la fellation, tout cela fait partie des préliminaires; là, moi qui me croyais avant ce soir hétéro, je m’apprête à me faire enculer par cet homme mûr et marié dont j’ignore encore le nom. Par son sexe, il prendra possession de moi. En plus, je comprends fort bien qu’en m’enfonçant moi-même sur son pieu, je lui démontre encore un peu plus mon désir, ma soumission…

Je grimpe donc sur le sofa et me positionne au-dessus de lui, une jambe de chaque côté, mes mains écartant mes fesses. D’une main, il frotte sa bite sur mon cul et finit par poser son gland turgescent contre mon anus qui demeure toutefois fermé, même après qu’il ait insisté à quelques reprises.

– Détends-toi, prends de grandes respirations et laisse-moi entrer, murmure-t-il. Descends doucement sur ma queue, je sais que c’est ce que tu veux. Arrête de te voiler la face, tu es une petite salope qui aime la bite, et là, je t’en donne une belle, peut-être la plus grosse que tu verras de ta vie, alors vas-y, laisse-moi entrer, laisse-moi te dévierger. Tu vas tellement aimer sentir ma queue en toi que bientôt tu vas crier ton plaisir comme la fille à la télé, comme elle tu vas me supplier de te baiser plus profondément, plus fort, plus vite. C’est le moment de montrer ta vraie nature et d’accepter ce que tu es, un objet de plaisir, alors vas-y, laisse-toi guider par ton plaisir, par mon plaisir, et ouvre-moi ton cul pour que je t’offre la baise de ta vie…

Hypnotisé par ces paroles murmurées à toute vitesse à mon oreille, je ne peux faire autrement que de m’abandonner, d’abaisser doucement mes fesses pour m’empaler vers ce pieu tendu sous moi et lubrifié par ma salive. Cette fois, la pression de son gland contre mon œillet fait s’ouvrir celui-ci et j’accepte sa lente introduction en moi. Bien vite, toutefois, une douleur aiguë s’empare de mes fesses et me coupe le souffle. Il faut dire que son gland est bien plus gros que le plug-bijou qui occupait auparavant cet emplacement. Mon anus est complètement distendu et la douleur est telle que je peine à concevoir comment je pourrai accueillir davantage de sa queue en moi.

– Qu’est-ce que tu es serré ! Je ne crois pas être déjà passé dans un conduit aussi étroit. Mais on va y arriver. Vas-y doucement. À chaque fois que la douleur diminue, descends un peu. Laisse ton cul m’avaler et tout va bien se passer.

Réprimant l’envie de lui gueuler qu’il est cinglé de croire que le monstre de chair qu’il a entre les jambes va réussir à pénétrer mon cul, je prends quelques secondes pour m’habi à sa présence, puis m’assois un peu plus sur lui, quelques larmes sur les joues.

– C’est bien, tu as pris le plus gros. Tout mon gland est entré. Maintenant, laisse-moi faire, je vais m’enfoncer en toi lentement mais sûrement, dit-il en agrippant mes hanches. Tu vas avoir mal, c’est certain, mais ensuite tu me remercieras. Reste détendu, sinon ce sera encore plus douloureux.

Résigné, j’attends de sentir son mandrin se frayer un chemin en moi, ce qui ne tarde pas. Sa progression est extrêmement lente, ce qui lui donne un caractère d’autant plus irrémédiable. À chaque millimètre qu’il fait, je pousse un gémissement de douleur accompagné d’un profond soupir; il me déchire, j’ai l’impression que mon cul va éclater comme une pastèque qu’on échapperait et je suis de plus en plus convaincu qu’il va finir par abandonner en me disant que je ne suis qu’un incapable.

Au moment où la douleur devient véritablement insoutenable, il m’embrasse à nouveau, ce qui détourne mon attention de mon derrière souffrant pour faire un peu de place au plaisir qu’il me donne en fouillant ma bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il me repousse doucement. Stupéfait, je constate alors que je suis complètement appuyé sur ses cuisses musclées. Il est parvenu à entrer en moi ! Je ne peux réprimer un sourire de fierté à cette idée, même si la douleur n’a pas du tout disparu, au contraire.

– Tu vois, je savais que ça entrerait. Tu as bien fait ça. Continue à me laisser faire.

J’espère qu’il me donnera quelques instants pour que mon cul s’habitue à sa présence intrusive, mais cet espoir est vite déçu. Après moins d’une minute, sa queue se retire lentement mais pas totalement avant de revenir en moi toujours avec une lenteur à fois bienvenue et exaspérante. Ses plongées suivantes gardent cette allure de métronome au ralenti, mais je ne peux qu’admettre qu’elles sont de plus en plus aisées et, en ce qui me concerne, de moins en moins souffrantes.

– Tu commences à aimer ça à ce que je vois. Plus tôt, tu étais tout crispé et tu pleurais comme une pucelle et maintenant tu souris presque. On va pouvoir passer aux choses sérieuses.

Il me faut l’admettre, il a raison. Chose étonnante, la douleur a presque entièrement disparu pour faire place à un plaisir étrange qui repose autant sur la fierté que je ressens à l’avoir accepté en moi que sur les sensations physiques que son sexe imposant me procure en frottant sur mes parois internes.

D’ailleurs, ses allées et venues en moi se font de plus en plus rapides. En même temps qu’il propulse son bassin vers le haut, ses mains sur mes hanches m’abaissent brutalement, ce qui fait qu’à chaque seconde une décharge de plaisir me parcourt tout le corps quand son gland s’enfonce d’un coup au plus profond de moi. Je ne peux m’empêcher de gémir de bonheur quand je sens et entends ses couilles taper contre mes fesses. Du coin de l’œil, je constate que, sur l’écran de la télévision, l’homme et la jeune sont maintenant tous deux exactement dans la même position que nous. Les petits seins de la blonde tressautent à chacun des coups de boutoir qu’elle reçoit et qui, comme moi, la font pousser des gémissements extatiques. De mon côté, c’est toutefois ma queue à moitié bandée qui virevoltent et frappe tantôt mon corps, tantôt celui de mon baiseur, quand à chaque seconde je monte et descends d’une vingtaine de centimètres le long de sa colonne de chair.

– Je t’avais dit que tu finirais par aimer ça, hein ?

– Oui, Monsieur, je ne croyais pas, dis-je en ahanant à chacune de ses poussées, je ne croyais pas que ça finirait par passer !

– Si j’avais voulu un conduit plus large, j’aurais baisé ma femme à son retour. Les petits culs étroits comme le tien, il n’y a que ça de vrai ! Je te sens serrer les fesses autour de ma bite comme une vraie salope en manque.

– Oh oui, Monsieur, je ne savais pas que c’était si bon de se faire enculer !

Sur l’écran, l’homme a basculé la jeune femme désormais complètement nue contre une table de cuisine et la prend vigoureusement pendant que celle-ci hurle littéralement son plaisir qu’elle doit à peine exagérer vu la grosseur du sexe qui dilate sa chatte. À vue de nez, celui-ci doit arriver juste sous son nombril lorsqu’il est complètement planté en elle tellement est elle menue.

– Les gars comme toi, ils sont seulement bons à se faire casser le cul. C’est ça que tu veux, hein ?

– Oui, s’il vous plaît, dis-je d’une voix qui ne ressemble pas à la mienne, cassez-moi le cul !

– Excellent, tu comprends vite. Un peu trop peut-être, on verra. Quand j’en aurai fini avec toi, tu ne pourras même plus t’asseoir sans penser à ma grosse queue.

Aussitôt sa phrase terminée, il se lève du sofa en me tenant devant lui, toujours fiché sur son sexe et me porte ainsi jusqu’à la table de la cuisine où il prend soin de faire face à la télévision. Il colle mes jambes et les place à la verticale, puis, après avoir craché sur son sexe pour le lubrifier, reprend sa besogne en s’enfonçant encore plus profondément en moi que dans la position précédente, ce qui me fait pousser un long feulement de plaisir.

Même si le déplacement n’a pas duré plus de dix secondes, j’ai pu avoir une idée de sa force musculaire. Je ne suis pas très lourd, mais tout de même il m’a soulevé comme si j’étais une plume sans montrer le moindre signe de difficulté. D’ailleurs, ainsi couché devant lui, j’ai une vue splendide sur son corps magnifique et en sueur qui travaille avec beaucoup d’ardeur. Il n’y a pas que son sexe qui soit dur, tous ses muscles sont en fait bandés : ses abdos, ses pectoraux, ses biceps, ses avant-bras qui me maintiennent bien en place pendant qu’il me baise, avec d’amples coups de bassin qui me secouent vigoureusement et me font me déplacer sur la table comme un pantin qu’on secouerait, en même temps qu’au centre de celle-ci, un vase plein de fleurs vacille dangereusement.

Après plusieurs minutes du splendide spectacle de cet homme qui se démène en moi, il me retourne sur le ventre, mon sexe écrasé contre le bord de la table, et recommence de plus belle son travail de démolition. Évidemment, mon cul n’offre plus tellement de résistance au passage de sa bite pourtant imposante, ce qui n’enlève absolument rien au plaisir que je ressens. J’ai même l’impression que, dans cette position, il chatouille une partie différente de moi, comme si sa verge frottait sur un point sensible de mon corps, ce qui me fait rapidement gémir puis presque crier mon plaisir. C’est un peu comme une envie d’uriner, mais décuplée et bien plus agréable !

Devant moi sur la télévision, la jeune femme est dans la même position que moi. Derrière elle, la longue bite de l’homme se plante en elle à un rythme infernal pendant que ses seins sont écrasés sur la table et que de sa bouche ronde sortent des sons inarticulés. Chacun des rapides et brusques coups de l’homme produit une onde dans ses fesses et fait même bouger la table sur laquelle elle est couchée, entièrement comblée par son mâle.

Voyant que je prends doublement mon pied en sentant sa queue divine en moi et en regardant une jolie jeune femme subir un traitement semblable au mien, l’homme s’amuse alors avec moi en variant le rythme de sa pénétration, alternant entre une série de va-et-vient accélérés et d’interminablement lentes pénétrations qui font que je sens encore plus mes chairs s’écarter autour de lui et que je gémis d’impatience dans l’attente qu’il me comble de sa présence en moi. À un moment, il sort même complètement de mon rectum :

– Écarte bien tes fesses pour bien montrer le cratère que tu as à la place du cul, dit-il juste avant que j’entende le bruit caractéristique d’un téléphone qui prend une photo. Tu aimes ça te faire prendre par-derrière comme ça, comme une chienne ? Tu aimes ça quand ma bite frotte sur ta prostate ?

(C’était donc ça cette sensation si plaisante !)

– S’il vous plaît, Monsieur, baisez-moi encore comme une chienne ! le supplié-je, complètement désinhibé par l’excitation, en agitant mon cul pour l’inviter à revenir s’y loger, ce qu’il s’empresse de faire après avoir à nouveau lubrifié sa queue.

Après quelques minutes de cet intense traitement en profondeur, l’homme augmente encore la cadence de ses assauts et je sens une jouissance énorme monter et moi. À l’instar de mes pensées, mes mots deviennent incohérents et je n’arrive qu’à produire une suite incontrôlable d’onomatopées. Cette jouissance démoniaque part de l’intérieur même de mon rectum qui se contracte frénétiquement autour de la bite de mon baiseur et se transmet à tout mon corps, désactivant tous mes sens, infiltrant le moindre nerf, le moindre muscle, la moindre cellule, inondant le moindre recoin de mon organisme tendu à l’extrême. Jamais je n’ai ressenti un tel déluge de plaisir, j’en tremble tellement la sensation est démesurée, insupportable. Je ne sais combien de temps cela dure, mais lorsque enfin je cesse de crier et ouvre les yeux, l’homme en sueur est affalé sur mon dos, haletant. Sa queue est toujours en moi, immobile. Je sens que mon ventre est collé à la table par le sperme que je viens d’expulser sans vraiment m’en rendre compte et que mon cul est rempli de la semence du mâle qui vient de se vider en moi. Encore étourdi par la jouissance qui vient de me terrasser, je sens son sexe perdre un peu de sa raideur en moi. Cela me fait tout drôle, je me sens comme à moitié vide même si je suis toujours le réceptacle de sa jouissance sûrement abondante si je me fie à ce que j’ai dégusté dans la voiture avant d’aboutir ici.

– Toi, tu es vraiment une perle rare…

– Merci, Monsieur, lui dis-je alors avec un grand sourire tout en gémissant et en me tortillant encore de plaisir sous lui.

– Dans la voiture, je t’ai dit que tu jouirais comme jamais, est-ce que je t’ai menti ?

– Oh non, Monsieur, c’était tellement fort… J’ai pensé mourir !

– Ton cul palpite comme une chatte autour de ma bite, on dirait que tu essaies de me traire !

– Je vous jure que je ne contrôle absolument rien, Monsieur, ça arrive tout seul…

– Je sais, tu t’es abandonné complètement, c’est parfait.

Après quelques instants dans cette position « tendre », il se relève et retire sa queue encore à demi-dure de mon fondement en prenant soin de me donner une petite fessée affectueuse au passage. Mes sphincters ont été tellement brutalisés que, dès que le bouchon que constituait son sexe n’est plus fiché en moi, la gravité l’emporte : la précieuse semence qui tapissait mon rectum est expulsée de mon cul béant pour s’écraser sur le plancher. Même si c’était sa deuxième éjaculation de la soirée, il m’en a envoyé toute une dose ! Je me sens comme une jument qui vient de se faire engrosser par le plus vigoureux étalon du haras…

– Relève-toi.

J’obéis, non sans difficulté, puisque mes jambes peinent à me supporter tellement je reviens de loin !

– Tu as vu ce que tu as fait ? Tu vas me nettoyer tout ça ! dit-il en posant les mains sur ses hanches et en me lançant un regard sévère dans lequel ne transparaît plus la moindre tendresse.

Croyant qu’il parlait de son sexe, je ne me fais pas prier pour m’en approcher mais il m’empêche de lui toucher.

– Laver ma queue, ce sera ta récompense. Avant, tu nettoies mon sperme que tu as laissé tomber par terre.

Vaguement écœuré, surtout que mon excitation est maintenant retombée, je m’incline de mauvaise grâce vers le sol où je commence à laper l’abondante semence tiède qui s’y trouve. Au moins, le plancher est propre…

– C’est bien. La prochaine fois, tu sauras que mon sperme est précieux et qu’il ne faut pas en perdre une goutte, n’est-ce pas ?

– Oui, Monsieur, je suis désolé.

– Soit tu le gardes dans ton cul jusqu’à ce que je te permette de te laver, soit tu le bois et tu me remercies. C’est un cadeau que je te fais, tu dois donc te montrer reconnaissant.

– Oui, merci Monsieur, dis-je après avoir avalé les derniers restes de sa jouissance.

– Maintenant, lèche la table. Je la veux propre comme avant que tu la souilles avec ton jus clair de mauviette.

Carrément écœuré cette fois, je m’exécute tout de même. C’est vrai que mon sperme est fade et aussi – fort heureusement – bien moins abondant par rapport à celui de l’homme derrière moi. Justement, celui-ci, profitant de ma position penchée, introduit à nouveau en moi mon bijou qui après la dégelée que je viens de subir flotte entre mes fesses. Je suis de serrer celles-ci autant que faire se peut pour le retenir en moi.

– C’est bien, maintenant tu peux t’occuper de ma bite. Ensuite, on ira prendre une douche et se coucher. Tu restes ici pour la nuit.

Heureux de pouvoir partager le lit de cet amant extraordinaire, même si c’est juste pour une seule nuit, je le remercie en lui offrant un traitement qui relève davantage de la fellation attentionnée que du simple nettoyage. Alors que je cajole amoureusement cet organe merveilleux qui m’a procuré tellement de plaisir dans la dernière heure, me dévoilant une part de moi que je ne soupçonnais pas, mon regard croise celui de la jeune actrice blonde qui, comme moi, avale avec délectation les derniers restes de la liqueur d’homme que le sien vient aussi de lui offrir. Elle est tellement belle ainsi, un gros sexe dans la bouche, quelques gouttes de sperme aux commissures des lèvres, que je ne ressens aucune honte à m’être complètement laissé aller au plaisir. C’est tout simplement un nouveau moi qui vient de naître…

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