L'Esclave

Je suis né là bas à des lieux d'ici. Tout j'ai été vendu comme esclave sur un marché de Carthage où je suis resté comme serviteur dans une grande villa ; face à cette montagne qui ressemble à un volcan.
Je servais simplement pour leur faire prendre des bains. J'ai ainsi vu en détails les hommes et les femmes ou le garçon et les filles. J'étais attiré par la fille cadette du maître. Le soir, sur ma couche, je me caressais sans trop savoir ce que je faisais. .
Un jour la fille dont j'étais amoureux m'a surpris :
Que fais -tu esclave ?
Je pensais à toi.
En te tripotant la queue ?
C'est bon ce que je me fais.
Viens que je te le fasse.
Je baissais ma tunique et allais vers elle. Sans chercher à me faire plaisir, elle prenait ma queue encore un peu tendue. Elle me faisait mettre nu devant elle. A notre époque la nudité était presque normale, je me laissais examiner. Elle reprenait ce que je me faisais avec plus de volupté. J'allais jouir quand elle me pris dans la bouche pour avaler ma semence. C'était bien meilleur.
Il échappait un peu de sperme au bord des lèvres ; Elle le prenait sur un doigt, me le tendait :
Goûte ton jus, esclave.
Je devais obéir. Je prenais sur le bout de ma langue un peu de mon jus avec dégoût. Elle me gardais près d'elle :
Tu vas bander encore une fois, tu jouiras directement dans ma bouche. J'aime la semence humaine.
Je ne peux pas bander encore.
Si, je vais te caresser la queue et te branler
Elle me caresse le bas ventre, la queue, les couilles, passe même vers mon cul. Quand son frère passe qu'il la voit me faire ces machins il regarde, la félicite même de faire ça avec un moins que rien, un esclave de Nubie.
Elle arrive à son but, je bande encore mieux que la première fois.Elle commence par me branler, avec ses façons de fille. Je bande fort, elle fait aller et venir sa main sur mon sexe : elle doit en avoir l'habitude.


Je suis sur le point d'exploser, elle arrête avec sa main. Elle prend ma bite dans sa bouche. Je sens sa langue caresse le gland. C'est bien meilleur, plus excitant que ma main.
Tu sais que tu ne peux pas me baiser, alors tu vas me la mettre ailleurs.
Où ?
Tu es idiot, au cul voyons.
Elle s'en fiche du commérage, de tout, elle a envie d'avoir une bite dans son corps, elle prendra la mienne, une bite d'esclave ça ne compte pas, mais surtout pas dans son con, je ne suis pas évolué.
Elle relève sa tunique, me donne ses fesses, un jolie fessier même pour moi, ilote d'esclave. Elle se penche un peu en avant, me fait venir contre elle, la tunique cette fois en l'air. C'est nu que je vais la contenter. Elle prend ma queue, la même tranquillement vers ses fesses. Je sens sa raie autour de la pine, je suis sur son anus. Elle l'ouvre un peu, oh, pas beaucoup. Elle donne un bon coup de rein et voilà ma bite au fond de son derrière. Je suis surpris de la douceur de son anus, elle est surprise de la présence d'un gros machin dans son cul.
J'allais faire des mouvements ; c'est elle qui les fait. Ce n'est pas la première fois qu'elle se fait ainsi prendre. J'avais entendu des bruits d'autres esclaves qui sont passés comme moi dans son cul. Elle sait bien faire jouir les bites :
Elle regarde la virginité pour son mari, un autre romain qui regarde la fleur de celle qu'il épouse

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