Anissa Et Le Patron De Bar Magrébin.

Anissa et le patron de bar magrébin.
Je m’appelle Anissa, je travaille comme conseillère en création d’entreprises pour la chambre de commerce. Je suis de taille moyenne 1.55 mètres brune à la peau mate.
Aujourd’hui, j’ai rendez chez Karim, un magrébins d’une cinquantaine d’années qui a créé un bar il y a quelques mois et qui m’a demandé de passer parce qu’il connaissait des difficultés en gestion.
Karim est un homme trapu, environ 1m70, lors de nos précédentes rencontres dans mon bureau, il m’avait mis assez mal à l’aise en me draguant et en me proposant d’aller boire un verre avec lui. Chose que j’avais naturellement refusé. Je suis marié, mère d’une petite fille, et Karim n’est pas du tout mon genre d’homme.
Il est 14 heures, j’arrive au bar pour mon rendez-vous avec Karim. On est lundi, il m’a dit de venir ce jour-là car c’est son jour de fermeture et nous serions plus tranquilles.
Je suis maintenant devant la porte, je suis un peu stressé. Karim m’a vu arrivé à travers sa vitrine et il vient m’ouvrir la porte avec un grand sourire, que je lui rends par politesse. J’entre dans le commerce et Karim verrouille la porte derrière moi.
La discussion commence, Karim m’explique sa façon de travailler, bref un rendez-vous tous ce qu’il y a de plus normal, jusqu’ à ce qu’il me propose de visiter le local, il m’explique qu’il a un appartement au-dessus et m’invite à le suivre pour continuer la visite.
J’arrive dans l’appartement qui ressemble plutôt à une chambre à l’hygiène douteuse. Karim me regarde de haut en bas sans rien dire, je sens qu’il me déshabille du regard, je suis de nouveaux stressée et je regrette de l’avoir suivi dans sa chambre, j’ai peur qu’il se fasse des idées. Il me propose de boire un verre, je refuse dans un premier temps et devant son insistance je fini par dire oui pour un whisky.
Je m’assois sur un petit fauteuil et Karim sur le bord du lit. Je bois mon verre cul sec et prétexte un autre rendez-vous pour partir.

Karim sort un livre de compte et commence à poser des questions sur la gestion de son entreprise, histoire de me retenir. Au bout d’un quart je me lève, et là je me rends compte que l’alcool que je n’ai pas l’habitude de boire fait son effet. Karim me ratt avant que je ne tombe et m’allonge sur le lit.
Je suis dans un états second et quand Karim commence à me caresser la cuisse, je suis consciente de ce qu’il fait, mais aller savoir pourquoi, je ne cherche pas à le repousser. Voyant ça, Karim me déboutonne mon jeans et baisse lentement ma braillette tout en caressant ma culotte. Je ressens une excitation, qu’est-ce qu’il m’arrive, cet homme qui me répugne me provoque maintenant un certain plaisir.
Vu que je ne proteste pas, Karim fini de m’enlever mon pantalon et déboutonne mon chemisier. Je suis maintenant en sous-vêtements, là, allonger sur son lit. Je ferme les yeux quelques secondes et Quand je les rouvre, Karim est en caleçon devant moi. Il a un ventre bedonnant et je devine à la bosse à l’avant de son caleçon qu’il doit être sacrement membré.
Karim s’allonge à côté de moi, il commence à me caresser l’entrejambe puis écarte ma culotte laissant apparaitre ma chatte rasé et humidifié par l’excitation. C’est alors qu’il introduit profondément 2 doigts dans ma fente et commence à me masturber énergique. Je commence à gémir.
Karim me regarde avec un air pervers et me dit : » Je vais te faire passer un moment inoubliable ». Je reste muette, ne sachant quoi dire. Puis il prend ma main et la plaque contre son sexe en érection et ajoute : « touche ma bite elle est bien dure, j’ai envie de toi ».
Karim m’att, me met debout à côté du lit, m’arrache ma culotte et mon sous tient gorges. Puis baisse son caleçon pour laisser apparaitre un sexe d’une longueur moyenne, mais d’une circonférence impressionnante.
Je lui fais face, toute tremblante, comment j’en suis arrivé là ? Mes jambes flagelles face à cet homme qui me regarde sans perdre une miette du spectacle que mon corps nu offre à ses yeux.

Il me saisit par les cuisses, me soulève et machinalement j’enroule mes cuisses autour de sa taille tout en le laissant introduire son large pénis à l’intérieur de mon vagin qui n’est pas habitué à un tel volume.
Karim fait quelques pas, me plaque contre le mur et commence des mouvements de baisse tout en me plotant le fessier. Je gémis de plaisir, je suis comme une poupée de chiffon entre ses mains, je ne contrôle plus rien. Au bout de 5 minutes Karim me repose sur le lit, il me retourne. Je suis maintenant sur le dos et je crains le pire. Vas t’il me sodomiser ? Je ne l’ai jamais fait, mon anus n’est pas habitué à de tel pratique et vu la taille de son membre, je ne sais pas si je vais résister.
Mes craintes étaient fondées, après s’être amusé pendant quelques instants à me titiller l’anus avec son doigt, Karim m’embroche par derrière comme une vulgaire volaille. Je pousse un cri de douleur qui, une minute plus tard, se transforme en cri de jouissance sous les coups de reins énergique de cet amant nord-africain.
Karim fini par se retirer de mon anus en feu, il m’att et me pose à genou sur le sol, son sexe toujours bien raide se retrouve face à ma bouche. Il me pince le nez avec ses doigts pour me forcer à ouvrir la bouche pour respirer, et là, il en profite pour m’introduire son appareil génital jusqu’au fond de ma gorge. Son excitation est à son apogée et je ne tarde pas à sentir la tiédeur son venin coulé dans ma bouche, puis au fond de ma gorge.
Une demi-heure vient de passer, les effets de l’alcool commencent à se dissiper. Je profite qu’il est allé prendre une douche pour me rhabiller et quitter discrètement son domicile. Je suis maintenant rongé par le remord. Pourvu que personne n’apprennent ce qu’il s’est passé et surtout pas mon mari. Je connais les types comme Karim, il va surement se vanter auprès de ses copains de ses prouesses sexuelles avec la petite nana de la CCI.

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