Mon Cher Beau Frère, Cet Obsédé

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je pensais avoir calmé les ardeurs de mon beau frère en lui cédant volontiers. Bien au contraire, à mon grand dam, il redoublait ses avances en m'inondant de textos plus enflammés les uns que les autres. Depuis notre rencontre, il ne pouvait plus se passer de moi, disait-il. Il me désirait, il devenait fou, il avait envie de moi. Bref tout y passait, les compliments comme les insultes, les mots tendres comme les cochonneries qu'il voulait me faire. J'étais un peu inquiète pour dimanche et le repas d'anniversaire de Daniel, sur la façon dont il allait se comporter.

Les garçons sont arrivés les premiers, c'était fini pour eux de se faire véhiculer par papa, maman. Ils possédaient maintenant une voiture, mon ancienne R5.
« Alors, les neveux, elle roule bien cette auto » demanda mon mari.
« Super, on s'éclate, c'est dans un vieux tacot qu'on s'envoie le mieux en l'air, n'est pas Dominique »
répondirent-ils en me faisant un clin d’œil.
Et, paf, att ça ma vieille, si c'était pas une allusion au « sandwich » de l'autre jour, ça y ressemblait fort,(voir : la R5 et le doigt) merci les neveux je vous revaudrai ça.

Je craignais l'arrivée de leurs parents Christian et sa femme, il ne laissa rien paraître et sut se tenir correctement, tout au moins au début.

A l'apéro, il était en face de moi, je serrais les genoux, tout en bavardant il me faisait comprendre par des signes presque imperceptibles, d'écarter les cuisses pour voir si je portais une petite culotte. Je faisais mine de ne rien comprendre et je voyais bien que ça l'agaçait.

 Pourquoi Daniel a-t-il eu besoin de lancer :
« Je suis au Ricard, le champagne ça me donne mal au crâne. T'as vu que beaucoup de Champagnes portent le nom de veuve untel. Les bonnes femmes ont dû tellement sucer leurs maris que les pauvres n'ont pas survécus, c'est pas à nous que ça arriveraient des choses pareilles, hein mon Christian »
« Tu parles pour toi, Daniel, mais je pense pas que tu aies à te plaindre » répondit-il en me regardant.



« Je pense que nous pouvons passer à table » s'empressa de lancer ma belle sœur Sophie, pour faire diversion, gênée par la tournure que prenait la conversation.

Pensive, je regardais les convives, tous les hommes présents sont où avaient été mes amants, mon mari car c'est tout de même le premier de mes amants, mes neveux mes jeunes amants fougueux et mon beau frère le dernier en date.

Sophie commentait le premier plat, pensant retenir l'attention de tous et d'échapper aux commentaires salaces, mal lui en a pris « Oh ! des coquilles St Jacques, ça c'est une bonne idée, je ne vois pas ce que tu as mis sous la chapelure, mais ça a l'air délicieux, il faudra que tu me donnes la recette »
« Ce sont des moules, ma chère, et quoi de meilleur qu'une bonne moule, surtout quand elle est ouverte et bien fraîche» s'empressa de répondre Daniel
« Quand elle baigne dans la sauce chaude c'est encore meilleur » surenchérit Christian.
Il avait bien changé depuis notre rencontre. Autrefois il n'aurait jamais osé dire une chose pareille, surtout devant sa femme qui était rouge de confusion. Je ne sais pas si elle saisissait vraiment toutes les allusions.
« Zut, j'ai fait tomber ma serviette » Christian se pencha exagérément pour la ramasser. Devinant que son geste n'était pas innocent, j'écartais les cuisses pour lui faire constater que je portais une mini culotte. Sa serviette avait dû glisser très loin car il mis un bon bout de temps avant de réapparaître de dessous la table avec un sourire de contentement.

Il était maintenant temps d'aller chercher le plat de résistance, le poulet.

« Je t'accompagne, ça me dégourdira les jambes » intervint mon beau frère.

Sortant le plat du four, j'étais maintenant au milieu de la cuisine. Passant alors sa main sous la ceinture de ma jupe et l'élastique de ma culotte, il vint glisser ses doigts entre mes fesses, son index tentant de pénétrer mon trou du cul.
Ne voulant pas lâcher le plat brûlant, je me déhanchais dans une danse du ventre des plus érotique pour échapper à son étreinte.
« Pourquoi t'as mis une culotte, salope, tu savais bien que je venais et que je n'attendais que ça. Oh ton p'tit trou, ton petit trou !!»
« Lâche moi, voyons, je vais me brûler avec le plat. Nous sommes à table, c'est pas le moment et je ne réponds pas de ton doigt là où il est, faudra te laver les mains avant de continuer à manger ».
« C'est de toi que j'ai faim, pas de ton poulet. J'ai envie de te bouffer le cul. Pourquoi tu réponds pas à mes textos ?»continuait-il en poussant son doigt plus avant dans mon anus »
« Laisse moi, si quelqu'un entrait, tu aurais l'air malin et si tu continues, je vais foutre le poulet par terre» je lui dis en posant le plat sur la table de la cuisine. Comprenant que ce n'était pas vraiment le moment il cessa son petit jeu, d'ailleurs il était temps de servir mes invités.

J'interpellais Sophie en entrant dans la salle à manger :
« Ton mari, c'est vraiment un grand gamin, il n'a pu s'empêcher de mettre son doigt dans ma mousse au chocolat »

« Tu vois, dans le poulet c'est comme dans les femmes bronzées, c'est le blanc le meilleur »plaisanta Christian, décidément il se lâchait comme jamais.
« Moi, je préfère le croupion, et on peut y mettre les doigts » expliqua Daniel
« Jean Pierre Coffe dis toujours que pour qu'une andouillette soit bonne il faut qu'il y ai un morceau de trou du cul »
« Et une bonne langue, c'est pas bon une bonne langue ? »
« Surtout au wagon restaurant......... Une bonne langue dans le train » décidément le repas tournait aux calembours douteux et par la faute de nos maris. Faut dire que c'était bien un peu à cause de moi avec mon histoire de mousse au chocolat »

« Vous avez quel âge, déjà, 12 ans, non, plus de 45 et vous êtes toujours aussi bêtes, c'est vraiment con un homme hein, Dominique  »
« Ça dépend pourquoi » je répondis négligemment.


Au dessert, ils se calmèrent un peu. J'avais mis deux bougies 4 et 5 pour les 45 ans de mon chéri.
Les neveux ont sauté sur l'occasion :
«  45 ans, tonton, dans 24 ans ça va être votre fête à ta femme et toi, mais attention vous ne serez plus tous jeunes pour faire ce genre de folie »
Bien sûr comme à son habitude Sophie n'a pas compris.

Et puis ce fut le tour de la fameuse crème au chocolat avec un cake fait maison, et Sophie naïvement se ridiculisa une fois de plus sans le savoir :
« Je ne sais pas comment tu t'y prends pour démouler un cake sans que ça attache sur les bords » 
Bien sûr Christian en rajouta :
« J'aimerai bien te voir démouler un cake, Sophie ne veux jamais me montrer »
« Ah ! Ça mon cher beau frère, ce genre d'exercice m'est réservé » riait Daniel.

Le vin aidant les sous entendus continuèrent de plus bel. Les neveux, sans doute n'étant pas de la même génération, n'ont pas relevé tous ces détails. Leur humour n'est pas le même.

En partant, Christian me chuchota en me pelotant discrètement les fesses :
« Ton cake était délicieux, si un jour t'as envie d'en démouler un devant moi, j'en serai ravi, j'en ai déjà l'eau à la bouche ».

« Dis donc, le beauf, qu'est ce qui lui prend, il s'est trouvé une nana pour le décoincer ou quoi, t'as remarqué, il n'est plus le même. Ce n'est plus le bonnet de nuit que nous connaissions. Il m'a même donné des idées grivoises ce con. Je pars demain pour une semaine en Afrique avec toute une délégation ministérielle, ça va être long. Viens au lit, tu feras la vaisselle plus tard » me dit mon mari en m'entraînant vers la chambre. Là, je tairais nos activités si vous le voulez bien.


Toute une semaine sans mon mari chéri. Ça vous fait drôle que je l'appelle ainsi, je le trompe, mais je l'aime. Il me faut de la bite et une semaine, c'est long. Vous me direz : fait appel à ton beau frère, il n'attend que ça.
Je veux le faire languir d'autant qu'il me tanne avec ses messages de plus en plus orduriers. Il m'explique qu'il veux tout voir de moi, il en devient pénible.

Chers lecteurs, vous me connaissez bien maintenant, mes petites habitudes, mon transit intestinal n'ont plus de secret pour vous alors ne soyez pas étonnés si je vous dis que depuis dimanche et ce fameux déjeuné je n'ai pas visité les toilettes. Nous sommes Jeudi et dans mon ventre ça commence à se gâter ; je vais devoir me soulager d'ici peu.

Étant en manque d'affection depuis le départ de Daniel, je me suis dis : - et si je répondais favorablement à mon beau frère préféré ; d'autant qu'il insistait lourdement avec ses textos de plus en plus précis pour me rencontrer, l'histoire du cake l'avait marqué- Peut être qu'après ça il me foutra enfin la paix-.

Pianotant alors sur mon portable :
Moi style télégraphique : -en ai plein le Q de toi
Lui : -sens propre ou figuré ?
Moi : - les 2
Lui :– Suis réunion, impossible maintenant retiens toi-
Moi :- Impossible tenir les vannes fermées-
Lui :– Dans une heure je suis là-
Moi :- presse toi il n'y aura qu'une séance.

Tu es folle ma pauvre fille, avoir mal au ventre à ce point pour satisfaire les phantasmes d'un mec et qui plus est, ton beau frère.

L'attente devenait longue, 4 jours sans soulagement, c'est long il fallait penser à autre chose. Je me déshabillais alors pour enfiler seulement mon peignoir, gardant mon soutien gorge et mes hautes chaussures. Une maîtresse attendant son amant, mon pauvre Daniel, si tu savais, toi perdu dans l'immensité de l'Afrique.

Il faut qu'il fasse vite, ça presse, je ne tiendrais pas bien longtemps, pourvu qu'il n'y ai pas d'embouteillage. Je tremblais, j'avais chaud, je me balançais d'une jambe sur l'autre pour tromper l'envie.
Enfin, c'est lui. Quatre à quatre il monte le perron et se précipite dans mes bras.
« Alors tu veux bien, ôtes moi d'un doute je n'arrive pas trop tard au moins »
Posant mon peignoir, je le gardais sous le bras et je me retrouvais nue devant lui.
« Non, mais c'est maintenant, suis moi aux toilettes »
« Au toilettes » fit-il déçu « mais c'est trop commun, j'aurai préféré un endroit un peu plus, disons, exotique».
« Monsieur a des exigences, monsieur a des idées de luxe. Alors où, si ce n'est pas dans l'endroit prévu pour ça, je ne veux en aucun cas que ce soit dans la maison. Réfléchi, mais réfléchi vite, ce n'est plus qu'une question de secondes ».
« Ben, merde, si je puis dire. Dans mon empressement je n'ai pas pensé à ça »
N'y tenant plus, c'est moi qui lui donnait la solution :
« Au garage et rapido »
Sans attendre sa réponse je me précipitais dans le couloir vers l'endroit indiqué.
« T'es bien pressée, t'as le chocolat au bord des lèvres on dirait. C'est tentant de voir se tortiller ton beau panier à crottes » me dit il en s'extasiant sur mon derrière nu.
« Tu crois pas si bien dire, et il est plein le panier, tu peux me croire ».

« Dis donc, le garage de Daniel , c'est un vrai palace »
« Tu sais bien que son garage, c'est tout pour lui. Je me mets où ? »

« J'avais pas vu ta nouvelle voiture, c'est une Toyota. J'aime bien la couleur bleu métallisé. Elle est équipé d'un GPS au moins » m'interrogea-t-il en se penchant sur le tableau de bord pour faire l'inventaire des équipements.
N'y tenant plus, tremblante, en sueur, je lui répondis tout net, tant pis pour les grossièretés, nous étions là pour ça.
« T'as jamais eu une envie pressante, toi. Tu sais pas qu'une envie de chier ça ne se contrôle pas. Tu es venu pour évaluer ma voiture ou pour me voir -démouler un cake- comme tu le dis si bien. Si tu ne viens pas tout de suite le gâteau va retomber, j'ai hâte d'ouvrir la porte du four. Fais vite, bon Dieu, fais vite. Alors où je me mets? »
D'un regard circulaire il examina la pièce et avisa la chaise ou Daniel avait l'habitude de bricoler.

« Tu montes sur la chaise et tu t’assieds sur le dossier »
Curieuse position, mais je n'avais pas le temps de demander des explications. Je montais donc sur la chaise et me positionnais comme il me l'avait dit. Lui, pris place derrière loi, un peu sur le côté.

On a beau être sur le point de ne plus pouvoir se contenir, quand on se sent épiée ce n'est plus la même chose que seule et sans contrainte dans l'intimité d'un espace clos.

Je ne pus retenir trois petits pets annonciateurs.

« Le spectacle va commencer, les trois coups ont retenti » chuchota-t-il.
J'allais enfin pouvoir me soulager . Tout en me caressant les fesses, il commentait :
« T'as la chair de poule au cul, t'as froid, Non c'est que t'as envie de chier salope. Ton trou de balle commence à s'ouvrir mais il n'est pas encore assez grand pour laisser passer une telle quantité de marchandise, il se rétracte, ça y est il s'élargit, pousse ma douce pousse !! Oh que c'est beau, que c'est long, que c'est gros, un vrai monstre, on en mangerait. »
« Tu ne fais pas ça, salaud, tu m'entends » je lui dis alors que je sentais un énorme étron sortir de mes entrailles. Au moment ou celui ci allait se casser du fait de son poids, il le saisit dans sa main droite mais ne sachant quoi faire de cet objet odorant il le balança dans la boite de vidange toute proche . Il continuait à me caresser mais d'une seule main cette fois l'autre étant souillée, alors qu'un second boudin tout aussi gros et lisse s'échappait de mon petit (grand) trou. Comme pour le premier il le prit dans sa main et lui fit rejoindre le premier dans la cuvette.

« J'ai fini » j'étais soulagée, la scène n'avait même pas duré une minute. Se retenir si longtemps pour
une si courte séquence au point de se rendre malade est ce que ça vaut vraiment le coup. C'est comme le tour de France on l'attend longtemps et ça passe vite.

Courtoisement, me remerciant et me demandant si c'était vraiment tout, il m'aida à descendre de la chaise et vint se coller à moi pour, comme à son habitude m'embrasser dans le cou, je l'arrêtais en lui faisant comprendre qu'il avait une main dégueulasse et qu'il allait m'en mettre partout.

Par dessus mon épaule, il était en admiration devant ces deux gros boudins.

« Eh ben dis donc t'en fais souvent des comme ça, c'est inimaginable qu'un si joli petit cul puisse livrer passage à une telle quantité de matière. Incroyable le volume et je parle pas du calibre. Sophie n'avait pas tort en me disant qu'elle n'avait jamais vu chose si volumineuse. (voir : noël en famille) On peut dire que pour une envie de chier, c'était une envie de chier, je comprends maintenant pourquoi tu étais si pressée, ça m'étonne même que tu aies pu te retenir si longtemps. Tu dois être vachement allégée, ça a dû te libérer d'avoir expulsé tout ça sans trop de difficulté.Il doit falloir une certaine pratique anale avec un mec bien membré pour que ton trou de balle puisse s'ouvrir si grand.
Tu sais que le bronze que tu viens de couler est une véritable œuvre de maître. Nous devrions l'exposer dans une galerie d'art moderne, ça ne dépareillerait pas. On voit tellement de sculptures merdiques chez eux ».

« Vas te laver les mains et débarrasse moi de ça » je lui dis en montrant le récipient du bout de mon menton. J'avais honte, honte de mettre avilie à ce point, mais qu'est ce que j'étais soulagée.

« Je m’exécute mais avec regret tu sais, il ne faut pas avoir honte. C'est un besoin naturel. Je mets ça où ? Vous faites le tri sélectif ici, n'est ce pas ? Pas dans les papiers, pas dans les verres, dans les déchets ménagers peut être, c'est un sous produit de l'alimentation et puis non je vais mettre ça dans la boite à compost. Ainsi tu pourras amender tes rosiers et si tes roses sentent aussi bon que peut puer ta merde tu pourras ouvrir une parfumerie » me dit il en soulevant le couvercle de la boite.
« Je n'aurais jamais pensé ça de toi, En fait sous tes airs à ne pas y toucher, t'es un mufle. Pendant que tu y es, dis franchement que je pue du cul »
« Mais tu es comme toutes ces femmes BCBG qui se parfument avec des fragrances capiteuses. Eh bien quand elles vont aux toilettes, elles sont comme tout le monde, l'odeur qu'elles exhalent n'est plus du tout la même, elle sentent la merde pour parler franchement. Une femme du peuple comme une princesse même si elle se parfume à la violette ça pue du cul.  Mais oui, tu pue du cul ma douce et j'aime ça » me lança-t-il en enfouissant son nez dans ma raie des fesses.


Alors qu'il me léchait l'anus, je lui fis remarqué qu'il avait eu droit à un spectacle des plus confidentiel, seul mon mari était jusqu’alors autorisé à ce théâtre intime.
De confidences en confidences, tout en me remerciant à nouveau il me dit qu'il avait toujours rêvé d'une telle scène mais que sa femme Sophie s'y était toujours refusée, il me demanda si j'étais prêt à renouveler l'expérience. Je me gardais bien de lui répondre, d'autant que je me sentais vidée, soulagée, heureuse après m'être retenue si longtemps et qu'il me faisait des choses agréables avec sa langue.
Me prenant doucement par la main il m'expliqua qu'il avait un autre phantasme non exaucé mais ne me dit pas lequel.
Il me fit reprendre la position sur la chaise, les fesses très en arrière. Il ne se déculotta pas, se contentant de sortir son engin, bandé, rouge et violacé par le désir. Il ne devait pas avoir envie que je le suce car il passa directement derrière le siège. Il me caressait les fesses insistants sur mon œillet.
« Je te vois venir, c'est pas que tu aurais envie de m'enculer par hasard, vieux saligaud »
« Comment tu as deviner, tu es voyante maintenant ? Comment veux tu que je résiste à un si beau troufignon si bien présenté. Tu n'attends que ça, avoue. En plus je pense n'avoir aucun mal ton trou de balle n'est pas complètement refermé depuis tout à l'heure »
Si je ne mouillais déjà, c'est qu'il m'aurait fais mouiller ce grand benêt.
« C'est ça ton autre phantasme, hein ! Avoue. Tu ne veux pas dire que tu n'as jamais sodomisé une nana, jamais j'y croirais » ;
« Sophie n'a jamais voulu, prétextant que c'était sale, que c'était contre nature et comme je n'ai jamais connu d'autre femme, alors ».
« Comment ça, tu n'as jamais connu d'autre femme, c'est la première fois que tu trompais ton épouse et avec moi en plus. Ben ça alors j'aurais pas cru, tu te débrouilles pas mal tu sais pour un novice».
Sans aucun autre commentaire il commença à pousser sa verge dans mon petit trou, je ne sais pas si c'est moi qui n'attendait que ça, toujours est-il qu'il réussit à m'enfiler bien à fond, à sec et sans lubrifiant, cependant il était moins bien monté que son fils car sa queue ne butait pas contrairement à celle de Steve.
Resserrant mon sphincter j'emprisonnais sa queue au plus profond de moi, il ne pouvait plus ni avancer ni reculer. Il ne pouvait désormais compter que sur l'élasticité de la peau de sa queue pour bouger en moi. C'était jouissif et amusant de le voir s'acharner dans mon rectum. Je ne le laissais pas prisonnier bien longtemps, moi aussi j'avais envie de sentir ses vas et viens. Il n'avait jamais pratiqué par là mais il savait s'y prendre, une seule fois il a dér poussant sa bite entre mes fesses mais il s'est vite empressé de reprendre le bon chemin, d'autant que celui ci était grand ouvert. Moi je continuais à l'emprisonner et à le relâcher, j'étais tellement bien après les efforts de tout à l'heure. Ce qui devait arriver, arriva. Sentant qu'il allait venir je resserrais encore plus mon muscle anal sur son mandrin rétrécissant ainsi le canal d'évacuation de son sperme (comme quand on pince un tuyau d'arrosage pour augmenter la pression). L'effet fut le même je sentis dans mes entrailles la puissance du jet frappant mes intestins avec une force d'évacuation inouïe. Il n'en finissait plus de m'inonder le boyau. Une sensation indescriptible, un goût de paradis, j'étais épuisée et relâchait la pression.
« C'est encore meilleur par là, et puis ma cochonne tu sais y faire, c'est ton mari qui t'as appris ça. Après une telle séance je ne pourrais plus me passer de toi, l'amour va me paraître triste sans toi, tu es si belle, experte et peu farouche. T'es, ce que j'appellerai une vraie salope et j'aime les salopes. Je te désire, entre nous, c'est physique ; j'aime tout chez toi, te goûter, te sucer, te sentir, te faire l'amour par devant, par derrière, voir s'ouvrir ton trou du cul, te voir chier, te voir pisser ».

« C'est tout, tu recommences tes litanies, je ne sais pas si on pourra se voir très souvent tu sais. Faire ce que j'ai fait tout à l'heure n'a pas été pour moi un acte anodin, c'est quand même très intime tu en conviendras, nous n'avons plus l’âge de jouer à pipi caca prout, mais il faut bien avouer que ça n'est pas désagréable si ça ne revient pas trop souvent, ça donne du piment à nos relations. Je te demande comme une faveur de ne plus m'importuner avec tous tes textos ».
« Promis ma belle sœur préférée » me répondit-il en rangeant de ce qui restait de son attirail.
« Maintenant que tu me connais, tu sais qu'après avoir été bien baisée....... »
« Il faut que tu ailles pisser » compléta-t-il ma phrase.
«  T'as tout juste, la nature m'appelle et elle m'appelle fort, je reviens »
M'attrapant par le bras, il m'attira vers lui.
« Non, tu n'auras pas le temps d'aller jusqu'aux toilettes, je te connais tu sais »
Saisissant alors la cuvette à vidange des voitures (toujours cette même cuvette) il me la coinça entre les cuisses. Tenant le récipient gras d'une main, il m'écarta la vulve de son autre main de façon à avoir une vue dégagée sur mon minuscule trou à pipi.
Bloqué par la surprise le méat refusait de s'ouvrir, lui contemplait le joli petit orifice tourné vers le haut qui laissa échapper un long jet doré formant un bel arc de cercle qui passant par dessus le récipient vint terminer sa course sur le carrelage du garage formant une grande flaque moussante , nous éclaboussant tous les deux.
« C'est malin, faut que j'éponge ça rapidement avant que ça ne marque, si Daniel voit ça il va devenir fou, son garage c'est tout pour lui »
« Son garage compte plus pour lui que sa charmante femme ? »
« Non bien sûr » lui dis je en épongeant le sol avec mon peignoir que j'avais jeté dans un coin, oui je dis bien, avec mon peignoir, le garage est si propre qu'on pourrait manger par terre, enfin presque, ça dépend des moments.

« Bon, il faut que je file, Sophie va s'inquiéter » me dit-il en soulevant le couvercle de la boîte de compostage afin d'apercevoir une dernière fois l'objet puant de son phantasme.

« Tu veux pas que je te fasses un paquet cadeau par hasard, obsédé va ».

Je me retrouvais seule, nue, comblée mais j'aurais bien aimé un petit câlin de sa part, il est bien comme tous les hommes quand ils ont pris leur plaisir. Je repensais au regretté Francis Blanche qui disait :

-Après l'amour, dix pour cent des hommes se retournent sur leur côté droit et s'endorment, dix pour cent font de même sur le côté gauche. Les autres se rhabillent et rentrent chez eux.













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