La Première Fois À Trois Et En Public

Mon épouse est brune aux yeux verts ; elle mesure environ un mètre soixante. A l'époque de ces évènements, nous avions vingt-sept ans et deux s.

Nous nous étions rencontrés cinq ans auparavant, puis nous sommes mariés dans l’année qui suivit. Après la naissance de notre second , trois ans après notre mariage, elle a commencé à me tromper. Je ne m'en suis aperçu que deux ans plus tard, au moment où cette aventure a commencé.

Bien évidemment, j'ai mal pris son aventure extra-conjugale. J'ai dans un premier temps demandé pourquoi je ne lui suffisais plus. Elle m'a simplement répondu qu'elle était devenue insatiable. Et c'est vrai qu'en cinq ans, elle était devenue une véritable bête de sexe.

Je l'ai ensuite interrogée sur la longévité de notre mariage ; voulait-elle mettre fin à notre histoire ?

- Non, m'a-t-elle répondu ; je t'aime et veux partager ma vie avec toi.
- Dans ce cas, ai-je rétorqué, tu vas immédiatement rompre avec ton amant.

C'est ce qu'elle a fait ; et quelques jours après, nous avons eu une nouvelle conversation sur ce même thème.

- J'ai réellement besoin de sexe, m'a-t-elle expliqué. Tu es particulièrement performant, mais un seul homme ne me suffit plus.

J'ai réfléchi quelques minutes, avant de lui répondre :

- Laisse-moi quelques jours, le temps de trouver une solution pour te combler.

Durant les quelques semaines qui ont suivi, j'ai cherché ce qui pourrait nous satisfaire sexuellement tous les deux ; j'ai fini par lui proposer :

- D'accord pour que tu aies du sexe avec d'autres hommes, mais c'est moi qui les choisirai.

Cela ne l'enchantait apparemment pas : elle voulait séduire bien sûr, mais surtout trouver des mâles à son goût. Je l'ai convaincue en lui expliquant que je la connaissais suffisamment bien pour trouver des partenaires sexuels qui lui plairaient. De surcroît, je voulais également y trouver mon compte.

Je lui en ai dit donc davantage :

- De plus, je participerai systématiquement à tous tes ébats ; et nous aurons ces nouvelles expériences aux moments où je le voudrai.

Ce que je lui ai évidemment caché, c'est que tous nos ébats à plusieurs auraient lieu en extérieur, sauf si évidemment le climat ne pouvait pas s'y prêter.

Notre première expérience eut lieu dans un cinéma. Je l'ai gardée secrète, et elle devait nous permettre de nous habi à ces nouvelles pratiques le sexuelles ; bref, cela devait être une sorte d’expérience en laboratoire.

Pour sortir ce samedi soir de fin de printemps, mon épouse s'était vêtue d'une guêpière noire sans bretelles, attachée dans le dos par une vingtaine d'agrafes ; pour y faire entrer sa poitrine, il fallait du quatre-vingt-quinze, bonnets B bien généreux. Elle y avait fixé des bas au bout des jarretelles, puis avait passé une petite culotte noire. Des escarpins noirs et une robe de même couleur boutonnée devant sur toute la hauteur complétaient sa toilette. Pas de manteau, car la température était douce et agréable.

Le film attirait peu de monde, la salle était donc relativement petite. Nous nous sommes installés au dernier rang ; quelques instants avant le début de la séance, elle était assise entre moi à sa gauche et un homme brun élancé à sa droite ; c’est le type de mâle qui la fait fantasmer. Les trois rangées devant nous étaient vides.

Pendant la diffusion des publicités, j'ai discrètement caressé l'intérieur de sa cuisse gauche. Puis les lumières se sont éteintes et la projection du film a commencé. Mes caresses se sont fait plus insistantes.

Cinq bonnes minutes après le début de film, alors que je la caressais toujours, je lui ai susurré dans le creux de l'oreille :

- Ton autre voisin est-il à ton goût ?

Je l'ai sentie légèrement tressaillir, puis elle m'a répondu à voix très basse :

- Oui.
- As-tu envie de lui ? demandais-je toujours à voix très basse dans le creux de son oreille.

- Pas ici, renchérit-elle.

Je n'insistais pas ; j'étais néanmoins un peu déçu.. Pendant les quelques vingt minutes qui ont suivi, j'ai continué à caresser tendrement l’intérieur de ses deux cuisses, entre les genoux et l’entrejambe de sa culotte. Puis elle s’est penchée vers moi, et a glissé dans mon oreille :

- Il est beau cet inconnu ; il me plait vraiment beaucoup.
- Je te l’offre si tu le veux, répondis-je.

En fait, ce n’était pas vraiment un cadeau ; je lui donnais juste l’autorisation de consommer ce beau brun.

- Invitons-le à la maison, me dit-elle.

Je ne souhaitais pas qu’un inconnu, aussi beau soit-il, pénètre dans notre chambre à coucher. J’aurais eu le sentiment qu’un étranger violait notre intimité conjugale ; de plus, les voir tous les deux s’ébattre dans mon propre lit ne me satisfaisait pas ; je le lui expliquais.

- Que faisons-nous alors ? m’interrogea-t-elle. On organise un cinq à sept dans un hôtel ?
- Je ne trouve pas cela très excitant, répondis-je. Aguiche-le plutôt ici, fais-lui du gringue !

Pendant notre dialogue, je n’avais pas interrompu mes caresses. A ma grande surprise, elle se tourna vers l’inconnu et lui embrassa furtivement les lèvres. Je lui demandais alors de décoller ses fesses de l’assise du fauteuil, ce qu’elle fit ; je saisis sa culotte par l’entrejambe pour la faire glisser jusqu’à ses chevilles ; mon épouse décolla ses pieds du sol, je pris la pièce de lingerie que je posais sur le fauteuil libre à côté de moi.

Après s’être rassise fesses nues sous sa robe, mon épouse dévisagea l’inconnu pendant quelques secondes ; ils échangèrent ensuite un long baiser langoureux. Elle prit la main de son nouvel amant et la posa sur son genou.

L’homme fit lentement monter sa main vers le bassin de mon épouse, tout en lui caressant la cuisse. La robe se retroussa, laissant apparaître la moitié de la cuisse. Je la déboutonnai entre la base et la taille, avant d’en écarter les pans de chaque côté de ses jambes.
Le beau brun poursuivait ses attouchements.

- Ecarte tes genoux, ordonnai-je à mon épouse.

Elle obéit ; ses genoux touchaient la base des accoudoirs du fauteuil. A cet instant, l’écran de la salle devint très clair, ce qui rendait son sexe particulièrement visible : ses petites lèvres dessinaient un segment droit vertical au sein de sa toison, entre ses jarretelles. Je défis les derniers boutons de sa robe. Je cessais de la caresser, pour mieux observer la main de l’inconnu : elle malaxait le bas du ventre, juste en-dessous de la guêpière, et le haut des cuisses, au dessus des bas et au niveau des jarretelles ; elle évitait soigneusement de toucher le sexe que mon épouse lui offrait.

- J’ai la chatte à l’air, me précisa-t-elle, comme si elle réalisait soudain que je l’avais partiellement dévêtue.

En guise de réponse, je lui caressai sa toison ; le beau brun prit rapidement le relais, je retirai ma main pour lui laisser libre accès à cette intimité féminine mise à sa disposition.

- Décolle tes épaules du dossier, demandai-je fermement, toujours à voix basse.

Elle obtempéra sans broncher : apparemment, elle désirait tant atteindre le septième ciel, qu’elle en oubliait en partie sa pudeur naturelle. Je dégageai ses bras des manches de sa robe que je fis glisser sur l’assise du fauteuil. D’un geste délicat, je pressais ensuite délicatement ses seins à travers les bonnets, ses omoplates se recollèrent contre le dossier.

L’inconnu et moi-même nous occupions d’elle pendant de longues minutes, lui triturait son sexe nu, moi malaxais sa poitrine à travers la guêpière. La respiration de mon épouse s’accélérait petit à petit, elle était cependant peu bruyante : La bande sonore du film la masquait.

Elle prit soudain une longue inspiration ; elle me précisa :

- Il me caresse la vulve !
- Aimes-tu ? demandai-je, tout en continuant à lui pétrir la poitrine.
- J’adore, répondit-elle.

- Essaie de retarder ton orgasme au maximum, expliquai-je.

Car c’est bien d’orgasme dont il était maintenant question ; je connaissais suffisamment bien mon épouse pour deviner qu’elle allait bientôt l’atteindre : elle se mordait la lèvre inférieure pour éviter d’émettre des gémissements ; cela lui évitait d’attirer l’attention sur elle : elle n’avait pas encore envoyer la totalité de sa pudeur aux orties.

Bien sur, ce jeu était à double tranchant : en refusant ainsi de jouir à brève échéance, son orgasme tardif risquait d’être explosif. Comment allait-elle s’y prendre pour ne pas crier ? J’en étais là de mes réflexions lorsqu’elle m’adressa de nouveau la parole :

- Il a glissé deux doigts dans mon vagin !
- Est-ce assez profond pour toi ? T’excite-t-il les parois vaginales ? demandai-je.
- Ni l’un, ni l’autre, répondit-elle.
- Roule-lui un long patin, lui conseillai-je.

Elle se pencha vers lui, refermant en partie sa vulve et me présentant son dos. Evidemment, dans sa nouvelle position, les pénétrations digitales étaient moins profondes, donc moins intenses. Peut-être pensait-elle que je renonçais à lui faire atteindre le Nirvana ? En fait il n’en était rien, la suite des évènements allait le démontrer. Alors qu’ils échangeaient un long baiser, je défis la moitié des agrafes de la guêpière, avant de la replier pour découvrir sa poitrine.

Je lui saisis ses seins nus pour l’attirer à nouveau contre le dossier du fauteuil. J’avais laissé mon bras droit derrière son dos : ainsi, j’avais une main par sein. Comme sa poitrine était assez volumineuse (pour rappel bonnets B généreux), ses seins étaient soumis à une ptose relativement importante.

Le beau brun avait repris ses pénétrations digitales, alors que je faisais rouler entre mes doigts ses aréoles contractées. Sa respiration était maintenant saccadée, mais elle limitait l’intensité du bruit en pinçant fortement sa lèvre inférieure entre ses dents. Après quelques longs instants, elle se plaignit une nouvelle fois :

- La pénétration n’est pas encore assez profonde.
- Passe tes cuisses sur les accoudoirs, lui conseillai-je.

Comme elle changeait de position, ses fesses se décollèrent de l’assise du fauteuil. J’en profitais pour récupérer sa robe qui gisait encore sur l'assise, et que je déposais près de la culotte sur le fauteuil libre à côté de moi. Dans cette nouvelle position, ses cuisses étaient davantage écartées, et ses petites lèvres étaient grande ouvertes. De plus, elle présentait son anus juste en dessous de son vagin luisant que nous pouvions entrevoir à la base de sa vulve.

Dans cette nouvelle position, elle était affalée dans son fauteuil ; ses seins s’étalaient sur sa poitrine presque horizontale, ils semblaient atteints de strabisme divergent.

Le beau brun reprit ses pénétrations digitales, plus profondes évidemment. Pour ma part, je laissais une seule main s’occuper des seins de mon épouse, je glissais l’autre sous ses fesses. L’inconnu et moi-même étions témoins d’un dialogue surprenant :

- Grat, grat ! disaient les trois doigts qui caressaient la toison.
- Gloup, gloup ! répondait le vagin que deux doigts pénétraient.

J'excitais l'anus de mon épouse en le caressant délicatement ; le beau brun accélérait petit à petit les mouvements de ses deux doigts profondément ancrés dans le vagin. La bande sonore du film se fit soudain silencieuse pendant de longs instants, les clapotis vaginaux et la respiration saccadée de mon épouse devinrent alors parfaitement audibles dans toute la salle. Son anus lubrifié par les sécrétions qui suintaient de son vagin s'ouvrit d'un coup, j'y glissais deux de mes doigts. L'orgasme était maintenant proche.

Mon épouse résista encore de longues minutes. Puis son corps fut soumis à des spasmes incontrôlés. Le beau brun décolla sa main du doux sexe féminin qui lui était offert, et dont le vagin expulsa à plusieurs reprises des sécrétions qui imprégnèrent le dossier du fauteuil face à elle et inondèrent le sol devant elle. Mon épouse réussit à atténuer ses cris de plaisir en plaquant ses deux mains sur sa bouche, sans pour autant les totalement.

Je la laissais reprendre ses esprits quelques minutes. Je lui tendis ensuite un préservatif neuf. En le voyant, elle me demanda :

- Tu veux que je me fasse sauter ici ? Maintenant ?

Je m'aperçus donc qu'elle n'avait pas entièrement réalisé qu'elle était devenue impudique depuis plus de vingt minutes. Dans cette salle exiguë, elle était la seule personne pratiquement nue, et sa vulve ouverte diffusait depuis un long moment déjà un parfum subtil et délicat de femelle en chaleur, qui s'était peu à peu répandu dans toute la salle. Et de surcroît, Certains spectateurs avaient ment entendu les bruits constitutifs d'un orgasme féminin : respiration saccadée, clapotis vaginaux, cris de jouissance. Cependant, à l'exception de nous deux - le beau brun et moi-même -, personne n'avait pu l'apercevoir : ainsi affalée dans son fauteuil, elle était cachée par les dossiers des fauteuils situés devant elle.

- Au point où tu en es ! lui répondis-je laconiquement. N'oublie pas de récupérer la capote pleine de sperme et de la nouer.

Elle prit le préservatif dans son poing, s'agenouilla sur l'assise de son fauteuil le visage vers l'inconnu et les fesses vers moi. Elle défit la ceinture du beau brun, dégrafa les boutons de son pantalon, baissa la braguette et sortit la verge du caleçon. Elle entama une fellation.

Ses seins s'écrasaient sur l'accoudoir ; alors qu'elle suçait le pénis du beau brun, je détachai les accroche-bas de ses jarretelles et les dernières agrafes de sa guêpière pour la lui retirer ; elle rejoignit les autres habits sur le fauteuil libre à côté de moi. Dorénavant, les seuls vêtements que portaient mon épouse se limitaient à ses bas et ses escarpins. Elle continua les succions autour de la verge conquise, jusqu'à éjaculation de l'inconnu dont elle coiffa ensuite le pénis du préservatif.

Elle chevaucha le beau brun, dos à l'écran ; elle fit pénétrer le sexe masculin dans le sien ; alors qu'ils s'ébattaient, je retirai l'escarpin et le bas droits de mon épouse. Dix minutes plus tard environ, l'homme poussa un long râle rauque : il venait d'éjaculer bruyamment. J'observais la salle devant moi ; en entendu ce râle, plusieurs personnes s'étaient retournées et avaient donc vu mon épouse de dos en plein coït. Elle se détacha de l'inconnu, puis vint me chevaucher à mon tour. Je sortis mon sexe de mon pantalon, puis la pénétrai à mon tour. Elle récupéra comme convenu le préservatif plein de sperme et le noua.

Alors que je la besognais, je palpai son ventre ; sous l'effet des orgasmes, sa ceinture abdominale était aussi dure que du bois sec. Je malaxai également ses seins, j'ai pu sentir au touché qu'ils s'étaient raffermis : elle était en plein extase.

Je me suis vidé en elle quelques minutes plus tard ; je lui donnai un nouveau préservatif, elle en coiffa une nouvelle fois le pénis du beau brun. Alors qu'elle s'apprêtait à le chevaucher une nouvelle fois face à lui, je la retins et lui précisai :

- Chevauche-le en lui tournant le dos, face à l'écran.
- Si des spectateurs se retournent, ils me verront de face, s'indigna-t-elle ; que vont-ils penser de moi ?
- Certains nous observent déjà, répondis-je ; ils constateront que tu es une très belle femme entièrement nue qui se fait sauter en public. Et pour le leur pouver, une fois que tu seras assise sur le beau brun, tu feras passer tes cuisses sur les accoudoirs.

Elle obtempéra ; elle s'installa sur l'inconnu face à la salle, fit pénétrer en elle la verge offerte, passa ses cuisses sur les accoudoirs. Je retirai alors ses deux derniers vêtements.

Elle se fit pénétrer en tout douze fois ; deux fois dos à l'écran par le beau brun puis par moi, cinq fois face à l'écran par le beau brun, cinq fois par moi. Elle a récupéré six préservatifs pleins.

La raison principale pour laquelle j'ai ainsi exhibé mon épouse est la suivante : je voulais montrer à l'inconnu que j'étais le mâle dominant, celui qui avait le droit d'ensemencer ma belle, alors que lui n'y était pas autorisé.

Nous avons cessé nos relations sexuelles dix minutes environ avant la fin du film. L'inconnu et moi-même nous sommes rajustés pendant que mon épouse reprenait son souffle. Je lui ai ensuite rendu sa robe et ses escarpins, j'ai gardé avec moi ses dessous. Avant de quitter la salle, j'ai fixé les six préservatifs pleins de sperme aux boutonnières de sa robe. Elle rentra chez nous dans cette tenue.

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