Pneu Crevé

J’ai rendez vous avec ma copine du moment. Nous devons aller dans une nouvelle boite où parait-il l’ambiance est des plus chaude: pile ce que nous cherchons; Notre soirée se déroule un peu comme prévu. Nous avons un peu danser pour lui faire plaisir. Notre flirt n’en ai plus un, depuis qu’elle s’est décidé à se donner à moi. Je suis tombée sur une vierge un peu folle de son corps, mais pas encore habi à baiser et jouir. Au fond ce n’est pas grave tant que je peux tirer un coup. Je préfère les sexes d’une nana à ma main.
En sortant une surprise m’attend: un gentil monsieur a crevé un pneu de la voiture. Je « roumègue » pas mal, comme on dit chez moi, dans le midi. Mon amie est dans la voiture pour faire contre poids à cause du cric. Je m’efforce à défaire calmement les boulons de la jante serrés bien entendus à bloc.
Un belle plante, bien plus sexy que mon amie passe en se moquant de moi. J’ai les boules et l’envoie à la pêche. Enfin vers 4 heures du matin je peux démarrer. Il est trop tard pour aller chez ma copine. Tant pis nous fertons l’amour une autre nuit. Au milieu de la semaine je suis invité pour une présentation d’un nouveau produit. Comme quand on m’invite professionnellement, je ne refuse pratiquement jamais je vais à cette réception. Dès l’entrée je voit en grande tenue celle qui se foutait de moi. J’allais encore la gronder quand en la regardant je pense en un éclair qu’elle me plait terriblement: je la trouve plus que belle: sexy. Nous nous sourions comme des amis de toujours. La réception se termine et je pars chez mon amie passer la nuit à lui apprendre à baiser.
La semaine suivante je tombe encore sur cette fille. Cette fois plus question de nous disputer: ce qui se passe dans la pièce principal nous indiffère tellement que nous n’arrêtons pas de bavarder.
Au lieu de rentrer chez moi, je l’accompagne chez elle. Nous nous arrêtons dans un restaurant très connu. Elle tient absolument à payer la note.

Ce n’est qu’en partant que je lui prend la bras. Elle ne se dégage pas et me mène chez elle.
Nous n’allons pas faire de tricot, c’est couru. Déjà dans l’entrée de l’immeuble je la prend dans mes bras pour l’embrasser. Ses lèvres sont entrouvertes quand je pose ma bouche sur la sienne. Notre baiser est interrompu par la lumière du couloir qui s’allume nous avertissant qu’un personne descend vers nous. Très sage, bien sur, nous bavardons, je ne sais même pas de quoi. Enfin nous sommes seuls et nos lèvres recommencent.
Elle me prend par la main pour aller chez elle, un petit appartement bien tenu, à comparer au bordel de chez moi. Elle m’invite à m’assoir sur un petit divan: je suis obéissant quand une fille me demande quelque chose d’intéressant. Je suis à peine installé qu’elle vient contre moi.
Elle cherche une suite à notre baiser. Je l’embrasse encore longuement pendant que d’une main je cherche et trouve ses seins. Ils ne sont pas gros mais durs. Je ne sais si c’est normal chez elle ou si c’est le début de l’excitation. Je penche pour la dernière solution.
Je les prends dans mes mains, les caresse doucement à travers sa robe. Elle se laisse faire. J’aimerai être dans sa tête pour savoir ce qu’elle pense et ce qu’elle veut. Je trouve ses mamelons durcis eux aussi. Ma main gauche continu mes caresse quand je pose ma main droite sur un genou. Elle me laisse toujours faire, sauf qu’elle me mord un peu la langue: est-ce pour me dire de continuer ? Je traduit de coup de langue par une affirmation. Je monte petit à petit à l’intérieur de sa cuisse.
Elle a la peau très douce, plus douce que celle de mon amie que j’oublie maintenant totalement. Elle passe un bras autour de mon cou: l’autre descend sur mon torse: elle défait les boutons de ma chemise, passe sa main dessous pour aller me caresser mes tétons.
Enfin j’arrive vers son sexe: elle a les jambes écartées suffisamment pour que je passe sur toute sa féminité. Et qu’elle féminité: elle est trempée totalement.
Je cherchais son clitoris pour la masturber. J’y arrive en dérapant un peu sur son ouverture secrète. Je trouve un clitoris déjà bandé, je passe et repasse mon index. Elle ferme les yeux comme pour profiter de la branlette que je lui fait. Elle ferme ses cuisses juste au moment où je la sens se raidir à cause de son orgasme. Sa langue est insistante dans ma bouche. Quand elle la sort ce n’est que pour me dire
- Encore, fais moi jouir, tu le fais si bien.
- Je voudrai savoir si tu es vierge de partout ?
- Non de nulle part.
- Et ma bite: tu y penses ?
Je n’ai rien à ajouter, elle arrive après quelques efforts à sortir ma queue, la prendre dans ses mains me caresser et la bite et les couille avant de se pencher pour me mettre dans sa bouche. Je la laisse faire en me préparant à jouir sous sa langue. Dans cette position elle m’offre ses fesses. Je ne vais pas me gêner pour y poser une main. Je prend un globe dans ma main pour le flatter avant me mettre deux doigts dans sa raie. Je descend lentement vers son anus. Elle doit s’en douter, sans rien dire, elle oublie ma pine pour que je ne jouisse pas encore. Par contre elle n’arrête pas mes doigts qui sont maintenant juste à l’entrée de son petit trou. Je les rentre dans son intimité. Je les fais aller et venir, comme si je la sodomisais. Elle accompagne mes mouvements. Elle serra mes doigts quand elle jouit.
Elle se lève, m’invite à la déshabiller, ce que je fais avec plaisir: je vois un corps splendide, avec des seins durcis et hauts plantés, son pubis légèrement velu et ces jambes magnifique pour moi qui sont un véritable appel au viol. J’embrasse tout ce que je peux de ce corps qu’elle me donne. Rapidement je me met aussi nu. Nous nous détaillons: elle surtout qui surveille ma queue: je bande fortement depuis un moment et elle est toujours en train de se lever et se baisser sans arrêt: j’ai trop envie d’elle.
Elle me conduit dans sa chambre: beau lit, belle armoire, le reste à l’avenant.
Nous nous embrassons encore avant de passer au principal de la pièce: baiser.
Je ne sais pourquoi, ou plutôt si, je la bouscule pour la faire tomber sur son lit. Elle tombe les jambes ouvertes hors du lit. Je m’agenouille devant elle, passe ma tête là où il faut pour la sucer.
Je trouve encore sa fente mouillée quand ma langue après avoir léché l’intérieur de ses cuisses arrive sur son con. Je la goûte avant: sa cyprine est bizarre, très bonne mais bizarre, un peu citronnée et salée. Je murmure entre ses jambes
- Où je la met ?
- Dans mon cul d’abord.
- Dans ton cul déjà.
- Oui, j’aime par là. Si j’y mets ma bite tout à l’heure ?
- Tu me rendra heureuse, il y a longtemps que je ne me suis pas faite sodomiser.
Ma foi elle le veut; j’y vais. Si j’entre ma langue dans ce joli cul, j’ai de la place pour entrer mon nez dans sa vulve et encre branler son clito avec un seul doigt. Ce serait une totale.
Je trouve son petit trou en passant par son anus qu’elle ouvre. Ma langue commence des allers et venues qui la font monter au paradis. Mon nez trouvez sa place pour un instant: il faut que je puisse respirer et je fourre encore mon index sur son clito.
Je ne m’attendais pas à la suite: elle miaule comme une chatte en chaleur quand le matou la satisfait. Elle pose ses mains sur ma tête en la caressant continuellement jusqu’à son orgasme. Je me relève pour aller l’embrasser. Elle me suce la langue qui vient juste de sortir de son cul.
Drôle de fille.
Elle tient à s’occuper de moi. Elle est sur le dos, les jambes bien ouvertes, elle se masturbe devant moi, comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Quand je la grimpe elle prend ma pine pour la mettre là où elle me veut: dans son con. Ses jambes autour de ma taille montrent qu’elle a l’habitude de baiser. Elle accompagne tous mes mouvements en jouissant presque tout le temps. J’envie les filles qui peuvent naturellement jouir ainsi, alors que nous, les hommes devons attendre de recharger les batteries.

En attendant elle jouit loin de mes considérations qui la dépasseraient si j’en parlais.
J’aime bien aller jusqu’au fond de sa vulve. Elle aussi semble-t-il. J’ai envie de jouir maintenant et n’y arrive pas, je ne sais pourquoi. Elle en profite: c’est le principal. Au bout d’un moment le la tourne en levrette.
Elle mouille l’entrée de son cul, écarte un peu les fesses à deux mains pour attendre que ma pine entre dans son anus. Avec elle je comprend de suite ses préférences pour la sodomie: d’abord son cul est étroit et je sens bien mieux la bite qui entre, ensuite elle se branle aussi pendant l’acte. Quand je suis en elle j’ai une autre sensation que dans son con. Elle est faite pour se faire enculer. J’en profite à fond surtout quand je sens que je vais jouir. Je laisse au fond de son cul une bonne dose de sperme.
Maintenant je ne peux plus rien faire pour un instant. Elle veut me sucer pour goûter à ma liqueur; Elle fait ce qu’il faut pour me faire bander: elle reste en levrette, me montre tout son sexe, se met deux doigts dans le con avant de changer d’orifice et mettre cette fois la taille au dessus: trois doigts mouillés dans son cul qu’elle ouvre ainsi au maximum. Elle les fait aller et venir. Je ne tarde pas à bander à nouveau en plus gros il me semble.
Elle vient m’enjamber pour me donner son entrejambe à lécher. Je met ma langue dans son vagin où je la fait tournoyer: elle en jouit plusieurs fois. J’ai droit à sa langue sur le gland: elle le lèche comme si c’était un sucre d’orge. Je frémis de cette caresse. Elle avale le reste de ma bite en gorge profonde. Je lui baise la bouche. Je l’avertis par politesse que je vais jouir. Elle me garde dans sa bouche ouverte cette fois. Quand mon sperme gicle elle le reçoit tout dans sa bouche. Quand je lâche la dernière goutte elle garde tout, le fait passer dans tous les recoins de sa bouche avant de l’avaler très lentement pour finir par dire que j’ai bon goût.
Pour ma copine j’ai du mal à lui faire comprendre que je la quitte pour une autre qui baise bien mieux qu’elle. D’autant plus que cette baise fini devant monsieur le curé quelques moins plus tard.
C’était il y a 10 ans bientôt

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