Tourments - Éloge De La Candeur (11)

TOURMENTS - Éloge de la Candeur (11)

Résumé des chapitres précédents : Sandy, une jeune femme, mariée à un rustre est déniaisée par Paul qui a presque le double de son âge. Entrainée chez un couple de quadras, Jacques et Corinne avec Maud, leur soubrette de dix-huit ans, elle assiste à leur débauche débridée et se retrouve à son grand étonnement à participer à cette orgie. Initiée à la sodomie par Paul, elle accepte de se faire prendre en double par les deux hommes. Sur la route du retour, elle s’exhibe sur l’autoroute et se fait prendre par un motard qui l’a quelque peu martyrisée à la grande surprise de Paul qui découvre les dispositions masochistes de sa compagne. D’ailleurs, celle-ci, s’essaie seule, dans la salle de bains de l’hôtel à se suspendre attachée pour que Paul, lui supplicie sa chatte et ses seins. C’est alors, que faisant connaissance d’un couple britannique au restaurant, ils se retrouvent dans leur chambre où une belle lady rousse est bénéficiaire de l’éducation anglaise ainsi que Sandy qui goûte aux ustensiles de discipline du lord anglais.


La belle anglaise aux yeux verts se déshabille en un tour de main, exhibant son grand corps nu splendide et d'un beau blanc laiteux, seul son visage est recouvert de taches de rousseur. Par contre sa poitrine est minuscule, mais très bien faite, on dirait qu'elle a des seins de petite fille à peine pubère avec des mamelons disproportionnés pour leur grosseur. Ses tétons sont très larges et auréolés de brun, les bourgeons étant très gonflés. Le bout du sein droit est percé par un gros anneau d'or qui étire à peine le globe qui paraît très ferme. Diana se penchant sur la jeune femme soumise, s'aventure entre ses jambes grandes ouvertes, elle plonge sa tête dans la vulve rebondie et peu touffue qu'elle embrasse à l'intérieur des cuisses, à l'endroit le plus sensible. Sandy s'est bien aperçue de l'approche de sa compagne de jeux. Curieuse de connaître les caresses de cette anglaise, elle la laisse faire, ouvrant encore plus ses cuisses et son ventre aux attouchements de plus en plus précis et à la langue qui vient de prendre possession de son vagin.

Elle ondule sous la bouche qui s'active dans ses muqueuses et qui pompe littéralement le suc de sa mouille. Les lèvres de Diana se posent soudain sur son clitoris et aspirent son bouton d'amour. Elle suffoque soudain devant la délicieuse volupté que lui procure ces lèvres féminines, ne pouvant s'empêcher de lui crier.

- Oh ! Oui, ma chérie, continue, tu me fais jouir, mange-moi, mords-moi, je veux ta langue et ta bouche tout en moi ! Oh !... Oh !...
Encore, encore.... Oui !.. Ouiiiiiiiii !..........

Diana effectuant une reptation sur le lit approche doucement sa vulve du visage de Sandy, restant ainsi à quelques centimètres de ses lèvres. Celle-ci a vite compris ce que cette femme attendait d'elle. Aussi sa langue vient s'infiltrer dans les chairs offertes et hume et lèche ce vagin à l’odeur musquée. C'est une vraie rousse, son odeur ne peut tromper et la saveur de la mouille est aussi marquée par une odeur très forte et épicée. Elle glisse sa langue dans le vagin tout en étanchant la liqueur qui s'écoule. Dégageant le capuchon du clitoris, elle lui donne de petits coups de langue et le prend entre ses lèvres. Le bouton grossit et devient rouge orangé alors que Sandy le mordille doucement. La jolie Lady soupire de délectation et asperge la bouche qui la broute de sa mouille savoureuse. Les deux femmes qui sont disposées tête-bêche dans la position du 69 se dégustent mutuellement leurs parties intimes, ne s'apercevant pas que les deux hommes qui se sont mis nus tournent autour du lit.

Edward se présente devant le postérieur de Sandy, qui se trouve maintenant au-dessus de Diana, puis, glissant sa verge sur la langue de son épouse qui titille le clitoris à sa portée, il l’enfourne dans le vagin qui bâille et laisse s'écouler un jus abondant. Paul s'agenouille devant le lit, son pénis à la hauteur du bassin de Diana allongée et les jambes pendantes hors du lit. Il enduit de salive la rosace de l'anus violacé et avec sa langue, il lui fait une magnifique feuille de rose.
Puis, sa queue devenue bien rigide, il la dirige vers la cavité anale qui accepte sans difficulté la pénétration de son membre.

Sandy regarde avec amour le vit de son amant, et lèche son gland, avant qu'il ne pénètre entre les fesses qu'elle tient écartées pour que son homme puisse enculer à fond la cavité anale de l’Anglaise. L'anus de Diana est chaud et confortable, il s'emboîte parfaitement sur la verge de Paul qui va et vient lentement, sortant sa verge à chaque fois du trou du cul qui s'élargit en dévoilant toute sa profondeur. Puis Paul accélère et donne de violents coups de boutoir, dévastant et défonçant le fondement de l'orgueilleuse anglaise. L'enculeur et l'enculée jouissent admirablement et béatement de ce moment divin. Les terminaisons nerveuses des muqueuses de Diana lui procurent une extase merveilleuse. La pine qui glisse en elle et qui effectue des va-et-vient de plus en plus rapides, lui arrache des soupirs voluptueux. Elle aide son partenaire en faisant aller son bassin au-devant du membre qui la comble délicieusement. Paul accélère ses poussées jusqu'à ce que dans un cri, il expulse toute la sève accumulée dans ses couilles, qui se vident par saccades dans ce cul fabuleux. À chaque poussée, Diana projette son cul vers la verge et pousse des petits cris de plus en plus rapprochés, jusqu'à l'orgasme final.

- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! ! Aaaaaaaaaaahhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiii !

Elle râle longuement son plaisir, pendant que Paul éjacule par saccades au fond de son rectum et que l'orgasme la saisisse. Cependant, Diana, excitée par l'obscénité du spectacle de son mari baisant la jeune femme, abandonne le clitoris qu'elle avait aspiré et lape les bourses de son époux, elle lui lèche la hampe qui va et vient dans le con baveux de mouille. Mais bientôt la cadence de l'Anglais se modifie, son gland ressort tout gluant du vagin, et, changeant d'orifice, il perce la pastille brune de Sandy, s'enfonçant aussitôt au plus profond du rectum bien huilé par le sperme qu'il lui avait injecté auparavant.
Le sexe d'Edward est bien plus gros que celui de Paul, il s'approprie entièrement le conduit anal de Sandy, frottant et approfondissant sa percée en fouillant son fondement. Celle-ci s'habitue très vite à ce corps étranger qui la remplit si bien. Le va-et-vient lent de la queue d’Edward, finit par exciter les terminaisons nerveuses de la paroi rectale de Sandy qui participe voluptueusement à cette copulation. Elle remue son ventre et son derrière, sous les coups de boutoirs répétés, qui lui procurent aussi des sensations délicieuses et inouïes. Elle crie, à son nouvel amant.

- Mon Dieu, Oui ! Oh ! Oui sodomise- moi, c'est tellement bon. Oh ! Oui, mon Chéri pousse, défonce-moi, je te veux dans mon cul. Oui ! Encore ! Oh ! Encore ! Va y ! Oh ! Oui continue, encule-moi, j'aime ça. Oh ! Oui Ahrrrrrrrr... Va y laboure-moi, Oh ! Que c'est bon d'être enculé. Oooooooooooh... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii......

Edward se vide dans la gaine rectale qui enserre si fort sa verge, il prend un pied comme il en a rarement pris. Quelle femelle cette petite Française, c'est vraiment une affaire. Il ressort lentement son gland, d'où le sperme s'écoule dans la raie culière de Sandy et vient tomber sur la langue de son épouse qui lape toujours le vagin au-dessus d'elle. La débauche qui les a réunis fait qu'ils se sentent tous rompus et repus. Ils s'écroulent assouvis par leur jouissance réciproque.

Les corps des quatre partouzeurs sont un peu enchevêtrés, leurs bras, leurs jambes et leurs cuisses mélangés. Ils se sont même endormis durant une bonne heure. Paul se réveille le premier et contemple les seins et les croupes des deux femmes, une main d'Edward est négligemment posée sur le mont de vénus de Sandy et l'autre enveloppe un sein de son épouse. Quand ils ont tous repris leurs esprits, ils se regardent avec malice et tendresse. Diana propose, de finir la nuit chacune avec le partenaire de l'autre, Sandy regarde Paul qui acquiesce en plissant ses yeux et la jeune femme, après avoir embrassé longuement son amant, se résout à le laisser seul avec l'Anglaise.
Pour ne pas avoir de regrets, elle entraîne derechef le lord britannique dans sa chambre en passant par la porte communicante.

Diana et Paul se retrouvent tout à fait seuls. Pendant que la belle Anglaise prend un bain, Paul redresse le lit et range un peu la chambre, dévastée par les jeux amoureux des deux couples. Lorsque l'Anglaise revient enveloppée dans un peignoir, il prend sa place dans la salle de bain. À son retour Diana l'attend en souriant, étendue nue sur le lit grand ouvert. Paul s'allonge à côté de cette magnifique créature, puis la prenant dans ses bras, il lui baise délicatement ses lèvres qu'elle a repeintes durant son passage dans la salle d'eau. La peau de cette femme est extraordinairement douce, prouvant que son âge certain n'a causé aucun dommage à ce corps d'albâtre. Il caresse ses petits seins dont les bourgeons se dressent orgueilleux, flattant délicatement le droit dont il effleure à peine le bout percé de l'anneau d'or. Diana s'est aperçu de l'hésitation de son compagnon à toucher la fibule qui la rend esclave de son époux, aussi elle se veut rassurante.

- Vous pouvez sans craindre de me faire mal caresser mon sein droit mon cher. Et même si vous le désirez vous pouvez tirer sur l'anneau qui me transperce mon tétin. Edward ne se prive pas de m'y attacher une chaîne et quelquefois d'y suspendre des poids qui allongent mon bourgeon. Voyez d'ailleurs, il est beaucoup plus gros que son frère !

Paul prend dans sa main l'anneau qu'il attire à lui pour gober entre ses lèvres le bourgeon turgescent. La rousse gémit du plaisir pervers qu'elle retire de la douleur et de la suave délectation qu'elle ressent. Paul caresse son pubis avec ses doigts qu'il rend les plus légers qu'il le peut. La femme frémit sous les attouchements qui se font de plus en plus précis, aussi elle souffle dans l'oreille de son amant d'une nuit.

- S'il vous plaît Paul. Auriez-vous l'obligeance de me faire, comment dites-vous en français ? Minette je crois. Mon tendre époux à horreur du cunnilingus et j'en suis très privée, j’adore qu'un homme frotte ses joues et sa barbe entre mes cuisses et qu'il puisse happer mon clitoris entre ses dents et étancher mes sucs intimes. Je ne vous choque pas trop au moins Paul ?

Pour toute réponse, celui-ci se glisse entre les jambes superbes de la rousse, laissant sa bouche descendre vers ce puits d'amour qui l'attire. Il lèche l'intérieur des cuisses qui frémissent et plonge sa langue dans le vagin qui mouille abondamment. Il lape la liqueur qui pique un peu car Diana n'a pas fait sa toilette intime, dans le dessein, il en est certain de le provoquer. Une légère miction d'urine acide s'est mélangée aux sécrétions vaginales et Paul découvre ce goût un peu épicé de la grotte inondée. Il ne trouve pas cela désagréable et il aspire et ingurgite la liqueur de la magnifique Anglaise, qui se laisse aller à asperger la langue qui la lèche d'un tout petit jet d'urine. Cela ne le rebute pas, car il étanche la pisse de cette femme superbe sans sourciller.

Diana est reconnaissante à l'homme qui la gouine d'avoir su résister à la forte odeur musquée que sa vulve dégage, et d'avoir surtout sans répugnance, absorbé son urine qu'elle lui a injectée avec préméditation. La langue qui s'est introduite dans ses chairs lui produit des sensations inouïes. La pointe fouille au plus profond d'elle-même, elle sent la sève que sécrètent les glandes sébacées qui imbibent son entrejambe. Une jouissance incroyable la submerge, surtout que décapuchonnant son clitoris avec sa langue, l'homme l’aspire entre ses lèvres pendant que plusieurs de ses doigts, se sont introduits dans sa vulve, massant les parois lubrifiées du vagin. Son ventre se tend au-devant des assauts de la langue et des doigts qui lui donnent cette savoureuse et délicieuse extase. Elle espère surtout que l'homme ne s'arrêtera pas et qu'il continuera longuement à lui procurer de si agréables sensations.

Paul galvanisé, savoure cette situation où il domine par les sens la femme qu'il sent à sa merci. Il gobe et dévore le clitoris en le suçant avec force et même, surexcité, il le mordille légèrement pour le croquer pour de vrai de temps en temps. Diana gigote et clame son bonheur hystérique alors que Paul bouffe littéralement les chairs de la rousse, faisant aller sa langue jusque dans la raie culière et titillant avec sa langue la rosace de l'œillet anal. Diana a déjà eu deux brefs orgasmes lorsque Paul, décapuchonnant avec ses doigts l'énorme bourgeon du clitoris qui ressemble au pénis d'un jeune garçon, aiguillonne avec frénésie l'extrême sensibilité du bouton d'amour de la Lady. Celle-ci est en transes, prise d'une véritable frénésie, elle fait des sauts de carpe, éperonnée dans sa zone érogène la plus éruptive par la fougue dont fait montre son amant. Elle crie à l'encan sa jouissance.

- Oh oui ! Continuez Paul, je vous en prie, merci, merci, c'est bon, que c'est bon. Je vous en prie n'arrêtez pas. Oh ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oui !.... Oui !.... Oh ! Ouiiiiiiiiiiiiii........

Paul lui saisit les deux cuisses dans ses bras puissants, agitant sa langue du clitoris au méat urinaire qu'il titille habilement. Cette fois, après les sécrétions vaginales qui se répandent dans la bouche de l'homme, la femme est tellement surexcitée, que tout à coup, son méat trop sollicité s'ouvre, aspergeant d'urine la bouche de Paul qui lape la pisse qui gicle et l'avale sans hésiter à la grande surprise de la digne Lady.

- Oh ! Pardonnez-moi. Oh ! Oui ! Je vous en prie, continuez, ne vous arrêtez pas. Pardon, je ne voulais pas. Oh ! Mon Dieu je jouis... Je jouis.... C'est incroyable. Oh! ...Oh! ....Oh! ...Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Diana se pâme dans une jouissance extrême, elle reste étendue raide, les jambes et les cuisses grandes ouvertes devant Paul qui s'est redressé. Profitant de sa position, il s'agenouille et introduit sa main dans le vagin béant qu'il force pour introduire sa paume et ravager avec ses doigts les muqueuses enflammées. Soudain, sa main ayant le passage, se retrouve dans la matrice gluante de mouille, arrachant un cri rauque à la rousse qui lui crie de continuer. Alors il fouille sans ménagement la chatte béante qui se prête maintenant à l'introduction incroyable en expulsant une sève abondante.

La distinguée Lady pousse des hurlements inhumains, criant sa jouissance à l'encan, puis d'un seul coup, n'en pouvant plus de jouir, anéantie par un orgasme foudroyant, elle tombe en syncope. Avant qu'elle ne se reprenne, Paul s'étant redressé, se présente devant ses cuisses grandes ouvertes. Dirigeant son sexe vers sa grotte d'amour, il se coule à l'intérieur de la gaine brûlante, pistonnant avec force ce vagin qu'il n'avait pas encore honoré. Diana qui a repris conscience, répond à ses coups de boutoir, projetant son ventre contre celui de son amant. Elle l'embrasse soudain avec fougue, ses sens exacerbés par ce qu'elle vient de subir depuis presque deux heures. Il s'enfonce au plus profond de la matrice, puis glissant ses mains sous ses fesses qu'il malaxe avec force, il la transperce longuement de sa bite bien raide. Diana révèle sa furie et son délire érotique en hurlant sa jouissance et des insanités qui les surprennent tous les deux.

- Oh ! Oui, venez mon chéri, baisez-moi, viens profond, défonce-moi, je t'en supplie ne sors pas, restez dans ma chatte, c'est délicieux, viens dans moi mon chéri. Oh baisez-moi bien, Oh ! Je dis des insanités, Oh ! Oui, c'est bon, continuez mon chéri. Oh ! Que c'est bon d'être baisé. Oh ! Oui ! Je vous en prie, viens en moi.... n'arrêtez pas surtout, au fond... Oui ! Ah ! Ahrrrrrrrr... Oui, oui, Ouiiiiiiiii, encore, encore, Ah ! Ahhhhrrrrrrrrrrr....

Elle a déjà joui à plusieurs reprises lorsqu'il éjacule en elle. C'est à présent une femme toute pantelante qu'il tient entre ses bras. La belle Anglaise est épuisée et fourbue. Jamais, jamais elle n'a connu un tel bonheur de toute sa vie, elle veut qu'il reste en elle, aussi elle resserre le plus possible son vagin et ses cuisses autour de la verge qui l'a si bien contentée. Paul reste enfoui dans le vagin qu'il vient de combler récupérant doucement et embrassant la Lady dans son cou, tout en lui pétrissant ses petits seins magnifiques. Elle lui souffle dans l'oreille.

- Mon chéri, je suis entièrement comblée, vous m'avez fait jouir comme seul un Français peut le faire. Je vous demande une faveur. Je voudrais m'endormir dans vos bras et avec votre sexe dans le mien. Le voulez-vous ?

Pour toute réponse Paul l'embrasse longuement sur les lèvres. Peu après, les deux amants s'endorment, épuisés par les débordements frénétiques et les folies érotiques auxquels ils viennent de se livrer.

à suivre…….

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