Nouvelle Voisine, Nouvelles Baises

Je n’ai compris que trop tard que ma femme simulait, après un an de mariage et trois de vie commune. Elle se conduit comme une harpie, elle refuse ma queue: elle a mal au vagin. Elle me suçait assez bien , refusant le sperme, elle refusait son cul. Je lui demande de ma branler, ça la dégoute. J’en suis réduit à me masturber: je jouis mais ce n’est pas pareil qu’un chatte. Nous faisons chambre à part, c’est plus simple pour elle et pour moi: je peux me faire du bien quand je veux.
Je dégage mes couilles avec des putes. Au moins elle ne font semblant de rien, sinon que d’ouvrir leur con aux bites et soulager les clients ou clientes, je ne sais même plus.
Ces derniers temps une famille a aménagé à l’étage au dessus: le père, sympa, la mère de l’âge de la mienne, de mère, et une fille sensiblement de l’âge de ma femme. Ils me plaisent bien ces gens là. Surtout la fille: je me la taperai bien. Elle est à peine plus petite que moi, ses longs cheveux blonds couvrent ses épaules, elle est toujours habillée assez court: ses jambes m’attirent particulièrement’: J’imagine son pubis et ce qu’il y a juste dessous.
Un matin, en partant travailler, elle est dans l’escalier, juste à deux marche: je la ratt pour bavarder un peu, en savoir un peu sur elle. Notre conversation continue sur le trottoir quand nous allons prendre un bus: le même. Nous parlons de tout, sauf d’elle et de moi.
Je ne sais pourquoi je lui donne rendez vous pour le retour. Elle accepte en souriant:
- A ce soir, soyez à l’heure.
- Evidemment.
Je suis même en avance pour le bus. Je vois sa crinière avant elle. Elle me plait plus fort que ce matin. Qu’est-ce que j’attends……….
- Bonsoir, vous êtes en avance !
- Je sais j’avais peur de vous louper.
- Me louper ? Ca aurait été grave ?
- Pour moi oui, et pour vous ?
- Un peu oui, je me serais ennuyée dans le bus.
Nous nous installons sur les même sièges. C’est elle qui parle:
- Je ne vous connais que depuis de matin, j’ai pensé à vous en travaillant.


- J’en suis surpris.
Je fais le malin, moi aussi j’ai pensé à elle, sans doute pas de la même façon. Elle continue:
- Vous ne me croyez pas: toucher mon cœur, il bat pour vous.
- Je n’ose pas vous toucher.
- Dommage pour vous, j’aurai bien aimé.
En plus elle me fait du rentre dedans.
- Ne dites pas dommage, je pourrai aller très loin en vous touchant.
-Chiche.
Elle m’excite exprès ou elle ne sais pas comment fonctionne un homme
Tant pis pour moi. Je passe un bras sur ses épaules, elle penche la tête vers moi, me tend ses lèvres. Je ne peux faire autrement que de l‘embrasser. Je suis étonné de sentir sa langue venant dans ma bouche, en plus elle sait embrasser merveilleusement bien. Sa langue est agile dans ma bouche, que doit elle faire quand elle a un bite dans sa bouche.
Evidemment nous loupons l’arrêt du bus: nous allons jusqu’au terminus. J’en suis à caresser sa poitrine par-dessus ses vêtements. Elle me le rend également. J’allais poser ma main sur un genoux quand nous sommes rappelés à l’ordre par le chauffeur: il nous faut descendre, son service est terminé. Nous nous levons à regret: nous étions bien serrés
- Où allons nous, me demande -t-elle.
Je n’en ai aucune idée. Il semble qu’elle soit plus libéré que moi: elle montre une enseigne d’hôtel juste à coté. Pas besoin de dessin: elle sait ce qu’elle veut depuis ce matin. Elle doit avoir l’habitude de baiser. Bien j’espère.
Nous avons une chambre tranquille, loin des bruits. Nous reprenons la valse des baisers; avant qu’à nouveau je prenne ses seins, cette fois plus à fond puisque je passe ma main sous son corsage qui finalement est enlevé. Son soutien gorge est transparents: je vois ces aréoles sombres qui ne semblent demander qu’une seule chose: mes lèvres. Je ne veut pas les décevoir, je retire le soutif, ou plutôt elle le défait et je l’enlève. Je suis un peu éblouis par ces seins.
Ils me semble défier l’attraction terrestre.
De son cotés, elle défait les boutons de ma chemise pour caresser ma poitrine, et descendre bien plus bas en défaisant ma ceinture et la fermeture éclair du pantalon qui suit son soutien gorge par terre. Comme sa jupe ne tient plus elle aussi, nous ne portons plus que nos slips. Je vois des poils follets dépasser. J’aime bien ça.
Elle sait depuis un moment que je bande, et pourtant elle ne me touche pas à cet endroit là. J’aurai aimé qu’elle sorte ma bite pour y faire des machins et des trucs. Elle attend sans doute que je commence. Je descends sa culotte je peux passer un bout de langue sur le peu de chatte qui apparait. Je peux sentir son odeur de femme en chaleur et son gout de cyprine agréable. Ma langue ne peux, hélas, pas aller très loin. Je me relève pour la coucher: elle m’enlève le slip, prend enfin ma queue, la regarde comme une bête curieuse, la branle un peu.
- Aimes moi, maintenant.
- Qu’aimes-tu ?
- Tout.
- Je te ferai tout.
Je m’avance un peu trop certainement. Tout, je veux bien, en combien de temps ?
Cette fois je peux la faire jouir sans la suivre moi-même: je peux attendre, pas trop quand même. Elle est les jambes ouvertes; outre le fait que je vois sa chatte en entier, je peux y poser ma langue et mes doigts.je ne me gêne pas: j’écarte le haut de ses lèvres, son clitoris ressort, je le lèche aussitôt. J’entre deux doigts dans son antre. Elle est trempée. Je fais coulisser mes deux doigts en elle facilement. Le doigtage la fait jouir rapidement. Mes doigts restent prisonniers de son vagin tellement elle a des spasmes violents et rapides. Au moins elle ne simule pas.
Je viens le la faire jouir: elle me fait mettre sur le dos, m’enjambe, s’assoit presque sur mon abdomen, prend la queue bien dure, me regarde dans le yeux:
- A mon tour de te baiser.
- Tu vas me mettre où ?
- Là où j’en ai le plus envie: tu m’a faite jouir pas le con, je vais me la mettre au cul.

- Tu ne veux pas en levrette ?
- Pas maintenant.
Elle frotte le gland sur sa fente en commençant par le clitoris, en passant après un arrêt de quelques secondes sur son vagin et enfin atteint son but: elle me garde encore sur le bord en la faisant tourner autour de l’anus. Il me tarde qu’elle me prenne dans son cul. Elle y arrive de la façon la plus simple, elle se laisse aller sur moi. Elle ne marque aucun temps d’arrêt: je suis au fond de son cul: je sens ses fesses contre mon pubis. Ma bite est l’objet de la convoitise: ses aller et venues sont de plus en plus rapides. Je serre les dents pour ne pas partir. Arrive enfin le moment où après plusieurs orgasmes elle me donne le coup de grâce: je pars dans une grande jouissance. Nos spasme ne cessent pas. Je crois ne pas avoir jamais jouis ainsi.
Elle s’écroule, reste couchée près de ma bite. Elle la prend dans une main, la caresse sans cesse. Voyant que je ne bande pas rapidement, elle se remet à cheval sur moi, porte deux mains sur la chatte: elle se caresse devant le clitoris et elle se met deux autres doigts dans l’anus. Je peux presque tout voir: ma bite elle ne regarde pas: elle bande à nouveau.
- Enfin tu bandes. Baises moi.
- Où ?
- Tu le fais exprès, devant, entre les jambes, tu sais là où j’ai un trou.
Elle se fout de moi. Je la renverse sur le lit, la brusque pour la mettre sur le dos, je ne force plus pour écarter ses jambes; elle me guide vers son étui à bite. Nous nous entendons rapidement quand nous trouvons la cadence commune. Elle halète comme un caniche. Je pose mes lèvres sur les siennes: nos langues se retrouvent. Nous baisons un bon moment: je ne suis pas de première fraicheur: pour elle ça tombe bien: elle est affamé de bite. Elle me bat en nombre d’orgasmes.
Au final nous arrivons à jouir ensemble. Pour moi, c’est encore une fois extraordinaire: elle baise bien, très bien même
Enfin nous parlons de nous. Elle voudrai que nous nous rencontrions souvent: elle est affamée de sexe malgré ses masturbations.

Ses parents lui foutent la paix: si je veux nous pouvons aller chez elle pour la nuit ou la journée.
Je lui parle de ma femme. Elle s’en doutait: ma moitié ne lui plait pas du tout, alors allons chez elle pour baiser et même, pour em…er ma femme, elle peut venir baiser chez moi surtout quand me femme le sait. Pourquoi pas après tout, elle saura au moins ce qu’est une fille normale. Qui sait, demain peut-être.

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