Jean, Moi Et Les Autres

Nous attendons ce moment depuis presque deux ans. Demain nous emménageons dans notre nouvelle maison. Jean en est tout retourné, il lui tarde d’être plus à l’aise. Je suis comme lui, un peu nerveuse quand même. Le déménagement s’est bien passé, il ne reste dans l’ancien appart que notre lit que nous laisserons. Il me vient une idée coquine, pourquoi ne pas enterrer le lit comme une vieille chose, en y faisant l’amour une dernière fois. Jean est à moitié endormi. Je me charge de le réveiller à ma façon : mes lèvres sur sa bouche, ma main prenant sa bite.
Il se réveille vite dans l’espoir de tirer un coup. Je suis nue sur lui, ma main emprisonne toujours sa pine, je le branle un peu comme il aime. C’est sa langue qui entre en action la première en entrant dans ma bouche. J’aime quand il m’embrasse comme ça. J’en mouille déjà. Je sens mon bas ventre se tordre dans l’attente de sa queue. Je joue à la cavalière en montant sur lui, mes jambes de chaque coté. Il se laisse faire comme un pacha à qui tout est dû.
Il est dur, très dur, il bande bien, pile comme j’aime. Je pourrais l’avoir bien profond. Je l’ai toujours dans ma main, je la dirige vers mon con. En me laissant aller, je la fais entrer profondément, lentement. Elle écarte mes chairs, elle ouvre mon sexe, elle est là bas tout au fond du ventre: elle me fait du bien. Je me laisse tomber sur Jean, mes lèvres sont sur sa bouche, c’est ma langue qui entre dans sa bouche, qui lui chatouille l’intérieur.
Je vais et viens à sa place. Je crois bien que c’est la première fois que je suis la maîtresse des lieux. Je me redresse devant l’orgasme qui me détruit de plaisir. Je jouis bien fort au même moment que je reçois son foutre dans mon étui.
Ouf, nous venons de baiser une dernière fois dans cette bicoque. Demain, demain, si Dieu le veut nous baiserons enfin chez nous.
La journée se passe en rangement divers, à tel point que nous sommes crevés. Notre nouveau lit nous tend les bras.

Pourtant nous ne nous couchons pas de suite : nous sommes trop sales de poussières et autre saletés. Un bain s’impose. Notre premier bain ensemble chez nous. Le temps que l’eau chaude coule, je me déshabille, Jean en fait autant. Notre nudité m’inspire encore une sottise : j’ai envie de lui dans l’eau, dans la baignoire. Quand il s’installe il ne bande pas, quand je vais sur lui, il commence à bander. Mais quand je lui prend les roubignolles pour les caresser, là il bande dur, comme j’aime. Quoi de plus laid qu’une queue débandée ?
En me tournant le dos contre lui, je m’installe sur ses jambes, les miennes ouvertes. Il comprend que je veux qu’il me masturbe avant. Sa main passe sur mon ventre, descend lentement par-dessus ma fourrure (il faut que je la rase) puis, lentement, trop lentement, il vient faire mourir sa main pile sur le clitoris. La vache, il me fait jouir trop vite. Il en profite pour me baiser : je sens sa queue entrer dans mon étui. C’est bon, délicieux, doux, c’est jouissif : je jouit vite presque en même temps que lui : je sens son jet de sperme dans le ventre
Puis les jours passent tranquillement, nous visitons nos nouveaux voisins. Il sont tous adorables, ont presque notre âge, près à nous rendre service. Nous les invitons à diner les uns après les autres. Tout est parfait dans ce lotissement à deux pas du centre, même à pied. Petit à petit nous avons des amis. Nous avons aussi des amis un peu spéciaux.
Surtout les Martin : un couple dont lui est cadre dans je ne sais qu’elle grosse boite, elle étant employée à l’éducation nationale. Ils sont accompagnés d’une jeune femme qui d’après ce que je comprends après est leur maîtresse. Un ménage à trois, pourquoi pas : ça m’excite de le savoir. Je me demande comment il font, que font les deux femmes ensemble. J’en fait un véritable cinéma. Jean à l’air de s’en foutre totalement. Au cours d’un repas, chez eux, c’est l’homme qui nous explique qu’il aimait une fille, puis qu’il en aimait une autre autant.
Ne sachant laquelle choisir, ce sont-elles qui ont choisit l’épouse et la maîtresse. Bien sur les relations amicales entre les femmes se sont transformées en amour physique. Lui tâche de les satisfaire les deux à la fois si possible, même si elles se satisfont bien seules.
Je me sens attirée par ces femmes, comme l’est Jean. Il ne faudrait pas que je le pousse trop pour qu’il baise ses filles devant moi, mon rêve, le voir baiser d’autres femmes que moi. En plus je pourrais moi aussi participer.
Bêtement les choses se sont faites naturellement. C’était un samedi après midi que Nic, la femme légitime de Pierre, accompagné de Solange, la commune maîtresse étaient chez nous pour une bricole quand comme ça, sans raison particulière, pour moi en tout cas, elles échangeait un baiser sur la bouche, comme deux amoureux en somme. Jean les regardait avec envie, comme moi.
C’est moi qui ai posé la question de savoir combien elles étaient fidèles.
- Nous fidèles, répond Nic, jamais.
-Nous nous aimons à trois, nous aimons aussi les autres comme vous, si vous voulez.
- Quoi ! Faire l’amour avec vous, demande Jean.
- Pourquoi pas, vous ne nous déplaisez pas ni vous ni votre femme.
La température est brusquement montée de plusieurs degrés : je sentais monter ma sève dans le vagin, je voyais que Jean était presque en érection. Nous étions prêts à sauter le pas. Nous voyant tous bêtes, Nic s’approche de Jean pour lui coller un baiser sur la bouche. Je les regarde s’embrasser longuement. Je vois que le baiser n’est pas simulé que Jean y prend du plaisir, surtout qu’il pose sa main sur la chatte de sa conquête. Je ne lui en veux pas, au contraire, j’aimerai en faire autant quand Solange m’embrasse à son tour. Je ma laisse faire surtout quand je sens une mains sur mes fesses.
Nous avons envie tous des autres, brusquement sans que rien ne le laisse prévoir, sauf ce baiser du début entre les deux femmes du voisin. Que Jean soit attiré par une autre femme, c’est normal, sinon moral.
Mais moi qui n’aime me faire mettre que par Jean? Qui admet une main de femme sur mes fesses, qui commence à aimer ce contact ?
Et comment se sortir de ce mauvais pas. Jean a la solution quand il fait assoir Nic sur le divan , qu’il l’assoit à ses coté pour l’embrasser à nouveau. Je vois clairement qu’il passe une main sous la robe de Nic. Elle écarte ses jambes au point que je peux voir sa culotte, et quand elle y arrive la main de mon mari qui passe dessous à la recherche du con. Il la branle maintenant. Nic rend la chose en sortant la bite bien droite de Jean : elle le masturbe à son tour.
Je suis retournée, non pas de voir mon mari flirter avec une autre, mais de la main de Solange qui elle aussi passe sous ma jupe. Elle est sur mes fesses, elle les écarte, cherche et trouve mon petit trou. En le caressant ainsi elle me fait mouiller encore plus. Je suis à sa merci, je prend même le bas de sa robe pour la relever et moi aussi lui touche les fesses. Je ne vais pas par quatre chemins, j’entre directement un doigt dans le cul. Mais, nous sommes mal mise, nous allons nous assoir à coté de son amante. Les jupes, robes, pantalons volent dans la pièce.
Nous sommes quatre nudités. Les deux femmes sont bien faites, une plus en chair que l’autre (Nic) La queue de Jean est très grosse, bien bandée. Elle peut servir à nous trois. Nic laisse Jean assis sur le divan, presque contre moi.
Nic prend sa queue dans le bouche, j’ai droit moi, à la bouche de Solange sur ma chatte. C’est mon premier cunnilingus d’une autre fille. C’est dégoutant et bon. Me faire ainsi sucée devant mon mari par une autre femme ! Et lui qui se fait faire une fellation par une autre que moi. Je lui prends la main pour qu’au moins nous prenions du plaisir ensemble. Solange me lèche d’une façon parfaite, jusqu’à me faire jouir sur sa bouche. Je vois le visage de mon chéri se fermer, comme quand je le suce, il jouit aussi dans la bouche de Nic. Les deux amantes partagent le sperme dans un long baiser au cours du quel elle se caressent longuement les chattes.

Nous restons tous le quatre étonnés de notre aventure pas du tout préméditée. C’étais bon, tellement bon que le couple nous demande de venir le soir même chez elle : le mari sera là pour en profiter aussi. J’accepte sans même me poser la question de savoir si je vais me faire mettre par un homme devant le mien. C’est secondaire, même pour Jean.
Ayant l’intention de baiser, nous sommes peu vêtus : je ne porte qu’une courte jupette qui laisse voir mon sexe, et un tricot sans manche bien décolletée. Jean a un pantalon léger et un tricot de corps. Juste avant d’aller nous encanailler, Jean passe sa main sur ma chatte :
- Mais tu es trempée de cyprine.
- Fais moi la goûter.
Il repasse la main entre mes cuisses que j’ouvre pour lui, il prend entre ses doigts le plus de mon liquide avant de me le mettre dans la bouche. Je lèche ses doigts comme une friandise. Pour le remercier, je caresse sa bite à travers le pantalon : je le fais bander juste au moment où je sors.
En arrivant chez nos voisin, il bande toujours. C’est Pierre qui ouvre la porte : lui aussi est peu habillé. Il voit que Jean bande. En guise de bien venu, il lui sort la queue comme pour la voir en curieux. En réalité il se met à le branler pendant qu’il me caresse la chatte aussi. Ses deux femmes viennent ensemble. Je me demande qu’elle tournure va prendre la soirée. Je vais de surprises en surprises quand je visite la maison. Le salon est normal, sauf qu’il y a plus de fauteuils, la chambre est immense avec un lit pouvant contenir plusieurs personnes en plus du couple. La surprise, pour Jean et moi est le garage où se trouve un drôle de machine : une grande roue munie de deux bielles au bout de chacune un gode grandeur XXL.
Solange m’en explique le fonctionnement simple. Elles, les deux femmes ou une, selon leur humeur, se couchent devant la machine, se mettent le gode là où elle veulent (pour Solange c’est le cul) avec une petite manette la machine se met en route en long mouvement de va-et-vient imitant parfaitement une baise. Si Nic aime se baiser, Solange outre la sodomie se caresse le clitoris. Elles peuvent baiser ainsi ensemble, surtout en l’absence d’une vrai bite celle de leur mari/amant.
Solange ce rend compte que je suis surexcitée, que je mouille sans cesses. Elle me remmène au salon où elle me fait assoir sur un des immenses fauteuils. Elle me met nue, et devant tous les autres elle me suce encore. Je suis anéantie de joie, de bonheur, de jouissance. Jean m’embrasse en éparessant les seins. Pierre et Nic sont sur le divan se baisant. Il la lui a mit devant, directement, elle a entré deux doigts dans le cul de son mari. Puis, ils se tournent, lui dessous, elle dessus. Elle continue à lui caresser le cul, lui met à son tour un gode dans l’anus de Nic. Dès que je jouis Solange va se mêler aux jeux du couple en posant sa chatte sur la bouche de Nic. Le trio fonctionne bien. Jean veut aussi participer.
Pierre le voyant venir enlève le gode pour que mon Jean encule sa femme. Je reste isolée à regarder un spectacle inconnu et excitant. Je me branle devant tout le monde sans regrets ni pudeur. Ma main est folle sur ma chatte puisque je vais partout, depuis le clitoris au cul en passant par le vagin et le périnée. Le quatuor en face de moi jouit, disons que les deux hommes jouissent. Les filles continuent sur leur lancée, elle en veulent plus. Je suis invitée à les rejoindre.
Et me voilà au milieu de tribades à les imiter. Je prends goût à leur cyprine, à la douceur de leurs cons. J’ose même aller leur mettre ma langue dans l’anus. Je me sens déchoir, mais c’est tellement bien.
Je suis surpris quand Pierre prend à nouveau la queue de Jean pour le branler, je suis encore plus surprise de vois la main de Jean prendre la pine de Pierre.
Mais après tous je me conduit en disciple de lesbienne, pourquoi pas lui, pourquoi ne pendrait-il pas un plaisir différent avec la main d’un autre homme ?
Puis ma tête enfouie entre les cuisses d’une des femmes, je ne vois plus rien, par contre je sens bien un langue sur mon cul qui entre un peu et une autre sur le bouton. Je ne sais quand j’arrêterais de jouir : j’ai une bonne dose de plaisir pris. Je demande en plus à passer sous la machine à baiser. Elles m’y conduisent, suivies de nos maris la queue toujours bien raide.
Je me couche devant l’engin, Nic me met le gode à l’entrée du con. Elle me donne la télécommande, je la mets en route. Je suis stupéfiée du résultat. Rien n’est comparable à ce monument d’orgasme que cet engin. Je jouis sans cesse, accompagnée par les masturbation alternées de mes deux compagnes. Je demande à Pierre de me donner sa queue : je ne la connais pas encore. Je suce d’un coté, je suis baisée de l’autre. Je jouis de sentir le sperme de Pierre venir dans ma bouche, presque en au même moment où je reçois celui de Jean sur les seins.
Nous profitons de la fin de la nuit pour rentrer chez nous, toujours nus. La seule chose que nous faisons est une douche ultra rapide avant de plonger dans le lit : nous sommes bons pour la journée à dormir et récupéré. Si j’ai bonne mémoire, nous devons retourner chez eux la semaine prochaine.

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