Son Anniversaire Au Pays Des Plaisirs

Fréquenter une femme bi suscite beaucoup de fantasme chez les hommes... Qui n'a pas pensé un jour être la "victime" collatérale de ce goût commun pour les Femmes... de se retrouver à honorer deux femmes en même temps, d'être leur objet, de se délecter du plaisir de leur étreintes...

Ce n'était pas mon attente. Non, car peut-être comme certains hommes, je l'aurais ressenti comme une épreuve d’endurance. Et puis, quelle originalité ? Non, mon idée était plus aventureuse.

Je connaissais Céline depuis plusieurs mois. Elle m'avait clairement avoué son penchant pour les femmes. Mais c'était pour elle une "sucrerie" comme elle se plaisait à me le dire. Elle aimait avant tous les hommes. Mais lorsqu'elle recherchait douceur, volupté, elle avait sa période femme. Il lui arrivait de me confier quelques détails de ces ébats pour m'éclairer sur ce qu'elle y trouvait, et mon imagination n'avait alors aucun mal à dépeindre la scène.

Bien que nous soyons tous deux discrets sur notre relation, elle avait confié notre aventure à une de ses meilleures amies, Laure. Celle-ci nous prêtait parfois son appartement lorsqu'elle s'absentait en semaine, afin de nous changer de la routine "hôtelière". Parfois, nous partagions un apéritif tous les 3 avant qu'elle ne parte et nous cède ses clefs. La situation était amusante. Nous étions chez elle, mais nous avions l'impression que c'était elle l'invitée. Elles étaient très complices et j'avoue qu'après quelques entrevues, ma garde baissa vis à vis d'elle. Elle prenait congé de nous avec un petit clin d’œil qui en disait long... Décontractée, souriante, sa complicité avec nous la rendait charmante. Je m'entendais bien avec elle, et c'était réciproque. Il n'y avait pourtant aucune ambiguïté : j'étais avec Céline.

Je ne fus donc qu'à moitié étonné lorsque Céline me confia un jour qu'elles avaient ponctuellement des relations ensembles. Je découvrais enfin ses goûts en terme de femme.

Après cet aveu, j'avoue que mon esprit s'égarait parfois quand je revoyais Laure : j’eus quelques flashes, les voyants ensembles, dans une étreinte intense et douce. Cela m'excitait beaucoup je l'avoue. Je m'interrogeais aussi quant à savoir comment elle me voyait, comment elle imaginait ma relation avec sa maitresse... Me tolérait-elle ? M'enviait-elle ? En tout cas, elle ne laissait rien transparaitre, et son amitié complice semblait sincère et désintéressée.

Je voulais partager ce plaisir, l'unir au mien, mais comment faire. Le lui proposer ? Certes. Mais cela tombait dans le classique et ne correspondait pas à notre relation. Le hasard du calendrier vint à ma rescousse. Dans 15 jours, c'était son anniversaire et qui plus est, le premier que nous allions passer ensemble. Mais le délai était court.

Ce mercredi-là, nous devions passer chez Laure. Tous deux avions pu nous libérer un peu plus tôt de nos obligations dans l'après-midi. Nous avions flâné sous la douce chaleur printanière jusqu'à 17h, heure à laquelle Laure nous avait invité à la rejoindre. Comme à notre habitude, le petit rituel était installé. Cette fois, ayant eu plus de temps, nous lui avions proposé de lui apporter un petit repas : ce serait du japonais.

Accueillis par son charmant sourire, je passais par la cuisine pour y déposer les plats. Connaissant le lieu, je commençais seul à préparer les plats tandis que les filles, dans le salon, bavardaient. Laure s'inquiéta de ne pas me voir et vint me rejoindre pour savoir si j'avais besoin d'aide.

- Tout se passe bien ? Tu as besoin d'aide, m'interrogea-t-elle, tout en volant au passage un sushi

- Ne t'inquiète pas, je gère !

Alors qu'elle allait rejoindre Céline, je l'interpellais à voix douce.

- Heu, Laure, j'aurais un truc à te demander.

- Oui, quoi ?

- Chut, pas trop fort ! J'aurais un "service" à te demander pour l'anniversaire de Céline.

Ma discrétion et le thème piquèrent aussitôt sa curiosité.


- Oui, quoi ? chuchota-t-elle

- Voila, ce n'est pas évident à te le demander. Je sais que vous êtes très "proches" toutes les deux et tu sais combien je tiens à elle. J'aimerais vraiment lui faire très plaisir pour son anniversaire et lui offrir un "cadeau" qu'elle n'oublierait pas

- Oui, tu penses à quoi ?

- Attends... Elle est à côté. Ce n'est pas facile d'en parler.

Elle regarda la cuisine, puis, saisit le petit flacon de sauce soja que nous avions apporté avec le menu. Tout en se tournant vers le salon, elle l'ouvrit et le versa dans l'évier.

- Mince, vous n'avez pas pris de sauce Soja ?

- Quoi ? Mais si ! Tu as regardé répondit Céline

- Ben, non ma chérie, confirmais-je

- Ce n'est pas grave, je vais descendre en prendre à l'épicerie du coin de la rue. En plus, j'ai des trucs à prendre pour mon déplacement. Tu viens avec moi ? me lança-t-elle

J'étais étonné de sa perspicacité ! Je ne pouvais qu'accepter.

Céline n'y vit aucune objection et proposa même de me relayer en cuisine en attendant que nous revenions.

Laure saisit ses clefs et j'emboitais son pas. Dans le couloir, elle jeta un coup d’œil dans la cage d'escalier pour voir si Céline n'écoutait pas.

- Bon alors, c'est quoi ce que tu veux me demander ?

- Je sais que vous avez eu ensemble des aventures. Je te rassure, ce n'est pas un plan à 3 que je te propose...

Laure sourit

- Non, c'est avant tout son anniversaire. C'est ton amie, et moi, ma maitresse. Alors, je pensais qu'on pourrait s'arranger pour lui faire un "cadeau spécial" tous les deux...

- Et tu penses à quoi ? Laure était de plus en plus curieuse et un sourire coquin trahissait ses pensées. Me connaissait-elle aussi bien ?

- J'aimerais qu'elle soit le centre de toutes nos attentions... Qu'elle soit comme une reine, au pays des Plaisirs.
..

Laure ne dit rien un instant. Je craignais un refus, mais elle répondit.

- Ok, que proposes-tu ?

J'avais déjà pensé à la situation et je lui dévoilais mes intentions. Son sourire fit place à de l'intérêt, de l'envie au fil de mes explications. Elle était même ravie et je sentis la complicité naitre entre nous.

Nous nous dépêchâmes de descendre à l'épicerie pour faire nos emplettes. De retour sur son pallier, la main sur la poignée de la porte, Laure me sourit :

- Ok, envoie moi un mail avec tes idées. Je te répondrai. Mais, chut, ne vend pas la mèche!

J'étais bleffé ! J'avais l'idée et j'avais l'impression qu'elle m'échappait. Mais c'était de bon cœur. Sa participation totale était indispensable.

Le jour J arriva. J'invitais Céline au restaurant à midi. L'après-midi nous était réservée. Elle aimait que j'organise nos rencontres. Aussi, fit-elle bon accueil à mes attentions à la sortie du restaurant. Elle ne demanda rien et seul un sourire tenta de m'interroger. Je le lui rendis tandis que j'ouvrais la portière de la voiture. Elle était heureuse, joviale, mais elle contenait visiblement son impatience.

Quelques minute après, nous nous garons sur le parking d'un hôtel. J'avais pris la précaution le matin de récupérer les clefs de la chambre, pour gagner du temps et éviter les démarches administratives avec parfois un personnel un peu curieux. Lorsque je sortis de l'accueil, j'agite discrètement les clefs, signe pour Céline de venir me rejoindre. Je l'attends au pied de l'escalier, puis d'un geste de la main, l'invite à monter. Je jette un rapide coup d’œil sur le parking. Un peu plus loin, la voiture de Laure est là.

J'ouvre la porte de la chambre, plongée dans une semi pénombre par mon fait. Sitôt fermée, Céline me plaque contre le mur pour m'embrasser fougueusement. J'avais envie de se baiser depuis un moment et je le lui rends bien. Mais son désir lui fait prendre des initiatives qui pourraient contrecarrer mes projets.
Sa main court déjà le long de mon corps. Elle descend le long de ma cuisse, puis remonte entre mes jambes. Un sourire se dessine sur ses lèvres lorsqu'elle sent pointer mon excitation. Comment pourrait-il en être autrement ? Mais elle n'a aucune idée de la véritable raison... Je la laisse me caresser, jauger de ce que je cache derrière la bosse de mon pantalon. Je joue le jeu. Puis, gentiment, je m'échappe de cette douce étreinte. Au matin, j'avais déposé une bouteille de champagne dans la chambre. Elle me suit du regard et la découvre. Je nous sers deux coupes :

- Joyeux anniversaire ma chérie.

Nous trinquons. Les lèvres encore humides du breuvage, elle vient le gouter aux miennes. Je la sens gourmande, désireuse...

- Va dans la salle de bain prendre une douche. Je dois te préparer ta surprise.

- Ma surprise ? huum... Et elle s'éloigne, féline.

J'entends l'eau couler. Je sors mon portable et envoie un SMS à Laure. Quelques instants après, on frappe très doucement à la porte. J’entrouvre pour ne pas inonder la chambre de lumière. Laure s'engouffre. Je lui fais signe de ne pas faire de bruit et lui montre du regard la salle de bain. Pour l'instant, tout se passe comme prévu.

Laure porte une robe plutôt courte, bleu intense. Malgré sa grande taille, elle n'a pas hésité à chausser ses escarpins. Le silence se fait dans la salle de bain.

- Céline ? Tu veux venir ?

Elle sort dans un peignoir blanc, tout en se frottant les cheveux avec une serviettes. Soudain elle nous aperçoit au milieu de la chambre, la regardant. Elle est surprise.

- Ma chérie, j'ai une surprise pour toi

Céline fronce un peu les sourcils, ne sachant à quoi s'attendre. Mais Laure m'interrompt tout en s'approchant d'elle.

- Ne t'inquiète pas ma chérie, aie confiance. Tu "nous" connais.

A ces mots, Céline semble plus rassurée, même si elle ne comprend pas tout. Laure continue son approche. Elle passe sa main dans les cheveux mouillés de Céline tout en lui souriant et approche ses lèvres de sa bouche. Elle y dépose un délicat baiser. Céline se laisse faire et ferme les yeux.

- Je vous laisse les filles, je file à mon tour sous la douche.

Avant d'ouvrir l'eau, je laisse trainer une oreille indiscrète dans la chambre. J'entends chuchoter, des rires étouffés. Ma foi, tout semble bien se passer et je me rafraichis sous une bonne eau tiède.

J'avais convenu avec Laure de prendre un peu mon temps. Mais je ne pensais pas que cela puisse me paraitre si long ! Céline était juste à côté, j'ai envie d'elle, c'est terrible. Mais je dois penser avant tout que c'est son anniversaire. Je décide de prendre mon mal en patience. Je parfais ma toilette. Mais il est temps de les rejoindre.

Je sors doucement de la salle de bain pour les surprendre.

Céline est allongé sur le lit, les jambes relevées, le visage sur le côté, les yeux fermées. Sa main gauche est posée sur la tête de Laure qui est plongée entre ses cuisses. Les deux femmes sont nues. Pour la première fois, je découvre le corps de Laure. Ses fesses sont parfaites, rebondis à point. Je suis partagé entre l'envie de les rejoindre et celle de continuer à les regarder. Je fais un juste milieu.

Céline caresse la chevelure brune de Laure. Elle est épanouie. La tête de Laure ne bouge pratiquement pas. J'imagine les aller et venus de sa langue sur le clitoris de Céline... Je me surprends à imaginer la scène... Mais je peux avoir mieux : je ne suis pas qu'un simple spectateur.

J'approche du lit et je laisse tomber mon peignoir. Je les rejoins avec prudence pour ne pas rompre le charme. C'est Céline qui me remarque en premier. Elle tourne la tête et ouvre les yeux. En même temps, alerté par l'interruption des caresses de Céline, Laure lève la tête. Nous n'échangeons aucun mot : juste des sourires complices et approbateurs.

Laure se redresse. Sa poitrine semble ferme et magnifiquement proportionnée. Je comprends le choix de Céline, même si je reste un homme. Nous nous regardons, puis nous regardons Céline. Elle reste dans l'attente. Laure pose un main sur mon épaule pour m'inviter à prendre sa place.

Je ne me fais pas prier. Un dernier regard à Céline qui ne me quitte plus des yeux. Mes yeux plongent sur son pubis, imberbe. Je l'embrasse une première fois, puis j'augmente la fréquence. Enfin, je pose définitivement mes lèvres à la naissance des siennes. Ma langue pointe et se glisse dedans. Mes mains de chaque côté de ses cuisses les maintiennent écartées. Céline frémit au contact de ma langue. Ma bouche descend le long de son vagin. Je goutte un savant mélange de sa cyprine et de la salive de Laure. Je ne sais si elle en est la seule responsable, mais si c'est le cas, elle a fait du très bon travail. Céline mouille abondamment. Je la bois littéralement. Bien installé, je plonge aussi profondément que je peux ma langue dans son vagin.

De son côté, Laure est venue à coté de ma belle. Elle se caresse tout en regardant Céline. Céline tente de s'approcher de son visage et l'embrasse goulument. Laure saisit sa main gauche et l'unit avec sa main pour se caresser. Visiblement, Céline connait bien Laure : quelques instants après, Laure se cambre légèrement sous ses caresses expertes. Mais Laure a d'autres intentions.

Elle se tourne sur le côté pour embrasser à son tour Céline, tout en serrant ses cuisses. Elle se redresse et enjambe son visage. Céline la saisit par la taille et guide le sexe de Laure vers sa bouche. Elle ouvre grande la bouche pour la gober. Laure se laisse descendre, puis commence à se caresser la poitrine. Une lutte amicale s'engage entre nous : donner satisfaction à Céline ! Mais plutôt que de s'affronter, nous semblons jouer la carte de la complémentarité.

Je joue avec ma langue, dessinant des 8 virtuels entre ses lèvres. Céline en raffole. Je sens ses cuisses se contracter. Puis, je lèche sur toutes leurs longueurs ses grandes lèvres. C'est au tour de Laure d'onduler pour épouser la bouche de Céline. Céline semble tirer beaucoup de plaisir à la satisfaire. Le jeu dure quelques minutes.

Je n'oublie pas que je reste le maitre de cérémonie. J'abandonne le sexe de Céline. Laure m'aperçoit. Je lui fais signe de se retirer. Céline est allongée entre nous, droits, attendant la suite.

Je fais signe à Laure : elle est au courant de l'enchainement. Elle se couche sur le dos, la tête vers le pied du lit. Céline comprend la logique : elle se redresse un peu et enjambe le corps de Laure. Les deux femmes entament un 69. Je les laisse prendre leur marque. Je passe la main sur le dos de Céline, puis j'approche mon visage de ses fesses. Laure s'affaire à dévorer son sexe. Elle écarte ses fesses et n'hésite pas à plonger dedans. La raie de ses fesses est emplie de sa mouille abondante. Ma langue commence le périple à la base de ses reins, puis je descends. Je m'attarde sur son petit orifice : Céline se contracte puis se relâche. Je continue jusqu'à la limite de ses lèvres. Laure me laisse un peu la place et se consacre à son clitoris. La position n'est pas évidente, mais j'ose imaginer ce que pense Céline en sentant nos deux langues sur son vagin ! Elle était folle, et je pense que Laure en a fait les frais. Je l'ai vu soudain s'arrêter, bouche b, comme pétrifiée. Puis, elle plonge à nouveau dans l'intimité de Céline.

Céline se redresse, visiblement aussi satisfaite de nos attentions que de celles prodiguées à Laure. Mais le spectacle de Laure m'a donné faim. A mon tour, je me couche sur le dos, ma tête au niveau de celle de Laure. Céline n'a plus qu'à passer de son visage au mien. Son sexe vient se poser sur mon visage. Je peux dévorer à mon tour son sexe, m'abreuver à cette fontaine de plaisir. De son côté, Laure se glisse sous le visage de Céline pour offrir à nouveau son sexe.

Quelques minutes plus tard, je glisse de ma position. Céline s'attarde encore sur Laure qui ne m'a pas vu, perdu dans son plaisir. Puis, elle se retourne :

- Tu veux gouter ?

Je la regarde, souriant :

- Non, ce n'est pas ce que je veux... je suis là pour toi, que pour toi. Nous sommes là pour toi.

Laure en profite pour s'allonger tant bien que mal sous Céline. Leur visage sont face à face. Céline l'embrasse, profondément. Laure passe ses jambes derrière ses fesses, et maladroitement, fait mine de les écarter. J'ai compris. Je m'approche, mon sexe tendu. Mais alors que je suis près à la pénétrer, Céline tend la main derrière elle et me fait comprendre d'attendre. Je reste perplexe.

Sa main tente de me saisir et att mon poignet. Elle me tire jusqu'à la tête de lit. Elle abandonne alors sa maitresse et prend mon sexe dans la bouche. Mon excitation est telle que je me demande comment je vais tenir. Après avoir pris rapidement ma queue en bouche, elle s'applique doucement à la faire glisser entre ses lèvres. Laure n'est pas en reste et lèche tour à tour ses seins.

La langue de Céline tourne autour de mon gland. Si j'avais un doute sur ce qu'elle pense de notre cadeau, elle sait le dissiper ! Je me retiens pour ne pas jouir. Les images se bousculent dans ma tête. Et puis, je vois le corps de Laure, magnifique. Que de tentations !

Céline sent que j'ai envie d'être en elle. Depuis le temps.... Elle s'interrompt et retourne embrasser Laure. Je reprends ma place derrière. Je pose les mains sur sa croupe. Céline continue d'embrasser Laure, doucement... Elle m'attend.

Je prends mon sexe, dur, luisant de la salive de ma chérie. Je caresse du bout de mon gland ses lèvres gorgées de plaisir. Je l'introduis juste un peu... Je sais que cela l'agace autant que cela l'excite ! Elle me veut en elle... je fais durer notre plaisir... Je continue mon manège, lui faisant croire à chaque fois que c'est la dernière. Elle semble se prendre au jeu lorsque je rentre en elle. Sa chaleur, sa profondeur enrobe mon sexe comme dans un écrin. Je commence un lent va-et-vient. Son corps se balance. Mais le rythme gène leur étreinte.

Laure passe sur le côté. Sa tête disparait sous le ventre de Céline, tandis que sa main plonge entre ses jambes ouvertes. Elle alterne des caresses douces et frénétiques. Je sens soudain sa langue rencontrer ma verge qui s'enfonce dans Céline. Sans transgresser les règles que nous avions établies, elle lèche les lèvres dégoulinantes que j'écarte de mon sexe. Mais ce n'est pas évident de ne pas "glisser". Sentir sa langue, même un peu, sur ma verge alors que je m'enfonce dans Céline me déroute... Mais je sais que ses intentions sont claires...

Je me sens jouir. Céline le sent aussi et d'un coup de reins, s'extirpe de mon étreinte phallique. Elle se couche sur le lit les jambes écartées.

- Viens !

Je m'approche pour la prendre de face. Laure vient en renfort et caresse son petit bouton comme elle le faisait pour elle. Céline est aux anges. Elle se crispe, serre les dents, râle. Laure m'encourage :

- Explore ce que ta langue n'a pu atteindre. Savoure...

Je n'imaginais pas Laure sous ce jour ! Mais je n'ai pas vraiment besoin d'elle pour jouir. Je sens ma queue grossir et inonder le vagin de Céline. Elle bascule sa tête en arrière en jouissant en même temps.

Je reste en elle, tentant par tous les moyens d'atteindre le point le plus profond de son vagin. Je me retire enfin, épuisé. Céline tend la main vers la cuisse de Laure qui la rejoint

Laure me sourit, puis vient prendre ma place entre ses jambes. A nouveau, elle passe la main sur mon épaule pour m'inviter. Nos visages partagent l'espace exigu entre les jambes de Céline. De concert, nous recommençons à lécher l'intérieur de ses cuisses, puis ses grandes lèvres. Un doux baiser commun marque la fin de nos étreintes.

Nous relevons la tête vers Céline qui nous observe, visiblement plus que ravie de cet après-midi.

Et de concert, nous lui adressons :

- Bon anniversaire, ma chérie...

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