Une St Sylvestre D'Enfer ! 1/2

- Salut olivier, tu viens faire réveillon avec nous mercredi soir pour la st sylvestre ?
- Je ne voudrais pas vous déranger Alexandre…
- C’est Sylvie qui me fait faire la commission, tu sais qu’elle t’a à la bonne ?…comme beaucoup de femmes, seules ou non !
- Au fait, comment va-t-elle ?
- Bien, très bien, nous somment passés à coté de la catastrophe, mais depuis le traitement les examens sont bons, il aurait été dommage d’abimer une aussi belle poitrine !
- Je ne l’aie jamais vue dénudée mais je me souviens d’un magnifique décolleté !
- Alors vient voir ce décolleté mercredi prochain ?
- J’espère que je verrais ses seins de plus prés !
- Fait gaffe à ce que tu dis, tu parle de ma femme !
- Tu sais ce que l’ont dit : ‘ la femme d’un copain c’est sacré … il faut qu’elle y passe’ !
- Je vais t’avouer quelque chose, depuis cette alerte elle a décidé de croquer la vie par les deux bouts, aussi, si elle me disait : chéri je vais prendre un amant, je ne dirais pas non !
- Aaaahh ??
- Calme toi, pour le réveillon il y aura Angela, tu pourras te venger sur elle !
- Elle n’est pas farouche ?
- Que non, quoique je ne me là sois jamais faite ! c’est une brave fille avec qui ma femme partage tout !
- Nous seront nombreux ?
- Mon frère et sa femme, que je surnomme ‘Sœur Thérèse’ ! celle-ci si tu arrive à la faire rire elle est dans ton lit ! et puis la sœur de Sylvie et son mari, deux bons vivants, c’est tout
- J’amènerais les boissons
- Un bouquet de fleur suffira !

Cette invitation tombe plutôt bien je n’avais rien de prévus, et puis mon pote sait recevoir, le réveillon devrait être au top entourés de femmes élégantes et sexy

C’est exactement ma première impression lorsque Sylvie m’a accueilli habillée d’une mini robe évasée noire très décolletée, agrémentée par des talons hauts et bas coutures dont chaque pas en dévoile la dentelle la dentelle, en douce mon regard s’est appesantis sur la gorge profonde de l’échancrure, en remerciement les yeux de l’hôtesse se sont illuminés d’étoiles

La deuxième surprise fût Angela qui sans me connaitre m’a sauté au cou pour me faire la bise au coin de la bouche, très prometteur !

La troisième est la disposition de la table et du coin ‘dancing’ : les victuailles et boissons sont sur la table de la grande cuisine en libre service, le salon meublé seulement par deux canapés, où la musique d’ambiance est diffusée est très faiblement éclairé très propice aux étreintes furtives

Après avoir fait connaissance de tout le monde, notamment de sœur Thérèse qui est la seule habillée au dessous du genou ! Chacun discute un verre dans une main et un amuse gueule dans l’autre en attendant minuit

Je suis très sollicité par Angela mais par politesse je dois aussi rendre hommage à Sylvie, je lui propose de l’aider, son mari nous surveille mais je pense que c’est ce qu’il attend de ma part …aussi je ne me prive pas de la frôler a la moindre occasion, sa poitrine et ses fesses sont en béton ! notre conversation se fait de plus en plus cordiale

- Olivier, vous allez rester là cette nuit, nous avons réservé une chambre pour vous et Angela
- Vous avez donc de nombreuses chambres ?
- Seulement une chambre d’ami, ah, petite précision, la chambre est pour vous et Angela, dans le même lit quoi !
- Ah bon ? elle sait que nous allons coucher ensemble ?
- Pas encore mais je compte sur vous pour la décider ! allez la rejoindre avant de vous la faire piquer ! Alexandre va mettre une série de danses langoureuse !
- Si vous avez besoin de moi ne vous gênez pas
- Ce n’est pas exclus …vous êtes adorable

Je rejoins la fille qui semble m’attendre

- Ha vous voilà ? Vous me faites danser ? Je viens de refuser au frère d’Alexandre
- Zut alors ! un concurrent ? venez …

La jeune femme se love carrément dés les premiers pas, j’aime le parfum de ses cheveux, son corps souple se plie a mes exigences, alors j’en profite un peu, mon genou s’imbrique entre les siens sans que cela ne la dérange, au contraire elle presse son ventre sur le mien.

.. ou plutôt sur mon érection qui ne semble pas la gêner

- Avez-vous un petit ami Angela ?
- Non, je vis au jour le jour et vous ?
- Pareil, je vis ‘la nuit à la nuit’ !
- Bonne résolution, et si on se tutoyait ?
- Avec plaisir, Sylvie vous a dit que nous partagions la même chambre ?
- Oui, si nous allions la visiter avant les douze coups de minuit ?
- Est-ce bien raisonnable ?
- Je n’ai pas envie d’être raisonnable ce soir, vient, éclipsons nous en douce

Elle marche devant moi, j’ai envie de poser une main sur ce petit cul qui se dandine sous mes yeux, soudain elle s’arrête net devant une porte ce qui fait que le geste que je mimais se concrétise !

- Attend au moins que nous soyons entrés avant de me toucher le cul !
- Excuse moi c’était involontaire
- Voilà à présent tu peux me peloter… faisons vite …

La jeune femme referme la porte et s’adosse dessus, ses pieds sont légèrement écartés, sa poitrine se soulève en mesure avec sa respiration saccadée, cette fille a besoin de caresses, je me penche sur elle pour lui prendre la bouche, ses bras me font un collier, les miens vont explorer son corps, une main sur un sein, l’autre cherche la fourche de ses cuisses pour y trouver un string bien galbé et surtout bien humide, il est écarté vite fait sur un coté , ses lèvres font un bruit mouillé en se décollant

Angela pousse un long gémissement libérateur lorsque deux doigts s’enfoncent dans son cratère brulant, elle détache une main de mon cou pour venir tâter ma braguette prête à exploser, sans décoller nos bouches nos mains s’affairent frénétiquement afin de défaire mon pantalon et de remonter sa robe, elle s’empare de ma queue et la dirige directement entre ses cuisses, il ne me reste plus qu’à tenir sa culotte écartée et de pousser en avant, je la cloue sur la porte qui fait un bruit d’enfer a chaque coups de reins rageurs !

La frénésie de ce rapport n’a rien de sensuel aussi je décharge en deux minutes, elle mord ma langue au sang en jouissant en silence, deux ou trois kleenex pour éponger le foutre qui dégouline de sa chatte et de ma bite, Angela retire sa culotte souillée et la fourre dans ma poche avant de revenir au salon, nos yeux brillants trahissent ce que nous venons de faire … Sylvie guettait notre retour avec impatience

- Alors ? La chambre vous convient ? !!!
- Olivier est formidable ma vieille ! ça promet …
- Approchez vous deux, il va être minuit, le décompte va commencer !
- Tu fais comme l’an passé Alexandre ?
- Bien sûr, après les embrassades coutumières vous auraient cinq minutes dans le noir absolu pour vous souhaiter les uns et les autres des vœux ‘spéciaux’ !
- HOOOUUUUAAIIIIIS !! je me souviens, c’était super !
- N’égarez pas vos petites culottes mesdames, surtout toi sœur Thérèse !
- Imbécile de beau frère ! je pourrais peut être te surprendre
- Je n’attends que ça … attention … cinq-quatre-trois-deux-un ‘BONNE ANNÉE’ !!!

Chacun se congratule et s’embrasse, Sylvie s’accroche à moi en faisant un clin d’œil à son mari, qui répond en levant le pouce … Angela s’écarte de nous pour laisser le champ libre …

- Attention, je vais aller éteindre la lumière…
- Prévient-nous lorsque tu la remettras !
- Juste le temps de vous rajuster ! TOP ! vous avez cinq minutes

Aussitôt la lumière éteinte surviennent des bruissements que parierais être des vêtements écartés, Sylvie s’accroche a moi et murmure a mon oreille

- Passe ta main sous ma robe, ne soit pas étonné de ne pas trouver de petite culotte je viens de la glisser dans ta poche, laisse moi tâter ta queue, je parie qu’elle est encore chaude de la chatte de ma copine ?
- Alexandre est d’accord pour te laisser faire ce que tu fais ?
- Bien sûr et dit toi bien qu’avec Angela je partage tout …alors ? comment trouves-tu mon minou ?
- Aussi trempé que celui d’Angela !
- Huuuuuummmmmmm ta bite en veux encore, dommage que je n’ai pas le temps de te sucer, j’adore lorsqu’une bite sent le vagin
- Je te laisse, quelqu’un me tire en arrière pour te souhaiter une bonne année…à plus tard !
- A plus ….

- Devine qui est là ???
- Euuuuhhh, non, ne me dit pas … sœur Thérèse ?
- Touche-moi entre les jambes avant que ça se rallume, vite !

Sans hésiter j’enfonce des doigts entre des lèvres boursoufflées par l’envie, je m’étonne à peine de l’absence de slip …dans le salon ce n’est que gémissements et rires nerveux, ils couvrent a peine les sons humides de la chatte que je touille, j’ai de la peine à soutenir sa propriétaire qui se pâme et soudain c’est le désenchantement …

- ATTENTION ! Rangez vos outils, je vais allumer dans trente secondes
- Ooooh Nooooooonnnn ! déjà ?????

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