La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 369)

Suite de l'épisode N°366 - L’anniversaire du Marquis Edouard d’Evans -

Monsieur le Marquis Edouard d’Evans s’éloigne, laissant Master Tarvo en compagnie de son soumis, thyr, féminisé pour la soirée et déguisé en soubrette. Par exigence du Maître qui le pousse toujours dans ses retranchements les plus extrêmes, il a été contraint de porter des escarpins avec de hauts talons. Ce qui est loin d’être évident car il a une vraie carrure de mâle sportif, charpenté et musclé ! Bien qu’il soit à l’intérieur un véritable homo-soumis-masochiste dans l’âme et parfaitement dévoué à celui avec qui il partage la vie au quotidien et les jeux D/s pour le plus grand bonheur à tous deux. La chienne-esclave N°31 tirée au sort par Master Tarvo pour la soirée n’est pas encore revenue du bar où elle est allée chercher à la demande du Châtelain un récipient rempli d’eau et de glaçons et un verre. Verre dans lequel elle trempera le sexe de thyr dans le liquide réfrigérée afin de lui donner un petit coup de froid. Ce qui devrait avoir pour effet de faire se recroqueviller sa queue qui aura été préalablement sucée abondamment, mais avec la consigne de veiller à s’arrêter juste avant le moment précis de l’éjaculation. Master Tarvo att le menton de son esclave « soubrette » et le force à affronter son regard Dominant qui garde les yeux grands ouverts. Tandis qu’Il empoigne de l’autre main la verge encore dure et drue de celui qui n’a pas su contrôler son excitation, se mettant à bander de plus fort alors qu’il était troublé et couvert de honte, tandis que le Marquis d’Evans n’hésitait pas à plaisanter avec sarcasme sur la femelle mal habile qu’il ou « elle » était devenu(e) à ce jour. Une érection pénienne intensifiée par l’excitation qu’il ne pouvait maîtriser et qui le prenait au corps lorsque Le Maître des Lieux lui avait posé en personne des pinces à vis sur ses deux minuscules tétons qui pointaient au milieu d’un torse musclé, qui étaient pourtant bien loin de ressembler à de vraies mamelles de nourrice.



Le Noble n’avait pas hésité à serrer encore plus fort pour faire se tendre les pointes étirées au maximum, connaissant très bien les plaisirs masochistes de celui qui avait passé quatre semaines au Château légendaire, pour y subir un dressage approfondi sous le contrôle du Châtelain en personne. Le Noble ne cherchait justement plus à éprouver la capacité de résistance à la douleur de celui qu’IL avait très vite cerné dès son arrivée au Château, plusieurs mois auparavant, mais Sa volonté était de mettre en avant le peu de self-control physique que peuvent avoir les soumis mâles en général, et thyr en particulier, qui ont encore besoin de parfaire leur dressage au quotidien pendant de longues années, surtout lorsque leur queue est laissé à l’air libre et à fortiori dans une soirée où l’excitation est à son comble tant pour les Dominant(e)s que pour les dominé(e)s. Le Grand Maître voulait par là-même laisser thyr réfléchir sur les progrès qu’il aurait encore à accomplir avant de pouvoir s’enorgueillir de capacités de soumission totale qui lui permettraient un jour peut-être de dépasser les réflexes humains primaires, tel que de bander chez les mâles et de mouiller chez les femelles. Master Tarvo en écartant encore plus les sourcils et dardant ses yeux profonds, invective.

- Regarde-moi, esclave ! Je ne peux pas vraiment dire que tu te sois comporté(e) comme une vraie soumise-soubrette digne de ce nom, qui se doit d’être réservée et pudique avant d’avoir été invitée à mieux se dévoiler, s’ouvrir et s’offrir en bonne salope de service. Tu n’es qu’un sale cabot qui balade sa queue à tous vents n’importe quand et n’importe comment. Il est normal que Monsieur le Marquis d’Evans que tu as grossièrement outragé en lui présentant abjectement ton attribut gonflé sous le nez ait décidé de te châtier pour réparer le révoltant affront que tu Lui as osé lui faire. Affront que tu m’as fait ressentir par la même occasion, puisque tu n’as pas hésité à bafouer mon autorité en exhibant les conséquences du dressage si imparfait qui est le tien encore à l’heure actuelle, malgré tous mes efforts décuplés pour te faire progresser.
Ne pouvais-tu pas imaginer un seul instant que je suis responsable de ton comportement dans toutes les sorties au sein de la communauté BDSM, et qu’il te fallait aujourd’hui en particulier savoir te tenir correctement et très servilement, surtout que j’avais eu le privilège d’avoir été invité dans une soirée aussi prestigieuse que celles-ci et qui se déroule dans le Château du Marquis d’Evans ? …

Reprenant son souffle, puis laissa passer un petit silence lourd de reproches et avec un regard inquisiteur, Master Tarvo poursuivit :

- … Tu me ferais presque regretter de t’avoir emmené avec moi et je vais devoir par politesse présenter mes excuses pour ton attitude déplorable, en adressant dès notre retour un mail avec le compte-rendu de la sanction qui t’a été infligé par ce Grand Maître de renom qu’il n’est pas pensable d’outrager en Sa propre demeure. J’espère que Monsieur le Marquis d’Evans ne m’en tiendra pas rigueur trop longtemps, car IL n’a pu que constater que je n’avais pas su continuer à maintenir le joug assez fermement sur ta carcasse après que tu aies eu l’honneur, qui est loin d’être donné à tous, de pouvoir passer quatre semaines de dressage dans ce très Haut Lieu de la D/s, si réputé dans la contrée et bien au-delà, et qui est mené de « mains de Maître », si je peux dire….

Master Tarvo darde son regard directif sur son esclave qui est malgré tout attristé et contrit de savoir Master Tarvo courroucé qui n’a pas l’air de plaisanter dans ses propos. Mais il se demande bien comment il aurait pu faire mieux, car il ne sait absolument pas comment il peut contrôler physiquement la montée automatique de son membre viril dès qu’il est excité. Et plus le Dominant, qu’il vénère avec beaucoup d’amour et de dévotion, lui rappelle sa condition d’esclave-soumis, librement asservi, plus il sent sa queue insolente qui continue de pointer vers le haut, pris par un désir de plus en plus fort d’être possédé, pénétré, et enculé, même s’il sait pertinemment que cela est bien peu probable à court terme et que dans tous les cas, ce sera Master Tarvo qui décidera seul de ce qui peut et doit être fait, et aussi à quel moment ils pourront copuler en vrais amants homosexuels partageant un moment d’intimité et de bonheur sensuel et sexuel.
L’esclave baisse les yeux presque instinctivement, ayant beaucoup de mal à affronter le regard qui le fusille, d’autant plus qu’il sait que sa queue trahit tout ce qu’il ressent à cet instant qui n’est que désirs charnels et excitation D/s. Master Tarvo en profite pour rajouter une bonne couche à la confusion qu’il a perçu dans le regard de celui qui est entre ses mains, et dont il connait maintenant par cœur les réactions et les pensées, même sans avoir besoin de les entendre explicitement.

- Et encore, je trouve que la punition que Le Maître des Lieux t’impose est presque trop légère, mais sûrement en cette soirée anniversaire, est-IL plus enclin à la bonne humeur, à la plaisanterie et la magnanimité ! Enfin, je pense que question dureté de la sanction, cela dépendra surtout maintenant de mon bon vouloir à accepter d’y mettre fin lorsque tu ne tiendras même plus sur tes jambes et tes escarpins haut perchés qui te vont si bien, ma petite « soubrette-femelle ».

Master Tarvo ponctue ses propos de quelques « ah, ah, ah ! … », ajoutés d’un ton mielleux, presque gentiment vicieux, qui aussi sec font rougir celui qui est bien loin de ressembler à cet instant au jeune cadre dynamique, play-boy et tombeur de ces dames bien malgré lui, qu’il affiche dans sa vie professionnelle au quotidien, assumant avec brio un poste à responsabilités. Mais le Dominant sait très bien doser ce qui pourrait blesser trop profondément l’égo de son esclave et amant, et ce qui va lui imposer une humiliation momentanée dont il se remettra parce que sa nature est d’être soumis, et qu’il trouve dans la honte qu’il éprouve à se sentir malmené et rabaissé, pour être remis à sa place d’esclave, un trouble profond qui le fait frémir et l’excite, provoquant déjà de bonnes décharges d’adrénaline, même s’il n’a pas la possibilité de produire le succulent nectar, fruit de sa jouissance sexuelle.

- Je vais de ce pas me prendre un siège pour regarder cette esclave 31 au travail, cela me fera un joli spectacle que de te voir endurer ton supplice sous sa langue experte de chienne-femelle, et ce sans que tu puisses avoir le droit de te répandre et n’ayant que quelques glaçons sous la main, je devrais dire « sous la queue », pour faire redescendre ton excitation de mâle phallique, doté d’un appendice proéminent récalcitrant qui ne sait pas encore obéir au doigt et à l’œil, et surtout aux seuls ordres du Maître que je suis pour toi et pour chaque parcelle de ton corps qui m’appartiens.


Master Tarvo relâche le menton de son esclave thyr et lui met la main sur la nuque pour le forcer à nouveau à se courber, appuyant si bas et avec une telle force avant de relâcher son emprise que le soumis, qui a déjà du mal à garder l’équilibre sans bouger, se trouve déséquilibré, à moitié cassé en deux. Il manque de peu de se tordre une cheville avant de retrouver une position plus stable, rattrapé de justesse malgré tout par Master Tarvo qui ne tient pas du tout à devoir ramener son compagnon et tendre ami avec une entorse, même s’il a quand même l’intention de profiter de cette punition pour renforcer encore plus le pouvoir Dominant et l’emprise qu’il exerce sur celui qui est à ses pieds et déjà prêt à tout pour lui plaire, mais avec des limites et incapacités humaines que même son bon vouloir d’esclave dévoué et totalement asservi ne sait pas gérer. D’une voix grave, malgré un sourire satisfait aux coins des lèvres que thyr ne peut voir car il a gardé la tête baissée, le Dominant précise pour ajouter une petite pointe de subtilité à l’épreuve punitive qui se met en place :

- esclave indigne ! Est-il besoin que je te précise que je compte sur toi pour prévenir bien avant de jouir la charmante femelle qui va te prendre entre ses lèvres pulpeuses, d’un petit mot, celui de « glaçon », que je t’autorise à prononcer en dernier recours, si elle avait le malheur de te sucer un peu trop longtemps et de te faire grimper sur la cime des plaisirs, car il n’est pas question que tu te vides en elle. Cependant, je pense que le dressage des esclaves de Monsieur le Marquis d’Evans est si savant, que toutes Ses chiennes-femelles lubriques doivent être de vrais pompeuses qui savent parfaitement donner du plaisir par tous les orifices dont la nature les a parés, mais aussi reconnaître par tant de signes avant-coureur le moment précis où tu approcherais de l’instant suprême qui ne te sera absolument pas accordé pour ce soir où tu t’es montré par trop défaillant au mauvais moment de surcroît, en présence de Monsieur le Marquis d’Evans. Il fallait laisser ta queue pendre sagement entre tes cuisses et à sa place, maintenue au repos et bien cachée derrière le petit tablier de domestique en dentelle dont je t’avais paré par précaution et pour masquer tes attributs virils qui dénotent un tant soit peu pour une soubrette qui se veut à minima féminin. …

Master Tarvo reprend sa respiration et d’une voix encore plus posée et lourde, il poursuit après avoir laissé encore une fois le silence de quelques secondes marquer l’esprit de thyr qui doit ment penser à son pénis qui va être mis à rude épreuve, mais qui est prêt à endurer sa pénitence par dévotion totale à celui qui a pris possession de sa vie, de son corps et de son âme.

- Maintenant, c’est trop tard pour la jouissance ! Elle t’est to-ta-le-ment interdite pour l’instant ! … Tu m’as bien compris, vil esclave que tu es ! … Ton sperme de mâle, car tu restes un mâle entre mes mains, quelques soient les atours et habits que tu portes quand et comme je l’exige, et quelque soit la manière dont je te possède et te pénètre sexuellement, c’est moi et moi seul qui décide lorsque tu es autorisé à répandre ton liquide blanchâtre qui dégouline et à fortiori à trouver un peu de plaisir à jouir, tout en pouvant vider tes couilles. Si tu avais le malheur de ne pas savoir endurer ton châtiment avec bravoure et de ne pas respecter mes exigences et mes interdictions, je peux t’assurer que la sanction qui tomberait serait autrement plus terrible et que tu mettrais un certain temps avant de retrouver le droit de revenir dormir dans mon lit, même s’il s’agit officiellement de notre appartement à tous les deux. Je crois bien que je déciderai de te faire passer quelques longues nuits dans la cave qui n’est pas chauffée, histoire de te rafraichir les idées et de te rappeler qui commande, mais aussi de te priver de ma présence, ce qui je le sais te serais encore bien plus pénible à supporter, que les petites misères qui vont être imposées à ton pénis qui va successivement passer de phallus à nouille, et ainsi de suite, pendant quelques allers-retours formateurs…

Thyr se courbe encore plus en signe d’acceptation pleine et entière et il hoche la tête pour dire oui, ne voulant pas prendre le risque d’ouvrir la bouche pour répondre. Il prend conscience à cet instant que Master Tarvo a sûrement fait express de le laisser venir à cette soirée dans cette tenue humiliante pour lui, sans sous-vêtements bien sûr, et la queue à l’air libre, car il savait bien qu’à un moment ou un autre (et en réalité ce fut presque tout le temps en continu depuis son arrivée une fois franchie la porte d’entrée) thyr ne pourrait contenir son envie physique de bander, d’autant plus qu’il se trouve toujours très excité dès qu’il a la chance de participer à une soirée D/s ou SM où il a le droit d’accompagner le Maître auquel il appartient bien plus que corps et âme puisqu’il est devenu toute sa vie, le reste n’ayant plus que le caractère d’accessoire vanille. Le seul fait d’entendre qu’il pourrait être privé de sa présence est une terrible éventualité qu’il ne peut même pas envisager en pensées sans trembler d’effroi, mais rien que d’évoquer cela dans son esprit, il se sent encore plus confus et par la même excité. En effet, sous le contrôle du Dominant qui s’était assuré que la consigne avait bien été respectée pendant toute la semaine, thyr n’avait pas eu le droit de se caresser, ni même de se toucher subrepticement, et à fortiori d’éjaculer, et cela depuis sept jours, maintenu dans une abstinence totale de plaisirs physiques et de jouissance. Ses couilles sont donc pour la soirée plus que pleines au point d’en être devenues douloureuses. Master Tarvo att les deux testicules entre ses deux mains, l’un dans chacune, et il les soupèse pour vérifier justement qu’elles sont remplies au maximum…

- Eh bien ! Cela m’a l’air bien lourd ce qui pend entre tes cuisses ! Au moins, à ces deux-là, il ne leur a pas pris l’envie de faire l’ascension du Mont-Blanc. J’ai le sentiment que je n’ai même pas besoin de te fixer des poids dessus, cela tombe tout seul par le seul fait de la pesanteur et du poids de tes bourses pleines. Avec le « nut-cracker », (le serre-joint pour testicules) que Monsieur le Marquis d’Evans a exigé qu’il te soit posé, tu vas être tranquille pour ne plus pouvoir jouer des castagnettes, et toi qui aime savourer quelques petits délices masochistes bien douloureux pour devenir « doulheureux » et non malheureux, tu vas aussi être à la fête, ce qui t’aidera à supporter le traitement moins jouissif qui va être imposé à ta verge récalcitrante. J’ai bien fait de te sevrer pendant quelques jours, car moi aussi ce soir je vais être à la fête en comptant le nombre de bains glacés que ta nouille va devoir se coltiner pour se ratatiner à chaque fois…

(A suivre …)

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