Maudites Vacances (3) : Nuit Calme Et Réveil Tonique.

Ma femme Corinne, mon copain Jonathan et moi-même sommes tous les trois en train de dîner ce soir et il y a comme qui dirait une drôle d’ambiance. Jonathan fait tout son possible pour détendre l’atmosphère (il y arrive plutôt bien, d’ailleurs), mais aucun de nous trois n’a évidemment oublié ce qui s’est passé cet après-midi : Jonathan a baisé ma femme devant moi une première fois en m’obligeant à me masturber, et il a remis ça plus tard alors que j’étais misérablement caché derrière les rideaux. Je me sens ridicule et honteux car je n’ai rien perdu du spectacle puisque j’étais aux premières loges à chaque fois. Je ne sais vraiment pas comment je vais faire pour éviter que ça recommence et ça explique mon air morose.
Juste avant l’apéritif, il nous a signalé que sa copine arriverait vendredi, qu’ils avaient fait un test de dépistage du VIH et qu’il était clean. Il a même négligemment tendu son certificat, comme si c’était une autorisation de baiser Corinne sans capote ! Incroyable, non ? En tout cas, en ce moment je fais clairement la gueule, mais ça n’a pas l’air de trop les déranger puisqu’ils font comme si de rien n’était.
De fil en aiguille, la soirée s’avance et l’heure du coucher n’est pas loin. Quand je demande où est notre chambre, Jonathan prend un air gêné.
- Je vais vous montrer les possibilités, mais il y a un problème avec les chambres de l’étage …
- Comment ça ?
- Bon, suivez-moi, vous allez comprendre.
Je me demande ce que ça signifie. On se lève de table tous les trois, on rentre dans la maison (la journée a été si chaude qu’on a passé la soirée à essayer de se rafraichir dehors) et on grimpe à l’étage. Quand on arrive, je comprends le problème : comme la chambre est sous les toits et que le soleil a tapé toute la journée, on a l’impression de rentrer dans un sauna. Corinne réagit aussitôt :
- Non, c’est pas possible, il fait au moins 40 degrés là-dedans ! Il n’y a rien d’autre ?
- Si, mais c’est la même chose …
- Effectivement, quand on arrive dans la deuxième chambre sous les toits, c’est le même problème.


- Mais, et toi ? Tu dors où ?
- Moi, je dors dans la seule chambre du rez-de-chaussée, c’est plus frais.
On redescend pour finir la visite. Effectivement, la chambre de Jonathan, petite mais exposée au nord, est très agréable. Ce qui me frappe c’est la taille du lit : deux mètres de large sur deux mètres de long.
- Écoutez, je suis désolé ; quand j’ai vu la chaleur des pièces de l’étage, j’ai compris pourquoi la location était si bon marché, mais c’était trop tard. Tout ce que je peux faire c’est vous proposer qu’on dorme tous dans mon lit, il y a largement assez de place pour dormir à trois sans se gêner.
Un sentiment de terreur m’envahit. Je vois le désastre qui s’approche comme une fatalité et la réaction de Corinne confirme mes inquiétudes.
- Oui, tu as raison, en tout cas moi, je ne dors pas là-haut, je n’ai pas envie de mourir de chaleur. Et toi, Nicolas, qu’est-ce-que tu fais ?
Le sang se fige dans mes veines : si je comprends bien, j’ai le choix suivant : ou bien je dors seul dans une pièce surchauffée pendant que Jonathan pourra baiser ma femme du soir au matin en toute impunité, ou bien je reste avec l’angoisse de me faire cocufier malgré tout, et avec en prime une place de spectateur privilégié ! Dans les deux cas, les insomnies, le ridicule et la honte sont au rendez-vous. Comme je ne suis pas vraiment capable d’imposer mes conditions, j’essaie de faire bonne figure.
- Bon, d’accord, on peut essayer pour cette nuit, on verra bien ce que ça donnera, mais c’est quand même pas l’idéal.
- Allez, mon chéri, tu vas pas faire la tête, et puis Jonathan va être sage ce soir, n’est-ce-pas ?
- Oui, oui, … Enfin, je vais essayer, mais je ne promets rien …
Ces allusions au fait qu’ils m’ont cocufié cet après-midi m’exaspèrent autant que les petits regards complices qu’ils se lancent. Que je fasse une scène ou pas revient au même : je me sens ridicule et n’ai d’autre ressource que de rester aussi naturel que possible, même si je bous intérieurement.

Je vais chercher mes affaires, puis commence à me préparer pour la nuit. Quand j’arrive dans le lit en caleçon, Jonathan est déjà là, dans la même tenue. Heureusement, il est tout à gauche, tranquillement en train de lire un magazine. Du coup je me précipite dans le lit et me mets au milieu, comme ça il ne restera que l’autre bout du lit pour Corinne. Quand cette dernière arrive pour se coucher elle aussi, je frémis : elle a mis sa petite nuisette sexy légère et presque transparente qui réussit à mettre en valeur tout ce qu’elle est censée cacher : non seulement on distingue nettement les contours de ses formes avantageuses, mais aussi une grande partie de ses jambes, et même de ses cuisses. Quant aux pointes de ses seins qui semblent vouloir traverser le fin tissu, c’est la cerise sur le gâteau ! Comme si ça ne suffisait pas, Corinne passe devant la lumière pour nous faire des effets de transparence. Une fois de plus elle arrive à ses fins : Jonathan a cessé sa lecture et regarde avec un air ahuri. Heureusement ça ne dure pas trop longtemps et Corinne ne tarde pas à se coucher.
Quelques minutes après c’est l’extinction des feux et nous voilà partis pour la nuit. L’obscurité n’est pas complète car les chiffres lumineux du réveil donnent une très légère pénombre qui permet de distinguer vaguement les contours de la pièce et des meubles.
Au bout de quelques minutes, plus personne ne bouge et on semble se diriger vers une nuit sereine. Pour moi, avec le cerveau en ébullition, impossible de dormir. Les événements de la journée tournent en boucle dans ma tête et je n’arrive pas à me détendre. De plus, je me dis que si je m’endors, on ne sait jamais ce qui peut se passer. J’ai beau être entre Jonathan et Corinne, on ne peut jurer de rien. Les minutes, puis les heures passent ainsi sans que je réussisse à trouver le sommeil. De temps en temps, j’entends un mouvement à ma droite ou à ma gauche, mais c’est à chaque fois une fausse alerte : l’un comme l’autre semblent dormir et remuent dans leur sommeil.

Vers deux heures du matin, agacé, je me lève pour aller aux toilettes, mais quand je reviens, je constate que Corinne a légèrement bougé et que si je reprends ma place, je vais la réveiller car elle s’est mise en diagonale et je n’ai plus assez de place entre elle et Jonathan. Je me résigne donc à changer de place et à me mettre de l’autre côté, mais ça m’angoisse parce que maintenant Corinne est entre Jonathan et moi. J’y pense tellement que je reste encore éveillé pendant deux heures, guettant le moindre frémissement ou le moindre soupir. Finalement, épuisé par tant de veille, je finis par succomber à la fatigue après quatre heures du matin.
Quand je me réveille, je mets un certain temps à réaliser où je suis et ce qui se passe. Le jour est levé, et je perçois des mouvements et du bruit à côté de moi. Je me tourne pour voir ce qui se passe. Corinne est apparemment encore à moitié endormie, dans cet état intermédiaire que je lui connais si bien. Elle bouge, s’étire, se tourne et se retourne alors qu’elle n’a même pas encore ouvert les yeux. Je l’observe, les yeux mi-clos. Je ne vois pas Jonathan puisqu’il est de l’autre côté. Bon, ça va, rien à signaler. Je n’ai vraiment pas assez dormi et je replonge à moitié. Pendant ce temps, ça bouge un peu plus mais je n’y prends pas garde.
Quand j’entrouvre les yeux à nouveau, je comprends trop tard ce qui vient de se passer. Dans un demi-sommeil, Corinne a du toucher Jonathan, peut-être même qu’elle l’a caressé en s’imaginant que c’était moi (puisque j’ai changé de place dans la nuit), et du coup il s’est réveillé et a transformé ses désirs en réalité. Il a pris les choses en main, ou plutôt en bouche. Je vois une bosse sous la nuisette de Corinne car il est en train de lui faire un réveil sous forme de cunnilingus.
Elle a les yeux fermés, est encore à moitié réveillée ou déjà en train de se laisser aller, et gémit doucement, mais régulièrement. Jonathan recommence son truc qui a si bien marché hier : actif avec sa bouche, mais aussi avec les mains : il lui remonte la nuisette au-dessus de la taille, puis toujours plus haut, lui découvre les seins.
Il s’empare de ces derniers, les caresse doucement, fait durcir les pointes qu’il pince délicatement. Maintenant Corinne pousse des gémissements plus forts. On rejoue la même scène et je suis toujours aussi paralysé par l’indignation. Je sais pourtant que je vais encore me faire cocufier. Jonathan s’est redressé, il a quitté son caleçon et s’occupe maintenant de retirer entièrement la nuisette de Corinne.
- Enlève ça, ma belle, tu n’en as plus besoin pour ce que je vais te faire …
Il parle doucement, comme s’il ne voulait pas me réveiller. En tout cas, Corinne ne peut plus faire semblant de dormir. Elle se laisse faire sans résister et abandonne sa nuisette. Dès cet instant, Jonathan se jette sur elle avec voracité, lui caresse les seins, les embrasse, les lèche avec application, les mordille. Elle commence à pousser de petits cris. C’en est trop et je me redresse pour réagir :
- Non, mais c’est pas vrai, vous n’allez pas remettre ça !
- Excuse-moi, mon vieux, mais comment veux-tu que je réagisse si ta femme me réveille en se frottant contre moi. Regarde la trique qu’elle me met !
Il est agenouillé, assis sur ses talons et les jambes écartées, fier de son énorme braquemard tendu vers le plafond.
- Putain, qu’est-ce qu’elle est chaude, un vrai volcan ! C’est trop bon de la palucher, elle aime ça et elle en redemande. C’est pas possible de résister !
Je suis incapable de répondre. Je regarde Corinne qui se fait tripoter sans résistance. Elle ne daigne même pas ouvrir les yeux. Elle se contente de s’abandonner aux caresses de Jonathan en gémissant et en poussant des « Mmmmm … » et des « Ohhh ! », comme pour l’encourager.
Fou furieux, je me lève et me dirige vers la salle de bains en grommelant un : « Vous faites chier, tous les deux ! ». Malheureusement, ça ne change rien : je me regarde dans la glace avec un air morose et pendant ce temps, on dirait que Jonathan est passé à la vitesse supérieure car j’entends déjà Corinne pousser des petits cris. La suite est encore pire :
- Oh ! Mais t’es encore raide comme un pieu, toi !
- Allez, fais-moi un bisou sur le bout de la queue … Oui, … Mmm … c’est bien, comme ça … Ah, oui, salope, c’est bon, c’est génial, continue … Ohhhh … Putain, t’as une bouche de déesse, toi, … Ouii … vas-y, suce-moi bien à fond, oui, c’est ça, … Mmmm, j’adore ! …
-Mmmm…
- Oui, oui, comme ça, caresse-moi les couilles, c’est super, … T’es un super suceuse, t’es vraiment trop bonne …
-Mmmm…
- Ouais … Branle-moi la tige … J’adore … Oh, non de dieu, t’as une super bouche, ma mignonne … Tu vas voir ce que je vais te mettre …
-Mmmm …
Moi qui espérais qu’en sortant de la chambre ça irait mieux, je me surprends à surveiller et écouter chaque mot, chaque soupir, chaque gémissement et c’est pire que tout ! Ce que j’entends ne laisse aucun doute : cette salope de Corinne est en train de sucer la grosse queue de Jonathan et je crains bien qu’il n’éjacule dans sa bouche ou passe à autre chose. Je me risque à regarder par l’entrebâillement de la porte et ça confirme toutes mes craintes : Corinne s’acharne sur la queue de Jonathan, la suce tout en la branlant d’une main et en lui caressant les couilles de l’autre. Jonathan me voit et réagit aussitôt.
- Ta femme est une super bombasse, t’as vraiment de la chance. Allez, viens voir de plus près, je sais que t’en as envie, pas la peine de te cacher, on est entre amis !
Je me sens une fois de plus ridicule à me planquer dans la salle de bains. J’ai honte comme un gamin que l’on surprend la main dans le sac alors que c’est quand même lui qui se tape ma femme ! Entre temps, il a changé de position. Il tire Corinne par les cheveux pour qu’elle arrête de le sucer, puis l’allonge sur le dos.
- À moi de jouer, ma belle, tu vas voir, moi aussi je sais faire des trucs.
Il lui écarte les jambes et s’allonge sur elle, puis s’installe tranquillement et se met en position pour lui faire un missionnaire. Ça ne traine pas, il trouve très vite son chemin et pénètre Corinne une fois de plus. Elle sursaute et pousse un long gémissement pendant qu’il lui enfonce sa queue aussi profondément que possible et s’immobilise.
- Regarde ta femme comme elle aime se faire enfiler. Allez, approche-toi, sois pas timide, je vais te la faire gueuler de quoi te faire bander comme un cerf, tu vas voir.
- J’aime pas ça du tout, si tu veux savoir.
- Menteur ! T’as encore une bosse qui te déforme le caleçon. Montre voir ta queue si tu l’ose !
- Ça ne prouve rien ! »
- Si, ça veut dire que ça t’excite de voir ta femme se faire baiser, et tu vas être servi !
À peine a-t-il dit ça qu’il commence à aller et venir dans le vagin de Corinne, et le résultat ne se fait pas attendre : soumission, gémissement, puis petits cris. C’est reparti pour un tour. Il accélère la cadence et s’adresse tantôt à elle, tantôt à moi.
- Ton mec est en train de mater et plus je te nique, plus ça le fait bander, regarde ! Allez, viens, approche-toi, montre à ta femme que tu bandes encore pour elle, sinon elle va se vexer …
Plus il me ridiculise et moins je suis capable de lui répondre, comme si ses arguments étaient inattaquables. Entre temps, je suis sorti de la salle de bains, mais je reste à la porte, indécis, incapable de prendre une décision, balloté par les événements, avec mon caleçon tendu par l’érection. De son côté, Jonathan continue de ramoner ma femme en missionnaire, relevé sur les coudes pour pouvoir lui prendre les seins à pleines mains pendant qu’il la lime impitoyablement. Parfois il l’embrasse fougueusement et lui roule des pelles interminables, à d’autres moments il se concentre davantage sur ses seins. Pour me donner une contenance, je fais mine de chercher mes vêtements et de vouloir m’habiller, mais Jonathan ne l’entend pas ainsi.
- T’en vas pas, sinon je baise ta femme toute la matinée.
- C’est bon, tu m’as déjà fait le coup hier. J’en ai marre.
- Ok, c’est toi qui l’auras voulu.
Je mets rapidement ma robe de chambre et décide d’aller dans la cuisine. Ce n’est pas très glorieux, mais bon, c’est tout ce que j’ai trouvé pour l’instant. Je reste ainsi plusieurs minutes à réfléchir, mais je n’y arrive pas. Les cris de ma femme traversent la porte de la chambre et me vrillent les tympans. Je ne sais pas si je me fais des idées mais j’ai l’impression qu’elle gueule de plus en plus fort et qu’il est en train de la faire jouir comme une folle. Parfois c’est lui qui crie des obscénités que je voudrais ne pas entendre. Si je ne fais rien pour arrêter ça, il va en faire son esclave sexuel. Plus ça va, plus ça monte en puissance. À un moment, ça devient plus calme et j’espère que c’est fini, mais ça repart de plus belle. Je crois qu’il est effectivement capable de mettre ses menaces à exécution et de ne pas éjaculer pour pouvoir la baiser toute la matinée. Il va falloir que je me plie à ses caprices et que j’y retourne.
Quand j’ouvre la porte de la chambre, il est en train de la prendre en levrette en lui tenant fermement les hanches pour bien s’enfoncer en elle à chaque coup de reins. Quand il arrive au fond Corinne pousse automatiquement un cri et encaisse le coup. Il est ravi de son petit jeu et rayonne.
- Ah, je savais que tu viendrais. Tu vois, j’aime bien la prendre aussi comme une chienne, c’est super excitant. Et puis, elle a un cul d’enfer, ta nana ! Bon, alors, tu te décides à te foutre à poil, oui ?
Je retire ma robe de chambre comme si j’allais me coucher. Un sursaut de dignité ridicule me fait dire :
- Je n’ai pas bien dormi, je vais me recoucher un peu.
- Oui, c’est ça, mais retire ton caleçon.
- Bon, bon, si tu veux, je m’en fous …
En fait, je ne m’en fous pas, mais bon, on fait ce qu’on peut …
- Ta femme, c’est une merveille : d’où que tu la prennes, où que tu la touche, c’est toujours génial.
Puis, tout à coup, il recommence à la pistonner à toute vitesse. Corinne crie aussitôt, gémit, halète et supplie :
- Non, salaud, arrête, j’en peux plus …
- Mais si, ma belle, ma queue est encore raide et celle de ton mec aussi. Je vais te baiser jusqu’à ce qu’il se décide. Moi, ça me va. Et lui, peut-être qu’il veut que tu te fasses limer toute la matinée !
- Arrête de dire n’importe quoi ! Elle en a marre et moi aussi, alors arrête.
- Tais-toi et branle-toi ! Et regarde ta nana, t’as vu comme elle prend cher !? Je parie que tu savais pas qu’elle pouvait jouir si longtemps.
Effectivement, entre soupirs, halètements, gémissements et cris, on ne peut douter de ce que ressent Corinne. Malgré tout elle finit par trouver la force de parler :
- Allez, Sébastien, s’il te plait, fais ce qu’il te dit …
Vu comment les choses sont engagées, je crois que je n’ai plus trop le choix. Je m’allonge dans le lit après avoir retiré mon caleçon.
- C’est bien, c’est très bien. Tiens, j’ai une idée pour le dernier round. On va se faire un bon plan à trois, tu vas voir. »
Il s’arrête alors puis sort sa queue de la chatte de ma femme. Corinne n’a pas trop le temps de réagir qu’il a déjà mis son plan à exécution : il s’approche, s’allonge à côté de moi sur le dos et installe Corinneà califourchon, en position chevauchante. J’ai l’occasion de voir sa queue encore raide juste avant que ma femme ne vienne s’empaler dessus. Avec un braquemard de cette taille, rien d’étonnant à ce qu’il arrive à la faire jouir comme ça.
- Allez, la belle, viens donc que je t’enfile encore une fois pour la dernière ligne droite.
Obéissante, Corinne s’assoit sur la queue de Jonathan et se fait pénétrer une fois de plus sous mes yeux. Encore un choc, puisque je suis allongé tout contre lui et que j’ai droit à un plan rapproché de sa grosse bite qui plonge dans la chatte de ma femme.
- Ohhhh … Vous êtes vraiment des obsédés, les mecs …
- Mais c’est toi qui nous met dans cet état, ma belle. T’es faite pour la baise et ce serait vraiment dommage de ne pas en profiter. Mmmmm … Oui, c’est bon, c’est super comme ça, j’aime quand tu t’empales sur ma queue …
- Tu ne penses donc qu’à ça ?
- Je ne suis pas le seul : regarde la trique de ton mec.
J’en ai tant vu depuis hier que je ne suis plus à ça près : Corinne me regarde, comme si elle découvrait ma présence. De manière tout à fait naturelle, elle se met à monter et descendre sur la queue de Jonathan, alors qu’il y a deux minutes à peine elle demandait que tout cela s’arrête. C’est donc elle qui donne le rythme et moi, j’ai définitivement disparu des écrans radars. Bien entendu, Jonathan, bien qu’allongé sur le dos, reste actif : il a une vue directe sur les seins de Corinne et ne se prive ni de les regarder, ni de s’en occuper. Il les saisit à pleines paumes sans oublier de pincer les tétons qui sont toujours aussi durs.
- Mmmm … T’as vraiment des nichons de rêve, j’adore ! Tiens, j’ai les mains occupées, tu pourrais être sympa avec ton mec et le branler, non ?
De mieux en mieux : maintenant c’est lui qui demande à ma femme de me masturber : je crois décidément que rien ne me sera épargné ! Une fois de plus, Corinne obéit et se penche un peu, tend la main et me saisit la queue alors que Jonathan continue de la ramoner. La situation est totalement ridicule et incongrue, mais quand les doigts de ma femme commencent à me masturber, je ne peux m’empêcher de trouver ça merveilleusement agréable.
J’ai beau me sentir ridicule, minable et méprisable, je me surprends à me dire que finalement, il faut prendre son plaisir quand l’occasion se présente, quand bien même ce ne seraient que des miettes. J’hésite entre me résigner et réagir violemment, mais ça ne dure que quelques instants. Comme les fois précédentes, je finis par me laisser entraîner dans ce jeu loufoque où j’ai le dessous. Au moins, si j’y prends du plaisir, je n’aurai pas tout perdu …
Me voilà donc masturbé par ma femme pendant que cette dernière se fait baiser et peloter par mon copain, et le pire, c’est que le spectacle qu’ils m’offrent tous les deux contribue à mon excitation : les seins de Corinne qui bougent en rythme, la queue de Jonathan qui rentre et sort de son vagin, les cris et grognements qui accompagnent le tout …
Je me fais branler au rythme des coups de queue qu’encaisse Corinne, du plaisir qui la submerge, et moi, je suis comme un toutou : tantôt j’ouvre les yeux pour me régaler du spectacle, tantôt je les ferme pour ne surtout rien voir, et dans tous les cas je monte inexorablement vers l’orgasme à mon tour. Je trouve les commentaires de Jonathan à la fois insupportables et super excitants, comme s’il s’autorisait un vocabulaire que je n’ai jamais osé utiliser :
- Oui, c’est ça, t’es une vraie salope, tu te fais ramoner en branlant ton cocu de mari et ça t’excite, hein ? Avoue, t’as jamais fait un truc pareil, hein ?
- Ohhh … Je … Je … Non …
- Je m’en doutais, mais ça te plait quand même de te taper deux mecs en même temps, hein ? »
- Ohhh … Je … Oui …
- T’entends ça, Sébastien ? C’est une première. Je parie qu’elle t’a jamais branlé dans ce genre de situation. Je suis sûr que t’aimes ça, au fond.
- Fous moi la paix !
- Oh, mais c’est qu’il se vexerait, ma parole ! Tu bandes comme un cerf, tu gémis comme une salope en te faisant branler par ta femme, tu la reluques en train de se faire tringler et tu vas me dire que t’aimes pas ça !?
- Je t’emmerde !
- Bon, bon, t’énerves pas … Vas-y, Corinne, passe à la vitesse supérieure pour calmer ton mec sinon il va se fâcher et ça serait dommage, non ?
À peine a-t-il dit ça qu’effectivement, soumise et obéissante, Corinne accélère le rythme et se met à me branler de plus en plus vite. Je suis à la fois de plus en plus vexé et de plus en plus excité. C’est une situation dingue : ma femme me cocufie allègrement et obéit à Jonathan quand il lui ordonne de me masturber ! Je me trouve donc une fois de plus en position d’infériorité, et je suis complètement dépassé par les événements, d’autant plus que Corinne sait exactement comment me faire jouir et que je ne vais pas tarder à succomber. Déjà, une partie de moi essaie de résister mais je sens bien que je n’y arriverai pas : je commence à respirer plus fort, j’arrive difficilement à réprimer des gémissements et je suis en train de me laisser complètement aller. Une fois encore j’ai perdu la partie et Jonathan savoure sa victoire. Il continue de commenter la scène :
- T’aimes ça, on dirait, ça te plait de te faire branler … T’as bien raison … Oui, vas-y, la belle, continue … Regarde ton mec comme il apprécie le traitement … T’es une super salope, tu vas nous faire jouir tous les deux en même temps, hein ?
Maintenant j’ai fini de résister, je suis vaincu : comme une dernière humiliation, je commence à gémir continuellement mais garde malgré tout les yeux ouverts : ma femme fait du rodéo sur la queue de Jonathan, ouvre les yeux par instants, et, au vu de la frénésie qui l’habite, elle est visiblement submergée par un nouvel orgasme. Accessoirement elle me masturbe violemment comme si elle voulait me traire. Vision de folie : nous sommes tous les trois emportés par le plaisir et poussons des cris, des gémissements et des grognements à tour de rôle. Jonathan continue de déverser ses obscénités pour accompagner le tout :
- Ouais … Je te nique et je vais t’engrosser, ma jolie, continue, je veux voir ton mec juter pendant que je te baise, oui, c’est ça, branle-le, il ne demande que ça … Oui, c’est bon … Ohhh … ouii … Salope, c’est bon …. Je viens …. Ahhhh … Ouais …Ahhhhhhhhhh …. »
Cette fois c’est Jonathan qui craque le premier et s’immobilise en poussant un long cri. Je suppose qu’il est en train d’éjaculer. C’est presque insupportable, et pourtant, je me mets aussi à crier dans la foulée car Corinne, maintenant que Jonathan ne bouge plus, se concentre sur ma queue et accélère encore : je suis possédé par le plaisir imminent qui approche et ne vient pas, je suis dominé par l’excitation et l’humiliation, si bien que ce moment hors du temps dure plusieurs dizaines de secondes pendant lesquelles je ne sais pas moi-même ce qui m’arrive. Corinne et Jonathan me regardent tous deux pendant que je me lâche à mon tour et finis par juter sur mon ventre alors que Corinne presse ma queue comme pour mieux me vider.
Nous reprenons notre souffle tous les trois, sans un mot. Corinne quitte sa position et file vers la salle de bains. Moi, je cherche un mouchoir pour m’essuyer. Le silence qui suit est à la fois calme et oppressant. C’est Jonathan qui rompt le silence le premier, en essayant de détendre l’atmosphère :
- Wouaouh ! Voilà une journée qui commence bien !
Je ne lui réponds pas, mais une chose est sûre : je ne suis pas du tout de cet avis …

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