Curieuse Cure 2

J'avise un gros tronc d'arbre; avec précaution je vais m'abriter. Je n'ai pas entendu la fin de leur conversation. En amoureux ils se mettent en route. L'homme est encore un gamin. Il s'amuse à lever l'arrière de la robe et à pincer les fesses et commente:

-Tu as un gros pétard. C'est gras, là. Et vlan une petite claque d'amour sur ton cul.

Julie fait des bonds mais rit des facéties de son Marco. Discrètement je les suis. Ce jeu de piste est instructif. A la limite du bois, ils traversent la route et s'engagent dans ce qui paraît un cul de sac. Ils marchent enlacés comme le ferait un couple légitime. A l'extrémité entre deux rampes, ils s'appuient sur une balustrade. Julie s'adosse à la tablette de pierre, réclame un baiser, Marco la bécote et en même temps lève l'avant de la robe et passe plusieurs fois sa main à plat sur l'entrejambe et Julie remue ses hanches d'arrière en avant pour mieux recevoir ce frottement: elle est comme une chienne en chaleur, cède sans pudeur pour se garantir le plaisir annoncé.

Maintenant ils empruntent un passage entre les deux pans de la barrière et leurs corps s'enfoncent. Ils descendent un escalier. Je peux à mon tour franchir la rue et reprendre ma poursuite. Ils ont déjà passé un palier et continuent la descente. Je m'arrête pour admirer le paysage, les mouvements de la mer qui se retire et libère tout en bas un tout petit bout de sable jaune, c'est la crique. C'est le nid prévu pour leurs ébats. Pour les voir je suis obligé de me rendre sur le palier intermédiaire et de me pencher.

Debout, les pieds dans le sable, ils s'embrassent pour la centième fois. C'est tout ce qu'ils savent faire :: lui le grand blond la tête baissée sur le visage renversé de ma femme. Il a attrapé le bas de la robe de Julie, la relève, tire vers le haut et elle apparaît épaules nues. Une tache rouge un peu plus bas tombe à son tour, libère les deux seins mûrs de ma quadragénaire.

Elle les relève à deux mains, l'air de dire :

- Tu peux tâter et embrasser, ce n'est pas du toc !.

J'ai bien deviné. Marco se baisse et rend hommage aux mamelons empoignés virilement et sucés avec gourmandise. Et de nouveau il rudoie le sexe si peu protégé par un mini string rouge.

La robe retirée est posée sur un rocher sur ma droite. Marco s'agenouille aux pieds de sa maîtresse. Il fait tomber le string , fouille dans son sac et en sort le maillot de bain de Julie. Il manque le haut de ce maillot deux pièces. Julie se plie en deux,. De mon perchoir je vois son dos nu s'allonger, elle enfile la partie basse du maillot et court vers l'eau.. Elle est rejointe par l'amant entièrement nu dont la queue balance de droite à gauche. Avec prudence ils avancent dans l'eau, font quelques brasses, s'immobilisent, face à face, se rapprochent jusqu'à se toucher.

Et voilà, c'était prévisible, ils s'enlacent, s'embrassent. Marco passe ses mains sous les aisselles de ma femme, la soulève, la tient en l'air. Il est caché par la tête et le torse de Julie, le nez coincé entre les nénés. Julie se tient penchée par dessus les épaules, son maillot de bain glisse vers l'eau, au bout d'une main Je vois les fesses blanches et nues de Julie descendre, s'arrêter, remonter. Son dos exécute un mouvement de bas en haut à peine perceptible : elle est plantée sur le pivot de la joie fait hue coco : ils baisent dans l'eau. Julie regarde vers l'horizon. Marco fixe la crique, fait quelques pas en arrière et leurs deux bassins font trempette, passent sous le niveau des vagulettes, toujours animés du même va et vient assez court. Je ne distingue plus le point de jonction

En levant la tête, le mâle m'aperçoit. Une de ses mains lâche la croupe pour me saluer et retourne bien vite sous la fesse pour supporter le poids de ma femme. Il n'a honte de rien, attire le regard sur cette copulation hardie. Et moi, le mari cocu, j'assiste à cet horrible séquence, instruit sur les véritables raisons de la prétendue cure.


Il ne m'a pas reconnu : à cause de la distance et parce qu'il ne me connaît probablement pas et ne s'attend pas à voir surgir le mari de sa maîtresse. Le ballet aquatique se poursuit. Julie roule, tangue sur sa bite d'amarrage, bat des pieds pour se rattr, crie de peur ou de joie. Heureusement personne ne veille sur les moeurs de ces nageurs indécents. Enfin ils se raidissent, restent immobiles. L'homme envoie son sperme dans le vagin, crispé. Les deux corps tombent à l'eau,.
Ils reprennent pied. Ma femme tournée vers fort Boyard se courbe pour toiletter sa foufoune, chasse de la main quelque chose ; le foutre qui remonte en surface De nouveau ils nagent côte à côte. Enfin ils vont s'allonger au pied des rochers sur leurs draps de bain, cachent leurs yeux derrière de larges lunettes de soleil qui leur mangent le visage. Quel intérêt ai-je à continuer le guet. Mais l'escalier est bouché. Deux blondes descendent et s'arrêtent à côté de moi. Ce sont deux belles et jeunes créatures en bikini, belles poitrines, tailles de mannequins, croupes saillantes sur jambes longues, bâties sur le même modèle, deux pies rieuses et bavardes L'une pousse sa copine :

- Regarde qui est là, en bas ! C'est Marco et sa vieille. La salope ne lui lâche pas la grappe. C'est une vraie nymphomane.

- C'est un beau gars, j'aimerais le piquer à la mémé. Quel gâchis de perdre son temps avec elle et ses rides. Il paraît qu'elle est mariée. Pauvre mari cocu. Hier j'ai réussi à parler à Marco pendant qu'elle était allée changer de culotte : ils avaient baisé dans l'auto sur le parking de La Fuméeet n'avaient rien d'autre pour s'essuyer.. Ça les amuse de prendre des risques, ils sont un peu fous. La mémé se conduit comme une pute.

- Et oui ! Vois ce qu'elle fait. Elle lui grimpe dessus et se fait langoter la chatte. Quel sans gêne. Eh ! Monsieur, vous vous rincez l'oeil depuis longtemps? Ils ont déjà tiré leur coup ?

Elle s'adresse à moi.
Je dois être pâle de rage. Je fais l'ignorant; je ne peux pas annoncer que je surveille ma femme infidèle sans réagir. Je passerais pour un con.

- Euh, je ne sais pas. Je suis venu il y a peu.

- Vous ne trouvez pas cette vieille truie dégueulasse : elle accapare le jeune homme, ne lui accorde pas de liberté sous prétexte qu'elle paie tout. Et nous, les jeunes, faisons tintin. Dites ça vous dirait de sortir avec nous ? Ce soir il y a bal au casino, on danserait, on s'amuserait et plus si affinités. Je ne vous plais pas ? Vous préfèreriez Loulou. On pourrait faire une partie à trois. On vous fera un prix. Où logez-vous ?

- Vous ne trouvez pas de garçons de votre âge ?

- Si, mais ils sont fauchés, ils veulent s'amuser sans payer.

- Vous tombez mal. Je n'ai jamais eu besoin de payer pour " m'amuser " comme vous dites. Vous êtes mignonnes, mais j'ai ce qu'il me faut.

Les deux coquines n'ont pas froid aux yeux, elles attaquent avec audace. Je pourrais les utiliser.

- Mesdemoiselles, je pourrais être votre père. Vous admettrez qu'à mon âge je recherche une femme mûre.

- Oh ! Le mufle. Non, tu nous prends pour des cruches? Nous ne sommes plus des oies blanches. Et toi, pépère, tu mens : tu bandes dans tes fringues. Tu brûles d'envie, mais tu as peur. Pour toi, ce sera gratuit aujourd'hui. Tu veux voir ma chatte ?

Déjà la plus hardie a relevé la jambière de son short en tissu léger et exhibe un minou sans poil, fente mignonne entre deux bourrelets de chair blonde.

-Oh ! monsieur ne baisse pas les yeux. Dis Loulou, voilà l'homme qu'il nous faut.

Elle s'approche, mi rieuse, mi entreprenante, sure de son charme et de ses atouts indéniables. J'ai chaud, je cherche un moyen de ne pas me faire prendre en flagrant délit par ma propre femme.

- Excusez-moi, ailleurs et plus tard, je ne dirais pas non . Si j'ai compris, vous souhaitez vous amuser avec ce Marco ? Je pourrais vous aider; Faisons alliance Ce soir au bal, je ferai danser la dame.


- Ah ! Oui ? Comment ferez-vous ?

- C'est mon affaire. Je suis prêt à parier Ou je réussis et je vous baise gratuitement, ou je perds et je vous paie. Qu'en dites-vous ?

- Affaire conclue,dit Loulou. Elle m'att et me roule une galoche. Sa copine la bouscule et l'imite. Des pelles comme je n'en ai pas eu depuis des semaines, lèvres suceuses ouvertes et langues lestes comme des anguilles poussées au fond de ma gorge. J'ai le vertige, je me tiens à la barre de fer du garde fou. Le danger de succomber n'a jamais été aussi imminent. Je parle pour retarder ma chute. J'aimerais bien, mais je ne peux point, hélas, pas ici et maintenant :

-Ce n'est pas tout ! Voici mon plan : J'empêche votre Marco de danser avec "sa vieille"; il est donc disponible? Coincez-le, séduisez-le sous le nez de sa maîtresse. Venez danser à proximité de mon couple, Provoquez-la. montrez-vous tendres ou conquérantes, audacieuses et rendez-la jalouse. Osez, osez, embrassez comme vous savez, vous êtes des championnes ! Gardez le gigolo, jouez lui la comédie de la passion amoureuse, allez conclure avec lui dans un coin discret, sur un banc du bois et ne remarquez pas que je vous suis en compagnie de cette goulue. Rassasiez-vous, envoyez-vous en l'air et foutez-le à plat. La cougar sera dépitée pour les jours suivants et Marco se rabattra sur vous.

- Si ça marche, je me donnerai à toi gratuitement.

- Moi aussi. Aussi souvent que tu le souhaiteras. La bosse que je touche promet des instants merveilleux. Amélie, tâte ce paquet. C'est du mâle, du solide. Bon, viens Amélie, on va à côté des amoureux, leur casser l'envie. Il convient de protéger Marco de cette ogresse sexuelle, si on veut avoir quelques restes. A côté de nous, elle sera obligée d'être correcte. Sinon on leur offrira notre aide : hihihi !

Je remonte les marches., Julie pourrait reconnaître ma silhouette. J'en ai assez vu, j'ai fait ma cure de dégoût. J' attendrai les amoureux à l'hôtel.

Je suis debout contre ma voiture. Maman et son grand fils pénètrent dans le jardin intérieur. Ils forment une touchante et digne image de famille unie, c'est un modèle de mère aimante veillant sur un fils très prévenant. Julie porte le sac de plage, Marco fume une cigarette. La femelle esclave précède le mâle. J'attire leur attention. Marco me regarde sans comprendre. Julie se fige, se frotte les yeux et soudain court vers moi :

-Oh ! Mon amour, tu es venu, tu as réussi à te libérer. Que je suis heureuse.

Son baiser pue le foutre. La séance dans la crique a dû se terminer par une longue fellation. Elle fait signe à Marco et bizarrement le vouvoie !

-Approchez, jeune homme, je vous présente Jean, mon mari. Jean, voici Marco, un jeune homme qui me consacre un peu de son temps. Ainsi il m'accompagne à la plage, m'apprend à mieux nager et assure ma sécurité. Il s'appelle...

- Marco, je crois, tu viens de le dire. Bonjour Marco et merci pour tout ce que vous avez fait à ma femme. Pour aujourd'hui reprenez votre liberté. j'assure la suite du service.

Julie continue à jouer la comédie, ne saisit pas le sens de "tout ce que vous avez fait à ma femme" : elle ignore que je sais...

- Excuse-moi, mon chéri... Marco,... Mon ami, pourriez-vous porter ce sac dans ma chambre. Demandez la clé à la réception. j'ai à parler à mon amour. Alors, comment connais-tu son nom ?

- La réceptionniste m'a dit que tu sortais parfois sous la protection d'un beau jeune homme prénommé Marco : ce n'est pas sorcier.. et tu viens de le prononcer au moins deus fois si gentiment.

- Comment es-tu venu ? Pour combien de temps ?

- J'ai pris le train. J'ai persuadé mon copain Gaston de prendre ses congés en août et je peux rester avec toi jusqu'à la fin de ta cure, n'est-ce pas formidable ? Comment es-tu logée, dans cette chambre à lit simple ?

- Hélas ! Ils n'en ont plus d'autre. Comment feras-tu pour dormir ?

- Il n'y a pas de problème, j'ai obtenu ici la chambre 27 au deuxième étage. Je t'invite à venir y vivre avec moi. Elle est vaste et contient un lit double plus un lit simple que cache un rideau. De plus il y a une douche et un wc séparé. Pourras-tu monter les marches ? Comment vont tes rhumatismes. Y a-t-il une amélioration? C'est ce que j'ai cru comprendre au téléphone.

- Oui, cela va un peu mieux. Tu veux coucher avec moi ?

- Hé ! Oui ! N'est-ce pas la moindre des choses; sommes-nous mari et femme ou non ? Voilà Marco. Il sait où est ta chambre. Il devrait descendre ton porte-monnaie. Veux-tu lui demander de transporter ensuite tes bagages dans ma chambre. Comme je suis content de te rejoindre ma chérie. Ah ! le brave jeune homme, il descend ton sac avec ton porte-monnaie : peux-tu me payer un coup à boire..

Je laisse à Julie le temps de passer des consignes. Plein de bonne volonté Marco monte et descend les marches, fait une démonstration de dévouement et remonte déménager les valises. Julie n'ose pas réagir quand je dis au portier qu'elle quitte sa chambre et me rejoint dans la mienne. Elle est contrariée, mais fait semblant de s'intéresser à un tableau du hall d'entrée.. A voix feutrée j'indique à l'homme de garde que la chambre de ma femme sera libre désormais. Il a un sourire entendu et veut savoir :

- Que faut-il faire du fils de madame ? me glisse-t-il à voix basse, l'oeil malicieux .

Cette fois le sourire est narquois. Il est évident que le personnel de l'hôtel a compris quelle relation entretiennent Julie et Marco. On a certainement entendu des bruits, des gémissements et plaintes d'amour lors de leurs ébats. Or il est des choses que mère et fils ne font pas. Ce réceptionniste me fait un clin d'oeil complice. Je réponds :

- C'est son affaire. Il pourra éventuellement reprendre la chambre à son compte. Mon épouse règle immédiatement la note pour le séjour passé.. "Son fils", comme vous l'appelez, est assez grand pour s'assumer ou nous l'hébergerons sur le lit d'appoint.

Derrière son comptoir l'employé tourne le dos pour cacher son étonnement. Je viens de lui révéler à la fois que ce n'est pas mon fils mais qu'il pourra partager notre intimité si nécessaire. Enfin, le brave homme en a vu d'autres, non ? Je demande à Julie d'approcher pour payer la première partie de son séjour. Elle règle avec sa carte bancaire. Elle évite de parler de Marco, ne veut pas se compromettre et espère que le ciel lui enverra une solution Elle ne tient pas à me faire connaître immédiatement le lien réel qui les unit. Combien de temps espère-t-elle me tromper encore. Je m'adresse au réceptionniste:

- Excusez-moi, nous sortons. Veuillez récupérer toutes les clés jusqu'à notre retour.

Je vais prendre le bras de Julie et je l'entraîne dans la rue de la Halle. Elle marche soucieuse, peu bavarde. Elle réfléchit à toute vitesse. prise entre deux feux. D'un côté il y a ce mari tombé du ciel sans prévenir, de l'autre il y a l'amant à loger qui a déjà menacé de révéler l'adultère au cocu. J’occupe le temps et l'espace, elle se sent impuissante.:

-A quelle heure vas-tu en cure demain matin ? Je t'y conduirai en voiture.

- Il n'y a pas de bains le 14 juillet..

La réponse a jailli. Julie attendait la question et se sent soulagée de pouvoir reporter d'un jour l'aveu de son stratagème. Elle a 24 heures pour m'embobiner une nouvelle fois. Elle tente une première manoeuvre :

- Tu pourras te reposer tous les matins, Marco prend plaisir à rouler la voiture. Il est si serviable et s'étonnera de ne plus pouvoir le faire si tu prends le volant. C'est un si gentil garçon, je ne voudrais pas le vexer.

- Je sais, il est comme un fils m'a dit le réceptionniste à mon arrivée.

Julie détourne la tête. Sa voix perd de son assurance.

- Ah ! Le réceptionniste t'a dit ça. Je suis contente d'avoir rencontré Marco à la cure. Après les soins je n'aurais pas réussi à conduire pour revenir. Oui, ce garçon est comme le fils que je n'ai pas eu.

- Le fils que tu m'as refusé. Je trouve malsain de reporter sur un étranger l'affection que tu aurais pu donner à un que nous aurions pu faire. Bon, oublions Marco. Ta santé m'inquiète. Tu ne sembles pas être trop fatiguée. D'ailleurs tu ne t'es pas reposée cet après-midi. Vous avez été absents pendant de longues heures. Vous veniez de quitter l'hôtel quand je suis revenu du restaurant. Tu vas remercier ton charmant compagnon, lui indiquer que ton mari est venu pour remplir ses obligations d'époux et que tu dois mettre fin à la rude tâche de te servir de chauffeur ou de maître nageur. Nous allons vivre ensemble de bonnes vacances, mais à deux, pas à trois. Nous n'aurons besoin de personne pour tenir la chandelle. M'aimes-tu toujours ?

- En voilà une question; Mais oui mon gros loup; je t'aime. Aurais-tu une raison d'en douter. Je t'aime autant que tu m'aimes.

- N'aimes-tu que moi?

- Oh ! Jean, ne me dis pas que tu es jaloux de Marco, un garçon de vingt ans.: ce n'est pas raisonnable. Enfin, j'ai quarante ans, l'âge d'être sa mère. pas celui d'être sa maîtresse.

- Eh ! Bien si : je suis jaloux de ce bel éphèbe. Je vous ai cherchés, je vous ai même brièvement aperçus puis vous avez disparus. Mais pendant un bref instant j'ai trouvé le garçon assez familier.

- Tu as dû nous confondre avec un autre couple. Ton voyage t'a fatigué. Iras-tu au feu d'artifices sur la plage ce soir ? Si tu as sommeil, j'irai seule. Je pourrai faire la grasse matinée demain.

- Je veux partager tous tes plaisirs. M'invites-tu au restaurant ce soir ? Ensuite nous irons au bal, J'ai repéré une dalle devant le casino. Il y a bal de 21 heures jusqu'au feu d'artifices et après jusqu'à trois heures du matin. Tu n'iras pas t'ennuyer seule, je resterai collé à toi, je serai ton unique partenaire pour la danse. La séparation est devenue insupportable. Je te veux pour moi tout seul ce soir et demain et toujours.

- Je vois que je t'ai manqué mon pauvre chéri. Bien, sortons ensemble puisque tu le veux. Rien ne saurait me plaire davantage

Ensemble nous avons pris possession de la chambre 27. Ensemble nous avons pris le repas du soir dans une crêperie et admiré le coucher de soleil au-dessus de l'île d'Aix. Généreuse avec Marco ce midi au Vivaldi, Julie a été fière de payer notre addition. Pourquoi un mari ne se laisserait-il pas gâter par sa femme par ailleurs si généreuse avec son amant. ? Quand, devant le casino,Marco vient l'inviter à danser , je lui fais signe que je suis prioritaire. Lorsque l'orchestre propose un tango au choix des dames, je remercie Julie d'inviter son mari retrouvé et elle renonce à faire un autre choix. Ensuite une noria de jeunes hommes s'inclinent devant ma femme et je jouis de la voir contrainte de décliner les invitations.

- . Notre séparation a duré trop longtemps, je te garde pour moi. Sept types ont essayé de t'éloigner de moi. Je ne te savais pas aussi sociable ou populaire. Chérie, les connais-tu tous ?

- Mais non, le 14 juillet tout le monde danse avec tout le monde. Comment nous sommes-nous connus, as-tu oublié ?

- Oui, mais nous sommes mariés et nous avons été séparés. J'ai besoin de te serrer dans mes bras. Et puisque ces gens ne te connaissent pas, ils ne se fâcheront pas. Viens dansons encore.

Pendant le feu d'artifices je me suis placé dans le dos de Julie et je l'ai tenue contre moi. Elle a ment senti mon érection contre sa croupe.

De retour au bal, j' aperçois Marco en discussion avec trois hommes. Il nous désigne du doigt.. Ces trois gars tendent ensuite la main à Julie, désolée de refuser, mais elle me réserve ses danses. Donc Marco travaille dans l'ombre à nous séparer. L'attaque cesse. Marco vient danser à côté de nous avec Loulou, puis avec Amélie. Il regarde Julie, il est au bord des larmes. Je me plains à ma femme :

- Va-t-il nous surveiller toute la nuit. Il est collant ce garçon. Fais-lui signe d'aller danser ailleurs, il m'énerve. Qu'a-t-il à larmoyer près de toi comme un toutou abandonné.?

-Je lui avais promis de danser avec lui, mais c'était avant ton arrivée. Laisse-moi lui dire deux mots.

L'échange entre Julie et Marco est bref. Elle hausse les épaules en signe d'impuissance. L'amant change radicalement de conduite. Il reste à distance, mais s'intéresse à sa jeune cavalière, la serre, la bécote. Plus tard il serre aussi tendrement la deuxième blonde, l'embrasse exprès lorsqu'il nous croise. Julie le remarque, se raidit un peu, prend un air furieux. En faire plus serait se dénoncer. Elle avale les couleuvres en silence. Je me réjouis du résultat de mon complot avec les filles, sans vouloir remarquer la tension de Julie.

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