Ma Meilleure Amie Me Demande De Lui Apprendre L'Amour Au Féminin

Voici la suite de mon histoire.
Après etre rentrée chez moi, je me sentais très excitée mais j'avais également un sentiment partagé de dépit, de honte et de dégoût. Comment avais-je pu faire ça avec le fils de ma meilleure amie ? Je passai les jours suivants à ruminer, puis Isabelle puisque c'est d'elle dont il s'agit m'appela le vendredi après-midi. Elle souhaitait m'inviter à manger le soir, son fils Pierre étant absent tout le weekend pour un camp de sport. J'acceptai volontiers, puisque cela me permettrait d'avoir l'occasion de discuter avec elle sur ce qu'il s'était passé entre son fils et moi. J'espérais juste avoir assez de courage pour le lui dire.

J'arrivai Isabelle en voiture, le dîner était presque prêt. Nous sommes passées à table et elle a tout de suite remarqué que je n'étais pas moi-même.

- Qu'y a-t-il Karen, tu me sembles toute renfermée, tu n'est pas malade au moins ?
- Non rassure-toi, c'est n'est pas ça.
- Alors raconte, tu peux tout me dire tu sais, depuis le temps que nous sommes amies nous n'avons pas de secrets...
- Je sais, mais ce n'est pas facile pour moi.
- Allons laisse-moi deviner. Tu penses à un homme toi !
- Effectivement mais pas celui auquel tu crois...
- Dis-moi et arrête de tourner autour du pot !

Saisissant mon courage, je décidai d'être franche.

- Ecoute Isabelle, je vais être directe. Ce mercredi lorsque tu étais en déplacement, je suis venue te rendre quelques livres. Pierre était également là. Nous avons fait l'amour ensemble.

Elle me fixa pendant un moment et me dit :

- Vous avez fait quoi ?
- Cela n'aurait jamais du se passer, je suis dans le tort, j'ai craqué, je suis désolée...

Je baissai la tête, attendant les récriminations de mon amie. Après avoir longuement réfléchi, elle me dit :

- Tu sais, Pierre n'est plus un gamin, il est même majeur, il a le droit de faire ce qu'il veut.

Je pensais plutôt qu'il se trouverait une petite amie de son âge. Mais je veux te dire que je suis heureuse que ce soit avec toi plutôt qu'avec n'importe quelle pétasse rencontrée dans la rue.
- Je suis sincèrement désolée tu sais.
- Ne le sois pas, je sais qu'avec toi il est à bonne école. Je ne t'en veux absolument pas, je suis juste un peu surprise que cela soit arrivé...

Je me levai pour prendre Isabelle dans mes bras, une larme coulant de mon oeil.

- Isabelle, je t'aime tellement, je ne veux pas te perdre, je ne veux pas te faire de mal...

Nous sommes restées un moment ainsi, moi blottie entre ses bras. Puis je me suis calmée, et nous avons continué le repas. Nous avons discuté de tout et de rien comme à notre habitude. J'ai quand même évité de lui donner tous les détails, pour cette fois, j'avais eu assez d'émotions pour la soirée. J'ai bu un peu plus de vin qu'il ne fallait et je sentais trop pompette pour rentrer chez moi dans cet état. Isabelle m'a naturellement proposé de passer la nuit dans leur chambre d'amis, chose que je fais régulièrement lorsque je suis chez elle. Après avoir terminé le dessert je suis donc montée me coucher, elle faisant de même dans sa chambre.

Plus tard dans la nuit je me suis réveillée avec une soif intense. Je bus un peu d'eau dans la bouteille au pied du lit, puis j'entendis des bruits en provenance de sa chambre, comme des gémissements. Je me suis levée pour aller entrouvrir la porte de ma chambre sans bruit et effectivement, c'étaient des gémissements. Isabelle se caressait dans son lit! Je ne voulus pas la déranger, j'étais d'ailleurs bien trop fatiguée pour cela, et je suis retournée me coucher.

Je me suis réveillée le samedi matin avec un léger mal de tête. J'ai enfilé le peignoir puis je me suis dirigée vers la douche, je sentais la bonne odeur des toasts grillés et du café dans le couloir. J'entendis Isabelle m'appeler depuis la cuisine :

- Karen, le café est prêt, tu descends ?
- J'arrive.


Elle avait préparé le petit déjeûner pour moi, elle était d'une forme resplendissante. Elle me demanda :

- Alors tu as bien dormi ?
- Oui mais passez longtemps je crois...
- Bois un bon café, ça va aller mieux ensuite.

Nous avons recommencé notre discussion de la veille, puis elle me dit :

- Tu sais, puisque nous sommes en mode confidence, j'ai moi aussi quelquechose à te dire.
- Oui dis-moi ?
- Ecoute je ne sais pas comment te le dire...
- Pas de secrets, n'est-ce pas ?
- Oui tu as raison. Voilà, tu sais que je me suis toujours refusée à une femme. Pourtant lors de nos ébats je n'ai jamais pu m'empêcher une part de jalouse en te voyant prendre ton pied avec d'autres femmes. Je ne sais pas pourquoi je n'ai jamais pu franchir le pas, je faisais toujours un bloquage. J'y ai beaucoup réfléchi depuis quelques temps, et je crois qu'à présent j'en ai envie, je me sens prête.
- Comment ça ?
- Karen, veux-tu m'apprendre l'amour au féminin ?

J'en restai bouche bée. J'avais toujours rêvé de pouvoir m'approcher d'Isabelle depuis toutes ces années que nous nous connaissons, mais je la respecte bien trop pour jamais lui forcer quoi que ce soit. Et ce matin elle me proposait de passer à l'acte.

- J'en serais ravie tu sais.
- Alors qu'est-ce que tu attends ?

Je me suis levée pour la prendre dans mes bras. Nous nous sommes longuement regardées, puis nos lèvres se sont approchées. Après un baiser langoureux je lui chuchotai à l'oreille :

- Viens. On monte dans ta chambre.

Je l'ai prise par la main et nous sommes montées à l'étage. Isabelle et moi nous ressemblons beaucoup physiquement, nous faisons la même taille et nous nous prêtons souvent des vêtements lorsque la situation l'exige. Nous avons presque les mêmes seins, un joli 85C, et les mêmes hanches larges, ce qui sans pour autant pouvoir être qualifié de "gros cul" nous permet de nous sentir totalement femmes.
Nous sommes mêmes pareilles en ce qui concerne nos sexes respectifs, définitivement épilées sur les cotés, avec la toison sur le dessus, ce qui nous permet de jouer avec les formes et de sculpter au gré des fantaisies et des envies.

Elle s'est allongée sur le dos sur le lit et j'ai entrepris de défaire son peignoir. Parcourant de mes mains ses épaules, son cou, ses seins, son ventre, ses fesses, ses cuisses je l'ai langoureusement embrassée. Mes lèvres se sont fait baladeuses pour parcourir tout son corps. En effleurant ses tétons je les ai sentis pointer alors que je les mordillais de mes lèvres. J'ai entièrement défait le peignoir, révélant sa nudité. Ma langue a continué son exploration, quel délice d'enfin pouvoir sentir son corps de près. Je l'ai passée sur son ventre, sa petite toison taillée en forme de triangle inversé, puis ses cuisses. J'ai doucement écarté ses jambes pour l'embrasser sur l'intérieur des cuisses. Elle gémissait alors que je m'approchais de son minou. J'ai relevé la tête et j'ai volontairement exagéré ma voix, prenant celle d'une maîtresse d'école quelque peu autoritaire :

- Donc, ma chère élève, voici donc le vagin. Ceci est le mont de vénus avec les poils, voici les grandes lèvres, voici le clitoris, et ici...
- Cesse donc tes histoires, donne-moi ta langue plutôt.

Je ne me fis pas prier et commançai à lécher son sexe tout autour des lèvres pour de temps en temps faire passer ma langue sur sa fente. J'ai pris son clitoris entre mes lèvres et fait tourner ma langue autour. Visiblement elle adorait ça, se tortillant pour plaquer son vagin contre ma bouche. Mes mains caressaient tout son corps pendant que je lui suçais son clito. Je sentais sa respiration se faire plus forte et finalement son orgasme est arrivé. Isabelle est une femme fontaine et m'a gratifiée d'un superbe jet de mouille sur mon menton pendant que je tenais son clito entre mes lèvres.

J'ai abandonné son sexe pour venir l'embrasser et lui faire goûter sa mouille.
Elle m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit :

- A mon tour de te donner du plaisir. Il faut que tu me guides, que tu m'expliques ce que tu aimes, comment je dois faire..
- Ne t'inquiètes pas, tu vas très bien y arriver.

Je me suis mise sur le dos, écartant mes jambes au maximum. Elle s'est approché de mon sexe, je sentais son souffle chaud sur ma fente. J'étais déjà prête à exploser d'un puissant orgasme. Sa langue a exploré toutes les parties de ma chatte, elle m'a également suçé le clito, profitant d'insérer d'abord un doigt puis deux dans ma fente. Elle faisait des va-et-vient rapides lorsque la jouissance est venue :

- Ne t'arrête pas, je vais jouir, fais-moi jouir, continue comme ça!

La vague de chaleur s'est déclenchée dans mon bas-ventre puis s'est répandue dans tout mon corps, je jouissais de toute mon âme pour mon amie Isabelle. Je ne suis pas une fontaine mais je mouille quand même abondamment, son visage était maculé de ma mouille lorsqu'elle est venue m'embrasser.

Nous sommes restées un moment à nous regarder, à nous caresser le visage, à se faire des petits bisous. J'étais si heureuse d'avoir pu donner ce plaisir à mon amie. Elle m'a dit :

- J'en ai encore envie, on recommence ?
- Moi aussi, et comment!

Je me suis mise sur le dos et lui fait comprendre que je voulais la prendre en 69. Elle s'est positionnée sur moi, j'avais une vue imprenable entre ses cuisses sur sa petite chatte ouverte et sur son cul. Nous nous sommes mises à nous lécher, à nous doigter, à pénétrer nos fentes de nos langues respectives. Après de longues minutes de plaisir je sentis mon orgasme monter en moi, mes jambes furent prises de spasmes et je me laissai aller sous les coups de langues de mon amie. A présent je pouvais entièrement me consacrer à sa petite chatte. Je lui ai mis deux doigts pour la masturber le plus vite que je pouvais. Tout à coup ce fut l'explosion, une saccade de jets puissants m'ont surprise et m'ont inondée le visage, alors que je l'entendais râler. Elle s'est effondrée sur mon visage, j'étais aux anges.

Elle est venue de lover contre moi et nous sommes restées ainsi de longues minutes à nous caresser.

- Merci Karen, merci de tout mon coeur, je t'aime, tu es incroyable.
- Merci à toi Isabelle, je t'aime tellement, je suis si heureuse en ce moment, j'aimerais que cet instant ne se termine jamais.

Après encore de longues minutes passées à nous caresser de la pointe des doigts, nous nous sommes dirigées vers la douche. Après avoir réglé l'eau sur la bonne température nous nous sommes frottées l'une contre l'autre en nous embrassant. Elle m'a de nouveau pénétrée de ses doigts, et après un court instant j'ai de nouveau joui grâce à ses doigts. Je me suis saisie du pommeau de douche et ai dirigé le jet entre ses jambes. Elles les a écartées, me laissant faire avec le jet contre sa chatte et son clito. Elle jouit également assez rapidement sous l'eau giclant contre son sexe.

Nous nous sommes séchées et habillées, puis sommes redescendues à la cuisine.

- Karen, tu dois savoir que j'ai adoré ces instants avec toi. Serais-tu prête à recommencer dans le futur ?
- Bien entendu que oui, ne dies pas de sottises, j'en serais ravie, je ferais tout pour toi tu sais.

Je suis finalement partie à contre-coeur, j'avais des courses à faire en ce samedi après-midi.

J'espère que mon histoire vous a plus, j'ai essayé de me souvenir des discussions et des détails, mais ce n'est pas évident. Je pense toutefois que cela réflète comment ça s'est vraiment passé ce samedi matin. Si vous le voulez je raconterai la prochaine fois comment ça s'est passé entre son fils Pierre et moi lorsque je l'ai revu la semaine d'après.
Bisous. Karen.

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