Soiree Entre Amis

Il est vingt heures, j'ai terminé mon travail de vendeuse par téléphone, rien de bien passionnant comme d'habitude, mais ouf le week-end est enfin arrivé, trois jours de repos. En sortant, je discute un peu avec mes collègues, puis en allant jusqu'à ma voiture, je consulte mon téléphone. Il y a un message de Sébastien, et un d’Élodie ma colocataire.

« Salut, Marlène, oublies pas notre sortie de ce soir, on se rejoint tous au pub à vingt et une heure avant d'aller à la pizzeria. A tout à l'heure, biz..... »
« Coucou, ma belle, je suis désolée, mais je ne serais pas là ce soir, j'ai fais la rencontre, d'un super coup et je pense passé un très bon week-end Je te rappelle plus tard, amuses toi bien... »

Super ! Une bonne petite soirée en perspective, je rentre vite prendre une douche, enfile en hâte, une petite robe sexy, des bas, et mes chaussures à talons. Je relève mes cheveux en laissant retomber quelques mèches de chaque côté de mon visage, une touche de parfum, mais pas de maquillage, je préfère être au naturelle, et au moins, si je devais avoir un partenaire pour la nuit, il n'aura pas de surprise au réveil !!!

Vingt et une heure, je suis au rendez vous, Séb, David et Arnaud sont déjà là. Élodie, notre cochonne de service qui était déjà occupée ailleurs avec une nouvelle conquête homme ou femme là est son secret, nous avait lâché. Et les garçons m'ont dit que notre couple de tourtereaux, nous a faussé compagnie... Tant pis pour eux. Même à quatre, nous savons toujours passés de bons moments.

Minuit dix, nous n'allions pas en rester là, nous passions vraiment une très bonne soirée. David propose d'aller chez lui, puisque l'on est tout à côté. Nous quittons le restaurant bras dessus, bras dessous, tout en chantant gaiement.

Une fois arrivé, il nous sert un whisky coca puis nous recommençons nos délires, j'ai chaud, très chaud...

Séb met de la musique, et m'invite à danser, puis Arnaud et enfin David.

Je sens ses mains se poser sur mes fesses, il m'embrasse dans le cou puis finalement sur les lèvres, je le laisse faire, après tout ce n'est qu'un jeu. Sébastien se met derrière moi et se frotte à mon corps, je pivote et me retrouve face à lui. La chanson de Nina Simone « Feelin' good » chanté par George Michael commence, cette chanson me fais toujours vibrer, ce qu'elle dégage de sexy, me donne des ailes, quand je l'écoute j'imagine une fille faisant un strip-tease. Je leur ordonne alors de s’assoir dans le canapé, et je me met à bouger seule tranquillement, ondulant mes hanches, mes bras et mes mains le long de mon corps,comme une caresse, le tout au rythme de la musique.

Voyant l'air ravis de mes amis, je me prend au jeu, et incarne le personnage que j'ai toujours imaginé, soulevant légèrement ma robe, leur dévoilant le haut de mes bas, j'invite Arnaud à descendre la fermeture éclair. Je joue avec le tissu, pour me dévoiler petit à petit telle une danseuse burlesque jouant de séduction avec les garçons, déambulant très sensuellement, puis glissant la robe le long de mon corps jusqu'à mes pieds. La musique s’amplifie, le rythme se fait encore plus intense, me laissant guider par elle, je saisie une chaise, et l'utilise pour poser chacun leurs tours mes pieds afin d’ôter mes chaussures. Je m'assoie ensuite dessus, de profil pour que les garçons ne loupent rien. Je m'amuse comme une folle, à les entendre ainsi crier et siffler pour m'encourager, m'incitant encore plus, la musique se termine mais la suivante est tout aussi entraînante, je joue avec mes jambes, les exibants tout en faisant l'acte de pédaler mais très lentement, me tenant d'une main au dossier, l'autre accompagnait la musique. Je finis par délicatement glisser un bas le long de ma jambe, le jetant au gars, c'est David qui le ratt, du coup je l'invite à retirer l'autre, il prend tout son temps le bougre, profitant pour balader ses mains le long de ma cuisse, ensuite reprend sa place pour ne rien louper de la suite du spectacle.
Je me remet debout, je danse en sous-vêtements en dentelle noire très fine, ils peuvent facilement distinguer mes tétons et ma toison brune. La chaise est mon cavalier, je l'utilise pour tourner autour, ou mes mains posées sur l'assise, je remues les fesses, ou encore, en position assise, je simule des caresses sur mon intimité, mes gestes deviennent de plus en plus incitatifs.

Debout, le dos face à eux, je dégrafe mon soutien gorge, je le tiens à bout de bras je le jette en arrière, tel un bouquet de mariée. Ils se chamaillent l'offrande. Je me retourne me retrouvant à nouveau face à eux, les bras en croix contre ma poitrine pour la dissimuler, puis juste un seul, alors que mon autre main joue avec l'élastique de mon string.

Mes trois compagnons sont très excités, ils ne tiennent plus en place, mais je veux encore faire monter la pression, je retire toute entrave à la vue de mes seins, d'autres cris de joies retentirent, ils commentent ce qu'ils voient, je sais qu'ils veulent les toucher, leurs volumes à toujours fait de l’effet sur les hommes, le fantasme des gros seins. Voulant les exciter encore plus je me met à les malaxer, les resserrer, les caresser, sans oublier de me pincer les tétons, l'autre main caresse ma toison à travers le tissu que je sens très humide. Je décide de leur faire un cadeau tout en avançant à quatre patte vers les eux, je me redresse tout en restant à genou, et je leur permet de toucher mes mamelles pendant quelques instants, on aurait dit des adolescents découvrant un magazine play-boy. J'aime la sensation que me procure mon petit jeu.

Au bout de quelques minutes, je reprend ma place vers la chaise, je leur tourne le dos, ondule toujours au rythme de la musique, je saisis le haut de ma culotte et dévoile légèrement le haut de mes fesses, je recommence plusieurs fois le geste, puis me retourne, je fais de même sur mon triangle, sans aller trop loin car je ne veux pas que la situation dégénère.


Mais le geste, ajouté à la réaction de mes compères, réveille en moi le désir. J'ai toujours aimer qu'un homme me retire ma culotte, je trouve ça très excitant de sentir le tissu quitter ma peau, quand il se retire de mes replis, la sensation est très agréable, voir aussi le visage de celui qui fait l'acte quand il découvre l'objet tant attendu...J'ai atteins le point de non retour, je suis allée trop loin et mon esprit m'encourage dans la débauche et je me sens incapable d'y résister.

Je fais signe à mes acolytes de me rejoindre, je leur dis de s'agenouiller devant moi, et leur demande de m’ôter le fin tissu. Ils se regardent un cours instant, pour bien se demander s'ils avaient bien compris ma demande. Puis, après une courte hésitation, chacun d'eux pris un petit bout de dentelle et ensemble le font glisser tout doucement.

Oh ! Vous ne pouvez pas imaginer ce que j'ai pu ressentir, même si je vais essayer de vous le décrire. Tout d'abord, mon cœur s'est mit à battre la chamade, à la fois excitée mais aussi apeurée, car je savais que je m'étais engagé dans un acte irréversible, la chose était lancé et les garçons ne s'arrêteraient plus. Chaque centimètres de ma peau frissonnait, mon intimité se découvrait à eux, quand la culotte qui était entrée entre mes lèvres secrète se retira, ce fut un pur bonheur, un tel plaisir, quelle sensation, bref j'adore ça. Je ne suis même pas intimidé d'être totalement nue devant mes amis de toujours, bien au contraire, je me sens forte, capable de tout.

Les garçons se parlent un instant tout en reprenant place dans le canapé. Moi, je continue de danser, libre comme l'air.

Sébastien se lève, me rejoint et me demande de le déshabiller, pendant ce temps, les deux autres nous regardent. Je m'exécute avec plaisir, j'ai toujours eu un faible pour lui, sans jamais le laisser paraître. Je retire donc un à un les boutons de sa chemise, découvrant un torse légèrement velu, mettant en valeur de beaux pectoraux, ainsi des abdominaux saillants.
Je retire les boutons des manches, puis me place derrière lui pour faire glisser la chemise, son dos est tout aussi musclé que le reste, je ne peux m’empêcher de balader mes mains sur lui, tout en tournant autour. Je me met à genou et détache la ceinture, le bouton, la fermeture éclair, je découvre le haut du triangle masculin qui me fait vibrer, surtout quand l'homme est très viril. Je fais glisser le pantalon, surprise par son sexe bander qui en sort d'un coup (car il ne porte pas de caleçon) je me retrouve nez à nez avec son membre, ça m'excite et ne peux résister à l'envie de l'embrasser, d'abord sur le gland, je suis obligé de le prendre en main car les sensations que je lui procure l'agite en tout sens. Je sens sa peau, une légère odeur d'urine s'en dégage. Je veux le prendre en bouche, mais avant que je ne puisse le faire, il me repousse gentiment, me disant qu'il ne voulais pas faire attendre ses camarades. Je finis donc de lui ôter ses vêtements et il reprend place sur le canapé.

David se leva à son tour et je procède de même, découvrant comme on pouvait le deviner sous ses vêtements, un homme frêle, pourtant, il est beau garçon , sa petite taille finalement est pour lui un avantage. Le sport c'est pas son truc, lui c'est plutôt la musique. Son torse totalement dépourvu de poil, ses tétons petits. Son ventre bien plat, tel le rêverait une femme pour le sien. Son caleçon accentue son côté maigrichon, mais en le faisant glisser, je découvre d'abord, une toison abondante, mais surtout une belle grosse et longue queue. Je me sens obliger de procéder au même rituel qu'avec Sébastien, mais lui a beaucoup de mal à me repousser pour laisser la place à Arnaud.

Je jette un œil sur le divan et voit Sébastien la main sur son sexe, ses doigts tripotant doucement son sexe et ses testicules. Satisfait du spectacle sans aucun doute possible.

Arnaud se lève mais je le trouve mal à l'aise quand même, il faut dire qu'il n'a jamais été un Don Juan, depuis son enfance, il était rondouillard et les filles ne s'intéressaient pas à lui. J'ai beau me remuer l'esprit, je ne me rappelle pas l'avoir vu avec une fille, serait -il encore à bientôt vingt cinq ans puceau,ou est-il tout simplement intimidé par la situation ? L'idée me plaît et du coup ma réticence vis à vis de son physique s'estompa, je n’ai plus qu'en tête, la suite de la soirée...

Comme je le devinais ses pectoraux sont tombant et son torse très poilu, il a un bon petit ventre, mais finalement pas tant que ça, sa façon de s'habiller ne le mettait donc pas en valeur. Sa toison tout aussi fourni, encadre un sexe pas très long mais d'un diamètre impressionnant. Mes baisers sur sa queue, lui font émettre des petits sons de plaisir.

Je lui prend la main et l’emmène sur la banquette, à côté des deux autres. Je retourne au centre de la pièce, écarte les bras, fait la révérence tout en leur disant :

messieurs, j'espère que mon petit spectacle vous a plut ?
Oh que oui, répondit Sébastien, à nous de faire le notre.

Il se lève et s'approche de moi, il me saisit la main et commence à nous faire danser sur un morceau de salsa. Je perçois son corps chaud contre le mien, mais aussi son sexe, quelle sensations agréable, puis vient le tour des mes deux autres amis. Nos danses deviennent de plus en plus sensuelles, on joue avec nos mains qui explorent nos corps, on s'amuse à s'embrasser de temps en temps, et plus le temps s'écoule, plus on s'enflamme, le feu nous dévore de l'intérieur, nous sommes lancés dans une danse que l'on ne peut plus contrôler. Les garçons me font tourner sur moi même, ils me bandent les yeux, me portent, me déposent sur le lit je crois, et m'attachent les mains au dessus de la tête. Mon cœur s’emballe, je ne contrôle plus rien. Je sens des baisers et des caresses sur mon corps. Mon entrejambe s'échauffe à chaque passage d'une main. Mais je ressens autre chose maintenant, je sens, un souffle, une langue, des doigts, l'un deux doit avoir la tête entre mes cuisses et me tète le minou. Je suis transportée, mais une petite voix me ramène à la réalité comment on a pu en arriver là, et pourquoi ai-je agit comme ça, pourquoi me suis je laissée faire ? Pourtant mon corps me réclame de m'abandonner au plaisir et de ne pas essayer de luter. Je lâche prise, j'adore être leur chose,oh oui, faites de moi ce que bon vous semble, je suis à vous...

Comme si ils avaient entendu mes pensées, chaque centimètres de mon corps est exploré. Je sens une queue au bord de mes lèvres, j'ouvre la bouche, je la suce délicatement, puis plus vigoureusement, les gémissements qui me parviennent m'indiquent que je me débrouille très bien. Il est à cheval au dessus de moi, ondule en tous sens, gérant lui même la mise en bouche J'essaye de deviner à qui je fais cette gâterie, et en déduit que c'est David.

On me soulève les fesses pour y glisser un oreiller afin de me surélever. Des doigts visitent ma caverne, oh ! puis c'est une queue qui pénètre entre mes cuisses, les va-et-vient de son corps en moi me font gémir et je dois me concentrer pour pouvoir continuer ma fellation. Les mouvements sont de plus en plus intense, jusqu'au moment ou il éjacule.
A mon tour, dit Arnaud
Il se hâte de prendre place entre mes jambes, sa queue grosse queue me penettre, je ne peux pas m’empêcher de pousser un petit cri de surprise, puis un râle de bonheur. Ses mouvements sont très rapides et violent parfois, de la baise pure et dure, mais je dois dire que j'adore ça, j’entends le bruit des claquements de sa peau contre la mienne, ses râles de plaisir me transporte et je ne peux m'empêcher de jouir tout comme lui.

Maintenant, c'est au tour de David, on me détache, je dois me mettre à quatre pattes, je reçois une claque sur chaque fesses, sa langue se faufile jusqu'à ma rosette, qu'il déguste goulûment. Un doigt y entra et s'activa quelques instants avant de se retirer.

Tu as goutté à la queue de mes copains, mais attend de connaître la mienne, je vais te faire jouir comme jamais, et moi je vais prendre un pied du tonnerre. Oh qu'est ce que tu es bandante.

A la fin de sa phrase, son sexe pénétre doucement en moi, mes chairs s'écartent petit à petit, au fur et à mesure de son avancement dans mon antre. La sensation est très forte, j'en ai même un peu mal, les encouragements des deux autre et leurs caresses sur mes seins pendant comme des mamelons, me détendent, il réussi à s'enfourner totalement, ses coups de reins délicats me donnent beaucoup de plaisir, je ne peux m’empêcher de gémir, il prend tout son temps.

Un des garçons retire le foulard de mes yeux, ma vu est un peu brouillé, mais j'arrive à découvrir la scène grâce au miroir devant moi. Sébastien et Arnaud se masturbent tout en nous regardant. Mes gros seins bougent à chaque mouvements. David nous regarde aussi grâce à la glace et se déhanche en moi. Puis il se déchaîne un peu plus, et encore plus, je l'y encourage d’ailleurs. Sa queue vient taper dans ma butée, ça me fait mal, mais c'est aussi tellement bon, je cris de plus en plus. J'ai du mal a garder ma position, mes mains glissent, mais je ne veux pas louper le spectacle, que me renvoie mon ami la psyché.

Le vocabulaire de David devient très cru.

C'est bon hein salope, je te baise bien, tu es une grosse cochonne toi, je vais te gicler dans la chatte, et tu vas en redemander...

Puis ce fut l'explosion, de foutre. Il se retire de moi et ôte son préservatif. Je me laisse retomber doucement sur le lit, complètement épuisée. David en fait de même, et se colle contre moi tout en caressant doucement mon corps, embrassant ma peau proche de ses lèvres.

Au petit matin, je me lève discrètement, entre dans le salon pour tenter de retrouver mes vêtements. Arnaud dort sur le canapé. Je décide de passer dans la salle de bain avant de partir, quelle surprise de découvrir Sébastien, en train de prendre une douche. Je fait vite demi tour mais il me dit :
tu vas où comme ça, rejoint moi, la douche est assez grande pour deux !
Je...
Mais je n'ai pas le temps de finir ma phrase, qu'il sort de la douche, plaque contre un mur, me fait lâcher mes affaires et m'embrasse fougueusement . Je sens sa queue se durcir tout contre ma peau. Mon cœur s'emballe, et je réponds à son étreinte, il me soulève et m'installe sur la machine à laver et se blottit au plus profond de moi, je resserre mes jambes autour de sa taille et nous entamons une nouvelle danse, mais celle ci, n'est pas partagée. J'ondule en même temps que lui, nous ne faisons plus qu'un jusqu'au moment de jouir. Je sens son liquide chaud se répandre en moi, ses délicates caresses pendant que nous reprenons nos esprits me donnent des frissons.
Nous n'avons rien dit depuis un moment, mais nous nous comprenons, nous n'avons pas encore envie d'en rester là. Nous allons dans la douche, faisons couler l'eau, je me mets à genou et je le prend en bouche histoire de le nettoyer de ma cyprine, je veux prendre mon temps mais il me fait comprendre qu'il veut jouir tout de suite. Afin de provoquer la chose de manière plus intense, je glisse un doigt entre ses fesses pour y trouver son trou, résultat immédiat, je sens sa queue se durcir intensément puis tressauter, les jets giclent dans ma bouche. Je me relève, il me serre dans ses bras, nos lèvres se touchent puis nos langues se mêlent. Arnaud entre dans la salle de bain et se trouve gêné de nous trouver là. Nous rions et décidons de nous laver.
Tu m'as surprise hier soir tu sais ! Je ne te savais pas si exubérante.
Mais je ne le suis pas d'habitude, je me suis surprise moi même. Je suis plutôt la femme d'un seul homme, mais je dois dire que l'expérience était très agréable.
Tu recommencerais alors ?
Je ne sais pas, ... en fait ça dépend du contexte. Et toi ?
Moi ? J'ai adoré, et je dois t'avouer que j'aimerais vivre encore quelques expériences de ce genre avant de me caser pour de bon. On verra ce que l'avenir nous réserve. Mais je veux que tu saches que tu me plais beaucoup et que si tu veux on peut continuer à s'amuser.
Oui tu as raison on verra, et oui d'accord on peut se voir de temps en temps.

Nous sortons de la salle de bains, nos amis nous regardent l'air amusé.

-Venez déjeuner, je suis sûr que vous mourrez de faim après vos exploits, dit Arnaud en riant.
Bon, on fait quoi les jeunes ce soir ? Dit David, moi j'irai bien en boite histoire de me trouver une belle petite chatte à grignoter.
David ! Un peu de respect pour les dames.
Oui, c'est une bonne idée, je suis partante, mais ne compte pas sur moi, trouves en une autre, dis je.
Bon il faut que j'aille voir ma mère, je dois l'aider à faire les courses dit Sébastien, je te ramène à ta voiture Marlène.
Oui, j'arrive, à tout à l'heure les gars, même heure, même endroit qu'hier. Tchao.

Sur le trajet, jusqu'au parking, nous restons silencieux, mais arrivés à la voiture, il me dit :

J'ai hâte de revivre une folle expérience avec toi et dieu sait ce que tu vas encore me faire vivre...
Moi aussi, lui dis-je, avec toi, je me dis que je peux tout faire. A ce soir ?
Oui, je passe te prendre chez toi.

Puis il m'embrasse tendrement , avant de partir.

Je rentre chez moi, épuisée. Élodie, ma colocataire est aussi rentrée. Comme à son habitude, elle est à poil dans le canapé à regarder un feuilleton débile. Je me déshabille, enfile un peignoir et la rejoint dans le sofa.
- je ne pensais pas te trouver à la maison ce matin, ta soirée s'est mal passée.
oui, monsieur n'a pas réussis à me prouver que son membre était viril, du coup je suis partie. Et toi, la soirée avec notre troupe c'était comment.
Oh, ça a été, comme d'habitude.
Arrête de me mentir, je le vois tout de suite, qu'est ce qu'il s'est passé ?

Prise en flagrant délit de mensonges, je lui racontais tout.

Oh, je suis dégoûtée, j'ai loupé une soirée d'enfer à cause d'un mec bidon. Ohhhhh! J'enrage...
Tu n'as qu'a venir avec nous ce soir, on dîne et après on va en boite. David est prêt à manger tout ce qui bouge...
OK ! J'espère que ce sera tout aussi amusant.
Bon bah moi je vais dormir un peu, je suis morte.
Bah tu m'étonnes, je te rejoins, il faut que je sois en forme pour cette nuit.

Nous nous mettons au lit, chacune de notre côté, nous n'avons qu'un grand lit pour deux, vu la taille de l'appartement. Au bout de cinq minutes, je sens Élodie venir se blottir contre moi. A ce moment, je comprend que je ne suis pas encore prête à dormir...

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