Pris Sur Le Fait !!!

Après avoir roulé toute la nuit, j’arrive enfin sur mon lieu de vacances. Je me présente à l’accueil de camping et choisis sur mon emplacement. Je décide de pendre une douche avant de monter ma tente. Je me lave quand une soudaine envie de me masturber me titille. Le stress du voyage ou l’envie de me détendre… Je pense à ces quelques semaines qui allaient je l’espérai me permettre de faire des rencontres tout en montant et descendant lentement le long de mon sexe. L’eau était chaude et je dirige le jet sur le bout de mon gland. Je commence à bien bander et à accélérer le mouvement quand soudain la porte de la douche s’ouvre. Avec la fatigue j’avais oublié de fermer le loquet. Face à moi, qui a son gland bien droit et bien raide dans la main, se tient une femme d’une cinquantaine d’année en claquette et en peignoir. Nous sommes tous les deux, bouche B.
- Eh bien y en a qui sont matinales, ça sent le manque de sexe !!!
- Désolé de vous montrer ce spectacle madame. Je compte sur votre discrétion.
- Eh bien ça se négocie très cher.
Ce qui suivit m’échappa complètement et modifia les plans de toutes mes vacances…
Estomaqué par sa réponse, je reste sans voix. Elle rentre dans la douche ferme la porte à clé accroche son peignoir au porte manteau. Elle est nue face à moi. Deux seins lourds et légèrement pendant, une taille fine des hanches larges et j’imagine un bon cul.
- Pour ma part, je suis en manque de sexe, mon mari ne me touche plus et même pendant les vacances il préfère sa tablette et ses jeux en ligne plutôt que de me faire grimper au rideau. Premièrement, je garderai ma langue uniquement si vous me donner du plaisir tout de suite.
- Ben oui, mais comment ? dis-je stupidement.
- A ton avis, monsieur naïf. Déjà, mets-toi à genou et lèche-moi le minou.
Je m’accroupis machinalement et je m’approche de son sexe, il sent la vieille moule du matin… Je repris un peu mes esprits et lui demande si je peux commencer à lui titiller le clito avec le jet.


- Tu fais comme tu veux et ce que tu veux de ma chatte mais dépêche-toi avant que mon mari ne se réveille.
Je commence alors à approcher le pommeau de la douche sur le haut de son mon venus. Je fais de légers mouvements de gauche à droite tout en descendant. Elle appuie son dos sur le mur de la douche et écarte ses genoux vers l’extérieur pour laisser le jet pénétrer sa chatte. Je regarde cette chatte « mure » s’ouvrir admire son clitoris. J’en ai rarement vu d’aussi gros et d’aussi rose. Ses lèvres sont larges et relâchées. J’aperçois « l’entre du diable ». Cette situation commence à me plaire. Je tends le pommeau à mon invitée surprise et vient placer ma langue devant son sexe à lieu et place du jet d’eau. Je lèche son clitoris, enfouis ma langue dans sa chatte. Parfois l’eau coule le long de son corps et je manque d’air. Mais les encouragements et les caresses dans les cheveux de mon hôte m’encouragent. Je lève les yeux et vois le visage détendu qui semble apprécier mes coups de langue.
- Vas-y ! T’arrête pas. Mmmmm. Occupe-toi des mes seins.
Mes mains montent le long de ses cuisses, s’arrêtent sur ses fesses généreuses puis sur ses hanches avant d’atteindre sa poitrine. Ses seins sont lourds, mes mains ne suffisent pas à les contenir. C’est à mon tour d’avoir des idées. Je m’imagine bien ma bite s’y perdre dedans. Je bande comme un malade. Je lui titille délicatement les bouts, tout en lui aspirant le clitoris avec ma langue.
- Ah oui, continue comme ça je vais jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir. OHHHHHHHHHHHHH j’ai pas pris mon pied comme ça depuis des années.
Elle se mord une main pour ne pas jouir trop fort pendant que l’autre m’encourage à lui aspirer le clito. Il était énorme. Puis la pression de sa main cessa. Ses deux mains me prennent les épaules. Je me relève. Elle me sert contre elle. Je sens ses seins sur mon torse et ma bite coincée sur son ventre. Elle approche sa bouche contre mon oreille et me susurre :
- Dire que mon gros con de mari n’y est pas descendu depuis des années.
De toute façon il ne m’a jamais fait jouir comme ça. C’est toujours son petit plaisir avant. J’ai hâte d’être demain pour sentir ta bite dans ma chatte.
J’ai un mouvement de recule.
- Comment ça demain ?
- Tant que tu es dans le camping tous les matins tu viendras à la même heure pour me faire jouir. C’est compris. Sinon, je suis connu dans le camping et je m’occuperai de ta réputation.
- Oui, je n’ai pas le choix… Par contre je n’ai pas pu finir de me soulager. Vous voulez bien m’aider.
- Avec joie, mais vite fait je dois aller préparer le café.
Elle s’agenouille, prend ma bite. Elle me suce le gland et simultanément me branle le membre. Avec l’excitation de la séance de cuni la fatigue et ses talents je sens monter rapidement.
- Je vais venir.
Elle a à peine le temps de retirer sa bouche que le premier jet vient lui recouvrir le visage, elle bombe le torse et le reste de ma semence vient sur ses seins. Elle approche sa bouche et lèche mon sperme tout en me regardant d’un regard vicieux.
- Il est bon ton jus. A demain même heure.
Je reste plusieurs minutes sous la douche en ne sachant si ce que je viens de vivre est réel ou pas.
Je retourne sur mon emplacement, je monte ma tente et m’endort comme une pierre en ne revenant toujours pas de ce qui vient de se passer.
Je me réveille, j’ouvre ma tente et regarde autour de moi. J’entends un bonjour venant d’en face. Je reste une fois de plus sans voix. Ma voisine n’est autre que ma maîtresse du matin.
- Bonjour, vous êtes arrivée dans la nuit ? Enchantée, je m’appelle et Brigitte et voici mon mari Serge.
- Euh !!! enchanté m’sieur dame.
Son mari lève effectivement à peine la tête de sa tablette me fait un léger geste de la main et se replonge dans son univers virtuel.
Sa femme, derrière lui, cachée par dans l’auvent de sa caravane, simule une fellation avec la carotte qu’elle est en train d’éplucher. Je reste stoïque malgré mon étonnement.
Je décide même de voir jusqu’où ma frustrée de cul de voisine est prête à aller. Je vais me chercher un siège mes lunettes de soleil un stylo, un magazine et je m’installe face de eux. Je commence à faire semblant compléter mon suduku. J’écarte les jambes pour commencer le jeu du miroir tout en suçant mon stylo. Brigitte comprend immédiatement où je veux en venir. Elle lâche son éplucheur disparait quelques instants et revient s’asseoir. Elle reprend son économe, épluche le légume terreux, le trempe dans sa bassine. La carotte encore coulante, elle la lèche en partant de la base tout en écartant les jambes. Je suis un peu loin pour voir mais je ne vois aucun tissu apparaitre à son entrejambe. Elle prend maintenant la carotte en bouche et simule une magnifique fellation. Je la contemple en imaginant que c’est ma bite qui est dans bouche. Puis avec mon stylo je me frotte négligemment la bite. Brigitte saisit une collègue Apiacée et tirant sur sa robe elle vient se titiller le bouton rose. Elle écarte davantage les jambes et s’enfonce la carotte dans son antre tout en continuant sa simulation de pipe. Je sens monter en elle le plaisir, elle se mord les lèvres tout accélérant le mouvement. Je bande comme un porc et je suis content de porter un bermuda en tissu non moulant. Pris dans notre petit jeu, nous ne voyons pas arriver un campeur. Brigitte a juste le temps de fermer les cuisses laissant son gode orange dans sa chatte. Elle croque en même temps un morceau de carotte avant de saluer le campeur. Son mari redresse la tête, se lève pour le saluer. Puis il se rassoit en constatant que le tas n’a pas fini d’être éplucher.
- « T’en mets du temps pour éplucher tes carottes aujourd’hui et puis sors de la dessous t’es toute rouge ».
- « T’as qu’à les éplucher si t’es pas content »lui répond-elle froidement et frustrée de ne pas s’être terminée.
Je me lève en leur souhaitant bon appétit et je retourne dans ma tente me palucher pour faire redescendre l’excitation.
Le reste de la journée se déroule comme toutes les journées d’un vacancier : plage, piscine et boite le soir. Je rentre vers trois, seul même si j’ai sympathisé…
Tout en dormant, il me semble entendre frapper à ma tente.
- C’est l’heure mon beau de m’honorer !!! Douche du fond !!! .
- Ok j’arrive.
Je me lève difficilement, avec l’alcool absorbé, j’ai un peu la gueule de bois. J’arrive dans les sanitaires et ouvre la porte. Brigitte n’a pas choisi cette douche par hasard, c’est celle familiale, plus grande avec une table à langer. Elle va se transformer en table à baiser. Brigitte est déjà en position sur celle-ci les jambes bien écartées la vulve apparente et son gros bouton rose.
- Vas-y ! Bourre-moi !
- Je crois qu’il va falloir que tu me suces, c’est pas mon heure et j’ai le casque.
- Hier matin, c’est pas ce que j’ai cru voir. Alors bouffe-moi la chatte en attendant que tu bandes.
Tel un robot, je me mets à genou, j’approche mon visage de sa chatte. Elle est taillée à la perfection. Ses grandes lèvres sont détendues et épaisses, elle a un beau clito charnu et rose et l’entrée de sa chatte est bien dessinée malgré les années. Je sors ma langue et la dépose sur clito. Il est frais et sens légèrement la cyprine. Je le titille du bout de la langue, puis l’aspire, le prend entre mes lèvres, puis je descends à l’entrée de sa chatte et vient lui la fouiller avec ma langue. Brigitte me caresse les cheveux, elle pose ses jambes sur mes épaules. Je lui caresse les hanches, le bassin pendant que j’œuvre avec ma bouche. Je sens les cuisses se resserrer contre moi et le souffle de plus en plus profond pendant que les mains dans mes cheveux m’incitent à continuer. Je sens le plaisir monter le plaisir de mon maitre chanteur. Des petits « oui, oui, oui » chuchotés suivi de « continue, continue oh oui continue, je viens aaaaahhhhhhh !!! » envahir la cabine.
Cette léchouille m’a dégrisé et j’ai maintenant une trique d’enfer. Je ne laisse pas redescendre Brigitte du septième ciel. Je me lève, laissant ses jambes le long de mon torse et quand mon sexe arrive au niveau de sa chatte recouverte de cyprine, je l’enfonce jusqu’à la garde laissant échappé un râle de ma part et un petit cri strident de ma maîtresse de l’aube. Puis je continue avec des mouvements amples et délicats laissant à peine ressortir mon sexe et rentrant immédiatement en m’enfonçant en douceur jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses. Ses seins pendent de chaque côté et oscillent en fonction de la pénétration. Je les prends dans mes mains en titillant les bouts avec mes doigts. J’accélère maintenant mes allers-retours. Brigitte redescend ses jambes sur mes hanches. Je laisse ses seins pour plaquer ses cuisses contre moi. J’ondule le bassin pour accen l’amplitude mes mouvements. Maintenant ses seins tournent, mon corps claque contre ses fesses, et les ondulations de sa peau se propagent le long de son corps. Ma partenaire jouit de nouveau laissant échapper quelques cris, je sens moi aussi la sève montée. Je suis tellement excité que je fais un truc qui m’étonne je sors ma bite au moment de jouir la fait glissée entre ses lèvres le premier est si puissant qu’il laisse une trainée blanchâtre sur le corps de mon amante et atteint sa bouche. Les autres jets viennent finir sur son ventre. Elle se redresse, un peu fracassée par mes coups de butoir, vient me lécher le bout du gland pour déguster les dernières gouttes. Puis elle récupère le sperme sur son corps avec son doigt et le suce en me regardant d’un air à la fois vicieux et plein de gratitude. Elle se redresse enfin et m’embrasse à pleine bouche. Je sens le gout de mon sperme. Nous regagnons nos « domiciles ».
A demain bel étalon !!!
Les jours passent et je profite de cette femme pleine d’expérience pour enrichir la mienne. Un matin, Brigitte est penchée en avant, les mains appuyées sur la table à langer. Je suis dans le bac à douche encastré dans le sol, je suis donc un peu plus bas qu’elle. Cette position me permet de bien l’enfiler par-dessous. J’entends le claquement de ses seins à chaque coup de rein. Je tiens ses hanches pour m’assurer d’aller à fond à chaque pénétration. A un moment, je regarde ses fesses au moment ou je les lui écarte. Je vois son anus une envie soudaine me prend. J’approche mon index de son anus et quand je sens que Brigitte vient je lui enfonce mon dans le cul.
-« non pas ça » dit-elle.
Mais la jouissance venant elle ne proteste pas plus. J’en profite pour accélérer mes coups de bites et j’en fais de même avec mon index dans son petit trou. Puis n’en pouvant plus je sors ma bite de sa chatte mouillée et la présente devant son anus. Brigitte plane encore quand mon sexe s’enfonce. Elle veut se retirer mais avec mes mains sur les hanches je l’en empêche et au contraire je m’enfonce au fond de son petit trou. C’est la première fois pour moi, cette sensation est agréable on se sent enserré.
- Arrête tu me fais mal.
- Détends-toi. Ca fait une semaine que je te fais jouir, autant que durant tes 10 dernières années alors profite de cette nouvelle expérience.
Mes paroles ont eu de l’effet, Brigitte arrête de se débattre et se redresse légèrement. Je relâche mes mains et reprends mes mouvements doucement. Je sens petit à petit son anus se dilater je trouve ça agréable. Brigitte me regarde.
- Tu es un grand malade mais je crois que j’aime ça.
Je continue en m’enfonçant de plus en plus. Je remets mes mains sur ses hanches et j’accélère. Je sens que je vais exploser. Elle se met elle aussi à onduler son cul comme pour mieux accueillir ma bite. J’explose dans un grand râle au fond de son cul restant le maximum au fond puis je me retire. L’anus de Brigitte est dilaté et déjà mon jus sort de et coule jusqu’à sa chatte.
Nous nous douchons brièvement échangeant quelques caresses.
Brigitte se retourne, se penche, s’écarte les fesses me regarde et me dit
- Vas-y défonce moi encore.
Ses mots me redonnent instantanément la gaule. Elle se met à quatre pattes sur nos serviettes. Je me place derrière elle. Son anus est encore dilaté. Mon sexe rentre facilement ce coup-ci. Son anus est encore souillé de mon sperme. Je coulisse facilement. Cette sensation est agréable. Je lui donne des coups de butoir et Brigitte vient s’empaler au plus profond en ondulant et pliant ses cuisses.
- «vas-y défonce moi la rondelle ! Continue comme ça ! J’ai quand tu viens profond ! .
Je m’attelle à lui faire plaisir et je prends également mon pied. Tout à coup, le loquet se soulève et nous nous retrouvons face à son mari.
- Je me disais bien que j’avais reconnu ta voix ! Toi tu défonces ma femme !
- Oui et même il m’encule à fond et j’ai ça ! Vas-y continue ! Je veux qu’il me voie jouir du cul.
- Et dire que tu n’as jamais voulu avec moi !!!
Et là l’impensable se produit il referme la porte, prends sa tablette et dit :
- Je vais même immortaliser le moment.
Il vient se placer à côté de moi et zoome sur le cul de sa femme.
- Eh bien vas-y ! Bouge ! Bourre-lui le cul ! Elle attend que ça !!!
Je reprends mes va et vient. Serge sort sa bite et commence à se branler puis il se place devant sa femme et lui dit de le sucer.
Ma maitresse ouvre sa bouche et avant d’accueillir la bite de son mari.
- « T’as encore une bite ? Je vais la faire cracher c’est au moins du 5 ans d’âge ».
Son membre disparait intégralement. Il lui baise la bouche pendant que je lui défonce le cul. Il alterne en filmant ma bite et sa bite qui emplisse sa femme.
Brigitte prend son pied et je jouis de nouveau dans son petit trou. Serge zoome sur le jus sortant de son cul. Brigitte prend le sexe de son mari dans les mains et lui astique le poireau il ne tarde pas à venir. Plusieurs jets viennent lui couvrir le visage. Elle ne le quitte pas des yeux comme pour lui dire tu vois ce que tu as raté durant ces dernières années.
- « Et toi le grand, quand tu voudras te faire ma femme tu viendras dans la caravane pour que je te filme… ».
Une fois de plus je suis coincé…

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