Julia (Suite2)

Aujourd’hui le vent chaud du sud s’est levé. La journée sera chaude à Carthage. J’ai demandé à mon Dace de me sucer la chate. Il s’est bien acquitté de sa besogne, je lui avais donné l’autorisation de se branler. Je ne revêts qu’une toge transparente tenue par une belle fibule d’or. Je dois aller vois mon amie/amante Dionée.
Depuis ma chaise à porteur je remarque que des galères équipées en guerre sont dans la partie de port vers la ville, alors que celle de commerce sont vers le golfe. Sans doute une guerre en préparation. Tant mieux si c’est pour la grandeur de Rome.
Bien sur les esclaves regarde mon corps j’en vois bander deux. Qu’ils ne s’imaginent pas me baiser : j’ai ce qu’il faut avec le Dace et la Nubienne qui passe de plus en plus de nuit avec moi. Je crois que nous nous aimons entre femmes. Pourquoi pas ?
Dionée m’a promis une surprise. La dernière était de taille : un véritable géant monté comme un âne. Quand il m’a enculé, il m’a fait un mal de chien. Et pourtant il m’a faite jouir comme jamais.
Elle m’attend devant sa porte presque nue, comme moi. Nous nous embrassons sur la bouche avant d’entrer. Je passe ma main sur sa chatte, elle me rend la pareille. Nous sommes dégénérées.
Dans sa chambre je meurs d’envie de connaitre sa surprise. Elle me demande de la sucer avant. J’adore le gout de son sexe. Pour moi, la sucer est un régal. Elle a passé ses jambes autour de ma tête pour que je ne parte pas. Si j’ai commencé par son con, je suis maintenant sur son cul. Ma langue le lèche longuement. J’ai mis mon pouce sur son clitoris. Elle gémit sans cesse d’une manière longue et modulée. Elle me surprend toujours quand elle jouit. Sa cyprine est gouteuse.
Elle veut me rendre la politesse en ma masturbant. J’aime bien sa main qui sait me branler, presque mieux que la Nubienne. Elle a fait des progrès depuis que mon esclave lui a appris à bien branler les autres filles, devant moi en plus.
Enfin la surprise arrive : un couple de Volubilis, une ville située presque aux colonnes d’Hercule, à presque 1.

500 miles vers l’ouest. Ils sont encore habillés. Elle est brune aux yeux verts. Je ne peux voir son corps, le peux que je vois sont ses seins qui ressortent un peu.
- Mettez vous nus.
Ils obéissent sans regimber. J’admire le corps de la fille, bien proportionnée, avec une paire de fesses qui attirent mes mains même avant de l’avoir touchée.
- Fais bander ton compagnon.
Elle obéit en soupesant les couilles et la bite qui grimpe rapidement pour avoir le gland sur le nombril. Sa taille me plait bien.
- Tu sais, me dis Dionée, il baise remarquablement bien, elle un peu moins, dommage. Je l’ai mal choisi au forum. Essaie là si tu la veux.
- Bien sur que je la veux.
Je tends la main à la fille qui la prend pour venir vers moi. D’elle-même sa bouche est sur la mienne. Sa langue est vite dans ma bouche. Elle me fait mouiller avant même que je la touche. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Les esclaves sont toujours plus sensuelles quand je les laisse faire ce qu’il leur plait, la preuve avec ma Nubienne.
J’ai sa bouche sur un sein, elle le suce fort bien. Je tiens sa tête que je caresse aussi. Je sens une main sur mon ventre : elle la descend là où j’aime. Je viens de jouir des mains de ma maitresse, là je vais jouir des mains de son esclave, devant mon amie en plus.
Bien sur Dionée a le ventre vide. Son esclave vient près d’elle pour la baiser. Je regarde quand il entre sa queue plus grosse que celle de mon Dace. Elle a sa tête vers l’arrière. Je la connais assez pour savoir qu’elle se laisse aller vers l’orgasme. Dionée aussi e regarde quand je me fais encore branlée en partie. Cette fille sait bien faire son travail en entrant un doigt dans le con et l’autre dans le cul. Elle les fait coulisser ensemble. Elle me demande si ça me plait. Bien sur elle me fait jouir encore.
Dionée jouit bien vite, elle garde la pine de l’esclave dans son con. Il recommence ses va-et-vient. Voilà encore Dionée perdu dans son plaisir.
Il pourrait se passer n’importe quoi, elle ne bougerait pas de peur de perdre un instant de plaisir. Un peu comme moi. Cet esclave m’étonne par sa résistance.
- Tu sais je les fais baiser avant pour qu’il bande plus fort quand j’en ai besoin.
- J’aimerai une autre position à quatre.
Je suis couchée sur le sol, la bouche de Dionée sur ma chatte, celle de l’esclave sur la sienne et la queue de son autre esclave dans le cul de la dernière. J’aime assez ce genre de position où chacun trouve son plaisir avec le sexe d’un ou d’une autre. Bien sur nous ne disons rien.
Les trois femmes jouissons, lui bande encore. Dionée le prend dans sa bouche. Je vois qu’elle caresse la pine avec ses joues. Ses mains sont sur les couilles et un doigt de l’autre femme se loge dans le cul. C’est une orgie de sexe : je me branle encore.
Je regrette qu’elle fasse jouir l’homme j’en aurais voulu dans le cul. Tant pis je mets un, puis deux doigts pour me branler l’anus.
En rentrant chez moi, je reste nue, je continue à me caresser les seins d’une main et le con de l’autre. Mes porteurs bandent toujours.

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