Les Ouvriers De Mon Père ....1/2

Cet été mon père a embauché des saisonniers logés et nourris pour ramasser des melons, et sans doute peu payés pour cette tache harassante !
Ils étaient trois, d’origine roumaine, un père et ses deux fils, tous plus mignons les uns que les autres, mais le patriarche de cinquante ans menait ses fils a la baguette pour les dissuader de m’approcher

Des hommes costaux a portée de mains et sans doute en manque de sexe, pour une jeune fille de dix sept ans comme moi c’était plutôt excitant, eux aussi m’avaient repérée car je multipliais les occasions de passer devant eux le torse bombé en roulant mon p’tit cul moulé dans un mini-short trahissant les contours de mes formes intimes, leurs yeux dénonçaient leurs convoitises, pour répondre a ma provocation des mains caressent ouvertement les braguettes que je devine bien remplies

Le soir au creux de mon lit, une main entre mes cuisses je fantasmais sur des entrevues furtives qui se finissaient aux ‘prises’ avec un ou plusieurs ouvriers, mais mon père veillait au grain, j’avais interdiction de m’approcher du bâtiment ou ils logeaient, pas facile de les approcher sans qu’il le voit
Ce qui me fascinais le plus c’est la douche provisoire que mon père avait bricolée a l’extérieur avec de vieux rideaux de salle de bain usagés, c’était aisé de savoir quand le père se lavait, je l’entendais chanter a tue-tête lorsqu’il faisait ses ‘ablutions’, j’imaginais ses mains étreignant un gros sexe poilu pour le laver ou en faire autre chose ? … c’est bien connu un mec loin de sa femme en manque, se masturbe obligatoirement et qui sait ? peut être pense-t-il a moi ?

Une envie folle de les épier m’a prise, depuis lors impossible de me défaire de cette idée, je suis décidée a tout tenter pour les mater… papa s’en va en fin de soirée pour livrer ses melons pour les marchés du lendemain, maman est occupée a préparer les repas pour tout ce monde … si je fait le tour par le champ de maïs encore assez cours mais suffisamment haut pour m’y cacher accroupie … je tombe pile poil face a la douche….

c’est décidé ce soir je tente le coup !

Mon père part a l’heure, le moment est venu, le cœur battant je cours vers mon poste de guet, ou je m’agenouille pour ne pas me faire repérer, trop tard pour mater les deux jeunes qui ont pris la douche et parlent entre eux, lorsque soudain un fait inattendu m’abasourdit …maman apparait dans mon champs de vision … elle porte cette blouse de travail boutonnée devant qui ne cache pas grand-chose de son anatomie, je ne l’ai jamais vue mettre le nez dehors avec cet accoutrement olé-olé, profiterait-elle de l’absence de papa pour s’exhiber ?

Elle se dirige franco vers les garçons, qui braquent leurs yeux sur le décolleté et sur les cuisses naissantes, d’où je suis-je peux entendre la conversation …

- Salut les garçons !
- Bonsoir madame
- Que faites vous de beau ?
- Boff, pas grand-chose, pourquoi ?
- Vous ne descendriez pas au village par hasard ? j’ai besoins de cigarettes, voici cinquante euros, vous boirez un pot a ma santé avec le reste de la monnaie
- Tout ça ? ça fait un paquet de fric pour boire un verre ! merci madame !
- Prenez votre temps je ne suis pas pressée !

Ils disparaissent en riant, et c’est là que les choses se compliquent, elle se dirige d’un pas décidé ver la douche encore occupée par le roumain

- Houhou ? Vous êtes là Grigori ?

Il lui répond un ‘ouais’ en mauvais français

- Je peux vous voir ?
- Je suis à poil
- Ho ! vous savez j’en ai vus d’autre

Le rideau de douche s’ouvre sur l’homme qui s’ébroue et noue une serviette sur son ventre, j’ai eu le temps d’apercevoir un ‘matériel’ imposant, maman aussi car elle ne quitte plus le bas ventre des yeux

- Que voulez vous ?
- Queeee ?… heeeu … vous ne manquez de rien Grigori ?
- Si, de ça !

Il pousse lentement ma mère vers le mur où elle s’adosse les bras pendants le long du corps, les pieds écartés, offerte, sans réaction lorsqu’il défait uns a uns les boutons qui cachent le reste de son anatomie, je suis en plein champs de vison, il siffle d’admiration lorsqu’il découvre la poitrine nue et le string rouge a moitié mangé par les lèvres poilues
Maman se laisse faire quand les mains tremblantes empoignent un sein et la motte bombée du sexe, il malaxe les deux pour le plus grand plaisir de ma mère qui se tortille en riant bêtement

- Grigori ! Voyons, ce n’est pas bien !
- Et ça ? ce n’est pas bien ? regarde comme je bande, soulage-moi !
- Voulez vous que je vous suce ?
- Dépêche toi, après je te prends debout, avant que mes garçons ne reviennent
- Ils sont très gentils tes fils
- Tu veux te les faire aussi ?
- Non ! je disais ça comme ça

Tu parles ! Elle ne demande que ça ! Quelle salope ! Et moi ? Que va-t-il me rester ? J’ai intérêt à ne pas trainer si je veux ma part de bites, tandis que la serviette tombe, mettant à jour une queue digne de films x, a genoux, ça me changerais des quinze centimètres de mon petit copain …elle se rue dessus la prenant a pleines mains et pompe comme si sa vie en dépendait

Une main dans mon short, je mouille ma culotte, maman avale la semence du saisonnier qui grogne de soulagement, sans perdre un instant elle se relève, du sperme au coin des lèvres qu’elle récupère d’un coup de langue gourmand

- Tu avais véritablement besoin de te vider les bourses !
- J’en ai encore besoin, écarte ta culotte

Dans une position obscène elle plie ses genoux ouverts en grand, écarte son slip et sans doute sa moule en même temps, l‘homme se positionne devant la queue a la main, il donne nerveusement des coups de reins désordonnés cherchant à pénétrer le vagin, soudain maman pousse un cri, les deux bassins se rencontrent, il la baise, pour l’instant c’est mes doigts qui me contentent, l’humidité a traversé mon slip et mon short ! je sais commet arriver a mes fins , au lieu d’un mec c’est la famille entière que je vais me faire !
Les deux amants illégitimes se démènent dans un concert de couinements, jusqu'à ce que le roumain enfonce d’un coup violent, une ultime fois sa verge dans ma mère qui se cramponne a lui comme pour l’empêcher de se retirer de son ventre

- Je te sens couler ! Que c’est booooooooonnnnnnnnnn, n’arrête pas, bourre moi encore et encore ! mon mari ne me touche pratiquement plus
- Pas le temps, les gamins vont revenir, tire toi, revient demain

Ma mère se rhabille à regret et tourne les talons, c’est le moment de sortir de ma cachette, l’homme a juste le temps de renouer sa serviette sur sa queue encore grosse, je suis devant lui

- Merda ! que fais-tu là ?
- J’ai tout vu ! si vous ne me prenez pas comme maman je raconte tout à papa
- Je t’en supplie ne dit rien a ton père, il nous mettrait dehors, j’ai besoin d’argent pour nourrir ma famille restée au pays
- Alors baise-moi dans la douche au cas où les garçons reviendraient
- Entre vite et baisse ton short petite salope
- Prend moi par derrière, je vais m’appuyer sur le mur

Le membre encore recouvert de leurs sécrétions glisse facilement dans ma vulve, c’est comme si je perdais à nouveau mon pucelage, mon vagin s’ouvre comme une fleur sous la poussée impitoyable de sa queue, je contracte mes muscles sur ce membre raide qu’il se retire un peu pour m’enfoncer brutalement, je m’aperçois que je pousse les mêmes miaulements que ma mère en baisant !

- Arrête de gueuler, et pousse ton cul vers moi, alors c’est juré tu ne diras rien ?
- A condition que demain tu t’arrange a me laisser tes deux fils, expédie les deux espagnols et laisse nous votre chambre, tu baiseras encore maman dans cette douche, ainsi tous le monde seras content !
- Tu veux baiser avec mes s ? ils n’ont que dix sept et dix neuf ans ils ne connaissent pas grand-chose aux filles
- Moi pas grand chose aux garçons, comme cela nous apprendrons ensembles !
- Tu devrais t’attaquer à quelqu’un de plus vieux que toi
- Et pourquoi pas à nouveau avec toi après demain ? aller ! du nerf, tu t’es arrêté de me fourrer
- Tu es plus serrée que ta mère, si je bouge je déchaaaaaarrrrrrrrge …
- Alors vas-yyyyyyyyyyyyyyyy je jooouiiiiiiiiiiiiiis
- Tais-toi voilà les garçons ! remonte vite ton short tu t’essuieras le minou chez toi

A suivre …