J'Ai Pervertis Ma Collègue

Petite présentation globale. Fannie et moi avons 10 ans de différence. Nous sommes
collègue depuis plusieurs années. Elle est très agréable à regarder et écouter, mais
ça s’arrête là pour moi. Ce genre de femme nombriliste, BCBG qui se prend pour le
centre du monde, j’apprécie modérément. A plusieurs reprises Fannie m’a fait des
avances, le fait qu’elle soit en concubinage ne lui pose pas de problème en ce qui
concerne la drague, elle a un besoin de plaire aux hommes incessant. A force de ces
demandes de plus en plus précises, un jour j’ai décidé de dire oui pour une petite
aventure qui a été bien plus longue que prévue, mais je ne le regrette pas je me suis
bien amusé finalement.
Petit flirt, déjeuner, embrassade durant quelques jours, puis je décide de passer à
plus important. Premier pas.
Au bureau je l’entends dire qu’elle descend au local archive pour faire des
recherches. Ni une ni deux, je lui laisse quelques minutes d’avance et lui emboite le
pas pour la rejoindre. J’entre, elle est surprise, la prends dans mes bras et
l’embrasse langoureusement. Une de mes mains commence à caresser son entrejambe à
travers le jean. Elle ne dit rien. J’ouvre la jean, entre ma main.
-tu fait quoi là ?
-t’inquiète, laisse toi faire.
Je l’amène vers le bureau, l’allonge, lui retire son jean, sa culotte et viens plaquer
ma bouche sur sa chatte. Ma langue caresse son clito puis je la pénètre d’un doigt,
d’un deuxième. Fannie apprécie. Sa chatte mouille bien, c’est bien, ça me convient.
Je passe un troisième doigt et commence à labourer son intimité. Ma langue stimule le
clito en même temps que mes doigts s’agitent activement. Rapidement Fannie atteint le
plaisir. Je l’oblige un peu à me nettoyer les doigts et je repars au bureau, la
laissant se rhabiller.
De jour en jour j’ai joué à imposer ce que je voulais, la doigtant dans les escaliers
de secours au risque de se faire surprendre, me faire sucer dans la voiture dans le
parking de la société, etc… On a fini par se retrouver dans le même lit.

Là j’ai
compris que j’allais devoir lui apprendre à être bien plus libre, plus ouverte, un peu
coincé la fille BCBG.
Maintenant qu’elle commence à être accro, je passe à la suite. Ce jour là nous avons
pris une journée de RTT pour nous retrouver. Nous sommes sur une terrasse d’un bistrot
devant un café.
-si tu veux que nous passions la journée ensemble, tu vas aller au toilette retirer ta
culotte et me la donner.
-t’es un marrant, toi.
-non je ne rigole pas, après tu verras ce que nous ferons, si j’ai pas ta culotte dans
ma poche je pense que je vais devoir partir.
-t’es con ou quoi, je vais pas me balader sans culotte quand même.
-bah ! si, moi je te le dis, essai et tu verras comme c’est agréable…
Fannie réfléchis et part retirer sa culotte. A son retour, elle me donne discrètement
son petit morceau de dentelle. Je décide de continuer la journée avec une balade en
forêt. Sur la route ma main vient se poser sur sa cuisse et se présente sur sa chatte.
Elle ne dit rien, mais est surprise et réticente. Je continus et titille le clito. Je
sens bien qu’elle n’est pas à l’aise ni sereine, alors je la tranquillise. Au bout de
vingt minutes de ce traitement, Fannie se libère en jouissant quasiment dans le
silence, ce qui me gave, encore une chose à améliorer. Nous arrivons à la forêt. Dans
la forêt nous parcourons quelques pas, la prend par la main et l’amène en dehors du
chemin vers un petit fourré. , Je sors ma queue et elle comprend. Sans rechigner, elle
s’accroupie et prend ma queue en bouche pour la sucer.
-tu crois qu’on ne craint rien ?
-t’inquiète pas, je surveille, vas-y suce moi.
Fannie s’active gentiment, je prends sa tête dans mes mains et lui donne le tempo pour
le pipe qu’elle me fait. Je dirige, m’enfonçant de plus en plus, testant la résistance
à me prendre bien profond en bouche.
Je ne lui lâche pas la tête accélérant les vas et
vient. Je vais jouir, je lâche tout dans sa bouche en lui maintenant bien la tête afin
qu’elle avale mon jus, chose qu’elle n’aime pas trop. Une fois tout avalé, je la
libère.
-alors il n'est pas bon mon jus ?
-tu sais que je ne suis pas fan, t’es chiant quand tu veux.
-ouais et ce n’est pas terminé….
Nous reprenons la promenade et je commence à lui dire que moi, je veux, à chaque fois
que nous sommes ensemble la savoir sans culotte. Elle rechigne un peu, mais bon elle
accepte quand même. Ensuite je lui dis que son intimité est bien entretenu, elle se
fait le maillot régulièrement, très échancré, et là je lui dit que tant que nous
serons ensemble, je veux qu’elle laisse les poils pousser, qu’elle retire le minimum
juste l’entretien à minima.
-quoi ? mais je comprends pas, c’est mieux sans les poils, et puis R, (R c’est son
compagnon), quand il va voir ça il va se poser des questions.
-moi je préfère le naturel, quant à ton mec, tu trouveras bien une bonne raison.
-t’es chier dis donc.
Je ne répond pas et continus à marcher. Fannie me ratt et se blottie dans mes
bras.
-d’accord tu as gagné, je ferai ce que tu me demandes.
Nous continuons la ballade en discutant, rigolant.
-il va peut être falloir penser à aller déjeuner Fannie, mais avant j’ai une petite
envie.
Je la prends par la main et nous pénétrons dans la forêt, je la plaque contre un
arbre et l’embrasse. Ma main passe sous sa jupe et trouve une intimité bien humide,
alors sans perdre de temps, je la retourne, relève sa jupe sur ces fesses, sort ma
queue et le pénètre. Fannie ne dit rien. Je commence à la labourer, bien profond,
claquant mon pubis sur ces fesses.
-alors tu aimes ?
Un petit oui sort de sa bouche.
-j’ai pas entendu Fannie.
-Oui.
-tu peux parler plus fort, il y a personne dans cette forêt.

-je vais par hurler quand même ?
-si justement, exprime toi.
Je m’active de plus en plus, mes mains malaxant ses seins, titilant le clito.
-alors tu aimes ?
-oui
-Plus fort
-oui. Oui c’est bon.
-tu en veux encore alors ?
-oui encore.
-plus fort, je veux t’entendre prendre ton pied.
Je m’active avec force en la branlant bien.
-oui Oui Oui OUI OUI ENCORRREEE, VAS Y, ENCOOREEEEEEE
-tu aimes te faire baiser ?
-OUI J’AIME COMMENT TU ME BAISES ? OUIIIIII
Fannie jouis, je me libère bien en elle lui remplissant bien la chatte de mon jus.
-tu te rends compte de ce que tu me fais faire, on aurait pu être surpris, être vu.
-et alors…. Tu as pris ton pied et tu l’as enfin exprimé, c’est le principal.
-maintenant je fais comment sans culotte, ça va couler.
Pas de problème, je m’agenouille, lui écarte les cuisses et fourre ma langue dans son
intimité et lui nettoie le jus que j’y ai déposé. J’en profite pour la faire jouir une
deuxième fois. Elle me tient la tête entre ses mains.
-arrête je vais jouir, arrête… ahhh ouiiiiii
Nous retournons sur nos pas et allons déjeuner. Durant ce repas nous reparlons de
notre promenade coquine. Elle a adoré, c’est parfait pour la suite.
Après un week-end prolongé, Fannie vient me parler dans mon bureau.
-tu m’as manqué.
-toi aussi.
-on mange tous les deux ce midi ?
-non je suis déjà pris, mais viens, suit moi, dans deux minutes sur le palier.
Fannie me rejoint en moins de 2 minutes. Je la prends par le bras et nous entrons dans
les toilettes handicapé. Je la plaque contre le mur, lui ouvre son chemisier, sort ses
seins du soutien-gorge et m’occupe de lui donner envie de baiser. Ca ne tarde pas,
elle veut me sucer, mais nous ne devons pas être absent trop longtemps du bureau.
-non pas de pipe Fannie, pas le temps. Retire ta jupe.
Elle retire sa jupe, elle ne porte pas de culotte, son sexe commence à être avec une
pilosité quasi naturelle, elle respecte mes souhaits ou mes injonctions ???
Je retire mon pantalon, place Fannie les bras posé sur le lavabo.
Elle m’offre sa
croupe, les lèvres de son sexe caché par les poils, ces poils luisant de sa mouille.
Je la prends d’un coup.
-aahhhhh salaud, j’avais super envie.
Je ne dis rien et commence à la labourer, sortant entièrement mon membre pour mieux la
fourrer, bien au fond. Je sais qu’elle ne va pas retenir son plaisir très longtemps,
je commence à la connaitre.
-tu aimes ça petite salope, hein tu aimes ça…
-ooohhh, oui tu …. tu me fait des choses c’est, ah ah ah
-tu es ma salope maintenant Fannie, tu es ma salope.
-Non je ne suis pas une salope.
Je m’active de plus en plus, lui pinçant les tétons.
-tu es ma salope Fannie, tu es ma salope et une bonne salope.
-no….oui je suis ta salope, fait moi jouir s’il te plait, j’en ai trop envie.
Je me libère en elle tout en continuant à la prendre pour qu’elle jouisse aussi. En
quelques allers retours et voilà Fannie qui libère son plaisir dans un semi silence en
s’exprimant discrètement. Elle se rhabille, éponge son entrejambe et sort la première
pour retourner à son bureau.

Les jours ont passés. Fannie, à chaque rencontre est sans culotte, son sexe est bien
poilu, elle avale le jus à chaque pipe.

La suite à venir.........................


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