Franck Et Moi ( Suite De Mon Assistante )

De retour chez moi, je m'empressai d'aller me faire couler un bain chaud. Je vivais seule depuis maintenant deux ans.
Pendant ma première année de veuvage, je n'avais plus de goût pour les relations intimes. La seconde année, mes amies biens attentionnées m'ont présentée à plusieurs amis mais pas un n'avait su réveiller en moi le désir et l'envie comme l'avait fait Isabelle ces deux derniers jours.
Je me déshabillai dans la salle de bain, détaillant mon image dans le miroir.
J'étais assez grande, la peau blanche qui contrastait avec mes cheveux brun très foncés, une silhouette harmonieuse dont j'étais assez fière.
Mes seins mis en valeur dans un soutien gorge corbeille, mes hanches rondes, héritage familial de ma grand-mère italienne, mes fesses rondes et fermes, mon abonnement à la salle de sport était, malgré le prix prohibitif, bien rentabilisé.
La dentelle de mon boxer glissa le long de mes jambes, laissant apparaître un sexe imberbe et la boucle de l'œuf vibrant que j'avais fini par oublier. Le souvenir des ondes de plaisir diffusa dans mes reins une douce chaleur. Je le retirai alors presque à regret.
La cyprine accumulée durant l’après-midi coulait doucement sur le haut de mes cuisses. Je rougis légèrement.
J'avais une heure pour me préparer au repas d'affaire avec Franck, le directeur des achats et Monsieur Moreaux. Je me lavai rapidement puis m'affairai à m’habiller, je mis un ensemble noir string et soutien gorge, des bas.
Je séchai mes cheveux et commençais mon maquillage, toujours très léger à peine, de fond de teint et du mascara pour souligner mes yeux verts et du rouge à lèvres.
En moins d'une demi-heure, j'étais prête, coiffée et maquillée.
J'avais mis ma robe noire simple mais élégante. Il me restait juste à mettre mes boucles d'oreille et mes chaussures.
Un dernier regard dans le miroir. Je vis l'œuf encore posé. Je le nettoyai et hésitai un instant... Il me restait un peu de temps.

J'enduisis donc l'œuf de lubrifiant, écartai mon string et l’introduisis doucement dans ma chatte. Sentir mon intimité se remplir me rappelait à quel point le sexe me manquait.
Je quittai la salle de bain pour me rendre au salon récupérer mon sac et la télécommande qui était dedans. Une fois en main, je mis l'œuf en fonctionnement. Une douce vibration se diffusa dans mon bas ventre.
Je décidai d'accompagner ma séance d'un verre de whisky. À peine installée dans mon divan, je bus une gorgée puis augmentai l'intensité.
Tout à coup, la sonnerie de l'interphone me surprit et mon doigt appuya par erreur sur le programme maximum.
Mon plaisir fut presque instantané, aussi violent qu'inattendu.
Je coupai la télécommande, vidai mon verre et me dirigeai vers l'interphone, les jambes flageolantes et le souffle court mais ce fut la sonnerie de la porte qui retentit.
Je pris une grande inspiration, vérifiai mon reflet et ouvris la porte.
« Bonsoir, Franck.
- Bonsoir Caroline, je me suis permis de monter avec votre voisine. Comme j'étais en avance, je me suis dit qu'on aurait le temps de discuter un peu du dossier.»
Il était charmant, d'une belle stature, des yeux d'un gris bleu qui changeaient d'intensité selon son humeur ou le temps.
Nous étions arrivés presque en même temps dans la société et depuis la mort de mon mari, il n'avait jamais caché son attrait pour moi.
« Bien sûr. Tu as bien fait.» lui mentis- je.
Les spasmes de mon vagin me faisaient regretter de ne pas avoir pu finir ma séance.
- Je me suis servie un verre. Tu veux boire quelque chose ?
- Si tu as un Ricard, je veux bien. Merci.
- Installe-toi au salon, je t’amène ça.»
En lui préparant son verre, je sentis à nouveau les vibrations de mon jouet.
Merde! La télécommande était restée sur la table du salon...
Je revins au salon avec un plateau, son verre et quelques olives.
Il avait en effet la télécommande en main puis, me voyant arriver, la repose sur la table.

L’œuf était sur le mode doux mais je craignais que Franck n’entendît les vibrations. Je mis donc un peu de musique.
Re Merde ! Marvin gay, Sexual Healing... il allait croire que je voulais le chauffer. Je changeai vite et mis la radio. Pas mieux. Rihanna qui voulait son Rude boy. Enfin du Goldman, rien d’évocateur ou de trop sensuel.
Nous trinquâmes et, tout en discutant de Monsieur Moreaux, je serrai mes cuisses au possible en lorgnant sur la télécommande. J’avais chaud. Entre l’œuf et le whisky, je n’avais qu’une seule envie: aller me soulager aux toilettes.
Je fis remarquer à Franck qu’il allait falloir y aller si nous ne voulions pas être en retard. Je débarrassai la table en prenant soin de prendre la télécommande avant de filer à la
salle de bain pour retirer l’œuf. Mes doigts s’égarent un instant sur mon clitoris mais je devais en rester là.
Je retrouvai Franck déjà prêt à partir. Il m’aida à enfiler mon manteau. Ses doigts frôlèrent ma nuque. Un frisson descendit le long de ma colonne vertébrale et mes seins se dressèrent d’un seul coup.
J’essayai de me reprendre. C’était la première fois qu’il me faisait cet effet- là.
Dans l’ascenseur, je sentis son parfum. Je ne savais pas si c’était l’œuf ou le whisky mais je commençais à avoir des pensées très axées sur la virilité de mon collègue.
Il m’ouvrit la porte de son coupé sport. Je m’assis en essayant de garder les jambes serrées. Je vis son regard s’égarer un instant sur mes jambes. Il prit place derrière le volant et démarra en passant les vitesses. Je sentais presque la chaleur de sa main proche de mon genou. Mais non, il n'allait pas me toucher.
Nous arrivâmes au restaurant. Il m’aida à sortir de sa voiture en me souriant.
« Pas facile de s’extirper d’ici avec des talons. - Non, c’est rien de le dire.» lui dis-je en rigolant.
Je me retrouvai presque contre lui, nos yeux à la même hauteur. À nouveau, ce frisson de désir qui me parcourut.
Je m’écartai et baissai les yeux de peur qu’il puisse le lire dans mon regard.
Le dîner se passa dans une bonne ambiance. Monsieur Moreaux était un homme intelligent, plein d’humour et grand amateur de vin. Franck conduisant, il n’arrêtait pas de remplir mon verre, à défaut du sien.
Nous prîmes congé de Mr Moreaux avec lequel nous avions validé la quasi-totalité des points en suspens.
Je m’accrochai à Franck pour retourner à la voiture. Je n'étais pas ivre mais j’avais envie de son odeur et de ses bras autour de ma taille.
Le retour s’agrémenta de frôlements sur mon genou à chaque passage de vitesse. Je me retins de poser ma main sur sa cuisse mais mes yeux fixèrent son entrejambe. J'étais perdue dans mes pensées quand j’entendis sa voix. Nous étions arrivés en bas de chez moi et j’avais toujours le regard arrimé sur sa virilité.
Je le regarde, gênée.
« Il vaut mieux que je te raccompagne jusqu’à ton appartement.
- Non, je t’assure. Ça ira…
- Hors de question. J’aurai encore besoin de toi la semaine prochaine. - Ok, c’est bon.» dis-je sur un ton d’ado contrariée.
Je n’étais pas sûre de résister à la montée dans l’ascenseur.
En cherchant les clefs de mon appartement, celles-ci tombèrent de mon sac. Je m’accroupis donc pour les ramasser. Ce faisant, je me trouvai à la hauteur de sa braguette et je sentis l’odeur de son sexe. J’avais envie de lui, de sa queue.
Je me relevai. Il me saisit les clefs des mains.
« Tu n’es vraiment pas en état ce soir.
- En état de quoi ?
- De rien, juste un état général…
- Je suis parfaitement en état de marcher.»
Lui disant ceci, je me collai à lui, lui remontant ma cuisse entre ses jambes.
Il me repoussa.
« Non. Pas comme ça, tu es bourrée.
- Ok, je suis un peu pompette mais je sais très bien ce que je fais et ce que j’ai envie de faire depuis le début de soirée…»
J’agrippai alors son sexe.
« Dis-moi que tu n’en as pas envie.
Je sens ton sexe se raidir sous mes doigts. »
Sans me répondre, il agrippa mes cheveux sur la nuque, inclina ma tête vers l’arrière et prit ma bouche dans une douce violence. Sa langue força mes lèvres et lutta avec la mienne. Je me sentis vaciller, submergée par une envie animale de lui.
Il arrêta l’ascenseur, me plaqua contre la paroi et souleva ma robe. Il me caressa les fesses, ses doigts accrochant mon string et le faisant glisser le long de mes cuisses.
Je me sentais déjà luisante. Il retira le string et le mit dans sa poche.
Ses doigts cherchèrent ma fente, s’insinuèrent le long de mes lèvres. Je gémis. Sa bouche s’écrasa sur mon cou. Mes mains s’évertuaient à défaire sa ceinture et son pantalon qui tomba sur ses chevilles.
Son boxer rejoignit aussi ses chevilles et je sentis son sexe battre sur mon ventre. J'accrochai une jambe à son bassin. Il me souleva alors et m’empala sur son membre qui glissa en moi profondément.
Mes mains se crispèrent sur ses épaules. J’avais oublié comme il était bon de se faire pénétrer. Je m’abandonnai à ses coups de reins et au plaisir. Ses mains sous mes fesses, je passai ma seconde jambe autour de lui afin qu’il s’insère plus profondément en moi.
J’enserrai son sexe dans les spasmes de mon vagin. Je le sentis battre en moi, prêt à exploser. Nos souffles se mêlèrent et s’intensifient. Je sentis venir ma jouissance, la sienne, la nôtre…
Ses reins se figèrent au fond de moi au moment où je cambrai mes reins de plaisir. Nous restâmes là, accrochés l’un à l’autre, sans parler, sans se regarder. Cachés l’un dans le cou de l’autre, un sentiment de plénitude et de honte planant sur moi. Il desserra alors son étreinte, se rhabilla et baissa ma robe.
Sa semence qui s’échappait de mon vagin et commençait à couler le long de mes jambes. Il redémarra l’ascenseur, toujours sans un mot.
Arrivés à mon étage, il se colla derrière moi et susurra à mon oreille:
« Ce n’était qu’une mise en bouche, laisse-moi te faire l’amour. Maintenant.»
Je fus incapable de dire quoi que ce soit. J'avais déjà du mal à ouvrir cette fichue porte. Il prit ma main et m’aida à ouvrir la serrure. Il me poussa presque à l’intérieur. Je retirai mes talons et mon manteau. Son mètre quatre vingt est plus imposant sans mes talons. Ses doigts descendirent la fermeture de ma robe. Quant à moi, j'étais toujours trop fébrile pour réussir à lui défaire son pantalon.
Il le retira. Son sexe n’avait presque pas débandé. Cette fois ci, ce fut moi qui le poussai dans le salon. Il tomba sur le canapé. Je m’accroupis devant lui et, tandis qu’il retirait sa veste et sa chemise, mes mains remontèrent le long de ses cuisses, jusqu’à son sexe. Il reprit toute sa vigueur à l’instant même ou je le touchai.
Mes lèvres s’approchèrent doucement, juste assez pour qu’il sente mon souffle sur son gland. Je sortis ma langue et la passai lentement sur celui-ci. J’enroulai ma langue et léchai délicatement avant de le prendre en bouche, doucement.
J’entendis Franck émettre un grognement. Je le regardai sans lâcher sa queue. Il avait la tête renversée, les yeux fermés. « Putain, ta bouche,… »
Ces mots suffisent à me faire mouiller. Je sentis mes lèvres qui s’écarter. Tout en continuant de lécher et de pomper sa queue, je n’arrivais pas à le prendre totalement en bouche. Je caressai d’une main ses couilles et, de l’autre, je branlais sa queue. Ses mains vinrent se poser sur ma tête et écartèrent doucement mes cheveux.
Je levai à nouveau mes yeux vers les siens. Ils n'étaient plus si clairs à présent. J'accélérai le rythme de mes allers et retours sur son membre, mes lèvres serrant son sexe. Ma salive débordait de mes lèvres à chaque fois qu’il était au plus profond de ma bouche. Il me prit alors le menton et releva mon visage.

« Doucement, ma belle, sinon je vais jouir…
- Et alors? On a tout notre temps, non ? »
Ma bouche se reposa sur sa queue que j’avalai à nouveau goulûment. Ma langue s’enroula, lécha. Ses coups de reins imprimèrent un rythme plus rapide. Ses mains caressèrent mes cheveux. Par moments, elles me plaquaient, me forçant à le garder en bouche plus longtemps et plus profondément.
Mais je ne pouvais l’avaler comme je le faisais avec mon mari.
Je sentis les battements prémices à sa jouissance. Il retira ma bouche de sa source. Je résistai et aspirai plus fort. Je voulais sa semence, la boire, m’en délecter…Un premier jet tapissa ma langue, puis un second. Je le gardai en bouche puis j’avalai son fluide, douçâtre et iodé. Je sentis son membre perdre de sa vigueur sous ma langue.
Mes lèvres déposèrent un dernier baiser sur son sexe puis remontèrent le long de son ventre, de son torse…Il me bascula sur le canapé, se coucha sur moi et m’embrassa longuement…

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