J'Ai Pervertis Ma Collègue - 3 -

Nous sommes à la veille des vacances d’été de Fannie. Ouf ! je vais être tranquille au bureau et ne plus l’entendre dire « moi par ci….., moi ça…, j’ai fais ça….. » elle me fatigue, m’exaspère à la longue, même si je m’amuse bien avec elle, mais une pause, ouais génial pour moi, je préfère l’avoir avec ma queue en bouche que de l’entendre et la voir se pavaner. Bien évidemment avant qu’elle parte deux semaines en congés, je l’ai besogné dans le local archive afin de bien me vider et elle bien la remplir.
Dès le lundi, je reçois un texto de Fannie. Je ne réponds pas, pas envie, c’est un break. Puis un deuxième, un troisième, alors là je décide de lui répondre.
-t’es en vacances profite un peu.
-Oui je sais, mais là je suis seule, R a trouvé des potes pour aller faire un volley.
-trouves toi des copines.
-elles sont avec leurs s.
-et bien va dans ta chambre et branle toi un bon coup.
-t’es nul…
-bah ! non tu te branles et je veux que tu m’envoi des photos, allez fais le.
Un long temps sans sms et elle répond.
-t’es sérieux ?
-d’après toi ? tu me connais.
Je reçois une photo de son intimité.
-bien, alors maintenant les doigts et c’est bon.
J’ai reçu quelques photos, je me suis plutôt bien amusé ce jour-là. Tous les jours j’avais des nouvelles de Fannie par sms, alors tous les jours je lui demandais des photos dans différentes situations. La plus vicieuse, je pense est quand je lui ai demandé des photos de son intimité après avoir été prise par son mec. Ca n’a pas été très compliqué, Fannie à vite cédé à ma demande. J’ai donc reçu des photos de son intimité souillé par son mec, ses poils mouillés, sa chatte ouverte, le jus de son mec. Elle devient une belle petite salope de bourgeoise. Ces échanges ont finalement durées pendant les deux semaines de vacances, pour le break, c’est un peu raté, mais bon….

Le lundi de son retour, évidement tout le monde a eu le droit à ses superbes vacances, bla bla bla…, alors que moi je savais des choses sur ses vacances bien plus intéressante.

Le soir avant que je quitte le bureau je téléphone en interne.
-moi je pars, la reprise a été bonne ?
-oui, mais tu pars déjà, moi je peux pas j’ai trop de boulot, avec les vacances.
-Oui oui j’y vais.
-mais on peut pas se voir.
-demain matin viens plus tôt, tu peux ?
-Oui bien sûr, quelle heure ?
-Ici à 7h00.
-Pour une fois je vais faire l’effort de me lever juste pour toi.
-bien et viens la chatte rempli du jus de ton mec.
-quoooiiiiii ?
-oui, n’oublie pas de mettre une culotte pour garder le max de jus.
-mais t’es fou ou quoi ? tu veux que R …
-tu as compris Fannie, alors c’est oui ou non.
Un petit moment de réflexion et un oui retentit dans le combiné téléphonique.
Le lendemain matin, à 7h00 Fannie est bien là, nous prenons la direction du local archive. Sans perdre de temps je mes Fannie entre mes jambes, j’ai envie d’avoir sa bouche autour de ma queue.
-humm ! ça fait du bien de retrouver ta bouche.
Elle suce sans rien dire, prenant soin de me donner du plaisir. Je l’allonge sur le bureau, lève sa jupe, écarte les cuisses et découvre une culotte humide.
-je vois que tu t’es fait remplir par ton mec.
- oui, il n’a pas compris pourquoi je lui ai sauté dessus.
Je passe mon nez au-dessus de l’intimité, humm ! Ça sent bon le mélange de jus et de la mouille de ma bourgeoise. J’écarte la culotte et découvre des poils poisseux. Je prends ma queue et prend la chatte de Fannie. Sa glisse, je sens rien tellement c’est lubrifié, putain c’est bon. Je lime cette chatte avec vigueur claquant mon pubis violement sur cette intimité.
-putain c’est bon cette chatte.
-oui oui..
-en plus rempli au jus de ton mec, je me marre
-salop, tu me prends avec le jus de R, salop, mais c’est bon
-non c’est toi la salope, c’est toi.
-il te baise par le cul aussi ?
-non tu es le seul
-tu es sûr ?
- oh oui il ne demandera jamais
Je sors ma queue et la prend par le cul, l’entrée est un peu serré, normal après presque trois semaines sans être ouvert, mais queue est tellement graissé du mélange de jus et de mouille qu’elle lubrifie ce trou.

-ah là c’est plus serré.
-aaahhh oui, doucement
-t’inquiète je suis bien lubrifié avec le jus de ton mec
-ooohhh, c’est bon
Je prends Fannie lentement pour débuter, mais j’ai envie de lui éclater son cul. Je m’accélère rapidement.
-eeehhhh doucement, je vais jouir
-vas-y jouie petite salope
-oui oui oui, encoreeeee
-tu aimes te faire enculer maintenant
-ooouuuiiii, j’en peu pluuuusssss, ahhh……
Fannie libère son plaisir, alors que moi je continus à bouger dans son trou, j’en veux encore, un peu plus. Je continus à la prendre quelques minutes et finis par me vider dans son cul. Quel pied ce matin. Fannie s’essuies, se réajuste, je l’autorise à porter exceptionnellement un culotte pour la journée, avec ce qu’elle a pris entre son mec et moi, bon ne soyons pas trop salop.

Ce soir-là, c’était en automne, nous avions une réception le soir tard au travail pour fêter une affaire que la société avait conclue. Petits fours, alcool, etc.. bon une dépense d’argent pour le plaisir du patron, enfin bref. Donc ce soir-là, il était prés de 20h30, moi je décide donc de quitter cette réception rempli d’hypocrites. Dans le parking, je suis rattrapé par Fannie.
-hé, tu m’as laissé tomber.
-pas du tout, mais tu étais en grande discussion, j’ai pas voulu te déranger.
-on passe un peu de temps tous les deux ?
-euh ! ouaais, mais R, il va dire quoi ?
-je l’ai prévenu que je rentrerais tard, il n’y a pas de soucis, par contre j’aimerais éviter de conduire, j’ai un peu abusé de l’alcool.
-ok no problème, monte je connais un lieu tranquille.
Nous voilà parti en pleine nuit dans un lieu où nous serons au calme. Je connais un petit coin de forêt. Sur le trajet Fannie n’a pas arrêté de me dire qu’elle avait vraiment trop bu, et blablabla, et tatati tatata….bref, comme d’habitude. Nous arrivons dans le lieu que je connais. Sans perdre de temps, je commence à l’embrasser, lui caresser les seins que je sors afin de pouvoir les utiliser quand je le souhaite.
Fannie à descendue sa jupe, moi j’ai retiré mon pantalon, Fannie gobe ma queue. Je la caresse, mes doigts chatouille ses poils, la pénètre. Je pose ma main sur sa tête et commence à donner la cadence de la fellation. Fannie suce de mieux en mieux. A un moment, en levant la tête je découvre deux hommes qui nous mattes de dehors.
-tient nous avons de la visite.
Fannie essai de relever la tête, je l’en empêche et la maintient pour qu’elle continue sa pipe. A un moment elle relève la tête.
-mais c’est quoi ça ? On s’en va
-mais non mais non, ce sont des mateurs, ils ont bien le droit de nous regarder. Allez je vais te prendre.
-ça va pas non, pas devant ces mecs.
-Mais si arrête de faire ta petite prude.
Je lui fais prendre la position à quatre pattes dans la voiture et je l’enfile directe. La situation doit bien l’exciter, elle mouille pas mal. Je la prends lentement pour que le spectacle soit sympa pour nos voyeurs.
-attend, j’ouvre la vitre de ton côté.
-tu es nase ou quoi, tu es complètement fou.
-mais non, ils ont droit à être branlé, je te demande pas de les sucer, juste les branler.
J’ouvre la vitre, approche Fannie prêt de la vitre ouverte.
-alors les gars ça matte ?
-carrément, mignonne la petite.
-si vous voulez elle vous branle, mais juste ça.
-ont va pas dire non.
Je reprends mes mouvements dans la chatte de Fannie et lui demande de branler les mecs. Au début elle refuse, mais à force de se faire limer la chatte et à force d’insister elle prend en main une des deux queues et commence à le branler. La deuxième queue se présente et elle lâche la première et masturbe la deuxième. Les mecs apprécient.
-oui vas-y branle bien ma queue salope.
Fannie ne dit pas grand-chose, entre mes coups de queue et la branlette, sans oublier l’effet de l’alcool, ça se passe plutôt pas mal. Je savais qu’un jour j’essaierais de l’amener à ça, c’est l’occasion qui fait le larron.
Je sens que Fannie ne va pas tarder à prendre son plaisir, je commence à la connaitre.
-les gars elle va pas tarder à partir, alors si vous voulez lâcher la purée, allez-y.
Un des gars ne tarde pas à se vider sous les vas et viens de la main de Fannie. Le deuxième se fait branler dans la foulé et quelques secondes il jouit. Je prends les fesses de Fannie à pleine mains et la prend violemment et me vide dans son intimité. Au même moment, Fannie crie son plaisir sans se préoccuper de nos deux visiteurs.
-merci à vous deux et merci à mademoiselle pour la branlette, nous ont rentre.
Les deux mecs disparaissent. Fannie reprend ses esprits.
- j’ai fait quoi là ? je suis complètement folle, c’est pas possible.
-quoi, tu as juste branlé deux voyeurs, il n’y a pas mort d’homme.
-tu me fais faire des choses degueulasse toi.
-c’est ce que tu penses ? alors ok je te ramène à ta voiture.
-non c’est pas ce que j’ai voulu dire, mais regarde ce que j’ai fait.
-tu as bien pris ton pied, il me semble, alors c’est que ça t’a plu non ?
-je suis vraiment une salope, c’est pas possible.
-quand je te le dis, Fannie, tu es ma salope, oui.
-ne me dit pas que tu savais qu’il y aurait du monde ce soir ?
-je connaissais le coin pour être tranquille mais parfois avec des voyeurs oui, c’est vrai.
-tu as profité de moi.
-profité ? non juste fais découvrir autre chose que ta vie de bourgeoise à la noix.
Fannie ne répond rien à cela.
-allez nettoie ma queue, viens me sucer.
Elle ne se fait pas prier, elle gobe mon membre et le suce comme une folle. Je pénètre sa chatte d’un doigt, puis deux et la prend avec trois doigts. Puis deux doigts vont direct vers la rosette que je pénètre et là baise avec mes deux doigts. Je lui baise le cul avec mes doigts, en quelques minutes cette salope de bourge, jouis en grognant tout en continuant à me sucer. Je gicle tout mon jus au fond de sa gorge.
Bon il me reste plus qu’à la ramener à sa voiture, il est 1h00 du matin.

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