La Factrice 2°Épisode

Adorable ! Ma petite chérie s’est occupée de moi avec grand soin. Nous avons un peu fait l’amour _mais pas trop et avec beaucoup de douceur. Je lui ai fait découvrir ma garde robe féminine qui l’a émerveillée et nous avons passé une journée complète en essayages agrémentés de caresses érotiques. Dommage qu’elle soit un peu plus petite que moi ! Bien que nous nous connaissons depuis quelques années, mon coté féminin lui avait partiellement échappé et éveille en elle une nouvelle libido. Le fait que je sois épilée l’avait surprise au début de notre relation, mais sans éveiller de réels soupçons.
Étrangement son attitude « sado-maso » ne s’est pas manifestée comme lors de la petite sauterie de jeudi.
J’ai retrouvé un petit trou convenable (un peu plus élastique certainement) et les zébrures qui marquaient mes fesses ont totalement disparues grâce à quelques applications de crèmes apaisantes.
Je me demande si sa détermination à me faire retrouver rapidement un corps neuf ne cache pas anguille sous roche…
Après la préparation d’un lunch dont la quantité me paraissait un peu exagérée, il nous fallait nous pomponner pour recevoir nos invités.
Choix des vêtements : je choisi les siens, elle choisi les miens.
J’optai pour mettre en valeur ses sublimes aréoles un magnifique body guêpière en voile couleur parme, baleiné avec entrejambe et bonnets ouverts. Le laçage au dos permet de l’ajuster de manière parfaite selon que l’on désire mettre en valeur ses hanches ou son buste. Une paire de bas bleu roi et un tailleur lie de vin complètent la parure.
Je sais qu’elle n’aime pas porter de robe, mais elle lui va si bien, elle est sublime !
Son choix me concernant se porte sur un ensemble trois pièces en maille laquée, bas résille, une mini jupe en skaï et une blouse en voile très coquine.
Une douche commune minutieuse, habillage, séance de maquillage_elle très léger, comme d’habitude et moi un peu plus accentué et nous voila prêtes.

Je suis habillée très pute et elle un peu bourgeoise libertine.
Le bruit de la voiture se garant dans la cour me donna des frissons d’excitation.
Une séance de galoches mutuelles servit de bonjour. J’appréciai particulièrement celle de Marc qui me caressait la raie d’un doigt inquisiteur. Le coquin, il ne perdait pas de temps !
Nous passâmes dans le salon où l’apéritif nous attendait. La conversation tournait autour du cul bien sur, quand un autre véhicule se garât dans la cour. Je tournai un regard interrogatif vers Edwige.
Ah, je crois que la surprise arrive !
???
Et bien oui ma jolie. J’ai invité quatre copains de Paris afin d’aider Marc à combler nos appétits sexuels.
Voici Fred, Steve, Hervé et Dominique.
Waoh ! Les beaux mecs ! La soirée se présentait bien. De soirée coquine entre amis, on passait à la partouze.
Après l’apéritif, nous prîmes place autour de la table pour le repas. Steve était à ma droite et Hervé à ma gauche. La conversation recommençait à revenir à notre thème favori, ce qui incita sûrement mes voisins à « tâter » la marchandise.
Deux mains exploratrices remontaient le long de mes cuisses et jouaient avec les jarretelles.
Je lançai à mon tour mes mains sous la table. La gauche sentit une bosse significative et correcte mais ce que rencontra la droite me laissa perplexe. Si Steve n’a pas dissimulé d’objet contondant dans sa braguette, il doit avoir une lance d’incendie de taille impressionnante (ça tombe bien, il est pompier).
Je défis le bouton, baissai la fermeture et plongeai la main dans l’antre… Ce que j’y découvris me fit écarquiller les yeux. Ce n’est pas possible ! Edwige affairée dans l’intimité de Marc et à qui ma manœuvre n’avait pas échappé éclata de rire.
Je crois que Francinne vient de rencontrer La Vigoureuse comme je l’appelle. Lève toi Steve que Nadine puisse apprécier aussi.
Je lâchai le morceau et Steve se leva. Quel chibre ! Plus énorme que le gode qui m’avait explosé le fion deux jours avant.

Au moins six centimètres de diamètres et vingt cinq de long ! Si son propriétaire jette son dévolu sur moi, je vais encore dérouiller. Devant le totem, Nadine lâcha sa fourchette et tendit le bras.
C’est pas une vraie ! Ça n’existe pas ! Je veux toucher !
Sa main ne faisait pas moitié de la circonférence.
Je la veux ! Et tout de suite !
Elle alla s’allonger sur le canapé, dégrafa sa robe et écartant les bords d’un slip ouvert en dentelle, dévoilèrent une chatte béante et déjà dégoulinante.
Viens me prendre ! Vite ! Enfonce moi ton gros dard à fond !
La partie était lancée !
Nous nous mimes en cercle autour d’elle afin d’assister à l’opération. Edwige branlait Marc d’une main et Fred de l’autre, tandis que Hervé avait enserré mon sexe tendu sous ma jupe. Aurait-il des tendances bi ? Voila qui ajouterait du piment à la fête !
Alors que Dominique positionnait sa verge raide à portée de bouche de Nadine, Steve commença l’introduction.
Le gland un peu effilé écarta les lèvres doucement puis s’enfonça dans les chairs rosées. A moitié du parcours, afin de ne pas crier, Nadine goba la queue de Dominique. Petit à petit les couilles velues de Steve vinrent buter contre le périnée de Nadine.
Elle avait 25 centimètres d’homme dans la chatte ! Avec délicatesse, Steve commença un va et vient très excitant. Les chairs se resserraient et s’écartaient au rythme de la pénétration et les lèvres de Nadine s’activaient selon le même tempo sur la bite de Dom. Vraiment un spectacle grandiose !
Edwige amena Marc au coté de Nadine et s’empala sur son sexe le guidant d’une main alors qu’elle positionnait la biroute de Fred en face de son petit trou de l’autre.
Allez y mes salauds, baisez moi en double ! Je veux une queue dans chaque trou !
Quelle salope ! Pourquoi n’avons-nous pas parlé de nos fantasmes plus tôt ! La voir se faire prendre sous mon nez par deux bites bien raides en même temps éveillait chez moi envie et jalousie : envie d’être à sa place et jalousie de ne pas y être !
Mais la nature ne m’a dotée que d’un seul orifice que je m’efforce à rendre accueillant.

Je regardais la scène lubrique quand je sentis ma jupe se relever et vis Hervé prendre ma queue en bouche. Mais c’est qu’il suce bien le bougre ! Un aller retour, un coup de langue sur les noisettes, puis un nouvel aller retour…
J’étais gonflée à bloc.
Cela faisait maintenant 20 bonnes minutes que Steve besognait Nadine et à voir leurs mines, l’arrivée était proche…
Pourtant, ce fut Dominique qui céda le premier. Sortant précipitamment de la bouche de Nadine, il saisit sa bite et la dirigea vers le nombril de sa pipeuse. Un magnifique jet de foutre s’échappa de son méat et vint s’écraser sur le ventre blanc.
Putain c’est trop bon ! Je peux plus tenir !
Est-ce la vue du laitage qui accéléra les choses ? Après un violent coup de boutoir, Steve se dégagea et orienta son gourdin vers la flaque.
Ca y est, j’y suis ! Ah, salope, prends tout !
Je restai à nouveau bouche bée. Non seulement Steve a un manche de taureau, mais il en a également les couilles ! Le flot de crème qui jaillissait de son nœud était dru, épais et continu. Jamais vu ça ! J’avais une fois dans une partie été arrosée de copieuse manière, mais pas autant. Une crachée comme ça pendant une pipe et c’est l’ assurée ! Très très amatrice de jus de gland, il faut que je me dépêche ! Nadine commence à se tartouiller avec le nectar. Elle s’en fout partout la salope !
Certes le satin et le nylon de sa lingerie n’épongeront pas tout, mais quand même ! Je bousculai Hervé et me jetai sur elle.
D’une langue avide je léchai le bon jus qui coulait sur le porte jarretelles. Puis je remontai. Vision insolite : les seins de Nadine soutenus par un rehausseur ressemblait à deux œufs sur le plat. Deux flaques blanches avec les aréoles qui émergeaient en saillie. Malgré ma rapidité, je ne puis tout récupérer. Nadine, la main en écope avait déjà nettoyé son sein droit et faisait couler la lave dans sa bouche. De toute manière, il faut être partageuse…
Les ahanements à ma droite laissaient présager une prochaine éruption.

Edwige se faisait bourinner de plus en plus vite et de plus en plus fort.
Oui, oui, oui, plus profond ! Barattez moi le cul et la chatte ! Je veux votre jus dans la gueule ! Je veux tout pour moi !
Hervé assis sur la table basse regardait tout ça en se branlant et murmurait : quelles salopes, putain, mais quelles salopes !
Je décidai de m’occuper de lui. Je m’agenouillai et pris son gland entre mes lèvres. Je le fis rouler sur ma langue encore couverte de sperme. La réaction ne tarda pas.
Ah oui suce moi bien ! Fais moi durcir pour que je puisse t’enculer profond.
Son membre me rappelle un gode que j’adore : pas très gros, mais un gland bien charnu, bien dessiné et un membre noueux avec des veines dilatée. Le moment où la tête m’écarte le rond me fait presque jouir à chaque fois.
Il est maintenant dur à point. Je me mis à quatre pattes sur le tapis et relevai ma jupe.
Viens me fourrer comme Edwige est en train de prendre. Tu peux y aller, ça va rentrer tout seul, je suis prête.
Il me saisit les hanches et força ma rondelle.
Le nœud fut englouti par mon petit trou et un langoureux ramonage commença. C’était exactement la sensation que j’espérais.
Sors complètement à chaque fois réclamai-je c’est trop bon quand ton nœud m’écarte l’anneau !
Je serrais le muscle à chaque fois qu’il était en moi et le détendais lorsqu’il rentrait. C’était divin !
Un remue ménage derrière nous me fit tourner la tête. Edwige était assise sur le canapé, chatte béante et les deux mandrins qui l’avaient pilonnée s’agitaient au dessus de son visage.
Allez y mes salauds, crachez votre crème sur ma gueule !
Elle ouvrit grand la bouche et deux jets simultanés fusèrent dans son gosier. Quelle chienne, la chance qu’elle avait !
Remue ton cul, je sens que ça monte !
Je roulai du cul en serrant la queue qui me bourrait à fond.
Hervé avait accéléré la cadence et nous jouîmes en même temps ; mon premier orgasme du cul de la soirée ! Je tortillai du cul pour qu’il reste en moi et sentir le liquide chaud m’emplir les entrailles.
Edwige, le visage encore maculé de coulées blanches prit la parole : Maintenant que tout le monde s’est bien amusé, on peut retourner à table pour se remettre, non ? Je vous ai préparé des desserts amusants qui devraient vous plaire !
Chacun se réajusta plus ou moins et reprit sa place pendant qu’elle alla chercher les gourmandises promises.
Effectivement le plateau amené sur la table était plus que suggestif ! Un mélange de fruits et de pâtisseries qui tous représentaient un acte sexuel ou bien un membre généreux. Rien à dire, les fruits de saison incitent à la passion…
C’est au cours de ce nouvel intermède que Nadine fit allusion à mes gadgets :
Eh les gars ! Vous ne savez pas que notre petite cochonne de Francinne possède plein de jouets rigolos ? On s’est bien amusé avec jeudi soir affirma t’elle avec un regard complice en direction d’Edwige.
J’vais les chercher proposa celle-ci.
Cavalcade dans l’escalier pendant que Nadine attirait les regards en faisant une fellation gourmande à une banane surmontant deux boules de crème glacée.
L’ouverture de ma mallette secrète déclencha un concert de sifflements admiratifs.
On va vous faire une démonstration claironna Edwige.
Venez Nadine et Marc ! Toi aussi petite salope !
Cette demande m’était adressée.
On va montrer aux Parisiens que les provinciaux savent aussi s’amuser !
Puisque Hervé a ouvert la voie, on va commencer par toi me lançât elle. Aller hop, à quatre pattes et suce la bite de Marc pour le mettre en condition optimale.
Je m’exécutai en lorgnant Nadine qui s’équipait du gode ceinture. La bouche pleine, la première pénétration m’arracha un hoquet et bien que lubrifiée par la jute d’Hervé, ma rondelle s’écartât douloureusement. Edwige s’était collé deux nipples vibrants sur les seins, enfilé un vibro gros format dans la moule et exultait.
Alors les voyeurs, qu’en pensez vous ? A la taille de vos queues, je constate que le spectacle vous plait !
Si vous voulez une gâterie au lieu de vous branler, Francinne se fera un plaisir de vous sucer le gland et lécher les burnes.
Commença alors une ronde des bites inoubliable. Le cul défoncé par le gode et un changement de pipe toute les deux minutes ; le vrai bonheur !
Mais regardez le clito de cette salope comme il a gonflé ! Je vais la soulager avec ça !
Le ça en question est une gaine vibrante en jelly laissant le gland nu avec à la base un élastique qui enserre les couilles.
Elle positionna l’objet et ce fut le festival. Tous mes sens lubriques étaient attisés. Toute à ma frénésie sexuelle, j’était en train de lécher une joli paire de boules velues lorsque je senti mon trou se dilater encore plus. Steve était en train de me fourrer l’oignon avec son énorme gourdin. La rentrée du membre me fit un tel effet que je lâchai ma purée dans le masturbateur.
Mais c’est que ça te fait plaisir, espèce de chienne tonna Edwige.
Allez les mecs, venez lui cracher votre foutre sur la gueule ! E toi Steve, continue de lui pilonner le fion !
Les quatre mecs vinrent se branler au dessus de moi et la première giclée m’arriva directement au fond du gosier. Je ne savais qui s’était lâché le premier. J’attendais impatiemment les autres éjac en savourant le jus. Je n’eu pas à attendre longtemps avant de recevoir un déluge de sperme. Je n’arrivai pas à tout avaler et le trop plein me dégoulinait sur le menton, laissant de longue traînées sur mon corsage avant de s’écraser au sol. J’étais ivre de bonheur. Qui n’a pas goûté à la saveur du foutre chaud ne peut pas comprendre.
Steve accélérât le mouvement et la chaleur du frottement accentuait encore mon plaisir.
Je le sentis soudain lâcher sa crème dans mon cul. Il beuglait comme un veau en continuant de me tringler puis se retira d’un coup sec. J’ouvris grand mon cul pour faire ruisseler le nectar dans ma raie.
T’es vraiment la reine des putes me lança Edwige. Tu dégoulines par tous les trous. Tiens, je vais prendre des photos.
Elle s’empara de mon appareil qui traînait sur une console et me mitrailla sous tous les angles.
Ca me donne une idée : on pourrait faire un petit film quand ces messieurs auront un peu récupéré !
Bonne idée cria Nadine et pour les exciter un peu on va se faire une partie de broute gazon ma chérie. Poses ton appareil et vient me sucer le clito.
Toi la putasse, tu vas nous aider en leur léchant les boules. D’abord, colles toi ça dans le trou, tu met de la jute partout ! Je m’emparai du plug qu’elle me tendait et me l’enfilai sans peine. Allez les gars tous sur le canapé, on vous offre le spectacle !
Ils obtempérèrent et je dardai ma langue vers la première paire qui se trouvait être celle qui me cognait les fesses quelques minutes auparavant, alors que les deux femmes se plaçaient tête-bêche sur le tapis et chacune un vibro dans la chatte se donnaient de voluptueux coups de langues.
Je ne sais si c’était la séance de gouinage ou mes prestations linguales qui attisèrent les désirs, mais les cinq obélisques furent bientôt en position verticale.
Jetant un œil de coté, Nadine s’en aperçut et reprit le contrôle des opérations.
Laissez nous la place les mecs, maintenant on va vous offrir une partie de mini golf.
Allez les filles on se met en position. Marc, mets en route le caméscope !
Le « les filles » me ravit. L’imitant, je sorti le plug de mon anus et me positionnai sur le canapé, cul tendu, jupe relevée, les coudes sur le dossier. Edwige se plaça dans la même posture à ma gauche.
A vous de jouer, vous avez cinq trous pour vous contenter.
Ils se mirent en file indienne et le pilonnage commença. Mentalement, j’essayais de reconnaître le propriétaire de chaque bite à la forme et la longueur de celles-ci mais le rapide changement de partenaire ne favorisait guère l’identification. Seul le mastard de Steve ne laissait aucun doute. Je crois que je vais devoir renouveler ma collection de toys pour satisfaire ma pastille dilatée.
Mes compagnes exultaient offrant leurs orifices béants à l’assaut des chibres dressés. Passant des moules ruisselantes à mon petit rond, les gaillards s’en donnaient à cœur joie. Je me branlais énergiquement quand soudainement deux paires de claques retentirent sur mes fesses. Dans l’instant qui suivit, j’eu l’impression que ma rondelle me rentrait dans le corps. Je compris que deux loustics s’étaient concertés pour m’enculer simultanément.
Alors petit travelot, a voir ta trique, ça te plait de te faire exploser par deux queues en même temps.
J’étais au paroxysme de la jouissance. Je serrai ma bite plus fort et crachai une giclée copieuse en jouissant en même temps du cul. Je crus que j’allais m’évanouir.
Eh bien vous lui avez mis une sacrée pétée à cette salope !
Encore, encore, explosez moi encore le cul ! Ramonez moi à fond ! Déchirez moi le fion !
Mais c’est qu’elle est insatiable cette truie !
Les injures accentuaient encore plus mon plaisir. Je n’arrêtais plus de jouir du cul.
Ce qui devait arriver arriva. Dans un orgasme plus violent que les autres, je tombai dans les pommes.
Lorsque je repris connaissance, j’étais à plat ventre sur la table basse, poignets et chevilles liés par des bas aux pieds de la table. Ma jupe m’avait été enlevée.
Alors chochotte, on a des vapeurs ? Ce que tu as pris n’est rien a coté de ce que tu vas prendre !
Nadine et Edwige s’étaient chacune affublée d’un gode ceinture ce qui faisait que j’avais sept chibres vigoureux en face de moi.
Ma position faisait que j’avais la raie peu écartée et malgré un effort dilatoire, la première queue qui rentra en moi me fit pousser un cri de douleur. A la taille, je pense que ce devait être Steve.
Le pilonnage tournant dura au moins une demi-heure. Je ne sentais plus mon cul et les coups de boutoirs ne me faisaient plus d’effet. J’étais trop loin dans la jouissance. Je n’étais plus qu’une poupée qui servait de défouloir à ces mâles et ces femelles en rut.
S’emparant d’un verre vide, Dominique lança à la cantonade : aller les gars, on va quand même la récompenser cette chienne. Un bon verre de liqueur d’hommes devrait lui faire plaisir.
Il maintint le verre devant sa bite et après une vigoureuse branlette, lâcha un jet dru dans le verre. Les autres pistonneurs en firent autant et le verre s’en trouva rempli à moitié de jus épais.
Edwige me tira les cheveux en arrière pendant que Nadine me versait le contenu dans la bouche. Je dégluti le liquide visqueux et chaud. J’étais ivre de foutre.
Alors ma petite pute me glissa Edwige à l’oreille, j’espère que ça t’a plu ? Nous on va se reposer, mais toi tu reste ici.
Ils montèrent dans les chambres, me laissant attachée sur la table. Je finis par m’endormir.
A mon réveil, je constatai que le salon avait été rangé mais j’étais toujours attachée à la table. J’entendais des rires émaner de la cuisine.
Je compris qu’ils étaient en train de visionner le film. Steve fit son apparition, et son braquemart énorme dressé me laissa penser que ce devait être vraiment excitant.
Çà y est, elle est réveillée !
Tous firent irruption et je constatai que tous les mecs avaient le gland en l’air… Ils n’allaient tout de même pas remettre ça !
Bon, on te détache, mais tu vas nous servir de soubrette toute la journée et pour ce soir, on te réserve d’autres surprises.
Edwige, viens choisir un objet pour occuper le derrière de notre petite bonne.
Retournez voir le film, je m'en occupe.
Elle extirpa de la valise mon plug vibrant préféré : une bite très bien imitée. Pas longue, mais quatre centimètres de diamètre et fortement veinée et cerise sur le gâteau avec télécommande !.
Avant de te l’enfiler, tu vas t’habiller comme la bonniche salope que tu es. Je suis sure que tu as une panoplie complète.
Incroyable ! Elle lisait dans mes pensées !
Je m’absentai quelques minutes pour revêtir les atours correspondant à ma nouvelle fonction et redescendis vêtue d’une petite robe noire froufroutante ceinte d’un tablier de dentelle blanc. Une petite coiffe blanche accompagnait l’ensemble.
Waoh ! Exactement ce qu’on voulait. Aller, fourres toi ça dans l’oignon et viens dans la cuisine.
Je m’introduis le gode, mis la commande dans la poche du tablier et me dirigeai vers le lieu de libation tirée par la main ferme d’Edwige.
Alors, elle n’est pas belle notre Conchita dit elle en relevant ma jupette dévoilant mes jarretelles et la délicieuse culotte en dentelle ouverte offrant ma rosette ouverte ?
Les joyeux compères étaient à table et regardaient la vidéo en s’esclaffant.
Tout les regards se tournèrent vers moi et je su aussitôt que j’allais reprendre quelque doses de bonheur …

Une nouvelle journée de plaisir s’offrait à moi….

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