La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 391)

Suite de l'épisode précédent N°390 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –

Tandis que les deux esclaves-soumises s’affairent toujours à dégarnir les muqueuses sensibles de toute repousse de poils bruns, c’est Master Gé qui prend la parole.

- C’est une belle leçon en effet, la sanction doit toujours être plus dure à supporter que l’acte manqué si l’on veut que la punition soit avant tout donnée à des fins éducatives. J’espère que ma nouvelle chienne en tirera aussi tout l’enseignement possible de voir ce qu’il arrive aux soumises qui se permettent de désobéir sciemment. En D/s le dicton célèbre « Quand le chat n’est pas là, les souris dansent » n’a pas cours. La soumission est un Art de vivre librement consenti, ce n’est pas une obligation de devenir soumise, c’est un choix assumé qui entraîne un certain nombre de contraintes, en particulier le fait de devoir obéir au Dominant en tous points, par allégeance avant tout, bien plus de mon point de vue que par crainte de punitions, qui sont malgré tout nécessaires et salutaires lorsque la faute a été commise.

Le Marquis d’Evans qui désire reprendre son tour de visite de l’ensemble de ses Invités prend la parole.

- Très Cher Sir RightHand, Très Cher Master Gé, je suis très honoré de vous compter parmi Mes Invités en cette soirée festive, mais je suis vraiment désolé de devoir vous quitter car je voudrais bien avoir le temps de saluer chacun et chacune ici présents avant d’aller me coucher un peu. La nuit s’avance, même si Nous voudrions tous qu’une nuitée orgiaque ne se termine jamais, nos corps humains ont besoin d’un minimum de repos. Je vous laisse à vos occupations et discussions, et je vous souhaite de pouvoir prendre du plaisir D/s plus charnel, une fois cette séance d’épilation terminée.

Tandis que les deux Dominants continuent de converser en anglais, les deux esclaves-soumises N°6 et N°18 terminent leurs tâches épilatoires, vérifiant bien qu’aucun poil n’aurait pu leur échapper soulevant chaque pli de peau intime de la chatte de FrenchPussy qui est de plus en plus humide, avec la cyprine qui commence à couler à l’extérieur, attestant du degré d’excitation de celle qui aimerait bien maintenant qu’elle est devenue toute douce et glabre pouvoir profiter d’autres plaisirs plus sensuels et plus pénétrants, qui calmerait un peu le feu qui a gagné toute la zone fraîchement épilée.

Mais elle se doute que Sir RightHand ne sera sûrement pas prêt à passer l’éponge aussi facilement, car il n’a pas daigné lui accorder le moindre plaisir depuis son retour, surveillant le moindre de ses faits et gestes pour s’assurer que sa soumise respecte bien toutes ses consignes et les règles de vie et d’hygiène qu’il lui a imposées. Les deux esclaves du cheptel N°6 et N°18 s’inclinent profondément pour attester qu’elles sont arrivées au bout de leur mission, attendant de connaître les nouveaux ordres qui leur seront intimés par chacun des Dominants à qui elles ont été remises pour la soirée.

- Finish ! Good ! bien …. Moi voir ….

Sir RightHand, tout en intervenant, fait comprendre d’un signe de la main, aux deux esclaves-femelles qu’elles doivent s’écarter pour qu’il puisse examiner le corps de celle qui reste dorénavant sa propriété. Il balade sa main sur le pubis glabre qu’il att à pleine mains comme pour le posséder entièrement, et finit son inspection en s’immisçant carrément entre les lèvres vaginales de FrenchPussy qui ne peut s’empêcher de laisser échapper un vrai ronronnement de plaisirs, pas mécontente d’être arrivée au terme de cette épreuve et de ce qu’elle imagine être enfin la fin de son châtiment. Les deux esclaves du cheptel se sont agenouillées l’une à côté de l’autre, sur le côté du fauteuil, tête basse, immobile. D’un petit geste de la main sur le menton de chacune, le Dominant anglais atteste de sa satisfaction, ce qui rassure N°6 et N°18 qui semblent toujours craindre de ne pas avoir pu donner toute satisfaction aux deux Invités du Maître Vénéré.

- Good, Good, très très bien … Merci….. Bon travail très long mais FrenchPussy plus jolie maintenant ! Très exciting ! Mais FrenchPussy encore punie …

Master Gé att par la laisse la jeune soumise Gémienne qui est agenouillée à ses pieds, tire dessus pour qu’elle se relève et lui fait faire le tour du fauteuil médical pour que la soumise en devenir se retrouve nez à nez avec la chatte béante et dorénavant lisse de FrenchPussy.
Gémienne qui en est encore à découvrir les prémices de la soumission, bien peu habituée à se montrer en public dans une nudité totale est vêtue d’un corset noir qui lui enserre la taille qu’elle a très marquée, lui creuse les reins, et relève sa petite poitrine très ferme de jeune femme nullipare. Le bustier se termine par des petits volants de dentelle noire qui couvrent et masquent légèrement ses parties intimes. Il tient également office de porte-jarretelles retenant une paire de bas noirs, bordés également de dentelles. Elle ne porte pas de culotte à l’entrejambe, ce qui n’a pas été sans difficulté pour la pudeur de la jeune soumise encore novice qui se trouvait si honteuse de devoir sortir ainsi, mais qui a bien du constater une fois arrivée dans l’enceinte du Château que sa pudibonderie était plus que déplacée en ce milieu où tous les dominés, mâles ou femelles, évoluaient le plus souvent nu(e)s, à l’exception des colliers et autres accessoires D/s dont ils/elles étaient paré(e)s, qu’ils/elles soient simples esclaves entravé(e)s, enchainé(e)s ou contraint(e)s de mille et une manières, ou encore pets déguisé(e)s et animalisé(e)s pour des jeux D/s.

Master Gé s’était approché un peu plus tôt de FrenchPussy et de Sir RightHand avec une intention évidente, celle de donner envie à sa jeune soumise qui n’est pas encore une adepte de l’épilation intégrale de se sentir prête à franchir le pas, pour son plaisir d’Homme, de mâle, de Maître, mais également pour le plaisir qu’elle pourrait elle-même en retirer de se débarrasser de sa légère toison blond pâle en optant pour une épilation définitive au laser. Il a décidé de ne pas la brusquer dans sa démarche qu’il souhaite ne pas lui imposer, en l’état de son initiation débutante, car il sait que sa jeune soumise qui, même si elle est majeure, souffre depuis son adolescence d’un complexe lié à son anatomie et plus particulièrement dû au fait que ses petites lèvres internes dépassent. Avant de le rencontrer, elle avait même été jusqu’à envisager une nymphoplastie (opération réduction des lèvres internes saillantes) et son rôle de Dominant et de guide protecteur avait été en premier de la dissuader d’avoir recours à la chirurgie esthétique pour modifier son apparence, de lui faire accepter son corps tel qu’il était, en lui précisant en outre qu’elle ne devait pas être complexée de ce que certains hommes trouvaient beaux au point même de vouloir encore plus étirer ces chairs intimes par le port de poids, et qu’il n’existait pas de forme idéale et normative de vulve féminine, car chacune avait leur particularité et leur attrait.
Peu à peu, Master Gé avait fini par convaincre sa protégée qu’elle était belle tout autant que désirée, et que son désir de grandir dans la soumission la rendait encore plus désirable à ses yeux de Dominant.

Master Gé, tenant dans ses bras sa soumise Gémienne, lui fait découvrir de très près une intimité féminine béante, ouverte, offerte, onctueuse, imberbe ayant presque l’aspect d’un jeune sexe encore impubère. Elle se trouve face à face avec un sexe de femme dont elle peut largement en contempler les détails pour la première fois de sa vie, n’ayant jamais eu à ce jour aucun rapport saphique intime, à l’exception d’un petit baiser d’adolescente dérobée dans les toilettes du lycée qui l’avait autant troublée que choquée. Maître Gé, qui sent le désir monter sur la peau de sa soumise qui frémit, saute sur l’occasion.

- Sir RightHand, me permettez-vous de profiter de cette chatte humide pour faire découvrir à ma jeune soumise le goût de la cyprine et des sécrétions féminines.

Le Dominant Anglophone imprime une petite pression sur l’épaule de sa soumise qui comprend aussi sec qu’elle doit lui traduire la demande de Maître Gé dont il n’a pas saisi toute la nuance, d’autant plus que ce dernier s’est exprimé cette fois en français. C’est donc avec un plaisir qui s’entend dans la voix de manière limpide que FrenchPussy transmet la demande qui l’enchante à l’idée de pouvoir bénéficier après cette épreuve d’un petit léchage intime de ses lèvres onctueuses et dégoulinantes qui n’attendent plus que cela. Mais la réponse en anglais du Dominant est d’une autre teneur. Sur l’ordre du Maître, la voix beaucoup moins enjouée cette fois, FrenchPussy rapporte les propos de Sir RightHand à Master Gé, bien qu’elle se doute que ce dernier a dû ment comprendre, car elle a pu remarquer précédemment qu’il conversait directement dans un anglais plus qu’honorable. Et c’est donc à contrecœur qu’elle confirme :

- Monsieur, je suis désolée de vous dire que Sir RightHand estime que ma punition n’est pas tout à fait terminée et que je n’ai pas le droit de profiter des plaisirs buccaux que pourrait me procurer votre générosité par l’entremise de la langue de votre soumise Gémienne.
Il vous propose à la place de profiter de l’intimité de l’esclave N°18 qu’il met totalement à votre disposition pour l’initiation de votre jeune soumise en devenir.

Master Gé a bien évidemment compris intégralement dès le début les propos de Sir RightHand, mais il tient avant tout à ce que sa soumise Gémienne puisse apprécier la subtilité des échanges entre les deux Dominants. Et puis surtout, il a pris un malin plaisir à les entendre répéter dans la voix humide et attristée de celle qui a les cuisses écartées et qui se voit toujours privée de plaisirs al-léchants. Master Gé voulant poursuivre l’éducation de sa jeune soumise se retire après avoir salué Sir RightHand, entrainant à sa suite les deux esclaves-femelles du cheptel N°6 et N°18, bien décidé à utiliser les deux chiennes bien dressées pour faire découvrir à sa Gémienne tous les plaisirs des caresses buccales dispensées entre femmes, demandant à l’une de se glisser entre les cuisses de la jeune soumise et à l’autre de s’asseoir sur son visage, de manière à ce que Gémienne puisse à la fois ressentir en son bas-ventre et à l’intérieur de son intimité vaginale les effets charnels excitants de ce qu’elle-même va pouvoir procurer à une autre avec de savants coups de langue parcourant les plis intimes d’une chatte coulante de désirs et de sucs féminins.

De son côté, Sir RightHand est allé quérir sur une des consoles un martinet à lanières souples. Profitant de l’immobilité imposée à sa FrenchPussy et de sa position indécente, cuisses grandes ouvertes, qui met sa chatte bien en vue, il promène les lanières du martinet sur le corps de la soumise qui frémit et s’excite encore plus, tout en même temps qu’elle s’inquiète un peu, car elle est assez douillette en matière de plaisirs cinglants D/s, n’ayant jamais été fustigée qu’au niveau des fesses par Sir RightHand, qui lui a souvent parlé de la dureté de l’éducation anglaise D/s à laquelle il entend l’initier peu à peu. Elle prend conscience que ses fesses ne sont pas accessibles tandis qu’elle est toujours écartelée sur le fauteuil médical, et que les parties du corps qui sont exposées et offertes aux coups qui pourraient s’abattre sur elles sont nettement plus sensibles que son postérieur, songeant avec crainte à sa poitrine, son ventre, ou même l’intérieur de ses cuisses. Le Dominant remet dans la bouche de sa soumise le bâillon-boule, ce qui achève de l’inquiéter, mais en même temps d’ajouter une grande part d’excitation à son trouble.

- FrenchPussy pas crier jusqu’à fin punition. Après moi pardonner et oublier, mais jamais toi recommencer.
- Yes, Sir ! Je promets.

Sir RightHand commence par des petits coups sur l’intérieur des deux cuisses, les dispensant de plus en plus forts et se rapprochant peu à peu de l’aine et l’entrecuisse, laissant quelques lanières s’abattent sur la chatte bombée et excitée de la soumise qui ne peut émettre le moindre son avec le ball-gag qui lui bâillonne la bouche. Réduisant un peu la cadence et la force des coups en s’approchant des chairs plus intimes, d’autant plus sensibles qu’elles ont été fraîchement épilées, le Dominant cingle maintenant carrément les lèvres vaginales qui passent de la couleur rosée à un ton largement plus rougeoyant. FrenchPussy laisse de nouvelles larmes s’échapper. Jamais elle n’avait imaginé que l’on puisse imposer à sa chatte en feu un traitement aussi intense, elle a le sentiment que ses chairs vont être meurtries à tout jamais tant elle les sent s’enflammer sous les coups, mais en même temps, un immense bien-être excitant la prend aussi de l’intérieur et elle voudrait crier autant son plaisir que sa douleur, découvrant des sensations qui lui étaient jusque-là inconnues. Les lanières du martinet s’immiscent dans toute sa cavité et viennent parfois titiller son clitoris lui arrachant un petit cri aussitôt étouffé par le bâillon. Son corps en proie à des sensations contradictoires voudrait que la douleur cesse car elle sent ses chairs en feu, les imaginant tuméfiées et lacérées (se doutant fort peu que Sir RightHand fait très attention aux coups qu’il porte sur une zone sensible qu’il tient à préserver par respect pour celle qui est sienne, mais également pour le plaisir qu’il en retire lorsqu’il possède sa femelle soumise). FrenchPussy voudrait également, même si cela peut paraître contradictoire et en tout cas peu réaliste, que les coups et la douleur ne cessent jamais et qu’ils l’emportent encore plus loin vers le sommet des plaisirs D/s. Elle tremble, se cabre, s’offre encore plus à l’instrument et à la main de celui qui lui a fait découvrir les plaisirs D/s et les plaisirs sexuels tout simplement.

Sir RightHand met un terme à la punition, retire le bâillon de la bouche de sa soumise et l’embrasse à la française en forçant sa bouche par une langue inquisitrice et possédante qui s’engouffre profondément. Détachant sa ceinture de cuir et ouvrant sa braguette, il sort un phallus gros et dur qui ne demande qu’à s’immiscer entre les chairs sensibles de celle qui s’ouvre comme jamais pour se laisser posséder et remplir. Il la martèle à grands coups de butoir, profitant de l’entrecuisse écartelé pour s’engouffrer encore plus profondément dans le vagin de la femelle qui se met à haleter de plus en plus fort, libérant un premier orgasme puissant, tandis que le Mâle poursuit ses assauts virils par de puissants va et vient faisant chavirer sa belle encore deux fois avant de venir à son tour sous de puissants râles se répandre amplement dans la caverne humide de celle qui lui appartient et qui n’oubliera sûrement pas cette punition de si tôt, ayant été condamnée à plus de 15 jours de chasteté imposée et une épilation en règle à la pince à épiler. Sir RightHand après avoir pris le temps de se remettre et de reprendre son souffle, se retire du corps de sa soumise qu’il détache peu à peu et qu’il aide à se relever conscient que ses muscles doivent avoir été suffisamment mis à rude épreuve dans la position d’écartèlement que lui-même avait imposé. Il la prend entre ses bras et l’entraine délicatement vers la chambre qui a été mis à sa disposition dans le Château pour pouvoir terminer la soirée enlacés tendrement avant de sombrer ensemble dans les bras de Morphée, tandis que la soumise ne cesse de le remercier, de lui baiser les mains en lui promettant de ne plus jamais recommencer et de toujours veiller à respecter ses ordres, même en son absence…

(A suivre …)

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