Chaleur Et Surprise De Sexe

Chaleur et surprise de sexe
Une vraie canicule aujourd'hui, à peine rentrée chez moi, -chez moi c’est « chez Soline »-, j’enlève mes fringues pour enfiler une superlégère chemisette transparente, pas de culotte évidemment. Je sors du frigo une belle courgette, l’enveloppe dans un film plastique, étire ma grotte à bite pour y fournir ce légume froids, ça fait un bien de faire habiter ma gaine vaginale de ce morceau glaciale. Dans instants, je vais passer une aventure saphique organisée au pied levé avec une belle créature inconnue et qui m’avait attiré dans les mailles de son filet. On s’était donné rendez-vous sans échanger de noms, juste : l’adresse, en sortant au 3ème la première porte à gauche, entrouverte.
J’entrebâillais les volets pour empêcher la chaleur investir mon vestibule, ensuite, alors que je m'attelais à mes fourneaux pour préparer un petit repas léger d'été, avec ma moule au frais, en attente, toute excité ma nouvelle comparse inconnue, ma voisine gouine Lisette étant en vacances.

Subitement, sans crier garde, je sens une présence derrière moi, elle commençait à m'enlacer, pas équivoque possible, c’est elle. Cela fait un bien fou d’être détaillé par surprise. Je sens une main malaxer les seins et m'effleurer, des doigts glisser entre mes cuisses et cherchant à apprivoiser ma coquille. Elle m’enlève mon légume squatteur. L'excitation monte, des lèvres plein de tendresses se posent dans mon cou, je frissonne. Tous mes sens sont aiguisés. Évidemment je lui tiens mes atouts avidement à sa disposition, j’en râle de plaisir montant, belotant mon dos dans ses seins abondamment.
Toujours derrière moi, ses douces mains caressent ma chatte brûlante, elle pourvoit mon clito d’une rasade de caresses. J’ahanais, je sens que je vais exploser, l’inconnue me masturbe avec deux doigts, ma machine de cyprine bat à plein régime.
Elle me plaque contre le mur de la cuisine et m’arrache ma nuisette et fait émerger les pointes de mes seins qu'elle se met à sucer et à lécher, elle les aspire, retirant sa tête en arrière.

J’ai joui des seins, du clito, et du vagin, je la pourvois d’une fontaine de cyprine. Je déballe ses seins énormes, pince ses tétons, je déboutonne son jeans, le laisse tomber à terre, m’apprête à lui faire un emploi saphique du tonnerre quand je sens mes main avançant à son entrejambe, « qu’elle » avait un gourdin en érection d’âne que je tenais fermement en main.
Je m’en fou avec un tel entrain de sexuel, d’avoir été piégé par cette pétasse de transsexuelle, ça m'excite encore d'avantage, je mouille comme une folle. « Elle » respectivement, « Il » s'accroupit devant moi pour me lécher effarouché ma cramouille la minaude comme jamais au préalable, je tremble, mon corps vibre, je me délecte de cette caresse.
L’inconnu me plaque sur la table de cuisine. Je le supplie d'arrêter, je ne peux plus attendre, je veux qu'il me prenne ici et maintenant. Mais c’est comme si je n’avais rien dit, il taraude ma vulve avec sa bouche qui dégouline, un effluve se verse du le périnée à la raie de mes fesses, il en profite, il me masturbe aussi bien lubrifié avec l’index et majeur ma tirelire et son pouce dans mon fion.
Par une prise d’étrangleur il me prend par le cou, me ré plaque contre le mur, alors ainsi appuyée contre, je sens son membre m’emmancher d’une pénétration de vigueur debout, je ne peux empêcher gémir.
L’inconnu stoppe toutes possibilités d’émettre un son, c'est plus que bon... je suis dans un délire, je suffoque, cherche de l’air, je suis en vertige total et prêt à m’évanouir. Il lâche un peu sa griffe, je tire l’air dans mes poumons, alors qu'il agite son bassin, ce n’est plus une baise, c’est un véritable tronçonnage, mon corps est un volcan en éruption.
L’inconnu m'att aussitôt, comme une poupée et me projette sur le plan de travail, j'écarte les jambes pour qu'il me racle les bas fonds de ma cavité. Il sort, entre de nouveau en moi l’allure étincelante. Mes lèvres vaginales l’enclume, il met mes parois muqueuses à rude épreuves, à chaque coup de rein il m’écrase mon bouton d’amour.
Je sens sa queue dure faire des va-et-vient de bûcheron et j'accélère mes contre-mouvements pour le sentir encore plus profondément. L’inconnu me fait sortir toute ma perversité en bloc, puis il n’en reste pas en arrière.
Notre déhanchement s'accélère d’une façon ahurissant jusqu'à ce qu'un courant électrique traverse mon dos, touchant ma cervelle jusqu’aux orteils et nous jouissons à l'unisson.
Terrassé sur le moment que je suis, mais non rassasiée de cette exceptionnelle ivresse sexuelle, un instant après je décide de lui rendre la pareille.

Je lui fais allonger sur mon lit, je me mets à califourchon sur lui. J'embrasse ses douces lèvres très féminines, ses merveilles de nichons, jusqu'au m’assoiffer descendant progressivement le long de son corps.
J’hume l’odeur corporel de l’inconnu, sublime sa raideur, sa bite me rend folle dingue. D’un coup je me l’embouche, je la relâche en suçant son tuyau, je léchouille son gland, harcèle son frein et prend plaisir inouï d'entendre gémir, son nœud risque à tout moment me péter à la gueule.
Il respire fort, je prends sa queue entre mes seins et effectue des va-et-vient tout en frottant et raclant mon clitoris contre sa cuisse, en léchant ses tétons, les mordillant; c'est tellement bon de pouvoir me servir ses double attribues.
J’enquête sur la belle bite en bouche à la faroucherie un maxi à atteindre, la suce en la branlant, je suis folle de la beauté de ses érections et sa répondante.
Alors que son gland est gorgé d'excitation, j'enfonce sa queue dans ma chatte, me posture en l’Andromaque pour lui tirer sa sève et me baiser mon clito en même temps, je m'anime en le sautant en amazone. Je m'agite comme une folle jusqu'à ce qu'il me renverse, att mes jambes pour les mettre sur ses épaules à L’Enclume et me pénètre avec force dans mon p’tit trou, sans pour autant délaisser ma chatte où il y enfourne la moitié de sa main. Je jouis une première fois puis ressent l'envie qu'il me pénètre encore et encore et encore.
Il m’arrache un nouvel orgasme terrifiant. Je suis autrement en salope excitée comme jamais, chaque mouvement est un tremblement de terre et il en remet, et remet. Ma chatte et mon fion clapotent, le mélange des nos jus, éclaboussent de partout, nos cris de jouissances résonnent dans la cuisine
Je gémis et halète, nous nous mettons en position de la Cuillère, caressant mon clitoris outrageusement, nous joignons en glissade nos seins, il fait onduler son bassin, nous jouissons une fois de plus à l'unisson puis je lui réclame une trêve. En moins d’une minute je l’entends ronfler et je m’assoupie moi-même.

Au réveille, à peine que l’inconnu ouvre ses yeux, je lui plaque ma vulve en « facesitting » sur sa bouche, joue mon clito avec son nez, selon ses traits féminines on aurait juré que c’est une nana et qui connaît un bail sur des plaisirs vaginaux, je lui imbibe toute sa figure de mon liqueur, en arrière je fais jouer ses magnifique seins avec les deux mains, comme dans une vraie séance saphique.
La réalité me revient de suite quand je me tourne en 69. J’avais cette immense colonne de chair raidie devant moi, je le lui ai fais une gorge profonde, il me pourvoit sa sauce en la lâchant dans mon œsophage, je lui vide son tuyau et cherche à tâter et deviner par ses couille s’il en reste encore un réserve.
Je me lève pour chercher ma dernière acquisition le gode-ceinturon, sans ceinture, je lui fais assoir confortablement sur un accoudoir rembourré d’un fauteuil dans la chambre, positionne sa jambe droite sur mon épaule, enjambe l’autre, appui la tête de l’engin sur son trou plissé, l’enduit bien avec ma cyprine l’œilleton et la bite factice ciblée au centre et l’introduit dans son anus lentement mais inlassablement. Arrivé à la garde, je lui baise son fion, l’imprime d’un aller-retour sans pitié. La bite boyaute sa gaine et j’accélère mes mouvement en branlant sa queue. J’ai pu libérer l’autre main pour lui ploter un sein. Sa bite prospère, sous ma magne et je me fais un malin plaisir de niquer son intestin, tout en harcelant ma caverne avec l’autre bout en moi, qui râpe sans arrêt mon point G.

Mon objet de plaisir vient de relâcher sa dernière salve de sève, mais je m’en fou même de mon propre orgasme, je continu à lui astiquer son boyau encore cinq minutes d’une façon effréné jusqu’au nouveau point du non-retour de nous deux. J’ai loupé mon rendez-vous chez ma coiffeuse et vers midi, je lui fais mettre sa queue entre les jambes, en l’expédiant de mon appartement. Puis je me rendis à son salon, à deux pas de l’immeuble où j’habite, reporter mon rendez-vous mais à mon domicile.
- OK ! Bisous Soline, à ce soir !?!
Puis je me rendis au sex-shop me procurer un autre gode-ceinture, spécial femme, sans ceinture, plus gros, plus nervuré, pour Lucienne ma coiffeuse et amie.

Peut-on passer une journée de grande canicule plus agréablement que ça, qu’en pensez-vous ?

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