Exquise Chevauchée Sauvage

Soudain, tu te rebelles. Toi qui depuis tout à l’heure cédait à tous mes caprices, à toutes mes envies, tu revendiques ton droit à l’initiative.
Je roule sur le lit et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve sur le dos, surplombée par une femme au regard presque machiavélique. Je vois bien dans ces yeux que tu as une idée bien précise.
Tu es assise sur moi, dominante, fière. Certes, il me suffirait de basculer sur le côté pour te déstabiliser et reprendre le dessus. Mais je n’en ai pas envie. Je ne capitule pas. J’ai juste envie de savoir ce que tu me réserves.
Ton regard devient malicieux… Je laisse courir les mains sur tes cuisses et je m’approche de tes hanches. Tu les saisis par les poignets et tu les glisses sous les genoux. Je me retrouve à ta merci.

Maintenant, tes doigts courent sur mon torse, se dirigent vers mon ventre. Tu t’amuses à y faire quelques cercles car tu sais combien je suis chatouilleux à cet endroit. Je me contracte, mais je suis immobilisé.
Tes yeux se posent sur ton entre jambes : ils m’interrogent. Mon sexe dur dépasse et a réussi à se frayer un chemin entre nos deux corps. Il pointe son nez innocemment, presque interrogatif sur le sort qu’on lui réserve. Tu t’en amuses et me réponds :
- Tu as vu, moi aussi j’ai une queue ! D’ailleurs, comme ça, on se demanderait presque à qui elle est … Tiens, je serais curieuse de savoir ce que cela fait d’en avoir une…
Je ne te réponds que d’un petit rictus. Tu redresses la tête, presque basculée en arrière. Tes mains glissent le long de mon bas ventre, escaladent des cuisses. De concert, elles plongent entre tes jambes. Le pouce et l’index de chacune de tes mains saisissent ma verge à sa base. Ils remontent sur sa longueur et c’est bientôt tous les doigts qui viennent se poser dessus. Doucement tu commences des mouvements de va-et-vient.
Un instant, ta main gauche se retire et plonge sous toi. J’aperçois tes doigts te fouiller.

Ils ressortent après un bref instant. Tu tends la paume de la main vers le haut et tu viens y déposer mon gland. D’un coup, tu le pièges dedans et tu l’enduis de ta cyprine d’un savant coup de poignet.
Ton bassin s’avance vers moi. Je sens ma verge glisser entre tes lèvres humides. Tu te cambres en t’aidant de ton bras droit. Je vois tes yeux se fermer de plaisir au fur et à mesure que je coule dans ton sillon. Ta main gauche replonge entre nous. Tu accueilles ma verge dans ta main et la plaque contre ton vagin. Tu gémis doucement, tendrement…
Ton bassin commence à s’accélère. J’ai désormais l’impression que tu me chevauches. Tes va-et-vient sont de plus en plus amples. Tu te cambres autant que tu peux sur tes bras. Ma verge disparait entre tes lèvres et ne trahit plus sa présence que par mon gland turgescent qui en dépasse. Ton excitation abondante l’enveloppe. J’évolue dans un coton sensuel qui me mène aux portes du Plaisir. Je voudrais te prendre par les hanches, mais tu bloques toujours mes bras… je pourrais certainement m’en défaire, mais je ne pense pas que tu veuilles. A mon tour, je me cambre sous tes mouvements. A chaque passage entre tes lèvres, je sens mon gland à la limite d’exploser. Mon membre se raidit. Je me sens enfin jouir.
Mais, subitement, au gré d’un de tes déhanchements, je m’introduis en toi où j’explose sans retenue.
Tu te raidis sur moi : nous aurions bien du mal à glisser le moindre doigt entre nous… Mais à quoi bon ? Tu me regardes, espiègle, le doigt sur les lèvres :
- Oops, je crois que je t’ai avalé…


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