Envies D'Hommes (2) - Début D'Une Histoire

Une année s’est écoulée depuis ma rencontre avec Thomas, le mec de ma première fois. Maintenant, je travaille et habite à Dax. Pendant les quatre mois qui ont suivi mon déménagement, je me suis consacré à mon boulot, au sport, mais pas aux mecs. Et puis finalement, vers Noël, je me suis de nouveau inscrit sur quelques sites de rencontre, les gays étant plus rares dans le secteur…
Passons sur quelques plans sans grand intérêt…

En début d’été, je fais la connaissance virtuelle de Jean. Il a 32 ans. Il est éleveur de vaches près de Pau, à une heure de chez moi. Il a à peu près la même corpulence que moi. Mais il pose fièrement torse nu sur sa photo de présentation, et là c’est plus pareil. Il est musclé, sec. Des abdominaux parfaitement dessinés, de jolis pecs, quelques poils noirs descendent de son nombril vers son boxer. Bref, très excitant.
Après avoir discuté quelques jours sur le site, il me propose de venir le voir le samedi soir. Ce que je fais. Il a prévu des pizzas et nous mangeons devant la télé. Très sages, tous les deux timides. Ce n’est qu’après le repas que nous nous rapprochons. Nous nous embrassons. Ah, il fume… mauvais point ! Mais pendant ce temps, mais mains glissent sur ses fesses. Rebondies et musclées, un délice pour les doigts ce petit cul de paysan. Un bon point !
Sans arrêter nos baisers, nos mains parcourent nos corps. C’est la première fois que je caresse un corps si musclé. Ma queue grossit dans mon boxer. Nous sommes collés l’un à l’autre et je sens aussi sa bite prendre de l’ampleur. A son tour, ses mains me caressent les fesses avec ardeur. Alors que je passe mes bras autour de son cou, Jean en profite par me soulever, grâce à ses bras puissants il m’emmène rapidement jusqu’à sa chambre.
Ses yeux brillent, je vois dans son regard une grande excitation. Il a envie de ce corps qu’il vient de laisser sur le lit. Je me redresse légèrement pour admirer le spectacle : debout devant le lit, il retire son t-shirt.

Son torse est tout simplement magnifique : de pectoraux carrés qui surmontent 4 lignes d’abdominaux parfaitement marquées. La lumière de ce soir d’été éclaire ce corps parfait et le sublime. Jean enlève ensuite doucement son short, découvrant d’imposantes cuisses, peu poilues comme le reste de son corps. On voit de suite que c’est le travail physique en plein air qui a sculpté ce corps d’Apollon. Pendant tout ce strip-tease, je me caresse doucement la bite à travers mon short qui forme maintenant une belle bosse.
Jean est devant moi, simplement avec son boxer Dim jaune fluo complétement déformé par son outil. Il me regarde et se jette sur moi. Je sens tout son poids et même s’il a la même taille que moi, je sais bien qu’avec cette musculature, il peut faire ce qu’il veut de moi. J’aime cette sensation. Il me dévore le cou tout en frottant tout son corps contre le mien. « Déshabille-moi » lui dis-je à l’oreille. Alors il me redresse, m’enlève mon t-shirt et commence à me mordre les tétons. Puis il att mon short qu’il me retire d’un coup en même temps que mon boxer. Ma bite vient frapper mon ventre et aussitôt il se met à la mordiller. Il entame ensuite avec délicatesse une bonne pipe. Je laisse alors ma tête partir en arrière et savoure ce moment en gémissant. Il en profite alors pour avaler entièrement mes 18 centimètres sans problème, et il parvient même du bout de la langue à me lécher les couilles. Cette fellation exceptionnelle a duré une bonne dizaine de minutes pendant lesquelles je dû lutter à plusieurs reprises pour ne pas jouir.
Jean se redresse et, debout sur le lit au-dessus de moi, il laisse glisser son boxer. Il exhibe alors une belle bite parfaitement droite de 16 cm. Aussitôt je me redresse, et à genoux devant lui je lui lèche les cuisses et remonte doucement vers ses couilles pendantes et son sexe. A mon tour de le sucer. Je veux lui rendre le plaisir qu’il m’a donné, et après avoir bien mouillé son engin, j’arrive enfin à le rentrer entièrement dans ma bouche.
Il att alors ma tête pour me guider, et moi, j’enroule mes bras autour de ses cuisses musclées. Il gémit bruyamment, d’une voix grave et virile qui m’excite franchement. Il fait chaud, nous sommes déjà tous les deux en sueur et nous aimons cette ambiance, cette odeur virile.
Quand il est satisfait de ma fellation, il me renverse sur le dos et att mes jambes qu’il pose sur ses épaules, et d’une main en bas de mon dos il me soulève et me lèche les fesses et les couilles. De l’autre main il me branle doucement. Sa langue ballade sur mes fesses, mes couilles, ma raie, et commence ensuite un anulingus mémorable. Puis il me repose, m’embrasse vigoureusement et att une capote qu’il enfile rapidement. Je suis toujours sur le dos, il écarte mes jambes en me tenant les chevilles et appuie son gland sur mon cul. Je suis tellement excité que sa queue glisse tout doucement en moi jusqu’à ce que ses grosses couilles viennent taper mes fesses. Il pose alors mes mollets sur ses épaules et se penche vers moi pour m’embrasser, mettant davantage de poids que sa bite qui arrive à s’enfoncer encore un peu plus en moi. J’aime cette position : je peux regarder dans les yeux le mec qui me pénètre, je peux l’embrasser, je peux voir son torse, je peux le caresser. Il commence alors les allers-retours dans mon cul. Il est tellement excité que dès le début le rythme est soutenu. A chaque mouvement j’ai l’impression que sa queue vient directement me frapper dans le ventre. Il y met de plus en plus d’élan, allant jusqu’à sortir sa bite de mon cul plusieurs fois avant de me reprendre. De mes mains libres je caresse tout ce que je peux atteindre : ses cuisses puissantes, ses abdominaux en béton, ses pecs gonflés, ses bras musclés. Il fait au moins trente degrés dans cette chambre et nous sommes tous les deux en sueur, aussi mouillés que si nous sortions de la douche. Nos corps glissent. C’est bon. Trop bon. Sans même toucher à mon sexe, je jouis d’un coup et plusieurs énormes jets finissent sur mes abdos et mes pecs.
Il ralentit alors le rythme mais laisse sa queue dure en moi. Il m’embrasse et colle tout son corps au mien. Le sperme se mélange à la sueur entre nos deux torses. Ses bras passent autour de moi et il me serre contre lui. Je suis écrasé par cette bête de sexe. Je ne débande pas, il le sens et sans desserrer son étreinte, il recommence petit à petit à déplacer sa queue en moi.
« Encore envie ? me demande-t-il.
- Oui, tant que tu veux ».
Et il recommença à me pilonner tout en frottant son corps sur le mien et en m’embrassant. Ses abdos branlent ma bite encore dure et coulante. Je suis excité comme si je n’avais pas encore joui. Il me lime ainsi un bon moment et dans un cri sourd, c’est un nouvel orgasme qui m’a envahi. Mon sperme coule de nouveau entre nos deux corps. Il se redresse au-dessus de moi, à genoux au-dessus de mon torse, se branle quelques instants et me recouvre d’une bonne couche de semence. Il se recouche sur moi. Nos corps glissent l’un contre l’autre avec la sueur et le sperme de nos trois éjacs. Moi qui ne suis pas très attiré par le sperme, j’en suis couvert.
La douche qui suivit est aussi mémorable. La bestialité fait place à la douceur, les doux baisers remplacent les grosses pelles qu’il me roulait quelques minutes plus tôt. Je savonne ce corps parfait contre lequel j’allai passer la nuit.

En me réveillant, je sens une main qui caresse doucement mon corps et s’attarde sur mon sexe en érection. Il y a bien longtemps que je n’avais pas dormi avec un mec. Alors j’en profite, et à mon tour je caresse ce corps parfait. Il est tôt, mais il fait déjà chaud et n’avons plus de drap sur nous. Nos corps brillent sous les premiers rayons du soleil qui entrent à travers les planches des vieux volets.
Jean se laisse faire et s’allonge sur le ventre, me présentant de belles fesses musclées. Je les embrasse, puis je descends ma bouche sur ses cuisses et ses mollets. Je me couche sur son corps, et place mon sexe entre ses fesses.
Tout en me frottant à lui, je lui embrasse et mordille la nuque. Je pose mes mains sur ses biceps, et je ressens la puissance de ce corps qui s’offre à moi.
« Prends-moi » me dit-il doucement. J’enfile alors une capote restée sur la table de chevet et repositionne ma queue entre ses fesses. Jean se cambre légèrement pour me faciliter la chose, et j’appuie doucement mon gland sur son trou. « Oh oui ! Vas-y…» lâche-t-il quand mon gland entre en lui. Mais j’ai envie de m’amuser et préfère ressortir quelques instants, avant de lui remettre l’extrémité de ma bite dans le cul. Je répète ce petit jeu sadique plusieurs fois, ce qui finit par le faire gémir assez fort. Il se redresse alors pour se mettre à quatre pattes devant moi, ce qui a pour effet de faire entrer ma queue un plus profondément en lui. Je l’att alors par les hanches et m’enfonce en lui jusqu’à ce que mes couilles touchent les siennes.
La séance de sexe qui a suivi a été aussi torride que la veille. Dans les multiples positions que nous avons essayé, j’ai pris du plaisir comme rarement en tant qu’actif.

Au moment de nous quitter, malgré la distance (une bonne heure de route) nous décidons de nous revoir. C’est ce que nous avons fait plusieurs fois le mois qui a suivi. Une complicité nouvelle était née peu à peu. Il m’aime. Moi, je ne sais pas.

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