L'Appartement

Il y a quelques mois, je me suis mis à la recherche d’un nouvel appartement. L’envie de changer d’air tout en restant dans ma ville mais surtout à la recherche de quelque chose de plus pratique, de plus centré que l’appartement que j’occupe. Un matin, en épluchant les petites annonces du journal local, je vois une annonce pour la location de ce que je recherche : quatre pièces, cuisine ouverte, salle de bain, WC séparés, grand balcon, cave et garage à disposition dans l’immeuble. Tout ça au dernier étage d’un immeuble qui en compte cinq. Je suis célibataire mais il me faut de l’espace donc un quatre pièces c’est l’idéal. J’appelle immédiatement l’agence car je veux absolument aller visiter cet appartement le plus rapidement possible. A l’autre bout du fil, une voix féminine très agréable me répond :
- Agence immobilière W. bonjour.
- Bonjour, E. je rétorque. Je vous téléphone concernant l’annonce de l’appartement à louer qui est parue dans le journal de ce matin. Est-ce qu’il est toujours libre et si oui, est-il possible de le visiter ?
- Le quatre pièces au centre ? Il est toujours libre, bien sur. Et pas de problème pour une visite. Quand cela vous convient-il ?
- Demain matin, dix heures ?
- Attendez, je consulte mon agenda… Demain matin dix heures, il n’y a pas de problème. Je vous attendrai devant la porte de l’immeuble.
- Alors c’est parfait. Je vous souhaite une bonne journée et à demain matin.
- Merci et bonne journée à vous aussi. A demain.
On raccroche. Je me dis que si j’arrive à obtenir cette location, ce serait génial. Le lendemain matin, j’arrive avec cinq minutes de retard à notre rendez-vous. Maudite circulation au centre ville et surtout l’aventure pour trouver une place de parc… En m’approchant de la porte de l’immeuble, je vois une femme qui fait le pied de grue sur le trottoir. Elle est blonde, de longs cheveux retenus en chignon derrière la tête. Elle est vêtue d’un long manteau noir fermé jusqu’au col – on est au mois de novembre- et juchée sur des escarpins à talons hauts, noirs également.

Mais c’est sa taille qui m’impressionne : malgré ses talons, elle ne dépasse pas 1m60. Elle est toute petite, presque naine. Son visage est joli, ses traits sont fins. De grands yeux bleus légèrement fardés de noir, une bouche bien dessinée par un rouge à lèvre prononcé, un nez fin. Elle doit avoir à peu près mon âge, la cinquantaine débutante. Elle porte des gants de cuir noir et serre un dossier en plastique blanc contre sa poitrine. Je me dis que ça doit être la personne que j’ai eue au téléphone hier. Je m’approche d’elle et fait :
- Bonjour Madame. Je viens pour l’appartement. C’est vous que j’ai eu au bout du fil hier ?
Elle me regarde, légèrement surprise, se reprend et me répond avec un grand sourire :
- Euh ! Oui. Bonjour Monsieur E. En effet, vous m’avez appelé hier.
- Désolé pour ce léger retard, la circulation…
Elle rigole :
- C’est pas grave. On monte voir cet appartement ?
- Avec plaisir. Je vous suis.
On entre dans l’immeuble et on prend l’ascenseur pour monter jusqu’au cinquième. Arrivés dans l’appartement, elle me dirige jusqu’au coin cuisine et pose son dossier sur l’îlot central. Elle enlève ses gants, déboutonne son long manteau et pose le tout à côté du dossier. Elle est vêtue d’un tailleur rouge. Sa jupe arrive à mi-cuisses, ses jambes gainées de bas noirs et sa veste est cintrée à la taille. Sous le haut se son tailleur elle porte un chemisier blanc légèrement déboutonné. Son décolleté est attirant mais reste discret. Une jolie paire de seins se dessinent sous le tissu. Malgré sa petite taille et sa silhouette fluette, cette femme est très jolie, elle sait se mettre en valeur. Elle ouvre la pochette en plastique, en sort une paire de fines lunettes qu’elle pose sur son nez, en extrait une feuille imprimée et un stylo.
- On y va ? Me demande-t-elle
J’enlève mon blouson et le pose à côté de ses affaires.
- On y va ! Je lui réponds. Après vous.
On fait le tour de l’appartement, pièce par pièce.
Ses hauts talons claquent sur le carrelage. Je la suis tout en profitant de mater son joli petit cul. Arrivés à la salle de bain, elle me dit :
- Je vous laisse entrer en premier. C’est le seul défaut de cet appartement, la salle de bain est étroite. Allez-y, je vous en prie.
Je passe devant elle et entre. En effet, c’est assez étroit mais tout est fonctionnel. J’inspecte la pièce et me retourne pour ressortir. Elle est plantée devant moi, à quelques centimètres de ma poitrine. J’ai un sursaut de surprise et manque de la renverser. J’ai juste le temps de la rattr par les épaules avant qu’elle ne chute en arrière. Je la regarde dans les yeux et lui souffle :
- Excusez-moi. Vous m’avez fait peur.
- Non c’est moi, me répond-elle. Excusez-moi. Désolée.
On sort de la salle de bain et continuons le tour de l’appartement. Décidément, l’endroit me plaît bien. La vue depuis le balcon est géniale, les pièces sont spacieuses et claires, fraîchement repeintes. On arrive à notre point de départ et elle me demande :
- Alors ? Ca vous plaît ?
- Ouais ! Je lui réponds. C’est un chouette appartement. Il me plaît énormément. Mais…
- Mais ?
- Quel est le montant de la location ? Il n’y a rien de mentionné dans l’annonce. Je suppose que ce n’est pas bon marché.
- Détrompez-vous. En fait, cet appartement m’appartient et j’adapte la location au plus juste. Je ne fais pas de spéculation, je veux juste que mes appartements soient occupés. J’en ai plusieurs en ville et tous ont une location plus que raisonnables.
Elle m’annonce le montant et je reste figé. Impossible de tomber sur une occasion pareille une seconde fois. L’affaire est trop belle. Elle me regarde intensément et me demande :
- Alors ? Toujours intéressé ?
- Plus qu’intéressé, même. Je le prends.
Elle s’approche de moi, lève la tête vers mon 1m80 et murmure :
- Il y a une condition pour que je vous loue cet appartement.
- Laquelle ?
- Prenez vos affaires et suivez-moi, s’il vous plaît.

Je ramasse mon blouson, elle en fait de même avec son manteau, ses gants et sa pochette en plastique et nous sortons de l’appartement, moi toujours derrière elle. Je me demande vraiment ce qui m’attend, je suis intrigué. Elle referme la porte, traverse le palier et ouvre la porte l’appartement situé en face.
- Entrez ! Me fait-elle.
J’obtempère et en passant devant elle, je remarque qu’elle me regarde avec un petit sourire narquois. J’arrive dans un petit studio meublé avec beaucoup de goût. Un grand lit aux draps en satin rouge vif trône au milieu de la pièce. Dans un angle il y a un petit coin cuisine avec une petite table ronde et deux chaises, une porte grande ouverte donne sur une salle de bain lumineuse. Des peintures érotiques sont pendues au mur et un énorme miroir est fixé au plafond, juste en dessus du lit. Je me dis « Waow ! Je suis où là ? Je vais passer à la casserole ? » . Elle referme la porte et m’enjoins :
- Asseyez-vous s’il vous plaît.
Je me dirige vers la petite table et elle me retient d’un ton sec et sans appel :
- Non ! Pas là, sur le lit.
Oh putain ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Elle va me sauter dessus ? L’idée ne me dérange de loin pas mais c’est rapide comme entrée en matière. J’obtempère et pose mes fesses sur le lit. Elle dépose ses affaires sur la table ronde et vient se planter devant moi, les mains sur les hanches. Elle me toise et me fait en me tutoyant :
- Si tu veux cet appartement, il va falloir que tu me baise. C’est la seule condition.
Je suis éberlué, je ne m’attendais vraiment pas à ça. Elle déboutonne la veste de son tailleur et la laisse tomber parterre puis relève sa jupe sur ses cuisses jusqu’à la limite de ses bas révélant les attaches d’un porte-jarretelles du même rouge que son tailleur, pose ses mains sur mes épaules et me pousse en arrière en me chevauchant. Elle atterrit sur moi, son visage tout près du mien. Ses seins sont plaqués sur ma poitrine, ses genoux enserrent mes cuisses et son ventre est collé au mien.
Sa respiration est chaude, ses lèvres gonflées et la pupille de ses yeux largement dilatée. Avec un sourire en coin, elle glisse une main entre nous, la plaque sur mon entrejambe et me souffle :
- Alors ? Tu acceptes le deal ?
A ce moment, impossible de revenir en arrière. Quand une femelle me fait une telle proposition, j’oublie tout et je fonce tête baissée. Mon cerveau déconnecte et ma queue prend la direction des opérations. Je plaque mes deux mains sur ses fesses, l’attire plus contre moi et lui répond :
- Faudrait être vraiment con pour ne pas accepter.
- Alors vas-y, baise-moi !
Elle plaque sa bouche sur la mienne, force mes lèvres avec sa langue et me roule une galoche magistrale. Ma bite est en train de durcir dans mon jean quand soudain elle lâche ma bouche, se redresse et reste un moment assise sur moi. En me fixant dans les yeux, elle déboutonne son chemisier, l’enlève et l’envoie voler dans la pièce. Cette gerce est chaude comme c’est pas permis. Elle enlève son soutien-gorge qu’elle envoie voler de la même façon, se prend les seins dans les mains et les masse doucement. Ils sont superbes, ronds et les tétons pointent. De mes mains toujours sur ses fesses, je la fait glisser d’avant en arrière sur ma bite qui maintenant forme une grosse bosse dans mon pantalon. Je lâche ses fesses, passe mes deux mains sous sa jupe que je remonte jusqu’à sa taille. Je constate qu’elle ne porte rien en dessous, sa chatte frotte contre la toile de mon jean. Je sens une humidité chaude traverser le tissu. Elle lâche ses seins et s’escrime à enlever mon t-shirt qu’elle envoie également à travers la pièce. Elle pose ses deux mains sur ma poitrine, continue à onduler du bassin sur moi et feule :
- Putain ! J’ai envie que tu me bouffe la chatte
Je repose mes mains sur ses fesses, me redresse à sa hauteur et me met debout d’un coup de rein. Elle s’agrippe à mes épaules, noue ses cuisses à ma taille et colle sa bouche sur la mienne. Je sens son jus chaud qui me colle au ventre. Elle est tellement légère que je ne sens pratiquement pas son corps peser sur le mien. Avec mes pieds, j’envoie valser mes baskets, fais demi-tour et la pose délicatement sur le lit. Elle dénoue ses cuisses pour que je puisse me relever et une fois debout, je fais tomber mon jean, mon boxer et vire mes chaussettes. Ma queue est tendue sur mon nombril, au garde-à-vous. Elle la regarde, les yeux écarquillés :
- Ooooooooooooh ! La nature t’a bien gâtée. Elle est… Superbe !
Elle se redresse, saisit mon chibre d’une main, att mes couilles de l’autre et se met à me masturber. Elle lève ses yeux vers moi et me lance :
- Je suis impatiente que tu me l’enfile dans la chatte.
- Et encore, je lui réponds. Quand tu l’auras dans le cul…
- Ah ça non. Mon cul est réservé à mon mari. Lui seul à le droit de m’enfiler par là. C’est sa chasse gardée.
- On ne peut pas faire une petite entorse au règlement ?
- Non ! C’est comme ça.
- Merde alors.
Elle me lèche le gland rapidement, se remet sur le dos et écarte les cuisses bien haut. En passant une main sur sa chatte, elle me désigne une rondelle en plastique noir plaquée contre son anus et me dit :
- Tu vois ? La place est déjà occupée.
Cette garce à un plug enfoncé dans le fion. Sa chatte est épilée mis à part un léger ticket de métro de poils blonds et courts sur le pubis. Son clito est turgescent, violacé, ses grandes lèvres sont gonflées et sa mouille fait reluire son con. Je tiens plus là, faut que j’enfile mon chibre au fond de cette femelle. Je m’affale sur elle, dirige ma queue contre son vagin et la pénètre d’un coup sec. Elle pousse un gémissement, essaye de me repousser et grogne :
- Espèce de salaud ! Je t’avais demandé de me bouffer la chatte. Ressort de là et lèche-moi.
Je m’arrête, me redresse sur un bras et la regarde dans les yeux, dominateur. Toujours fiché en elle, je me redresse et me mets à genoux tout en maintenant ses cuisses de mouches relevées sur sa poitrine. D’un air arrogant je lui réplique :
- Tu m’as demandé de te baiser en premier, non ? Alors je vais te baiser, petite garce.
Je me mets à la pilonner sauvagement, à coups de reins furieux, m’enfonçant au plus profond d’elle. Elle se met à crier, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Elle passe une main sous elle et me saisit les couilles. Dans un râle, elle me dit :
- Vide-toi en moi, crache ta purée espèce de fumier.
Le frottement de ma queue contre le plug séparé par la mince paroi de sa chair me rend dingue. La sensation est tout simplement délicieuse, je suis en sueur, sens mon plaisir monter mais cette gerce prend les devants et jouit avant moi. Mon bas ventre est trempé de sa mouille, l’odeur musquée de son jus me monte aux narines, m’excitant encore plus. Je ne tiens plus, la ramone furieusement et quand je sens l’explosion arriver, je me dégage de son con et éjacule sur elle. Mon foutre gicle sur sa poitrine, sur son ventre et sur sa jupe à longs jets. Je finis de me vider sur elle, l’aspergeant de mon sperme. Je suis aveugle, des étoiles dansent devant moi, mon corps est trempé. Je saisis ma bite et crache un dernier jet qui finit sur sa jupe. Je souffle comme un bœuf, ma pompe tape dans ma poitrine et je m’affale sur elle. Elle prend ma tête entre ses mains et me dit dans un souffle :
- Oh putain ! Qu’est-ce que tu m’as mis. Je colle de partout.
Je reprends mon souffle et mes esprits et roule sur le côté, haletant. Entre deux prises d’air, je lui demande :
- Alors, j’ai l’appartement ?
- Espèce de con, elle me répond en rigolant. Bien sur que tu l’as. C’est ton nouveau chez toi.
- Cool ! Mais ton cul, je l’aurai un jour ?
- Mon cul, c’est une autre histoire. Mais je pense que tu le mérite. Je vais y réfléchir.
J’ai déménagé quatre mois après. Par la suite nous nous sommes revus occasionnellement, soit chez moi, soit chez elle. Mais je laisse planer le suspens pour une autre fois.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!