L'Intimité Entre Deux Copains D'Enfance... 1/2

Lorsque l’on voit Axel Ronan n’est jamais bien loin et cela dure depuis la maternelle
Aujourd’hui nous avons dix sept ans nous allons chez l’un ou chez l’autre, reçus a bras ouvert par les parents, nous couchons nus dans le même lit sans ambigüité, mais cette armure de ‘fraternité’ commence à se craqueler, pas de notre fait mais du regard des autres, des commentaires commencent à circuler comme quoi nous serions homo
Pourtant jamais nous ne nous somment touchés, uriner l’un a coté de l’autre est chose courante, Ronan a les poils blonds, chez moi ils sont bruns, nous jouons a qui pissera le plus loin, nous connaissons le calibre du membre de l’autre sans toutefois connaitre la différence une fois en érection car nous nous masturbons en solitaire, mais il faut se l’avouer les hormones nous travaillent ! En même temps nous avons peur d’introduire une ou deux filles ce qui auraient sans doute semé la zizanie entre nous, nous avons donc décidés de moins nous côtoyer, tout au moins au lycée afin de faire taire les bavardages

Et puis ce weekend tout a dérapé …nous étions partis faire une virée en VTT en longeant la rivière, soudain au détour d’un sentier nous somment tombés sur un couple d’hommes a peine cachés, face a face, ils se masturbaient mutuellement, l’un d’eux avait un chibre énorme, ça nous a tellement surpris qu’une centaine de mètre plus loin nous avons mis pied a terre

- T’as vu ce que j’ai vu ?
- Ouais, quelle belle queue !
- Avant de repartir vais en profiter pour pisser
- Moi aussi

Chose qu’Axel ne fait jamais il a posé sa bécane et s’est engouffré dans les hautes herbes afin de se dissimuler a moi ? Bizarre, je l’ai donc suivi

- Ha tu es là Ronan ?
- Ça te gêne ?
- Que non, mais je ne sais pas pourquoi je bande à moitié regarde …
- Ça doit être la faute des mecs, ça me fait la même chose …
- Ils se touchaient la bite les salauds …
- Tu aimerais qu’ont en fasse autant ?
- Tu veux me branler ?
- Pourquoi pas ?
- Alors je baisse mon short
- Mettons nous a genoux face a face, j’aime bien tes poils du cul blonds Axel
- Et moi je préfère les tiens, noir corbeau ça fait plus viril
- Normal on désire toujours l’inverse… tu bande dur !
- Ta queue est un peu plus large que la mienne
- Ont se décalotte ?
- Va-y, tire à fond sur la peau, ça fait plus de bien lorsque c’est une main étrangère qui caresse, tu ne trouve pas ?
- C’est vrai, ont s’astique à fond ?….

HHUUUUUUUUUMMMMMMM, C’EST BOOOOOONNNNNNN
- Moins fort ! ‘ils’ risquent de nous entendre
- Boff, après tout nous faisons comme eux !
- Tu ferais ça devant eux ?
- Peut-être, rien que pour voir comment ils font
- Tu crois qu’ils se sucent ?
- Sans doute … ça te dit d’essayer ?
- J’ai grave envie, allonge toi dans l’autre sens

L’envie de tester un acte ‘interdit’ nous fait basculer dans un autre univers, a cette seconde rien ni personne ne pourrait m’empêcher de prendre la bite de mon pote dans la bouche, la texture du gland est d’une incroyable douceur …Axel doit éprouver la même chose car il engouffre sans hésiter dix bons centimètre de queue ! je tire régulièrement sur le membre a mesure que je l’aspire, soudain il se raidit, donne des coups de reins désordonnés, sous mes doigts le canal se gonfle .. que fais-je ? trop tard la première giclée frappe mon palais, le temps d’analyser le goût que je ne trouve pas désagréable, les autres fusent, du coup j’avale tout, tandis que sa langue tète mon bout qui vient de juter, sa main enserre ma verge comme le pis d’une vache pour en faire couler le lait
L’effet de jouissance passé, gênés nous ne savons pas quoi dire, nous réajustons nos vêtements et finissons le parcours sans une parole, arrivés a la maison il faut bien trancher

- Tu dors ‘quand même’ ici ce soir ?
- Pourquoi ne le ferais-je pas ?
- OK ! c’était pour savoir

La fin de la journée s’est passée sans complication, nous ne pensions plus a l’intermède ‘masturbation et pipe’, plus ou du moins le croyions nous …ça a recommencé au moment de nous coucher

- Il fait chaud ce soir je ne mets pas de pyjama
- Tu as raison, moi non plus

J’ai remarqué la queue d’Axel lourde, à moitié en érection, il s’est tourné en chien de fusil coté mur, j’ai pris la même position, épousant ses formes en évitant toutefois d’entrer en contact avec lui, il soupirait parfois fort ne trouvant visiblement pas le sommeil, ma main s’est posée sur sa hanche, il n’a rien dit, mes genoux sont venus peser sur ses cuisses, il a semblé se détendre, ma main a glissé de sa hanche vers son ventre où j’ai trouvé sa propre main qui manipulait sa queue raide, Axel m’a laisser prendre la suite tandis qu’il cherchait ma verge entre nous deux

- Tu repense a ce qui c’est passé cet aprèm ?
- Oui, pas toi ?
- Si, la preuve, je bande
- Tu sais ce qu’il nous faudrait ?
- Quoi donc ?
- Une meuf
- Une seule ?
- Oui, ainsi pas de problèmes pour notre amitié
- En somme nous ferions ‘ménage à trois’ ? !!
- Pourquoi pas ? j’ai même une idée sur cette fille
- Ha ? je la connais ?
- Myriam
- Celle qui est toujours seule dans son coin ?
- Exact, nous essaieront de l’aborder…mais pour l’instant je crois qu’il y a une autre urgence …

Tout en parlant notre position a évolué, Axel se frottait sur ma queue entre ses cuisses qu’il avait décalées, il la frottait exactement sur son anus, a chaque passage sur le trou je mimais le coït comme si je voulais le pénétrer

- Attend je vais mettre de la salive …
- Ouais, moi aussi je vais en passer sur mon gland
- N’y va pas d’un coup hein ? je suis puceau !
- Promis, je ne tiens pas à te faire mal car je suppose, qu’après ce sera mon tour !
- Tu as tout deviné, ne bouge plus je mets ton gland là ou il faut… essaie de pousser ?
- Ça cède.
.. tu as mal ?
- Pas plus que ça, j’en ai tellement envie que j’en oublie la douleur, ho putain ! ça rentre !
- Je m’en rends compte, tu veux que j’arrête de pousser ?
- Juste le temps de m’habi a ta grosse bite
- La tienne n’est pas moins grosse mon salaud, aller, je donne un p’tit coup d’accélérateur ?
- Bourre-moi les miches plus fort à présent, tu sais que c’est vachement bon ?
- Pour moi c’n’est pas mal non plus, je suis très bien dans ton cul serré
- Ont fait ça seulement une fois sinon nous deviendrions homo !
- Je suis d’accord, rien ne vaut une bonne chatte !
- Nous baiserons Myriam à deux !
- Je la secourais comme ça : HAN HAN HAN HAN HAN HAN HAAAAANNNNNN !!!!!
- Tu me fais jouiiiiiiiirrrrrrrr
- Et moi je décharge dans ton cul raaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh !!!!!

Je laisse ma verge sortir d’elle-même de ce trou défloré, puis nous somment allés discrètement à la salle de bain afin de nettoyer ‘les outils’ pour un deuxième service, j’en ai profité pour me graisser le fion avec de l’huile solaire qu’utilise maman, Axel fait de même en graissant copieusement sa queue, je vais m’installer directement a genoux sur le lit, les avant bras sur le drap

- Je n’avais jamais remarqué que tu avais un si beau cul !
- Ne te crois pas obligé de tomber amoureux !

Sans plus de préliminaires il pointe son nœud sur ma cible, je serre les dents pour ne pas hurler, il me prendrait pour une mauviette, une fois son gros bout passé je souffle, la brulure disparait pour faire place a l’étrange impression d’être envahis par un ovni !
Les deux mains agrippées à mes hanches Axel me bourre à la façon d’un métronome, pour accélérer la chose j’att ma queue pour me branler, il me tarde de connaitre l’effet produit par les giclées de sperme, elles viennent rapidement, j’ai l’impression de subir un lavement, mon sperme vient quasiment en même temps, je le récupère au creux de ma main pour ne pas tacher le drap avant une nouvelle visite a la douche
Nous nous recouchons cul à cul, un million de pensées négatives et positive s’entremêlent dans ma tête… non, nous ne somment pas pédé ! Il nous faut absolument trouver une fille pour en être sûr …

A SUIVRE

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