Escort-Girl Multifonction

La mauvaise passe, vous savez ce que c’est : je suis au chômage comme beaucoup de femmes. Les charges, le loyer, la nourriture, tout coûte. Les fins de mois sont difficiles. Il faut que je me débrouille avant d’être obligée de vendre ma voiture. En passant un soir sur la nationale, je vois des filles qui racolent le client. Je m’arrête pour voir comment elles s’y prennent. Le client est vite embarqué dans une voiture et fort vite sorti sans doute après une fellation. Je n’ai aucune idée du prix qu’elles demandent.
En revenant chez moi, j’ai l’intention de « travailler » comme ses prostitués. Dans la nuit noire que je passe j’arrive à la conclusion que je ne suis pas faite pour ça. Vendre mon corps, pourquoi pas. Je trouve la solution sur internet : une publicité d’une boite de services particuliers. Encore une nuit et je décide de me lancer à mon compte, sans personne pour me diriger.
Je commence par passer des annonces insignifiantes comme : « Femmes bien sous tous rapports, cherche des amis. Tel 01.……. » Je ne reçois aucune demande de renseignement. Pendant la première semaine, J’étais sur le point d’abandonner quand j’ai un coup de fil d’un homme qui, d’après sa voie me semble bien. Il me demande le cout de ma prestation. Je suis embarrassée pour répondre. Enfin je me lance. Je suis une pute de luxe, alors j’annonce la couleur. Pour une heure minimum je demande 300 euros, pour deux heures 550, pour la nuit entière 1.000. J’ai balancé ces « tarifs » au hasard. Le potentiel client accepte la nuit, la prochaine nuit.
Je me fais belle avant d’aller à notre rendez vous. Il est dans le hall d’un grand hôtel. Je peux le reconnaitre à son journal américain. C’est finalement facile pour une première fois de prostitution. Je vois un homme dans la quarantaine, bien mit, sympathique et souriant. J’aurais étais déçue s’il faisait la gueule.
C’est bien un américain qui vit en France pour ses affaires. Il m’invite à souper dans sa chambre.

Je suis bien obligée d’accepter. J’ai bien raison, il a commandé un repas fins arrosé des meilleurs crus. C’est un connaisseur. Il me traite comme une personne normale, sans doute avec plus d’égards. J’espère qu’il va bien me baiser pour que je jouisse aussi. Dans la chambre il me traite comme une invitée. Il m’aide à enlever mon manteau. Dessous j’ai une robe simple, agréable sans plus.
Il me prend dans ses bras avec douceur, m’embrasse sur la bouche. Sa langue est douce contre la mienne. Je colle mon corps contre le sien en sentant qu’il commence à bander. J’en suis très satisfaite. Je lui plais, il a envie de moi. Je commence moi aussi à le désirer. Je me repends, après tout je suis une pute, même présentée en escort-girl. Pourtant j’ai réellement envie qu’il me baise bien. Je suis prête à tout, même à ce que je refuserais normalement dans la vie courante, même à mon mari à l’époque ou nous vivions encore ensemble.
Je frotte lentement mon ventre contre sa queue qui gonfle sans cesse. Il continue à m’exciter et s’exciter lui-même en me caressant les fesses. Je prends mon courage à deux mains pour enlever ma petite robe de rien. Je suis nue dessous. Bien sur il prend mes seins, les pelote un peu avant de les embrasser. Je sens ma cyprine commencer à déborder.
Je ne laisse pas tomber, je passe ma main sur sa braguette pour sentir d’abord la grosseur de sa bite et ensuite la sortir. Je le branle un peu avant de me mettre à genoux devant lui pour le sucer. Il dégage son gout dans ma bouche. Un peu d’urine et surtout son odeur de mâle qui me manque maintenant que je le suce. Je lèche ses couilles en les mettant dans la bouche puis je fais bien descendre le prépuce rien qu’avec mes lèvres. J’arrive à le faire gémir puis sa queue grossit tellement que j’arrête tout. Il aurait pu jouir dans ma bouche, je n’en serais pas morte, je préfère qu’il me donne sa semence dans le réceptacle dont la nature m’a donné.
Je défais les boutons de sa chemise, la lui enlève doucement, finit de faire tomber le pantalon et le caleçon.
Il bande toujours autant. C’est mon travail : pas mal réussi. Il est nu : je l’examine avant le reste. Il me plait pour cette nuit au moins. Il me reprend contre lui. Je sens bien sa pine contre mn ventre. Je me frotte à elle qui roule entre nos deux corps. C’est excitant pour nous deux. Ses mains reviennent sur mes fesses. Je sens qu’il va m’imposer une sodomie. Tans pis je ferais comme si j’aimais avoir une queue dans le cul. Il passe sa main dans la raie, à la recherche de mon petit trou. Tant qu’il ne fait que caresser ça me va. Son doigt caresse mon entrée secondaire. C’est agréable comme il fait, sans appuyer, sans entrer. Puis il pousse bien plus loin.
- Je vais te branler, tu aimes ?
- Bien sur, tu veux que je te branle aussi ?
- Non, laisse toit faire.
Son doigt ne cherche pas, il arrive pile sur le clitoris. Il connait bien le corps des femmes. Son doigt s’agite doucement sans appuyer, un peu comme je me fais. Le résultat est là, je pars dans un orgasme, le premier comme pute. Il ne s’arrête pas quand je jouis. Il recommence aussitôt. Qu’il soit d’accord ou pas, je prends sa queue que je branle doucement. J’arrête quand je jouis encore.
Il me couche sur le lit. J’espère qu’il va me baiser. Non, sa tête vient sur ma chatte. Il doit aimer la cyprine pour me lécher comme ça. Il vient à nouveau sur l’anus. Je sens qu’il lèche, se sens qu’il force un peu avec sa langue. Je suis surprise quand de moi-même je me détends, que j’ouvre un peu mon derrière. Il entre sa langue, il me fait du bien. Je me laisse aller à ma première jouissance anale. C’est bon.
Enfin il rampe vers et sur moi. Je sens sa queue sur mon con. Je n’ai pas à le guider il entre lentement, presque trop lentement. J’ai le temps d’apprécier tous les bienfaits de sa bite dans mon fourreau. Je perds la tête quand il est tout au fond de mon vagin. Il reste un instant immobile. J’ai tellement besoin de jouir avec une queue que je commence à faire des va-et-vient. Il suit en accélérant ma cadence.
C’est trop bon, je ne peux m’empêcher de partir au 7° ciel. Je le sens quand il jouit aussi. Il a si longtemps que je n’avais pas eu de sperme dans le ventre. J’en jouis encore.
Je pensais bêtement qu’il allait débander. Je me trompais. Sa queue est toujours bandée.
Il me met en levrette, sa pine toujours mouillée de ma cyprine. Il trouve de suite mon cul. J’ai peur qu’il me défonce le cul. Elle est grosse et pourtant sa queue entre facilement quand je suis détendue. Je sens ce plaisir différent de la sodomie, moi qui ne voulais pas le connaitre. C’est plus profond, plus plein que dans le con. Je ne me refuserais jamais de ce coté. Je me sens même capable de le provoquer.
Là, si je jouis, lui aussi me donne enfin du sperme en supplément comme une récompense. Quand il est sorti de mes entrailles qu’il est couché contre moi, nos lèvres reprennent leur travail. Je me propose de l’exciter encore pour qu’il baise au moins pour son argent.
Il m’oublie pour s’endormir comme un bébé. Tant mieux pour moi, je gagne du fric sans rien faire. Je m’endors aussi. Je suis réveillé par sa bouche sur ma chatte. S’il me suce partout, il met un doigt dans le cul. A peine réveillée je lui demande d’en mettre un autre. Il en a un autre sa queue qu’il me met en m’enculant encore. Il me fait jouir à peine réveillée quand j’ai en plus envie d’aller faire pipi. Il me suit aux toilettes, se soulage dans le lavabo. Comme je n’ai pas fini, il vient me donner sa queue à sucer. Je ne refuse pas étant là pour le satisfaire.
Il refuse de jouir je ne sais pourquoi. Nous retournons au lit où encore une fois il me suce. Je suis nue, les jambes écartées quand la femme de chambre entre porter le petit déjeuner. Je ne m’en rends compte que quand elle fait un peu de bruit avec le plateau. Elle nous regarde faire avec des yeux envieux. C’est lui qui demande si elle veut me faire l’amour.
J’en ai honte.
- Je reviens après avoir fini mon service dans une demi-heure.

- Tu va te payer une femme devant moi ?
Poser la question est y répondre. J’accepte un peu tendue. Je vais baiser avec une fille. Je ne sais même pas comment faire. Entre lui et elle, ils doivent bien savoir, il m’expliquera comment la faire jouir, puisque je ne crois pas jouir avec une autre femme.
Nous attendons avec patience, moi il me branle, je ne trouve pas le temps long. Elle arrive plus tôt que prévu. Elle se déshabille et nue est près de moi. Elle m’embrasse comme le font les hommes, sur la bouche avec la langue. C’est assez bon. Je suis pelotée par les deux participants.
Je sens la main de la femme reconnaissable à sa taille venir sur ma chatte. Elle me branle bien mieux que les hommes, presque comme moi.
- Caresse moi le clito, me demande t elle.
Je se suis pas habille comme elle, je cherche un peu avant de trouver le bon endroit. Bien avant d’y être je sens qu’elle mouille comme moi. Je la branle donc, si elle me fait jouir, j’arrive moi aussi à lui donner un orgasme. Etonnée je lui obéi en tout, même quand elle me demande de la sucer.
Nous sommes en 69. A mes coté mon client se branle en nous regardant.
- Continuez les filles j’aime vous voir faire.
Et moi, je me retrouve avec la chatte d’une autre sur ma bouche. Je ne le regrette pas puisque la mienne est aussi sur sa bouche, soumise aux caprices l’une langue experte. Elle me fait jouir plusieurs fois avant de me mettre deux doigts dans le cul à la demande de mon américain. Une première avec une fille, une première avec les doigts d’une fille qui me sodomise. Le bonheur intégral. Nous passons la matinée à nous aimer. J’ai ainsi appris le saphisme, en plus j’aime ça, le faire et le subir.
Depuis j’ai un peu changé de métier, je suis une escort-girl mixte. Je me fais payer par les hommes et les femmes qui me demande pour une heure jusqu’à une nuit. Pour les femmes je n’accepte que pour la nuit. En plus les tarifs sont bien plus élevés : 2.000 euros la nuit, 6 orgasmes garantis. Tant pour moi que pour elle. J’ai les clientes assidues qui aiment bien baiser avec moi par priorité aux autres, pace que je les baise mieux parait-il
Avec l’argent que j’ai gagné j’ai pu me payer un magnifique trois pièces et une voiture neuve de marque allemande. J’ai pensé aussi à mettre pas mal d’argent de coté. En plus, je peux travailler une heure dans l’après midi et une nuit sur trois. Je vois la vie en rose.

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