Collection Lucie: Épisode 3 : Une Journée De Travail.

Cela fait maintenant presque une semaine que Patrick est venu à la maison me faire l’amour.
Depuis ce fameux dimanche, je n’ai pas eu de nouvelle. C’est pas plus mal, j’ai assez honte de ce que j’ai fais. Renaud ne m’a toujours pas fait l’amour depuis.
Je me sens seule, de plus en plus. Heureusement mes copines sont là. Je n’ai toujours pas osé raconte ce qui c’était passé. J’ai peur d’être jugée.

Aujourd’hui, c’est samedi et il est 9h45. Dans 15 minutes, j’embauche à mon travail. Je suis vendeuse dans un magasin agricole à 10 km de chez moi.
Ce boulot n’est pas très passionnant mais il est bien payé.
Il fait beau et j’ai décidé de mettre une petite tunique rouge avec un imprimé fleurie. Je me suis attachée les cheveux, peu de maquillage. J’ai mis des perles blanche nacrée sur les oreilles. Je travaille avec Francis, belle homme de 54 ans. Il est gay. On a une excellente relation.

Me voilà arrivé au magasin.

_ Salut Francis, ça va ? Je m’approche de lui et lui fait la bise.
_ Super, vivement ce soir . Je suis fatigué, j’ai mal dormi.
_ La journée va vite passée.

Je pars derrière la caisse enregistreuse, je prépare mon poste.
_ Tu veux un café ? Me demande Francis.
_ Non, ça va merci.
Francis part dans la salle de pause. Quelques instants plus tard, j’entends Francis m’appeler:
_ Lucie, viens voir !
_ Quoi ? Qu’est ce qu’il y’a ?
_ Viens voir, il y a un fourgon garé devant le magasin.

Je pars dans la salle de pause. Je reconnais immédiatement le fourgon de Patrick. Comment se fait-il qu’il soit là ?
_ Ça fait trois minutes qu’il est pointé là devant, le moteur allumé et en plein phare. Je vais aller le voir et lui demander ce qu’il veut.
Je mets la main sur l’épaule de Francis.
_ Non, j’y vais, je le connais.
Je sors de la pièce et me dirige vers la porte de sortie du magasin.
_ Dis lui d’éteindre son moteur et surtout ses phares.

Me dit Francis en haussant le ton.

J’ouvre la porte, reconnais immédiatement Patrick avec son crâne rasée et son visage maigre. Sa barbe a poussée et il porte un bleu de travail avec un t-shirt blanc, tachée de peinture.
Nos regards se croise, il me sourit, coupe son moteur et ses phares puis descend de son véhicule.
_ Ça va ma belle ? Me dit-il en s’approchant de moi. Il tend ses lèvres pour me faire un smack ce que je refuse immédiatement.
_ Qu’est ce que tu fais ici ?
_ Tu ne m’embrasses pas ?
_ Non, j’ai mon collègue à la fenêtre qui pourrait nous voir.
_ Ok, alors tu me suces sur un parking où il y a plein de monde mais tu ne m’embrasses pas devant un magasin vide, dit-il en rigolant.
Je souris, passe ma main dans mes cheveux.
_ Bon alors ? Qu’est ce que tu viens faire ici ?
_ J’ai un chantier à trois minutes de ton boulot , sur la rue Courrejean. Du coup j’en profites pour te faire un petit coucou.
_ Comment tu sais que je travaille ici ?
Il sort son portable et me montre mon profil Facebook.
_ Je sais tout de toi maintenant. J’ai vue ton nom de famille sur ton portail et je t’ai trouvé.
Je suis inquiète, ça pourrait très vite devenir compliqué pour moi cette histoire.
_ Ah ok, bon je vais bosser, je te souhaite une bonne journée. Lui dis-je en faisant comme si de rien était.
Patrick m’att le bras et me dit:
_ Attends un peu, tu manges ou ce midi ? On peut peut-être déjeuner ensemble et voir... plus.
_ Franchement, je ne sais pas si c’est une bonne idée. Je suis quand même mariée et c’est dur pour moi...
Patrick souffle et éclate de rire.
_ Tu plaisantes, c’est toi qui m’a appelé pour baiser dimanche dernier. Ton mari, il ne te satisfait pas et moi, si. Allez viens, tu ne le regretteras pas.
Je réfléchis quelques secondes et lui dit:
_ Bon, pourquoi pas après tout, mais je ne te garanti rien. Bon je te laisse, je veux pas laisser mon collègue seul.

_ « Attends, tu as deux minutes quand même. En plus il n’y a personne dans le magasin ». Il me montre l’intérieur du bâtiment avec son index. « J’ai très envie que tu me fasses une petite gâterie la ».
_ Quoi ? Tu es malade ou quoi ? Devant mon collègue? C’est hors de question.
_ Mais non, comme la première fois. A l’arrière de mon fourgon. Depuis dimanche je n’ai pas éjaculé, alors ça sera rapide.
Je me frotte le visage et lui dit:
_ J’ai vraiment pas envie la, plus tard peut être .
_ « Allez, ça va être rapide, sinon je ne pars pas et je reste la avec mes pleins phares ». Il m’att par la main et me traîne en me disant: « ça va etre rapide ne t’inquiètes pas ».
Il ouvre les portes arrières de son fourgon. Il me fait grimper, monte à son tour et referme derrière lui.

_ Je peux toujours t’insulter ?
_ Oui, si ça te fait plaisir, lui dis-je dépité.
Bizarrement, je commence a ressentir des choses pour cette homme. Je n’arrive pas à dire quoi.

Il déboutonne sa ceinture, baisse son pantalon puis son caleçon.
_Allez salope, prends ma queue.

Je m’agenouille, le regarde dans les yeux et prend sa bite en main. Je commence à être excitée alors qu’au départ je n’en avais pas du tout envier. Je le décalotte doucement, j’entends son souffle s’accélérer.
_ Oh c’est bon ma chérie, tu fais ça bien.
_ Ça te plaît ? Tu veux que je la suce ? Lui dis-je en le regardant dans les yeux .
_ Oh oui, prends la dans la bouche.

J’ouvre ma bouche et dépose son gland sur ma langue. Je referme ma bouche et gobe sa queue. J’aspire et je commence à faire des vas et viens.

_ Oh oui, c’est bon ça ! Continue, j’aime tellement ça !
Il lève les yeux au plafond , les bras ballants.
Je pompe de plus en plus fort et quelques fois, je sors sa bite de ma bouche, tourne ma langue autour de son gland en le regardant dans les yeux.

_ Elle est bonne ma queue ? Me dit-il en soupirant
_ Je me régale, elle est trop bonne ta bite Patrick.

_ Tu es une vrai salope toi ? Dis le que tu es ma salope.
Je le masturbe de plus en plus vite.
_ Je suis ta salope lui dis je d’une voix sensuelle.

_ Aaaaaargh ouiiiiiiiii !

Deux gros jets explosent de la bite de Patrick . Par chance, la majeur partie du sperme est tombé sur le sol. J’en ai un peu collé sur mon menton que j’essuie rapidement.

_ C’était tellement bon. Je ne peux plus me passer de toi, me dit-il.
_ Ça t’a plu ? Lui dis-je en me relevant.
_ C’était trop bon. J’espère que l’on pourra faire plus ce midi.
_ On verra. À tout à l’heure peut-être.
J’ouvre la portière du fourgon et en sortant il me saisit par la main et vient déposer ses lèvres sur les miennes.

_ A tout à l’heure ma belle. Tu débauches à quelle heure ?
_ 12h30 et je reprends à 14h00.
_ Parfait. Je t’appelle à ta débauche.

Je repars en direction du magasin. En entrant, j’entends le fourgon démarrer.
_ Mais qu’est ce que tu fabriquais avec ce mec Lucie ? Me dit Francis avec un ton agacé .
_ Rien, on discutait c’est tout.
_ Vous discutiez ? Tu me prends pour un con ? Tu as besoins de te cacher pour discuter ?

Je commence à paniquer. Francis connaît mon mari, serait-il capable de lui dire ?
_ Pourquoi toutes ces questions ?
_ J’aime pas trop ce mec il...
_ Qu’est ce que tu racontes, tu ne lui a même pas parler. Patrick est un très vieille ami de mon père. Il veut lui faire une surprise pour ces 60 ans et je l’aide à organiser tout ça. C’est tout.

Je vois Francis dubitatif, après tout, ça ne le regarde pas. Je fais ce que j’ai envie. Notre conversation s’arrête là, à l’approche du premier client.


12h20, la matinée se termine dans 10 minutes. Nous avons eu une quinzaine de clients ce matin. Je range un peu ma caisse et mon poste de travail. Une personne est encore présente dans le magasin.

_ On mange où ce midi ? Me demande Francis en se grattant le crâne.

_ Mince! je ne t’ai pas dit ce matin ? Je déjeune avec Patrick pour préparer l’anniversaire de mon père.
_ Ah ok, d’un coup je me retrouve tous seul. Je ne peux pas venir avec vous ? Me demande Francis fébrilement.
_ Tu vas t’ennuyer, franchement tu seras mieux ici.

Il comprend vite que je ne veux pas qu’il soit là. Je me montre assez ferme.
_ Ok me dit-il en s’éloignant.


12h35, le magasin est à présent fermé jusqu’à 14h00.

_ A tout à l’heure Francis ! Lui dis-je en sortant.
_ A tout à l’heure me dit-il d’un ton sec.

Je monte dans ma voiture. Patrick ne m’a toujours pas appelé. Je prends les devant et je décide de le faire. Ça sonne:

_Allo ?
_ Oui Patrick c’est moi, je viens de débaucher.
_ Ah super, tu me rejoins ?
_ Oui, tu m’envoies l’adresse par sms ?
_ Ça marche. A tout de suite.

Je raccroche mon téléphone et je reçois le sms avec l’adresse. Je démarre mon véhicule toute excitée.

5 minutes plus tard, j’arrive à l’adresse indiquée. La maison est situé dans un lotissement, elle est assez sale, je pense que le chantier commence juste.
Je vois le fourgon de Patrick ainsi qu’un second garé devant le portail.
Patrick n’est pas là. Je décide de lui envoyer un message:

« • Je suis là ».

Quelques instant plus tards, Je le vois arrivé, le sourire aux lèvres. Il s’avance vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes.

_ Ça va ma belle ?
_ Oui, très bien et toi ?
_ Oui oui, on rentre ?
_ Allez, je te suis.

Patrick me prend la main, nous entrons dans la maison. Il y a des bâches partout, des pots de peintures et des pinceaux qui traînent.
J’entends parler.

_ Tu n’es pas seul ?
_ Ah ben non, me dit-il en souriant. On est cinq sur ce chantier. Viens, je vais te les présenter me dit-il en me prenant par la main.

Je ne dis rien et je suis Patrick. On arrive dans le salon. Je vois 4 mecs âgés de 20 à 60 ans environ. Ils sont assis, en train de boire une bière. Quand nous entrons dans la pièce, ils s’arrêtent net de discuter et je les vois me reluquer de haut en bas. Je me sens mal à l’aise.
_ « Les gars je vous présente mon amie, Lucie » . Ils me disent tous Bonjour en coeur. « Lucie, je vais vite te les présenter rapidement. La, celui sur la chaise c’est Karim, à côté de lui, c’est Jean-Pierre. En face de lui, il y a Momo et Abdallah que l’on appelle tous Boubou».

Je fais signe de la main pour dire bonjour. Je suis gênée. Je vois Momo et Abdallah me reluquer intensément.
_ « Patrick, tu veux une bière ? » lui dit Jean- Pierre. « Mademoiselle vous en voulez une ? »
_ Non merci, c’est gentil, lui dis-je en évitant de le regarder dans les yeux.
_ Non, c’est sympa JP mais je vais lui faire visiter la maison.

Je vois Karim, Momo et Abdallah sourire. Ils comprennent pourquoi je suis là.
_ Tu me suis Lucie ?
_Oui.
_ On va commencer par l’étage. À tout à l’heure les mecs.
_ A tout à l’heure et bonne...visite nous dit Abdallah en souriant.

Je vois Patrick qui a un rictus, il sait qu’il va me baiser.
Il me prend par la main, nous montons les escaliers et il m’emmène dans une chambre. Elle est sombre, le lit est grand. Patrick ferme la porte.

Il me regarde dans les yeux et commence à se déshabiller devant moi et me dit:
— Allez, enlève moi tes fringues ma belle.
_ Je ne sais pas trop, il y’a du monde en bas. Ça me gêne.

Il se rapproche vers moi, m’enlace et m’embrasse dans le cou.
_ Ne t’inquiètes pas Lucie, il ne monteront pas, je te le promets. J’ai très envie de toi, te donner du plaisir.

Je me sens rassurée par ses paroles. J’ai très envie de sentir ses mains sur mon corps. Je l’embrasse , nos langues s’en mêle.
J’enlève ma robe, puis mon shorty ainsi que mon soutien-gorge.
_ Qu’est ce que tu m’excites. Ton mari est vraiment un abruti me dit Patrick en me tenant mes seins fermement dans ses mains.

Il commence a me lécher les tétons et les mordilles un peu. Je sens sa main droite caresser ma chatte. Je mouille très rapidement, je suis dans une excitation extrême. J’ai pensé à ça toute la matinée.
Je saisis sa queue et je commence à le branler.
Nous voilà tous les deux debout, en train de se masturber.
La tête de Patrick sort de mes gros seins qui pointent. Il remonte jusqu’à ma bouche. Il m’embrasse avec sa langue. Je sens sa main, au dessus de ma tête. Il appuie dessus et me dit:
_ Tu vas me sucer maintenant ma jeune salope à moi .

J’en ai très envie, je ne me fais pas désirer plus longtemps. Je me met à genoux, toujours avec son sexe dans ma main droite.
Je commence a lécher son gland. Patrick me tient toujours la tête, j’entends sa respiration accélérer.
Je gobe sa bite dans ma bouche et je commence à faire de long va et viens. Son gland frotte sur ma langue. Nos regards se croisent.

_ Tu suces tellement bien, c’est trop bon.

Je sors la bite de ma bouche. Je le branle, reprend mon souffle et je commence à lui lécher les boules. Il y a beaucoup de poils mais j’en fais abstraction.

_ Ouiiiii c’est bon ça, aspire à nouveau mon gland.

J’exécute les paroles de Patrick et je suçote son gland.

_ Oooooooh ouiiii ! Vas y comme ça! C’est tellement bon !

J’accélère, je sens que Patrick pourrait tout lâcher. Du coup je décide de ralentir. Il me relève, me roule une grosse pelle.
Il s’allonge sur le lit et me dit:

_ Viens t’empaler sur ma queue Lucie.
_ Tu ne met pas de capote ?
_ Non, je veux te sentir encore plus que la dernière fois.

J’hésite un petit moment, mais bon, j’ai tellement envie de m’empaler que je grimpe sur lui, le chevauche. Je place sa bite au niveau de ma chatte et je glisse petit à petit dessus. Je sens son gland puis sa tige me pénétrer.
Je lache un petit cri de plaisir.
_ oh ouiiii !
_ T’es tellement bonne Lucie, vas y bouge ton gros cul me dit Patrick en malaxant mes seins.

Je travaille sur sa queue, je prends un plaisir dingue, ma chatte dégouline sur son pubis et son bas ventre. Patrick, relève son buste de temps en temps pour me lécher les seins. Je continue à m’empaler de plus en plus vite. Je ne fais pas de bruit et je vois que ça perturbe mon partenaire de baise.

_ Je veux t’entendre Lucie, c’est ce qui m’excite. Te savoir soumise à ma bite.
_ Je... je ... ne veux.....je ne veux pas faire.... de....bruit !
_ Pourquoi salope !? A cause de mes collègues ?
_ « Ouiiiiii ! » D’un coup une énorme sensation de plaisir me prend. « Oh ouiiiii c’est bon , oh putain. » Dis je tout doucement.
_ Lache toi, on s’en branle de mes collègues, je veux t’entendre crier comme une chienne. Je veux te faire jouir comme jamais ton mari ne l’a fait.

Et merde, c’est tellement bon que je commence à crier de plus en plus fort, je sens la queue de Patrick en moi grossir au son de mes cris. D’un coup, je sens Patrick relever son buste, placer ses deux mains sur mon cul. Il commence a me guider sur une nouvelle cadence. De temps en temps il frappe mon cul ce qui me fait mal, mais m’excite.

_ Tu aimes ça hein ? Je sens que tu aimes prendre des fessés toi. Il me frappe fort à nouveau.
_ Aaaaaaie , oui ! vas y, frappe moi !

Je ne suis plus moi même. La petite Lucie toute gentille avec son mari Renaud, sa grande sœur Fanny et son beau-frère Steph a laissé place à une vrai chienne de sexe avec son amant Patrick.

Ça fait un bon quart d’heure que je m’empale sur Patrick. Je transpire et je commence à avoir mal au cuisse mais mon amant ne veut pas changer de position.
Tout d’un coup, je sens la main droite de Patrick et notamment son index caresser mon anus. Personne ne m’a jamais fait ça. D’un coup sec, il le rentre et me pénètre le cul.

_ AAAAAAAAHHHHHH OOOOOOOOOH PUTAIIIIIIIIN ! Dis-je en hurlant de plaisir.
_ Tu aimes que je te doigte le cul ?
_ Oui ne t’arrêtes pas, continue !

Il y va de plus en plus fort et plus vite, moi j’accélère ma chatte sur sa bite.
Au bout d’une minute j’hurle de plaisir. Mon premier orgasme de toute ma vie. Je me fige :
_ AAAAAAAAAAAAH OOOOOOOOOOOH OUIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIII OUIIIIIIIIIIIIII !

Je lache beaucoup de cyprine. Patrick me dit:
_ Sors de ma bite, et retourne te mettre à genoux, je veux gicler sur ta langue.

Je m’exécute, mon jus chaud coule le long de mes cuisses.
Je me met à genoux. Patrick saisit sa bite plein de mouille dans sa main droite et me tient les cheveux avec la gauche.

_ Ouvre ta petite bouche de salope et tire la langue! me dit-il en astiquant sa queue devant mon visage.

Je m’exécute, passe ma langue sur mes lèvres de temps en temps pour l’exciter.
Au bout de trente seconde, il pose son gland sur la langue et décharge son sperme dessus.
La quantité est pauvre, tout juste de quoi couvrir le fond de ma langue.

_ Aaaarg ! c’était trop bon. Tu m’as fait jouir comme jamais ma chérie, me dit-il en secouant sa queue.

Je m’assieds par terre

_ J’ai adoré aussi, j’ai même eu un orgasme, lui dis-je en avalant son sperme difficilement et m’essuyant le coin de la bouche.

Patrick se rhabille et moi aussi.
Il me dépose un baiser sur mes lèvres et ouvre la porte.
_ Je te raccompagne à ta voiture ?
_ On ne mange pas ensemble ?
_ Je dois reprendre le chantier la. Demain si tu veux ?
_ Très bien.

Nous sortons de la chambre, descendons les escaliers.

_ Ah les voila, enfin, c’était long cette...visite nous dit Karim, en souriant.

Je suis très gênée et je me cache derrière Patrick comme une .
_ Il faut bien montrer tous les détails, lui dit Patrick.
_ je ne sais pas, mais en tout cas, mademoiselle hurle beaucoup. Réplique Abdallah en me regardant.
_ Les mecs, vous êtes lourds. Bon allez, on reprends le boulot, répond Patrick.
_ Au revoir messieurs, dis-je tout timidement.
Tous le monde me dit au revoir et Abdallah et Momo ajoutent une petite phrase qui m’a mise mal à l’aise.
_ N’hésitez pas à revenir belle demoiselle. On adore les femmes qui crient comme ça lors d’une visite.
Ils éclatent de rire tous les deux.

Je sors rapidement jusqu’à ma voiture. Patrick m’accompagne.
Je me pose des questions sur notre relation. J’aimerai savoir ce que je représente pour lui mais je pense que c’est un peu tôt pour lui en parler.
J’ouvre ma portière.
_ On se voit demain midi alors ? Lui dis-je en entrant dans mon véhicule.
_ Oui, avec plaisir. Ici et à la même heure ?
_ Ça marche, à demain alors.
Il me dépose un dernier baiser sur la bouche.
Je démarre et repars en direction de mon boulot. Je me mets une fois de plus à pleurer. Mes idées sont confuses. Pourquoi je ressens des choses pour ce mec que je trouve laid et pas correct avec moi. Je penses également à Renaud. Je suis perdue, de plus en plus.

La suite de la journée se déroule normalement.
Je passe la soirée seule, Renaud travaille de nuit ce soir.

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