L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 29) -

L'Odyssée de La Belle Hélène – Le marché aux esclaves d’Olympie -

Une jambe de chaque côté du corps étendu du bandit, Hélène se redressa debout de nouveau après avoir pissé sur le visage de Procuste. Sa splendide poitrine saillit de sa silhouette avec ses seins aux tétons relevés qui semblaient pointer vers le ciel quand elle regarda fièrement et encore une fois à travers les nuages parsemés. Puis toisant de toute Sa hauteur le corps maintenant tout rabougri du brigand dont Elle venait d'aspirer la force vitale tout en s'emplissant de sa vulgaire semence. Elle posa Son Pied fin et racé sur le corps de Procuste qui gémissait et Elle appuya du bout de ses orteils sur les couilles ainsi que sur la verge molle devenue inerte du bandit. Ensuite, elle poussa un peu ce corps affaibli du pied, afin de libérer la couverture sur laquelle ils s'étaient allongés pour ces ébats aussi violents que jouissifs. La Belle eut un sourire triomphal. Elle s'était pliée aux ignobles attouchements imposés par ce mâle méchant et brutal, avait subi ses pénétrations, sa morgue, son mépris et maintenant il gisait là, chétif, fragile, vaincu déjà... Mais Sa Fierté de Reine et d'Epouse du Dieu Apollon réclamait plus encore ! Hélène se saisit du coutelas à large lame dont le brigand avait joué en faisant glisser la lame froide sur sa peau fragile... L'arme était lourde mais bien équilibrée, Hélène fit quelques mouvements du poignet, manipulant l'impressionnant coutelas avec adresse. Elle se pencha alors sur sa victime, Procuste, lui qui était si fier et pédant, si sûr de sa virilité quelques instants plus tôt et désormais réduit à cette larve tremblante, dont le regard effrayé la fixait avec angoisse. Avec toujours ce sourire dominant aux lèvres, Elle se pencha sur lui, et se saisit à pleine main de son épaisse barbe noire, Elle passa la lame entre la toison et le cou et trancha ! Arrachant un bref cri et une épaisse poignée de poils...

Hélène répéta l'opération plusieurs fois, jusqu'à voir enfin la peau pâlichonne des joues et du cou du brigand.

Sur le sol s'étalait, déjà partiellement emportée par le vent, une épaisse couche de poils sombres; ainsi, s'envolait aussi le symbole de la puissance de ce rustre brigand qui ne ferait jamais plus trembler personne ! La Belle poursuivit sa tache jusqu'à ce que Procuste présente un visage parfaitement glabre, seulement marqué par quelques dérapages de la lame sur la peau qui n'avait plus connu le rasoir depuis bien des années. Le brigand humilié sanglotait, recroquevillé sur le sol, nu et d'aspect tellement piteux, faible et vulnérable. Elle n’avait même pas besoin de l’attacher pour ne pas risquer un retournement de la situation en sa défaveur, tellement Procuste était vidé de toutes forces… Ainsi gisant sur le sol poussiéreux, on aurait dit une loque humaine… Sans lui accorder un seul regard de plus, Hélène réunit toutes les possessions demeurées au campement, puis sella la jument qu'ils avaient gardée, revêtit une courte tunique de laine écrue et enfourcha cette monture dont Elle avait été privée... Et piqua des deux pour galoper vers Olympie, sans se retourner, dédaignant superbement la silhouette couchée et vacillante du brigand essayant difficilement de lever un bras fébrile désespérément vers Elle. Demeuré seul, Procuste était nu, très affaibli, sans force et privé de sa virile toison... sans défense, il ne tarderait pas à croiser sans doute quelques brigands qui ne manqueraient pas de lui infliger ce que lui-même avait fait subir sans remords à tant de malheureuses victimes…

Si l'on en croit certains récits, Procuste aurait été capturé un jour, errant par les chemins, par des envoyés du port de Pella à la recherche d'esclaves pour leurs navires. Subissant le fouet sur une galère, livré parfois aux plaisirs pervers d'un équipage de brutes avinées, mais rêvant chaque fois que le sommeil daignait le visiter de Cette Femme, Cette Divinité dont il avait pu jouir avant qu'Elle ne le détruise. Et dans son sommeil, il souriait... Oui Procuste en était persuadé, seule une Divinité à la forme humaine d’une incroyable Beauté avait pu le vaincre, en effet il se rendit bien compte et crut fermement jusqu’à la fin de ses jours que cette Beauté était trop parfaite pour être humaine…

Mais revenons au moment où Hélène avait affronté Procuste, afin de vous conter ce qu’il advint des trois autres brigands mais aussi de Clytia et Endymion emmenés de force sur la route menant à Olympie.
Le voyage fut long et éprouvant pour les esclaves, même si la jolie jeune femme au crâne rasé demeurait en permanence tenue en laisse par Patnos, le plus jeune des bandits, qui lui évitait ainsi de devoir céder aux brutales étreintes des deux autres brutes. Patnos était tombé sous le charme de la belle esclave, il se tenait toujours tout près d'elle et laissait ses mains flatter la croupe douce et ronde de la jeune femme. Le soir, il l'attachait auprès de lui et la prenait, maladroitement mais avec une passion et une fougue qui parvenaient presque à émouvoir Clytia qui n'avait cependant qu'un seul et unique but : Echapper aux ravisseurs et rejoindre enfin sa Divine Maîtresse, La Belle Hélène de Sparte à Laquelle elle avait fait choix de vouer sa vie toute entière, renonçant à un noble destin pour n'être qu'une esclave vivant dans la constante humiliation de son crâne lisse, punition de sa Bien-aimée Maîtresse pour avoir cru pouvoir rivaliser de beauté avec Elle… La passion de Patnos constituait un atout de poids pour Clytia qui ne manquait pas de l'alimenter avec impudeur, faisant chavirer l'esprit et les sens du jeune brigand par des poses, des attitudes, des plaisirs dont il n'aurait jamais pu imaginer la diversité !

Plus inconfortable était la situation d'Endymion. En effet, l'ancien berger devenu esclave, dont le sexe demeurait emprisonné dans une indestructible cage d'acier de facture Divine, subissait les assauts des deux brutes qui complétaient la bande de Procuste. Les deux hommes avaient fait de l'esclave leur jouet, jouissant de sa bouche et de son cul aussi souvent que le leur permettait leur marche e vers la Cité Sacrée. Ils parvinrent enfin aux abords de la célèbre Cité… Olympie était encore un peu lointaine, mais déjà une véritable ville itinérante s'était improvisée dans tous les environs. Durant les Jeux Sacrés, les femmes n'avaient pas le droit d'entrer dans la Cité, qu'elles fussent nobles ou putains. Tout autour de la colline dans l’immense plaine sur laquelle avait été érigée Olympie, se développait et s’étalaient sur plusieurs kilomètres, une vie multiple et animée.
D’innombrables marchands venus de toute la Grèce Antique, vendant de tout avaient pris place. Ainsi de multiples marchés aux étals fournis et colorés s’exposaient aux regards de la foule, que ce soit des plus belles étoffes de soie d’Orient, aux plus beaux fruits en passant par des stands entiers de victuailles et amphores de vins, armes blanches etc. Mais également d’immenses foirails à bestiaux où l’on entendait de vifs marchandages entre acheteurs et vendeurs entre les brouhahas de la foule…

Il y avait aussi de nombreux bordels et des marchés aux esclaves. Le plus grand de ces marchés s'étendaient sur des centaines de stades de long et de large, à ciel ouvert ! Il n’y a pas à douter qu’il s’agissait d’un des plus grands marchés aux esclaves du moment de Grèce. Des files d'esclaves mâles et femelles y étaient menés, de toutes origines, de tous horizons, pour tous les usages. Les plus beaux mâles étaient réservés aux représentants de la Cité Sacrée, qui venaient chercher ici ceux qui serviraient durant les Jeux... On sélectionnait aussi les femelles qui seraient offertes aux Champions, afin qu'ils emportent un souvenir plus doux de leurs exploits que l'humble couronne de lauriers qui soulignait leur succès. Mais des milliers d'autres esclaves se verraient destinés à un destin plus ardu. Travail dans les mines proches, travail dans les champs pour nourrir cette foule qui resterait plusieurs mois, objets de plaisir dans les nombreux bordels improvisés… D’immenses parcs aux barrières de bois avaient été mis en place mais aussi des estrades afin d’exposer les nombreux esclaves aux visiteurs venus aussi de très loin pour la plupart… Chaque esclave avait une inscription autour du cou sur un pendentif, inscription indiquant un numéro matricule d’esclave, un prix de vente fixé ainsi que le nom du propriétaire pour chacun d’eux…

Parmi la foule bruyante, les trois brigands se frayèrent un passage en poussant leurs esclaves, Clytia et Endymion, devant eux.
De nombreuses estrades étaient donc dressées, sur lesquelles étaient présentés les esclaves mis à la vente, seuls ou par lots, selon leur utilité. La périphérie de l'immense marché était occupée par les lots les plus bas, ouvriers, travailleurs des champs... plus on approchait du centre de cet immense marché, plus les estrades étaient luxueusement décorées, plus la qualité des esclaves était marquée. Les acheteurs se bousculaient, ne cédant respectueusement qu'au passage des Sages de la Cité, qui arpentaient les allées à la recherche des perles rares qui viendraient servir les Privilégiés demeurant à l'intérieur de l'enceinte des Jeux. Il se murmurait que les plus belles femelles étaient sélectionnées pour être offertes à ces Sages qui les emmuraient à la fin des Jeux afin que nul ne sache qu'ils trahissaient l'interdiction d'introduire des femmes là où se déroulaient les Jeux. C'était la plus grande crainte de Patnos ! Que la beauté de Clytia, malgré son crâne où repoussait un bien infime duvet, fut remarquée et destinée à l'aristocratie olympienne. Il n'aurait alors rien pu faire pour la soustraire à ces puissants et fortunés acheteurs. Ses complices savaient précisément où il fallait se rendre. Ils gagnèrent l'un des étals les plus proches du centre, là où se négociaient les plus belles créatures…

Remarqués par un marchand richement vêtu d’une toge blanche à la romaine, ils entamèrent avec lui une longue discussion, ponctuée de haussements de ton et de poings brandis. Finalement, ils firent un signe à Patnos afin qu'il fasse approcher les deux esclaves. Le marchand les scruta d'abord d'un air circonspect... Puis, faisant la moue, il entreprit de les palper, peloter, jauger leurs formes et la qualité de leurs dents, leurs culs... Il tiqua à la vue de la cage emprisonnant la queue d'Endymion, mais s'attarda surtout sur Clytia, contrarié par son crâne rasé, mais manifestement très intéressé par ses formes parfaites et la douceur veloutée de sa peau. Le marchand fit un signe et apparut un géant colosse devant mesuré près de 2 mètres et portant au cou un énorme collier d'acier. Cet homme si grand et à la carrure presque inhumaine vint poser un genou devant son Maître qui lui flatta la nuque :

- Ce colosse me vient de Rhôdes ! Il a la plus grosse queue de tout le monde hellénistique ! Voyons ce qu'elle peut lui offrir, dit-il, s'attirant un sourire des deux brigands et la soudaine attention des passants proches, tandis que Patnos serrait les poings en grimaçant...

Sans attendre, le colosse se saisit de Clytia et la soulevant, l'empala directement sur son très épais sexe énorme et anormalement long et déjà bien tendu ! Il se planta en elle et commença à la limer avec ardeur... Clytia serrait les mâchoires, mais s'appliquait à ne pas succomber à la douleur de cet énorme vit qui la défonçait si puissamment et sans préambule. Il la baisa ainsi, puis l'allongea sur une planche et la baisa encore, avant de la retourner pour l'enculer devant une foule attentive et assoiffée de perversité... Clytia s'ouvrait à lui, avec toute la science du corps et du sexe qu'elle avait accumulé auprès de sa Maîtresse Hélène. Elle jouit à chaque fois, attirant même le colosse à elle, pour qu'ils forniquent encore, s'attirant les applaudissements de la foule qui suivait leurs ébats avec gourmandise. Tous admiraient les deux esclaves, la belle et la bête, tous applaudissaient et les encourageaient... Tous, sauf Patnos qui ruminait son désespoir un peu à l'écart...

(A suivre…)

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