L'Audit Du Changement De Statut (3)

Le vendredi j’attends dans le bureau de Maîtresse Barbara qu’elle arrive.
- Ha ! tu es là petite soumise. Baisse ton pantalon que je te prépare.
Je baisse mon pantalon et me penche en avant sur le bureau. Maîtresse Barbara m’ôte le plug.
- Ferme les yeux et ouvre la bouche.
Je fais ce qu’elle m’ordonne et me mets le plug dans la bouche.
- Suce le bien, qu’il soit propre pour que tu l’emmène avec toi à Aix.
Elle m’enfile un autre plug qui a une petite excroissance à sa base.
- Celui-ci vibre par télécommande. Donc attends à sentir ton trou du cul vibrer quand Maîtresse Karine le voudra. Ne laisse rien paraître. Maintenant pars chez l’esthéticienne.
Je descends au garage et me mets en route vers Aix. En m’asseyant dans la voiture le plug entre un peu plus à cause du vibrateur qui sort.
J’arrive chez l’esthéticienne à 10H20 et entre dans son salon, une jeune femme m’accueille. Elle est seule.
- Je suppose que tu es petite femelle soumise ?
- Oui madame,
- Tes Maîtresses on fait une description de toi qui était très précise. Viens avec moi et déshabille-toi dans la cabine. Tu gardes tes dessous.
Je suppose qu’elle sait aussi que j’ai des dessous féminin mais le rouge me monte au front.
- Tu es mignonne comme ça.
Elle me fait allonger sur la table de travail et commence son œuvre d’épilage. Je ne sais pas comment font les femmes mais la cire chaude ce n’est rien par rapport à l’arrachage des poils. Des larmes mouillent mes yeux. Elle a même une clé de ma ceinture de chasteté pour m’épiler les bourses. 2H30 après je suis aussi lisse qu’un nouveau né. Heureusement qu’elle m’a passé de la crème sur tout le corps sinon je serai en feu.
- Tu es belle comme ça, maintenant tu vas me lécher pour me remercier.
Elle enjambe ma tête et applique son sexe sur ma bouche. Je la lèche depuis un moment quand elle part dans une jouissance très forte. Je bois sa cyprine qui est abondante car elle doit être une femme fontaine pour faire autant de liquide.

Elle reboutonne sa blouse.
- C’est vrai que tu as une bonne langue. Tu peux partir à ta réunion petite pute.
Je pense que la facture me sera présentée plus tard ou en nature…
J’arrive juste à temps pour la réunion chez le Directeur, je me présente à sa secrétaire qui me fait entrer dans son bureau où m’attends déjà Maîtresse Karine. Je serre la main à tout le monde et dit bonjour à Maîtresse Karine sans lui faire la bise.
Le Directeur demande à Maîtresse Karine de présenter son audit et les résultats. Me viens une crainte de mon problème de sites pornos mais Maîtrise Karine n’en parle pas et fait son rapport chiffré en présentant les éléments de contrôle en conclusion mes résultats sont très bons. Chaque fois que le Directeur me pose une question sur un sujet quelconque ou me demande de présenter mon approche par rapport à quelque chose, je sens des vibrations de plus en plus fortes dans mon cul quand je prends la parole. C’est très perturbant et je commence à avoir un début d’érection contrarié dans ma cage de chasteté qui me fait mal. La réunion se termine et Maîtresse Karine me demande de passer à son bureau.
- Ce soir tu me raccompagnes chez moi et tu passes le week-end avec Maîtresse Barbara et moi.
- Bien Maîtresse Karine.
Cette nouvelle me rend heureux car j’aime de plus en plus ce qu’elles me font subir. Cette expérience va au-delà de mes fantasmes et de mes lectures. J’ai l’impression de vivre un rêve éveillé dont je suis dans le rôle principal et elles peuvent tout me demander.
Le soir venu, Maîtresse Karine et moi partons pour chez elle. Elle arrivant je découvre une maison de famille hors d’Aix et en pleine campagne. Nous entrons chez elle et elle m’emmène dans son sous-sol, elle me fait découvrir une cave aménagée de différents ustensiles utiles à son rôle de Dominatrice. Bien sur, il y a une croix de Saint-André, une table d’auscultation, un fauteuil gynécologique, une cage avec un matelas dedans et sur des étagères des objets divers dont je n’en connais pas la destination pour tous.

- Déshabille-toi que je vois le travail de mon amie. Tu gardes tes dessous bien-sur et ton plug.
Je fais ce qu’elle m’ordonne.
- Tourne-toi. C’est très bien. Monte sur le fauteuil et mets tes jambes sur les étriers.
Elle m’attache les jambes par des sangles puis les bras au fauteuil le long du corps. Part chercher un objet derrière moi et me le fixe à la bouche. C’est un écarteur qui m’empêche de fermer la bouche et de parler.
- Quand Maîtresse Barbara sera là nous te ferons un bon lavement, bien que tu sois à jeun, puis nous te préparerons pour notre promesse.
Puis elle part me laissant seul dans le noir incapable de bouger et de parler. Je suis en porte-jarretelles avec mes bas, ma culotte, ma cage de chasteté et mon plug qui vibre dans mon fondement. Mon esprit tourne et j’appréhende malgré tout de la suite.
Après un long moment dont j’ai perdu le repère, j’entends du bruit à l’étage puis de rires et un bruit de vaisselle. Il semble qu’elles se soient installées pour manger tranquillement. J’écoute, essaye de comprendre et attends très longtemps. Enfin des bruits de talons de femmes dans l’escalier, la lumière s’allume et après un petit moment d’adaptation je les vois félines en cuir avec un sourire carnassier sur leurs lèvres.
- Bien nous allons nous occuper de toi.
Maîtresse Barbara s’approche de moi et après avoir passé ses mains un long moment sur mon corps elle commence à m’enlever le plug. Maîtresse Karine approche aves un autre plus gros mais doté d’un tube en son centre. Elle me le pénètre puis m’installe une ceinture autour de la taille qui maintiendra un harnais entre les jambes. Son but est facile à deviner, il servira à ce que le plug ne parte pas. Elle repend un pied comparable à ceux des hôpitaux pour les poches à gouttes à gouttes. La poche qu’elle installe n’a rien à voir, elle est énorme. Après avoir fait le vide dans le tube, elle le connecte à celui du plug et ouvre le robinet. Je sens le liquide s’écouler dans mes intestins.
Très rapidement c’est gênant puis difficile à supporter.
Maîtresse Barbara m’enlève la cage de chasteté.
- Tu as trop tendance à jouir malgré la cage donc nous allons te purger.
Elle approche un appareil sur une servante. M’installe un embout sur le sexe.
- C’est un trailleuse et nous allons traire tout le sperme de ton sexe. Après nous serons tranquilles.
L’impression est bizarre mais je suis incapable d’échapper à cela. Elles me laissent ainsi est partent en riant.
Je ne sais combien de sperme la machine m’a extrait mais cela deviens douloureux mais je ne peux appeler. J’en oublie presque le liquide que j’ai dans les intestins. J’en ai les larmes aux yeux, j’ai l’impression de me faire pomper par le sexe.
J’entends enfin mes Maîtresses qui reviennent et elles approchent de moi tout sourire. Maîtresse Karine regarde son œuvre et découvre la quantité de sperme pompé.
- Regarde Barbara, ce n’est pas beaucoup mais tout de même c’est pas mal.
- Oui, garde le pour plus tard peut être qu’il aura faim. Je suis trop bonne de penser à lui.
- Je le mets au congélateur.
Pendant ce temps là Maîtresse Barbara débranche la poche et approche un grand bac sous le fauteuil. Elle enfile des gants puis le harnais et enfin le plug. J’ai l’impression de me vider des litres. Cela fait un bruit qui est loin d’être sympathique devant mes Maîtresses.
- Je crois que nous allons refaire un lavage.
- Hon, hon, hon... Essayais-je de dire
- Tu veux boire ce que tu as rejeté ?
- ….
- Bon, je refais un lavage.
Et tout le processus recommence et elles repartent.
Les mêmes douleurs, se besoin irrépressible d’expulser sans le pouvoir puisque le plug est bloqué par le harnais. Cette attente est horrible et je les entends en haut papoter. Puis au bout d’un temps qui me semble trop long elles reviennent me délivrer. Le même bac, les mêmes gants et la délivrance.
- Très bien ma belle, tu es toute propre.
Nous allons pouvoir te visiter mais avant Maîtresse Karine a quelque chose à faire. Dit Maîtresse Barbara.
Maîtresse Karine vient à côté de moi et me pose sur les tétons des petits tubes transparents sur lesquels sont raccordés des tuyaux. Elle les branche à une machine puis la met en route. Mes tétons sont aspirés dans les tubes.
- Tu vois tes tétons vont s’allonger et, à force de traitements, faute d’avoir des seins tu auras des tétons qui j’espère auront 2 cm de long. Nous pourrons y mettre des pinces plus facilement.
Puis Maîtresse Barbara tire un tabouret roulant, se met face à mes fesses et Maîtresse Karine lui passe un pot. Je suis badigeonné largement et je sens des doigts inquisiteurs, puis ressortent puis entre mais je sens qu’il y en à plus puis ressortent et ainsi de suite.
- Ca y est il est prêt. Dit Maîtresse Barbara.
Maîtresse Karine amène un miroir sur un bras et le positionne de telle sorte que je puisse voir mon anus.
- Tu as de la chance tu vas sentir et voir. Dis Maîtresse Karine
Et là, je vois Maîtresse Barbara, amener ses doigt serrés en pointe vers mon anus le pénètre en tournant. Les doigts sont entrés et elle arrive à la paume.
- Tu as bien été élargi ces derniers jours ça rentre comme dans du beurre.
Elle tourne, pousse et entre petit à petit bientôt la paume est entrée à moitié. Elle ressort et reprend sa pénétration après avoir remis de la pâte que je suppose être du lubrifiant. Le travail continu depuis je ne sais combien de temps mais la main est presque entrée. Quand tout à coup elle en est au poignet. Je sens sa main à l’intérieur de moi. Elle bouge les doigts et caresse l’intérieur de mon conduit et ma prostate. Je commence à bander tellement ça m’excite.
- Ah non, tu ne vas pas jouir encore. Karine remet lui la pompe à sperme. Dit Maîtresse Barbara
- Il a des grandes réserves, je lui mets. Continue pendant ce temps là
J’ai beau ahaner et faire non de la tête rien n’y fait. La pompe est mise en place et la succion recommence.
Maîtresse Barbara continue l’avancée de son bras qui est pratiquement au coude. Je la sens fortement en moi, pendant que la pompe aspire mon sperme en quantité. C’est une sensation bizarre que de sentir un bras dans son fondement pendant que l’on se fait pomper le sexe et allonger les tétons, mais je suis comme sur un nuage. Je suis heureux. Et là, Maîtresse Barbara serre son point et commence à me pistonner l’anus. J’hurle de bonheur. Puis je tombe dans une semi-inconscience.

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