Le Harem De Patrick, Je Dépucelle Ma Future Femme

LE HAREM DE PATRICK
14ème EPISODE
Ma grosse bite dépucelle Emilie.

Des regards complices s'échangent quand ma demi-sœur Annie et moi descendons rejoindre les autres. Annie se dirige vers Emilie et une drôle de conversation attire tous les attentions.

- As-tu passée une bonne nuit ? demande Emilie d’une façon grinçante.
- Oh oui, excellente ! J'espère que tu peux me pardonner ma jalousie d'hier.
Annie et Claire s’embrassent et j’entends Claire doucement demander ;
- Il a été à la hauteur, j'espère ? Annie lui rétorque de même :
- Oh, oui, ça on peut le dire, quel étalon !
Je vais embrasser Emilie qui m’étreint quand je lui demande.
- Bonjour, la nuit a été bonne ?
- Non ! Il y avait trop de bruit dans la chambre d'à coté et tu sens le fauve !
- S'il te plait ne soit pas jalouse !
- Oh, ça va, je ne comprends pas que ça ne te répugnes pas de faire cela. Même si c’est ta demi-sœur !
Emilie me lance un regard noir ainsi qu’à Annie avant d’ajouter :
- Tous les deux vous êtes des débauchés et je vois que ça ne choque personne dans cette maison !
Un peu plus tard cet incident a apparemment été oublié et maman prépare le déjeuner.

- Patrick, pourquoi ne vas-tu pas avec Emilie te promener pour faire la paix, OK ?
Emilie m’a pris la main fermement tandis que nous marchons ensemble.
Nous nous sommes assis sur un banc et elle s’est serrée contre moi tendrement, m'avouant son attirance pour moi et je lui ai dis que moi aussi j'ai eu un coup de cœur pour elle, nous avons parlé un long moment avant de prendre le chemin du retour.
Nous entrons dans la maison silencieuse et je trouve un petit mot : «Patrick et Emilie, pour vous réconcilier nous vous laissons la maison pour le reste de la journée. Je vous aime tous les deux, Anne-Marie. »

Nous avons une conversation très intime, et le temps passant nous déjeunons en tête à tête.


Emilie se propose pour faire la vaisselle et j'en profite pour me serrer derrière elle pour déposer mon assiette dans l'évier.
- Hey, hey, tu m'écrases ! On dirait que tu le fait exprès !
J'accentue ma pression, ma bite compressée sur son cul. Elle gémit doucement quand je varie la pression.
- Oui et tu dois le sentir!
Elle se penche un peu en avant faisant saillir ses fesses et gémit à nouveau.
- Oh bon sang Patrick, tu es en train de... Je suis... Oh Zut... Qu’est ce que c'est dur! Tu ne peux pas... tu... oh qu’est ce qui m’arrive !

Elle s'enhardie en tremblant un peu en augmentant la pression de son cul sur ma bite et commence à onduler doucement.
Je mets mes mains sur sa poitrine et caresse ses petits seins à travers ses vêtements, ses 2 deux tétons ont durcis et pointent sous le tissu.
Elle gémit de nouveau et je les sens s’allonger un peu plus.
- Oh ça alors, je n'ai pas... nous ne devons pas... je sens ta ...
Et soudain avec force elle me repousse et regarde mon entrejambe, ses yeux se relèvent et elle s'exclame:
- Oh mon Dieu ! C'est... ton pantalon est tout déformé!
- Oh, la taille est une chose importante, mais il ne faut pas que ça pour faire un bon amant!
M’interrompant Emilie m'informe.
- Maman me dit qu'un homme doit surtout être compétent et endurant..., et vu le temps que ça a duré la nuit dernière et l’intensité des cris d'Annie tu sembles correspondre à ses critères.

- Alors, Emilie que fait-on !
Emilie se dirige vers moi, se suspendant à mon cou et m'enserrant la taille de ses jambes me donne un tendre baiser avant de m'annoncer,
- Dès que je t'ai vu, j'ai su que tu serais l'homme de ma vie. Alors autant en profiter pendant qu'on est seuls.
Je veux que tu me baises comme tu l’as fait pour Annie, je veux que tu sois le premier!
Facilement, je monte à l'étage dans ma chambre, transportant Emilie collée à moi.

A peine dans la chambre les mains d'Emilie descendent vers mon entrejambe mais je l’arrête.

- Attends, je veux que tu gardes un souvenir inoubliable de ta première fois. Laisse toi faire!

Doucement, je la déshabille très lentement, embrassant chaque partie de peau qui apparaît, lui retire son soutien-gorge et laisse ma langue errer sur ses seins passant mes mains en dessous et les massant doucement, mes doigts dévient sur ses mamelons qui me surprennent par leur longueur.
Un bon cm et ils semblent encore durcir lorsque je les pince. Admiratif je lui avoue :
- Mon Dieu, Emilie, tu as une poitrine parfaite et tes seins sont adorables, bien proportionnés et tes tétons sont terriblement excitants !

Ensuite, je multiplie les baisers sur un sein puis sur l'autre en faisant attention de ne pas toucher a ses tétons bien hérissés puis j'en prends soudainement un dans ma bouche et l’autre avec ma main. Je suce, je tire, je pince et les actions combinées la font crier quand je passe d’un mamelon à l'autre:
- OH Ouiiiii, Patrick, c’est bonnnn...! Oui, suce mon téton, oh la vache, ouiiiii!
Elle gémit sous les assauts de ma langue.
- Salaud, tu sais y faire ! Ouiiiii... j’aime ça !
Je profite que mes mains soient libres pour lui retirer son jeans et sa culotte.
- Houlala.... Patrick, s'il te plait, tu me rends dingue rien qu’avec tes baisers ! Mais j'en veux plus ! Viens Patrick!

Je descends vers son triangle d'amour et passe un coup de langue appuyé sur la fente de sa vulve. Elle réitère sa demande :
- Oh Patrick, j'ai besoin de sentir ta bite à l'intérieur de moi ! S'il te plait, arrête de m’exciter et fait-le !
Mes lèvres se portent instantanément sur un beau clitoris qui pointe, il est incroyablement long. Je glisse ma langue dans son sillon humide, je descends lentement, la langue vibrante vers cette grotte inviolée.
Emilie respire de plus en plus fort et ses jambes tremblent quand elle m’att par la nuque.
Mes lèvres reprennent le petit pénis et je l’aspire tout en pressant ma langue dessus.


Ce n’est pas fait pour atténuer ses gémissements qui montent crescendo quand j’écarte ses lèvres vaginales pour plonger ma langue dans sa chatte tout en titillant son clito avec le bout de mon nez.
- Oooooooooohhhh mon Dieu, Patrick ! Que c’est booooonnnnn !
Et elle enroule ses cuisses autour de ma tète.

Ma langue laboure cette "terra-incognita" en s’enfonçant le plus loin possible et sur toute la longueur de son abricot prêt à me recevoir. Elle commence à râler.
Je gobe son clito durcit et je le tête vigoureusement, le suce, le mordille.
Le corps arqué elle crie :
- OH putain Ouiiiii !... vas-yyyyyyyyy, plus fort ! Patrick ! Je jouis, je jouiiiisssssss, oh mon Dieu, Patrick, continue, c’est...
Une fois remise de son orgasme, elle me regarde avec amour et me demande doucement :
- Prend-moi, Patrick, s'il te plait baise-moi maintenant et fait moi femme ! Ta femme !

Emilie m'aide à me déshabiller et regarde avec amour mon phallus érigé et après une brève hésitation pose ses deux mains sur ma queue et la caresse sur toute sa longueur.
- Oh mon Dieu Patrick, ta bite est si douce et pourtant si dure, si grosse, si longue! Ohhh…
Patrick elle est belle !
Elle se redresse et promène ma pine sur ses grandes lèvres plusieurs fois avant de présenter mon gland à l'entrée de sa chatte.
- Ouah !!Elle est drôlement imposante, putain qu'elle bite tu as, elle est énorme.
- C'est pour te donner du plaisir qu'elle bande comme ça !!!

Elle branle doucement mon mandrin qui augmente encore de volume.
-Oh qu'elle engin, tu as une véritable bite de cheval !!!!
- Vas-y, enfonce toi, déchire mon hymen, Je veux sentir ta grosse queue me perforer les chairs et s'engouffrer en entier au fond de moi ! Je suis prête au sacrifice!
Tout en douceur je fais pénétrer avec difficulté mon gland trigonocéphale dans son sexe vierge et si étroit et bute sur son hymen, elle m'incite haletante.

- Oooohhhh, allez ! Baise-moi, fait de moi une femme!
Je me retire légèrement avant de la pénétrer à nouveau mais son hymen résiste et elle se met à crier, je recommence l'opération posant mes lèvres sur les siennes arrêtant ses cris et m’enfonce violemment de plus de 10 cm !

- Aiiiiiiiillllleeeeeeeeeee !! Malgré mon baiser Emilie hurle quand ma queue déchire sa virginité et écartèle ses chairs.
Après une pause pendant quelques instants afin de lui permettre de récupérer du choc de ma perforation, je commence doucement un lent va-et-vient dans un sexe ultra serré sans m'introduire plus loin.
Je n'ai jamais connu de chatte si étroite.
- Waouh, putain t’es gros - Non… non… arrête! Ta bite est trop dure!
Je continue ma poussée avec douceur centimètre par centimètre mais elle ne peut pas absorber la totalité de ma queue.
Bientôt ma bite glisse dans son tunnel d’amour complètement distendu par la grosseur peu commune de ma verge et elle me fixe dans les yeux pendant que je laboure profondément sa chatte brulante.
Progressivement la douleur s’atténue et c’est maintenant des doux gémissements qui sortent de sa bouche.
Moins de cinq minutes sont passées que je sens son vagin compresser ma queue et qu’elle crie :
- Oh oui, baise-moi Patrick, ça va, tu me remplis, ouiiiiii...c’est booon, oh oui mon Dieu, qu’est ce que c’est boooonnnn... Mon dieu ! Je jouis, je jouiiiiis sur ta grosse bite Patrick, ta queue me fait de nouveau jouiiirrrr...

Son corps est secoué de violents spasmes et à l’apogée de son orgasme elle retombe toute molle sur le lit, haletante, mon piston toujours en mouvement dans son vagin défriché.
Quelques secondes plus tard elle m’att par les épaules et m’étouffe de baisers légers tout en serrant ma bite avec ses muscles vaginaux en me déclarant :
- Oh Patrick, c’est merveilleux ! Je ne croyais pas qu'on éprouvait un tel plaisir ! Ooooooh, que c'est bon de sentir ta bite glisser à l'intérieur de moi.

Je ralenti mon rythme et aussitôt elle ajoute:
- Ah, non, continue à me baiser, oui, vas-y!
- Ca n'a pas été trop douloureux ?
- Eh bien, tu es vraiment énorme, ça m’a fait très mal quand tu m'as déflorée et j’avais l’impression que tu me déchirais non seulement ma membrane mais aussi mon vagin.
-Puis doucement je me suis sentie si bien remplie par ton monstre que je ne voulais plus que ça s’arrête.

Elle m'embrasse à nouveau et je commence à augmenter la force de mes coups de rein.
- OH, tu me remplis tellement avec ta bite que je la sens pousser jusqu'au plus profond de moi, vas-y doucement!
La tenant serrée contre moi je roule sur le coté pour la mettre au dessus de moi
Emilie une main sur la base de mon sexe pour gérer la pénétration se renfonce ma bite bien au fond de son vagin avant de commenter:
- Oh mon Dieu j’aime te sentir au fond de moi ! C’est vachement bon de se sentir remplie par une belle queue comme la tienne ! Je la sens même frapper le col de mon utérus ! Putain la nature t'a bien gâtée !

La verge ressort et rentre, encore et toujours, dans un mouvement lent et puissant...
Les mains de Patrick attnt ses hanches pour bien la maintenir pendant la pénétration et il voit ses yeux qui matent le spectacle, parfaitement lubrique, qu'elle donne avec ses seins et ses cuisses remontées, au centre desquelles un gros piston de chair va et vient.
Elle se malaxe les seins pour augmenter son plaisir, les caressant et tirant sur ses pointes pour accen sa jouissance...elle se sent bien, salope, pute, pleine de cette queue qui lui ramone le ventre, pleine de cette bite qui la fait couler, remplie par ce membre qui, bientôt, éjaculera son sperme, ce qui lui procurera un orgasme à chaque giclée.

...Elle commence à branler sa chatte avec mon gourdin, en se déplaçant sur plus de la moitié de sa longueur et après plusieurs allers-retours :
- Il faut que je vois ça !
Elle penche sa tête vers le bas de mon corps et regarde sa chatte arrivée au gland, elle renfile tout aussi lentement ma queue dans son tunnel :
- Putain de merde, ta bite est tellement longue que je n'arrive pas à toute l'absorber!
Elle se relève encore et halète ;
- Mon Dieu, comment ce pieu magnifique peut entrer dans ma petite chatte ? Il est si grand et si gros ! Mais je sens qu’il se plait à l’intérieur de moi !

Elle se baise toute seule en gémissant puis elle se penche pour m’embrasser en commentant :
- Tu sens qu’elle est faite pour moi, et moi pour toi? Nos deux sexes sont vraiment faits l’un pour l’autre et ils s’ajustent merveilleusement.
-J’adore comment ta bite se loge à l'intérieur de moi !
Profitant de l’accalmie je reprends en bouche ses tétons tout durs pour les sucer en aspirant légèrement.
- Oh oui, suce mes seins ! Oh que j’aime me faire sucer les seins ! Mes bouts sont hypersensibles.
Puis elle s'arrête de parler et se concentre sur mon pieu dans son vagin.
Elle avance et recule son pubis, elle entame un mouvement de rotation sur mon pal, elle recule. On dirait qu’elle veut sentir chaque partie de ce phallus qui écartèle sa vulve.
Je déplace mes mains sur ses fesses mais elle s'écrie
- Non, ne fais pas ça ! Laisse-moi diriger avec ma chatte.

Rapidement, j’enlève mes mains et les mets sur sa poitrine et elle gémit à mon contact.
Emilie contrôle chaque pénétration et joue sur la profondeur, la vitesse et la force de cet emmanchage. En quelques secondes Emilie repart à nouveau :
- Ooooh...je vais...! Ouiiiii, oh merde, merde, je jouiiiiiiss, mon Dieu, je jouiiiiss enccoooree !

Et sous sa jouissance j’éjacule puissamment au fond de sa chatte remplie de spasmes erratiques.
- Oh PATRIIIICK ! Oui, remplis-moi avec ton sperme ! Oh mon Dieu, c’est si bon, oh... oh... quelle baise... OOOOh... quelle baise... oh mon Dieuuu... c’est si boooonnnn !
Et elle prend mes lèvres pour un baiser hallucinant.

Quelques minutes plus tard, sa chatte s’étant calmée autour de mon pénis toujours en elle, elle se retire lentement et constatant que ma queue est encore en forme, elle se tourne, me présente son cul magnifique, tourne la tête, me regarde et m’interroge :
- Patrick... tu veux me prendre en levrette?... j’ai envie de la sentir encore. Mais soit doux, ta bite va déjà assez loin en position normale.
Tu parles que je suis d’accord ! Je me positionne entre ses fesses et je lui suggère :
- Écartes bien tes fesses ma jolie ! Je vais te faire plaisir !
Emilie, des 2 mains écarte ses belles fesses luisantes de mouille et de cyprine légèrement rosée par le sang de sa défloration et je vois très bien sa grotte d’où suintent des gouttes de sperme, grande ouverte prête à recevoir ma queue qui redevient très dure à cette vision.

D’une seule poussée, je l’empale sur mon pieu en la prenant par les hanches. Je commence à la baiser doucement sans aller trop loin et elle reprend ses gémissements :
- Merde, ta sœur avait raison quand elle m’a dit que c'est sa position préférée ! Oh Dieu, je sens encore mieux ta grosse bite et ton gland qui frotte je ne sais quoi mais, putain que c’est bon ! Vas-y tu peux y aller. Baise-moi fort maintenant.
Elle commence à pousser de petits cris saccadés au rythme de mes va-et-vient rapides et puissants. Mes couilles frappent violemment son entrecuisse.
Elle hurle désormais et halète bruyamment. Tout à coup, Je me retire de sa chatte alors que je sens arriver son orgasme.
Dans son excitation elle m’att la pine en passant sa main entre ses cuisse et la tient attendant mon prochain coup de boutoir et se fige d’un seul coup !
- Oooohhhh!

Mon gland a glissé et il est entré en entier dans son petit trou du cul ou il a reprit du volume. Nous restons figés pendant quelques secondes puis je commence à me retirer lentement de cet anneau qui compresse fortement la tête de mon nœud.
- Non !!!! Ne bouge plus ! Oh mon Dieu ça fait mal !

Apres plusieurs respirations profondes, elle pousse un gémissement en commençant à s’enfoncer ma bite dans son trou du cul.
- Ooooooooh ta bite est énorme ! Putain c’est gros ! La douleur est horrible mais je la sens passer, elle rentre ! Incroyable ! Patrick ! Tu me l’a mets dans le cul !
Elle crie quand elle appuie encore plus fort et que progressivement ma queue s’introduit dans son étroit conduit arrivant à la partie la plus épaisse de mon boutefeu.
Je sens mon gourdin écarteler sa rosace au fur et à mesure de la progression de ma longue queue.
Ma bite est au 3/4 en elle, encore un coup et je l'aurai empalé jusqu'a la garde.

- Non! Non! Tu me déchires le cul, arrêtes. Ahhh! La douleur est à peine supportable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Je n’en reviens pas que mon cul soit capable d'accepter ton monstrueux phallus, si dur et si imposant.

Elle tremble des fesses, elle grogne de souffrance sur les derniers centimètres mais l’enfonce complètement et mes couilles viennent frapper sa chatte !
- OH MON DIEU ! Tu m’as ouverte en deux ! Oh Dieu, c'est si chaud ! Patrick, tu es dedans entièrement ? J’ai l’impression que tu remplis mon ventre ! Attend encore un peu... voila... comme ça... doucement......
- Vas-y maintenant ! Encule-moi ! Prends-moi le cul ! Et fais-moi de nouveau jouiiiir !

Je réponds volontiers à sa demande. Je démarre doucement en enfonçant profondément, à chaque fois, mon pal dans son anus et elle gémit maintenant de plaisir à chaque poussée.
Son petit trou du cul, bien que pouvant accueillir ma bite, est extrêmement serré et suit le mouvement comme une ventouse autour de ma queue et la broie lorsque je bouge en elle sur toute sa longueur, je ne vais pas résister longtemps à cette pression.
Je donne un autre coup de reins assez brutal. - aaaaaaah !!! nooon mooon Dieuuuuu! Il me casse le fion!!!

Je suis à fond, mes couilles sont contre ton pubis, maintenant je vais te pilonner le cul!
Je m'active rageusement dans son fondement, ma verge entre et ressort a grande vitesse.
- Je vais te remplir le cul de mon foutre !!!
Mon sexe est entré au maximum et rencontre des lieux encore inexplorés à ce jour par une queue. La violence de cette saillie déclenche chez elle un orgasme.
Elle jouit très fort, sombre dans le plaisir. Ses cuisses s’ouvrent de plus en plus, ses fesses se tendent vers le pal perforateur.
Je la prends sans ménagements. Son plaisir provoque des contractions de son anus. L’effet est immédiat sur ma propre jouissance
- Oh putain, Emilie, tu vas encore me faire jouir, mon amour !
- Oui, fait-le ! Remplis mon cul de ton sperme chaud comme tu as rempli ma chatte !
Et c’est elle qui accélère les pénétrations. Putain elle en veut !
- Patrick, j’y suis presque... Patrick ! Jouis avec moi,... Ooooooh baise-moi... ouuiiiii, je jouiiiiiiiss.... AAAAhhhh....

Moi aussi je grogne quand je lâche plusieurs giclées de mon sperme profondément dans ses intestins.
Emilie tombe vers l'avant sur le lit et ma bite s'éjecte de son cul, tirant coup sur coup de longs jets de sperme qui m'accule ses fesses et son dos et atterrissent dans ses cheveux.

-Waaaoohhh, Emilie ! Pour une néophyte, tu apprends vite. T’es douée pour l’amour et... t’as un cul du tonnerre ! Et je me renfonce jusqu'à la garde dans son joli derrière.
- Merci, je ne savais pas vraiment comment faire, mais tout semblait si naturel.
Je me sens tellement à l'aise... non... complètement libérée avec toi !
Je suis ta femme maintenant ! Je crois que je vais aller prendre une douche, je suis couverte de foutre!
- Moi aussi, je t'accompagne !

Et je commence à me retirer de son trou du cul.
- NON ! Ne te retire pas ! Porte-moi comme tout à l'heure mais avec ta queue en moi.
Emilie dos à moi met ses mains sur mes bras tandis que je soulève ses cuisses et la porte et je me dirige vers la salle d’eau, bien emboité dans son cul, mon sexe reprenant toute sa vigueur comprimé dans cet étroit fourreau.
En marchant vers les escaliers Emilie se lamente en disant :
- Oh la vache, Patrick, c’est comme si tu me baisais ! Tu ne peux savoir les sensations que je ressens dans mon cul! Oh mon Dieu, j'aime ca !

Emilie bien empalée sur ma bite à sa dimension maximum, je monte doucement les escaliers. La montée de chaque marche l'embroche un peu plus et la fait gémir.
- Je pense que j'ai réveillé un monstre lubrique ou es tu toujours aussi excitée que ça ?
- Alors là tu ne manques pas d’air ! J’étais une jeune fille vierge, douce et innocente, avant que ta grosse bite entre... dans ma vie !
Maintenant je suis devenue une esclave, de toi et de ta queue et j'adore comment je la sens à l'intérieur de moi ! Devant ou derrière !
Et elle tortille son cul sur ma teub encore enfouie profondément dans son cul.
- Très drôle mon amour !
Je rentre dans la douche et la soulève de mon mandrin pour la déposer dans le bac.
- Toi et ton colosse de queue m’ont fait devenir une vraie femme !
Et elle m’att la tète et me roule un sensuel baiser !

Ensuite je savonne ce corps parfait. Puis c’est elle qui me frotte et arrive à ma bite qu'elle att de ses deux mains en la savonnant sur toute sa longueur et s'émerveillant de le voir grandir et se redresser sous ses yeux. Elle me rince en me regardant:
- Voila ! Ta queue est toute propre et je crois qu’elle réclame ma bouche aussi !
Et vlan, la voila qui se met mon sexe en bouche.
- Dis, Patrick, je n’ai jamais fait de pipes. Et tu as un tel engin! Est-ce que je fais ça bien ?
- Eh bien, tu m’impressionnes pour une débutante ! Tu es naturellement douée pour la fellation mais sais-tu ce qu'est une gorge profonde ? Tu dois l'avaler jusqu'aux couilles.
Elle rougit et me rétorque :
- Non, ta bite est tellement énorme que je ne vois pas comment je pourrais faire ça, je suis un petit gabarit si t’as oublié !

Dès que nous sommes sorti de la douche je la prends à bras le corps et la retourne entièrement les deux jambes en l'air, mes 2 bras enserrant sa taille, ses jambes sur mes épaules sa chatte se retrouve à hauteur de ma bouche ou ma langue s'active entre ses grandes lèvres et suce son clitoris.
En bas ses 2 mains saisissent ma bite et sa langue reprend ses tourbillons autour de mon gland.
Elle me masturbe et me suce frénétiquement.
J’ai du mal à résister à sa frénésie et après 10 mn d’excitation de mon chibre je sens que je ne vais pas tarder à cracher.
- Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça!
Ma petite salope redouble ses efforts bouffant littéralement ma bite.
Elle la lâche pour me dire :
- Oui, jouis pour moi ! Patrick, éjacule dans ma bouche ! Je veux déguster ta semence !

La position étant acrobatique et demandant beaucoup d'efforts je la repose au sol.
Elle glisse aussitôt mon gros bâton dans sa bouche et me regardant dans les yeux, elle pousse sa tête jusqu'à ce que mon gland atteigne l'arrière de sa bouche et ensuite glisse dans sa gorge, mais ne pouvant tout absorber elle garde une main crispée sur la base de ma queue !
- Aaaahhhh, tu m’avales la bite ! T’es une parfaite petite salope ! Oh mon Dieu, Emilie, c’est boooonnnn... t’es incroyable !

Ses yeux clignotent de contentement et je l’entends râler et déglutir.
Elle se retire lentement et renfonce ma bite sans s'arrêter jusqu'à ce que mes couilles frappent son menton, elle est en apnée ne pouvant plus respirer sous cet exploit incroyable.
Comme je vais gicler et ne voulant pas l'r je me recule de 3-4 cm envoyant directement ma sauce dans son estomac.
- Ouiiiiiiiii, Tiens salope ! Avale mon foutre ! AAAaaaHHHhhhh... Putain d’enfoirée de cochonne ! T’es douée !
Après mon troisième jet de sperme elle recule un peu profitant des giclées suivantes qui envahissent sa bouche et coulent au coin de ses lèvres.

Se rendant compte qu'elle ne peut en espérer plus, elle renfonce entièrement ma bite avec facilité et me regarde dans les yeux
- Tu m'as fait une pipe royale... Je m'exclame en reprenant ma respiration.
Mon gland sort de sa bouche. Ses yeux regardent ma bite toujours gonflée et elle s'étonne :
- Je n’en reviens pas d’avoir fais ça ! Mais c’est génial !
-Quand ta bite a glisser dans ma gorge et après quand tu as giclé, j’ai eu un orgasme ! Woaaouuhh je n’oublierai jamais cette journée !
Emilie embrasse le bout de mon gland avant de continuer,
- Ta queue est vraiment succulente et j’aime ton foutre, ta bite... je pourrais la sucer tout au long de la journée !

L'un séchant l’autre elle dit :
- Maintenant emmène moi dans ta chambre et baise moi encore !
Sa main tendue prend ma queue qui baisse la tête comme le témoin d'un relais et me traine vers ma chambre.
Nous avons passé toute l'après-midi à baiser dans toutes les positions possibles.
Après notre dernière jouissance Emilie abdique :
- Arrête, je n'en peux plus ! Tu m’as baisé jusqu'à épuisement ! Je demande grâce ! On va boire un coup !
Je lui réponds que c'est d'accord mais que je dois lui faire une confidence, à elle de me dire après de ce qu'elle décidera.
- Comme tu le sais Annie est "passée" avant toi mais il n'y a pas qu'elle, toutes les femmes de cette maison aussi et elles ne peuvent plus se passer de ma bite!
-J’n’y crois pas ! Que tu ais baiser Claire je m'en doutais un peu mais sa mère et en plus ta propre mère et ta tante!
-Mais quel homme est tu? Moi qui t'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un, je voudrais t'avoir pour moi toute seule mais si je me mets à dos toute la famille!!...
- Il va falloir que je te partage car je t'aime et je suis trop accro à ta bite!

Le soir venu et toutes mes femelles rentrées. Pendant qu’Anne-Marie prépare de dîner, j'ai droit à une attaque en force.

- Absolument, explique Emilie, je pense que Patrick peut s'occuper de nous toutes.
Annie en profite pour sortir mon sexe, avale entièrement mon pénis et commence à le sucer. Quelques instants plus tard, Michèle vient à côté de moi et me roule une galoche avant de s'agenouiller et de remplacer la bouche d'Annie par la sienne.
Emilie se met à genoux à côté de Michèle.
Michèle la voit du coin de l’œil et après m'avoir donné deux grands coups de sa langue talentueuse et une intense aspiration retire sa bouche et lui sourit.
Emilie m'a doucement pris dans sa bouche et fait les mêmes actions que Michèle sur moi et travaille délicatement ma bite pendant que Claire m'embrasse.

Aussitôt qu'Emilie retire ses lèvres, Claire prend la relève et me fait une fellation d'enfer avant de passer le relais à sa mère adoptive Claude qui arrive presque à me faire jouir mais je me retiens.
Emilie m'engloutie à nouveau entre ses lèvres et travaille frénétiquement ma queue en essayant de me faire jouir et douée comme elle est, elle ne met pas longtemps à m’amener au bord de la jouissance.
Juste avant que j’explose, Emilie sort mon chibre de sa bouche et le présente à Annie en disant :
- Il est prêt à cracher, c’est pour toi !

Annie ne tarde pas me reprendre en bouche profondément et en quelques secondes, j'éclate dans sa gorge et sa bouche avec des énormes explosions de sperme.
Quand j’ai fini d’envoyer ma semence, Annie me laisse tomber pour embrasser Emilie et lui refiler une partie de mon foutre dans sa bouche.
Rompant leur baiser, elles disent ensembles :
- Whaoo...ton sperme est vachement bon !
Ensuite, elles rigolent, s’embrassent de nouveau avant de m’embrasser les lèvres et mon gland.

- Vous êtes toutes des diablesses ! Je n’ai jamais été vidé comme ça ! Chacune à sa manière mais je ne peux résister à vos fellations d’enfer ! Ma bite vous appartient mesdames, mais n’en user pas trop quand même pour que je puisse satisfaire vos besoins en sexe.

Emilie, ma teub toujours serrée dans sa main regarde les quatre femmes souriantes et dit :
-Et vous étiez toutes complices pour qu'il me dépucelle et pour couronner le tout vous m'aidez à lui faire une fellation !
-Mais dans quelle famille je suis tombée, un vrai lupanar mais avec un seul étalon !

- Dans cette lignée familiale, les femmes ne sont pas normales, explique Annie et Michèle rajoute
- C'est vrai ! Si nous étions normales, ce serait l’enfer pour déterminer qui obtiendrait les faveurs de Patrick mais je vois que c'est aussi l'opinion de Claude et sa fille qui ne sont pas de notre famille.

Quand on a goûté au monstre de Patrick c'est une drogue dont on ne peut plus se passer! Mais j'aime partager et moi il me fait jouir fabuleusement.
Ensuite Emilie y va de son avis :
- Patrick est si endurant que si je l'avais pour moi toute seule je serais morte en moins d’un an à force de me faire sauter pendant des heures entières.
Anne-Marie vient de nous rejoindre.
Alors je rajoute :

- Hummmm, peut-être pas mais quand il y en a pour une il y en a pour six !

Les six femmes se mettent à rire à l'unisson de mes prétentions mais aucune n'accepte de se passer de ma bite, nous allons dîner pour reprendre des forces car je crois que la nuit sera longue

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